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[modéré]Au Sujet Des Jmj


Messages recommandés

Pourquoi dire cela.

Pourquoi ne pas dire cela ?

C'était bien 1 M de jeunes, consentants, qui  étaient présents au Journées Mondiales de la Jeunesse, et voulaient manifester et voir grandir leur foi. (voir reportages)

Et alors faut-il vraiment voir un million de personnes autour de soi pour se sentir

plus proche du message de l'Evangile ? Et manifester pour les JMJ est-ce

aussi bien obligatoire pour grandir librement dans la foi ? A vous entendre,

oui, car je l'ai bien suivi, ou bien vu aussi à la télé (voir reportages)

Il faut espérer et prier pour que revenus dans notre vieille Eglise de France, ils montrent qu'ils ont entendu le message de Benoît XVI, les renvoyant à vivre en chrétien dans leurs communautés.

Quel réel monopole de la lecture de l'Evangile, priez donc pour moi,

pour que je pense exactement comme le croque-mitaine du Vatican.

C'était juste le témoignage d'un autre…

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Les « Journées mondiales de la Jeunesse » sont nées sous l’inspiration du Pape Jean-Paul II.

Oui, et c'est d'ailleurs bien dommage que la seule inspiration authentique qui puisse se faire entendre aujourd'hui ne puisse venir que d'un plus grand lettré

en matière de religion.

Elles ne sont pas faites pour mettre un masque sur le visage de l’Église, mais pour redonner à la jeunesse chrétienne un nouvel élan de vitalité et d’espérance, et encourager les jeunes du monde entier à se tourner vers le Christ.

Au lieu de s'illusionner derrière les JMJ, ne pensez-vous pas qu'il serait bien plus urgent pour l'Eglise, de se remettre avant tout en question dans son agir ? C'est-à-dire afin qu'un plus grand nombre de personnes puissent également se tourner vers Dieu sans nécessairement éprouver le même besoin compulsif et médiatique de faire la chouille devant ses semblables. Faut-il vraiment organiser une plus grande messe médiatique à la gloire d'un seul homme pour pouvoir redonner de l'élan et de la vitalité dans une jeunesse ? A vous entendre, oui, sans aucun doute !

Le thème choisi pour ces XXèmes journées le prouve : « Nous sommes venus L’adorer » ; phrase tirée de l’Évangile relatant la visite à Bethléem des Rois Mages, dont les reliques sont vénérées dans la cathédrale de Cologne.

Et à part cela, qui êtes vous venu adorer aux JMJ ? Un homme ? Un grand Prêtre ? des Grands Prêtres ? Oui, peut-être bien pour une autre relique de plus ?

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Il est difficile d’être chrétien dans le monde d’aujourd’hui, surtout pour les jeunes, et il est bon pour eux de voir qu’ils ne sont pas une « espèce rare », en se rassemblant ainsi autour du Christ.

Et comme il est bien plus difficile pour un arbre déraciné de rester toujours aussi droit devant le déluge. Mais pourquoi donc ils sont en train de devenir une espère rare ?

Et bien à vous entendre, tout simplement parce que c'est uniquement à cause

du monde, n'est-ce pas ? Mais rassurez-vous qui, par fidélité aveugle, ou par complète ignorance de certaines choses, pourrait mieux contredire un autre

poncif de plus ?

Quelques jours avant sa mort, Jean-Paul II leur avait fait transmettre

ce message : « Jeunes, ne cédez pas aux illusions mensongères et aux modes éphémères, qui laissent souvent un tragique vide spirituel, mais soyez des adorateurs de l’unique vrai Dieu ! » en répétant encore « N’ayez pas peur ! ».

Les JMJ sont l’occasion, pour les jeunes, d’entendre des paroles fortes données soit par le Pape, soit par les évêques lors des catéchèses, et de découvrir le Christ dans de longs moments d’adoration silencieuse.

Et vous avec ces nouveaux mouvements de foule ultra-médiatisés, n'avez-vous pas aussi l'impression d'être tombés dans un même phénomène de mode idolâtre et éphémère, le fait de sentir pareillement obligé de se retrouver dans une foule pour mieux sublimer son mal-être par le biais d'un événement ultra-médiatisé.

Mais si vous saviez comme je préfère aller voir les choses ou les êtres qui bougent dans le monde que d'aller voir toujours un même endroit, des

êtres toujours figés sur le passé, sur la tradition.

Et à quand les journées mondiales de la Vieillesse, afin que les vieilles personnes qui somnolent dans les paroisses, puissent également entendre pour demain les paroles bis répétita d'un berger Allemand, bien nourri et bien dressé à la lettre.

Si la participation le dimanche, dans les paroisses, est surtout celle de personnes âgées, il y a une immense attente chez les jeunes, et c’est une immense espérance pour l’Église.

Et bien moi, je préfère encore voir une église qui est vide, que de voir une église qui est pleine de gens qui dorment ou qui somnolent encore le dimanche par habitude, et vous qu'en pensez vous, préférez-vous plutôt dormir avec eux ?

Jésus a dit qu’Il serait avec nous :

« Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » (Mt 28, 20).

Nous croyons fermement en la parole de Jésus, et nous trouvons que l’Église du Christ est belle et vivante.

Et bien moi cela ne me suffit pas, pas suffisamment bien nourrissant et consistant tout cela, alors je ne m'arrête pas en chemin, et contrairement à vous, je trouve que les nombreux lettrés du Vatican ne témoignent pas de quelque chose de plus vrai à voir. Mais libre à vous de croire ou de ne pas croire en l'hypocrite que vous entendez.

Et dire que beaucoup d'entre-eux ont éprouvés le besoin de se déplacer afin de rendre hommage à un homme, à un poncif, qui dans sa carrière religieuse, ne s'est pas privé non plus de censurer des écrits un peu plus spirituels que lui,

que ses propres discours accusateurs et moralisateurs sur la société. Mais renseignez-vous, cherchez et vous trouverez alors de quoi je parle, et quel

très grand dommage pour le genre humain d'aujourd'hui.

Et la parole est venue, mais par trop grande fidélité aveugle aux grands prêtres, ils ont préféré avant tout la censurer, la rejeter. Et la parole a été faite chair, mais par tradition et position religieuse, ils ont préféré avant tout la figer, la chosifier, l'instituer, la pontifier, la réduire, de peur d'avoir à perdre un plus grand nombre de gens ou de fidèles en matière de religion. Mais une fois encore, elle n'anime plus les grands prêtres, car si cela était le cas, ils témoigneraient un peu plus souvent de celle-ci au quotidien.

Mais rassurez-vous, La parole des grands Prêtres passera dans la société, mais la mienne ne passera pas, car je ne sais d'ailleurs pas tout ce que je pourrais leur dire de plus à ce sujet. Alors pourquoi m'interrogez-vous de nouveau ? Puisque vous préférez recevoir avant tout le témoignage d'un autre plus médiatisé que moi par la lettre du Vatican ?

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Ah, les longs monologues de Franck. Après tout ce temps,

ça me fait toujours le même effet.

Pardonne moi, parle moi d'autre chose, raconte moi plutôt

une petite histoire à la place. S'il te plaît, fais-moi oublier

tout cela. Ah, si tu savais comme il me manque tellement

l'ancien forum, ou il était parfois bon de se lâcher avec le

petit Ernesto et son Papa, mais qui donc s'en souvient ?

C'était toi ?

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Je sais que ce sujet pourrait vous paraître décalé par rapport aux autres sujets en cours, et je peux comprendre que certaines personnes ne veulent pas de nouveau s'affronter vis-à-vis de la Religion. La discussion n'est pas de croire ou ne pas croire, mais l'objet de cet écrit se tournera vers la censure, mise en place, il n'y a pas si longtemps encore, par une note du 23 juillet 1998 de la Congrégation pour la doctrine de la foi, signée de la main de celui qui allait devenir, à la succession de Jean Paul II, Benoît XVI alias Croque Mitaine. Et sans m'attarder sur ce dernier, je préfère vous citer, à la place des médias religieux, une des petites histoires de cette personne censurée ou "dangereuse" pour l'Eglise:

Voilà, c'est l'histoire (remaniée encore à ma façon, j'ai encore le droit de la faire durer!) d'un homme qui avait découvert l'art de faire du feu. Un jour, cet homme rassembla son matériel et s'en alla dans une tribu du nord, ou il faisait très froid, terriblement froid. Alors l'inconnu s'installa à un carrefour, et proposa aux habitants de faire du feu. Ceux-ci se montrèrent très intéressés. Puis l'homme leur expliqua tous les usages possibles du feu: cuire de la nourriture, se tenir au chaud, etc. Et les gens étaient extrêmement reconnaissants mais, avant qu'ils puissent mieux exprimer leur gratitude à leur bienfaiteur, celui avait déjà disparu. La reconnaissance, la gratitude, le pouvoir, les honneurs, les belles places dans la tribu, n'intéressaient pas cet homme, seul comptait pour lui le bien-être de ceux à qui il apportait sa connaissance. Alors il se retira et alla dans une autre tribu, où il exposa avant tout les avantages de sa découverte à faire du feu afin de mieux combattre la faim, la soif et le froid dans leur vie.

Les gens se montrèrent également intéressés, trop cependant pour la paix intérieure de leurs grands prêtres, qui ne voyaient pas d'un très bon oeil leurs ouailles affluer auprès de l'inconnu. Ils craignaient de perdre leur popularité, leur influence, leur prestige, leur éclat, leur tradition. Alors ils décidèrent de se débarasser de l'intrus, de ce géneur, de cet empêcheur de tourner en rond, en le diffammant, le censurant, etc. Ou en le crucifiant, la méthode importe peu quelque soit les conventions ou grands prêtres en place d'une époque. De plus comme il craignaient que le peuple ne se retourne contre eux, ils durent se montrer plus avisés, plus astucieux. Comment ? Et bien, ils firent un portrait de l'homme, une idôle en or, et la figèrent bien en place sur l'autel central de leur temple, puis ils disposèrent autour de l'autel, beaucoup d'instruments. Ensuite ils calculèrent à la minute près et avec beaucoup d'instruments façonnés au millimètre près, à quel moment le rituel devait commencer et à quel moment il devait finir pour ne pas trop se perdre. Et puis ils dirent aux gens: "On vénère beaucoup mieux le Seigneur, ses reliques, et les instruments dans un temple". Ce qui fut fait, avec

la plus grande révérence pendant des siècles. Les instruments, la vénération, le culte, le rituel, et même l'habitude et le religieusement correct étaient bien là. Mais, hélas, il n'y avait plus de feu. Les gens se détournèrent de cela, et se remirent de nouveau à avoir froid, faim, et soif. Et le givre apparût de nouveau dans la tribu…

Donc l'histoire n'est pas finie, car pour endiguer cette "cruelle misère", la fuite des vocations, les JMJ apparurent: Quelle merveilleuse idée ! Et à quand les journées mondiales de la Vieillesse ?

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Donc l'histoire n'est pas finie, car pour endiguer cette "cruelle misère", la fuite des vocations, les JMJ apparurent: Quelle merveilleuse idée ! Et à quand les journées mondiales de la Vieillesse ?

Tu oublies l'Amour avec un grand A. Pour le pape je ne connais pas vraiment son cas mais pour plusieurs des croyants que je connais et qui y vont, c'est ce qui importe.

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Je ne comprends pas grand chose aux réflexions de Franck mais ce que je peux dire c'est que j'aurais bien aimé participer à ces JMJ. Elles n'existaient pas autrefois.

Quand j'étais plus jeune, les catholiques devaient raser les mûrs. être catholique c'était au mieux, ringard. Certaines régions de France, comme la Vendée, très catholique me faisait l'effet d'un sanctuaire où l'on se sentait libéré de la pression anti-cléricale de l'époque.

Aussi, me retrouver au sein de milliers de jeunes de mon âge ayant la même foi et l'exprimant sans honte et sans réserve m'aurait beaucoup plu.

Bon aujourd'hui, à presque 40 ans, je me contrefout de l'opinion des prosélytes de l'athéisme et si je devais critiquer les JMJ, c'est par le caractère dispendieux de l'organisation dont une partie est à la charge des contribuables du pays qui accueille. Le reste, cela reste personnel, c'est une question de choix et cela ne regarde personne d'autre que soi.

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Cher Franck,

Si les dogmes de l'Eglise Catholique ne vous conviennent pas, si la papauté vous irrite, faites comme moi, quittez la, convertissez vous à ce que vous voudrez, mais par pitié cessez donc de grogner avec les abrutis qui ne connaissent rien à la foi, à la religion mais qui se permettent de juger, d'exiger la modernisation de l'église afin que leurs turpitudes soient là aussi excusées. Une religion n'a pas à s'adapter aux marottes en vogue de l'instant comme beaucoup le souhaiteraient. Si il y en a que le célibat des prêtres insupporte (par exemple), qu'ils deviennent protestants, juifs ou que sais-je. D'ailleurs, je doute qu'ils désirent se convertir à quoique ce soit, la plupart du temps ceux qui se livrent à cet exercice sont ceux qui ont le moins droit au chapitre car professant un athéisme grand teint.

Comme vous, je ne suis pas persuadé que les grandes démonstrations de masse comme les JMJ servent véritablement la religion, néanmoins, je leur reconnais au moins le mérite de permettre à de nombreuses personnes de pouvoir affirmer haut et fort leur foi sans avoir à subir les lazzis. Nous vivons une triste époque où les parodies de mariage blasphématoires qui se déroulent dans une cathédrale n'émeuvent presque personne, alors une fois l'an une "catholique pride" ça remonte le moral. Cela empêche t'il pour autant les fidèles de vivre quotidiennement l'enseignement du Christ ?

A contrario de votre position, je me félicite de l'élection de Benoît XVI. Il est bon que des gens se dressent et rappellent la permanence et l'immuabilité de certaines choses, que l'économie du débat sur le bien et le mal mène au néant.

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@ melodius

Une association (Juventutem) s'est constituée pour participer aux JMJ tout en pratiquant le rite tridentin. Elle a reçu le soutien de Benoît XVI, qui a d'ailleurs célébré des messes en latin après le concile.

Je pense vraiment que les deux rites coexisteront un jour. Le problème pour le moment, c'est que les adeptes du rite traditionnel sont à 90% des bourrins d'extrême-droite (mais ça c'est un accident historique et sociologique, ce n'est pas dans la nature de la chose).

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Puisqu'ils semblent traditionnalistes, pratiquent ils toujours l'exécration des juifs ?

Les traditionnalistes sont souvent antisémites, mais c'est sociologique (vieille France maurassienne, etc.).

Ce sont justement ces contingences qui sont pénibles, car tu peux être catholique, conciliaire, ne pas être antisémite, aller à la messe en latin, ET être cohérent du point de vue dogmatique !

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Ma question n'a pas grand chose à voir avec l'antisémitisme proprement dit des fidèles traditionnalistes, seulement jusqu'à Jean XXIII l'exécration des juifs faisait partie intégrante du rite de la messe. Aussi, je demandais si ce retour aux sources de la tradition allait jusqu'à l'inclusion de cette exécration dans la messe.

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Ma question n'a pas grand chose à voir avec l'antisémitisme proprement dit des fidèles traditionnalistes, seulement jusqu'à Jean XXIII l'exécration des juifs faisait partie intégrante du rite de la messe. Aussi, je demandais si ce retour aux sources de la tradition allait jusqu'à l'inclusion de cette exécration dans la messe.

Il semblerait que non :

17/08/2005 10:25

DUSSELDORF (Allemagne), 17 août 2005 (AFP) - JMJ: "merci pour la messe traditionnelle", proclame Juventutem

"Merci pour la messe traditionnelle" clame une banderole entreposée sur le trottoir devant l'église Saint-Antoine à Düsseldorf. En espagnol et … en latin, la langue des partisans du rite catholique d'avant Vatican II.

C'est la première fois que les traditionalistes ont une délégation officielle aux Journées mondiales de la jeunesse (JMJ). Ils sont regroupés dans Juventutem ("jeunesse" en latin), rassemblant notamment l'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, la Fraternité Saint-Pierre ou la Fraternité Saint-Vincent Ferrier, et ils sont soutenus par l'évêque de Campos (Brésil), Mgr Fernando Arias Rifan.

Aux JMJ de la ville rhénane, où la Fraternité Saint-Pierre dispose d'une maison depuis près de dix ans, Juventutem emmène sous son drapeau blanc frappé d'un ostensoir doré un millier de jeunes, contre deux à trois cents pour les JMJ précédentes qui y allaient souvent pour le week-end seulement.

Autour de l'église Saint-Antoine, l'ambiance est un peu plus guindée qu'ailleurs: les prêtres portent la soutane, les garçons ont le cheveu ras et les filles des tenues sages voire des jupes --une rareté dans des JMJ plutôt jean/baskets.

A l'intérieur, la messe est en latin, selon le rite du missel de Jean XXIII (1962) où la prière sur les "juifs perfides" avait toutefois été supprimée, ceci avant le concile Vatican II (1962/65) qui a modernisé la liturgie avec l'abandon du latin.

Les vêpres y seront célébrées solennellement cette semaine par des éminences comme le cardinal George Pell, archevêque de Sydney, ou surtout le cardinal nigérian Francis Arinze, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements. Une rencontre est prévue avec Mgr Jean-Pierre Ricard, président de la Conférence des évêques de France.

"C'est la première fois que nous sommes aux JMJ en tant que mouvement traditionnel", explique l'abbé Armand de Malleray, délégué général pour Juventutem. "Je pense que cela a porté des fruits".

"C'est une belle aurore qui se lève", renchérit l'abbé Renaud de Cazenove, 25 ans, "on va essayer de transformer l'essai".

Benoît XVI, attendu jeudi aux JMJ, avait célébré quand il était encore le cardinal Joseph Ratzinger la messe à Pâques 1990 selon le rite traditionnel dans la maison de la Fraternité Saint-Pierre en Bavière, rappelle l'abbé de Malleray qui tient néanmoins à rendre hommage à Jean Paul II, en soulignant que Juventutem a été lancé en mars 2004 bien avant sa mort.

"On suppose que le pape ne va pas aller contre ce qu'a fait son prédécesseur", poursuit-il, "il nous connaît bien de l'intérieur, lui pourra juger si ce que nous représentons est quelque chose à encourager ou pas".

Les traditionalistes, attachés à rester dans l'Eglise contrairement aux schismatiques qui ont suivi l'évêque intégriste Mgr Marcel Lefebvre, tiennent au latin car "c'est la langue de l'Eglise".

D'ailleurs aux JMJ, maronites et Ukrainiens uniates ont aussi leurs propres messes différentes du rite romain réformé. "C'est un signe de diversité plutôt positif", estime l'abbé de Malleray.

Venu du Bénin, séminariste de l'Institut du Christ Roi, Judicaël Soares, 27 ans, pense qu'il faut surtout "retrouver l'identité catholique" car "l'Europe est malade".

"On sent que le temps coûte très cher ici. Si on pouvait l'utiliser un peu pour Dieu ce serait la résurrection de l'Europe", dit cet Africain qui trouve "écoeurant" de voir des jeunes s'embrasser jusque dans des églises et s'étonne qu'à la messe "on ne voit que des gens aux cheveux blancs".

Voici le texte de la prière universelle du Vendredi Saint dans le rite latin original avant sa modification par Jean XXIII (c'est moi qui souligne) :

Oremus

et pro perfidis Judaeis ut Deus et Dominus noster auferat velamen de cordibus eorum; ut et ipsi agnoscant Jesum Christum Dominum.

Oremus

Omnipotens sempiterne Deus, qui etiam judaicam perfidiam a tua misericordia non repellis: exaudi preces nostras, quas pro illius populi obcaecatione deferimus; ut, agnita veritatis tuae luce, quae Christus est, a suis tenebris eruantur.

Source : Google (les pages en italien d'un site identitaire européen)

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Tu oublies l'Amour avec un grand A. Pour le pape je ne connais pas vraiment son cas mais pour plusieurs des croyants que je connais et qui y vont, c'est ce qui importe.

Thomas qui aime bien, châtie bien, et ce n'est pas que j'ose, au grand sacrilège

contredire la parole infaillible du Pape, que tu dois aussi te sentir obligé de réduire

le sens de mes propos.

Tu me parles de quel Amour Thomas ? De l'Amour fraternel entre les uns les autres ? de l'Amour de Dieu ? de l'Amour passion envers le Pape ? du trop grand attachement religieux ou pas envers une chose ? De l'Amour entre ce que l'on préfère ou pas d'entendre ? De l'amour envers la censure ou la liberté d'expression ?

Et puis à quoi bon exhiber médiatiquement son amour envers un Pape, si l'on n'est même plus capable de voir où peut aussi nous conduire cet amour dans notre aveuglement. Non l'amour ne suffit pas Thomas toujours, c'est vrai il peut faire évoluer l'homme vers quelque chose de plus beau dans la vie, comme il

peut aussi bien figer une personne dans son existence sur quelque chose qu'elle ne voit pas encore, par attachement excessif.

Et puis tu sais ce n'est pas non plus parce que je fait moins mention de l'amour dans mes propos, que je ne crois pas en Dieu, ou que je témoigne forcément

de quelque chose d'irrecevable à ce sujet ou encore que je ne suis pas" religieusement correct" à entendre. Selon les propos des personnes que tu connais et qui sont allées aux JMJ, je dois certainement faire preuve de moins d'amour face à tous ces nombreux professionels de l'amour au Vatican.

Je te remercie néanmoins de m'avoir répondu, cela m'a permis de voir

quelque chose que je n'avais pas encore vu sur l'amour.

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Y a quelqu'un pour m'expliquer ce qui se passe?

Je vais t'expliquer ce qui se passe, autrement dire pourquoi je n'aime pas ce Pape, Berger allemand de son Etat: Après réflexion, je pense qu'une personne comme elle ne puisse, dans l'état où elle est tombée, c'est-à-dire bien

arrivée là où elle est (c'est à dire au Vatican), mieux faire aimer Dieu des hommes. Elle leurre sans doute beaucoup de personnes en imitant les actions de son prédécesseur, mais cela ne veut pas signifier qu'elle est habitée par " l'Esprit Saint". Ils l'ont peut-être reçu par le révélation des premiers chrétiens, mais je pense qu'ils l'ont perdu depuis. Car si c'était vraiment le cas, je pense que le Pape témoignerait de quelque chose d'autre, hélas ce n'est vraiment pas le cas dans sa censure. Aussi, au delà des éloges trop flatteuses et des médias officiels, je n'ai pas voulu finir chèvre… J'ai voulu, avant tout, me renseigner davantage sur cette vieille outre religieuse et de sa carrière au Vatican. Un grand prêtre qui se sert avant tout de l'amour que Dieu peut susciter dans le coeur des hommes, afin de pouvoir mieux censurer par la suite, et là où il est du haut de sa chair, tout écrit ou propos qu'il estime ne pas être suffisamment adéquat à sa propre conception de la doctrine de la foi. Quel abus de pouvoir, quel très grand préjucide spirituel pour l'Eglise. Et comme c'est bien remarquable à voir, c'est vraiment à venir récompenser aux JMJ ou à applaudir dans ce fil ! De mieux en mieux…

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Il semblerait que non :

Voici le texte de la prière universelle du Vendredi Saint dans le rite latin original avant sa modification par Jean XXIII (c'est moi qui souligne) :

Source : Google (les pages en italien d'un site identitaire européen)

Merci du renseignement.

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Je vais t'expliquer ce qui se passe, autrement dire pourquoi je n'aime pas ce Pape, Berger allemand de son Etat: Après réflexion, je pense qu'une personne comme elle ne puisse, dans l'état où elle est tombée, c'est-à-dire bien

arrivée là où elle est (c'est à dire au Vatican), mieux faire aimer Dieu des hommes. Elle leurre sans doute beaucoup de personnes en imitant les actions de son prédécesseur, mais cela ne veut pas signifier qu'elle est habitée par " l'Esprit Saint". Ils l'ont peut-être reçu par le révélation des premiers chrétiens, mais je pense qu'ils l'ont perdu depuis. Car si c'était vraiment le cas, je pense que le Pape témoignerait de quelque chose d'autre, hélas ce n'est vraiment pas le cas dans sa censure. Aussi, au delà des éloges trop flatteuses et des médias officiels, je n'ai pas voulu finir chèvre… J'ai voulu, avant tout, me renseigner davantage sur cette vieille outre religieuse et de sa carrière au Vatican. Un grand prêtre qui se sert avant tout de l'amour que Dieu peut susciter dans le coeur des hommes, afin de pouvoir mieux censurer par la suite, et là où il est du haut de sa chair, tout écrit ou propos qu'il estime ne pas être suffisamment adéquat à sa propre conception de la doctrine de la foi. Quel abus de pouvoir, quel très grand préjucide spirituel pour l'Eglise. Et comme c'est bien remarquable à voir, c'est vraiment à venir récompenser aux JMJ ou à applaudir dans ce fil ! De mieux en mieux…

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Cher Franck,

Si les dogmes de l'Eglise Catholique ne vous conviennent pas, si la papauté vous irrite, faites comme moi, quittez la, convertissez vous à ce que vous voudrez, mais par pitié cessez donc de grogner avec les abrutis qui ne connaissent rien à la foi, à la religion mais qui se permettent de juger, d'exiger la modernisation de l'église afin que leurs turpitudes soient là aussi excusées.

Par pitié cessez donc de prendre les gens, qui ne connaissent rien à la religion,

pour des abrutis. Et vous quelle est donc votre prétention à connaître mieux la religion que ces "abrutis"! Est-ce aussi une meilleure manière d'en parler devant eux ?

Et au lieu de les prendre pour des imbéciles ou des ignorants, vous feriez mieux de vous remettre en question, et de chercher plutôt à comprendre pourquoi ils se sont tellement détournés de la religion.

Une religion n'a pas à s'adapter aux marottes en vogue de l'instant comme beaucoup le souhaiteraient. Si il y en a que le célibat des prêtres insupporte (par exemple), qu'ils deviennent protestants, juifs ou que sais-je. D'ailleurs, je doute qu'ils désirent se convertir à quoique ce soit, la plupart du temps ceux qui se livrent à cet exercice sont ceux qui ont le moins droit au chapitre car professant un athéisme grand teint.

Je me demande si vous avez compris le sens de mes propos. Je n'ai jamais fait référence à l'adaptation de l'Eglise à "la mode", mais à la censure que le Pape a instaurée à l'encontre de certains écrits les plus spirituels de notre temps. Soyez honnête avec vous même, approuvez-vous oui ou non la censure infligée par le Pape, il n'y a pas si longtemps ? Pauvre Eglise, comme si elle avait besoin de ça en sus du déclin de ses fidèles et de ses vocations.

Comme vous, je ne suis pas persuadé que les grandes démonstrations de masse comme les JMJ servent véritablement la religion, néanmoins, je leur reconnais au moins le mérite de permettre à de nombreuses personnes de pouvoir affirmer haut et fort leur foi sans avoir à subir les lazzis.

Je pense plutôt que ces grandes manifestations de masse cherchent avant tout à cacher l'arbre pourri de la forêt. C'est également un moyen de clamer haut et fort, la tête dans le sable, leur Foi inébranlable en la censure religieuse. A ce sujet, on se demande qui dessert le plus l'image de la religion dans cette société?

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