Aller au contenu

Je Ne Voterais Pas Sarkozy


Messages recommandés

Peut-être parce qu'il a compris que ne pas soutenir Sarko était inefficace…

:icon_up:

Pas de politique sans alliances…

Madelin a une très mauvaise image, et il doit le savoir. Il ne lui reste plus qu'à s'allier pour continuer bêtement sa carrière politique sans espoir de faire avancer le libéralisme. C'est ce que je pense.

Lien vers le commentaire
Invité jabial
Peut-être parce qu'il a compris que ne pas soutenir Sarko était inefficace…

:icon_up:

Pas de politique sans alliances…

Oui, mais moi, un type qui envoie en tôle les gens qui l'insultent, c'est complètement hors de question de s'allier avec lui.

Lien vers le commentaire

3e article de la semaine de Lamirand sur Sarko !

http://www.action-liberale.org/articles/Po…ALISME+%85.html

ON NE DEMANDE PAS A SARKOZY DE SE CONVERTIR AU LIBERALISME …

Par Claude Lamirand – http://www.action-liberale.org – le 7 Décembre 2004

…même si ce serait l’idéal !

Reagan, Thatcher ou Bush père et fils n’étaient et ne sont pas ce que l’on peut proprement appeler des libéraux.

Ce sont des conservateurs qui mettent en œuvre des politiques conservatrices avec l’idée de rendre aux individus les marges de manœuvres qu’ils ont perdu. Quand l’Etat avance, la liberté individuelle recule et c’est la seule chose qu’il faut finalement comprendre. Chaque individu est plus exposé à devenir le prisonnier des mesures collectives plutôt qu’a s’épanouir librement dans tous ses rapports à l’Etat. La liberté individuelle s’épanouie de meilleure façon quand les lois respectent la nature humaine et qu’elles servent le droit naturel. Les libéraux ne disent pas autre chose, ne revendiquent pas autre chose que le respect des droits naturels des individus par les lois. Cependant, ce ne sont pas des conservateurs. Il est plus difficile d’être libéral que conservateur. Un conservateur va avoir tendance à projeter sa propre vision de la société sur tous. Dieu ou Marx, par exemple, sont deux références qui construisent le conservatisme de la droite et le conservatisme de la gauche, selon que l’un ou l’autre est prépondérant. Les libéraux ne sont ni conservateurs de droite, ni conservateurs de gauche et ils ne sont pas au milieu. Ils sont ailleurs, dans l’intimité des individus qui ont à la fois besoin de tout l’espace possible pour mettre en œuvre leur droit naturel et besoin que ce droit naturel ne soit pas réduit par des comportements ou des règles qui n’en feraient qu’un privilège pour les uns, souvent construit sur l’iniquité, et un droit purement théorique pour les autres, soumis au pouvoir des inéquitables. Les lois communes sont donc nécessaires, la force commune est donc nécessaire mais pour être admise, elle doit être générale et équitable.

La France est un pays qui a dévoyé le sens de l’égalité. L’égalité proclamée dans la déclaration des droits de l’homme de 1789, est une égalité de condition sociale qui rend possible une justice équitable. La loi est la même pour tous, c’est ce que ça veut dire. L’Etat idéologique a transformé cette égalité de droit en égalité de moyen, ce sont les clauses de moyens introduites dans la déclaration des droits de l’homme des constitutions de 1946 et 1958. L’Egalité n’est plus seulement la promesse que la justice ne tiendra pas compte du statut social des personnes comme sous la monarchie, mais qu’elle devient aussi une égalité matérielle des conditions. C’est mettre à mort l’équité dont le premier principe est " à chacun selon ses mérites " pour produire un principe contraire, le principe égalitaire qui est " ce qui est juste, c’est ce qui est égal ". L’Etat depuis 1946 et 1958 s’arroge ainsi le droit de prendre à ceux qui ont acquit dans l’équité pour donner à ceux qui n’acquièrent pas dans l’équité. Il dit que c’est égal. C’est certainement égalisateur, mais ce n’est pas équitable. La " justice sociale " c’est ça. C’est imposé a ceux qui produisent et qui méritent la charge matérielle d’entretenir ceux qui ne produisent pas et qui ne méritent pas. Le système peut marcher quand ceux qui reçoivent les biens d’autruis restent une minorité, mais lorsqu’il s’agit de près de la moitié de la population d’un pays, contrainte, par système et à cause de la dévalorisation du revenu de l’équité du travail par rapport à celui de l’égalité de la loi, tout le monde s’appauvrit. Quand la proportion de ceux qui attendent des biens sans produire eux-mêmes, gratuitement et en fait gracieusement, devient trop importante, le système entre dans l’automatisme de la spoliation des producteurs. Produire pour soi ne veut plus dire que l’on détient le revenu produit, mais qu’il est permit d’en conserver une part pour soi sans détenir le droit " propriétaire " de dire qu’elle part. C’est la route de la servitude qui conduit à l’abolition du droit de propriété et de la possession de soi pour tous. Ceux qui produisent s’appauvrissent dans l’injustice véritable parce que le revenu de leurs efforts est la pauvreté. Ceux qui ne produisent pas s’appauvrissent dans la justice équitable parce qu’ils ne produisent effectivement rien et vivent de la spoliation légale des autres. L’égalité tient dans ce système la place de l’équité, parce qu’il est équitable lorsqu’on ne produit rien soi-même d’être dans une situation de besoin. Dans un tel système, le nombre important de ceux qui sont dans le besoin ne résulte pas de l’exercice d’un droit naturel, mais de l’abolition de ce droit par les lois mauvaises qui promettaient de le rendre égal. Or le droit naturel qui ne s’exerce pas relève de l’utopie de tous autour du privilège de certains, alors que le droit naturel qui s’accomplit relève de l’initiative de chacun dans le respect des bonnes lois qui en garantissent le libre exercice à tous. C’est donc l’incompréhension du droit naturel de l’homme par la puissance commune qui conduit à l’abolition de l’exercice du droit naturel en le transformant en loi générale s’imposant à chacun. La nature du droit naturel est de l’essence de chacun et celle de la loi est de permettre l’épanouissement du droit naturel en réalité. L’utopie égalitariste est donc la négation du droit naturel qui est l’expression de l’équité dans le cadre des lois qui préservent de la prédation particulière le libre exercice du droit naturel par chacun.

Ont ne demande pas à Sarkozy de devenir libéral, mais de restaurer la constitution et les institutions françaises dans le sens du droit naturel des individus. La récompense du travail et de l’effort, c’est le revenu. S’il peut comprendre cela, il peut comprendre que nos institutions sont muent par l’iniquité et que la seule égalité qu’elles devraient produire pour respecter l’homme, c’est précisément la restauration de l’équité. Les " pauvres " ne sont pas tous des fainéants. Parlez des pauvres ou des personnes dans le besoin est trop vague. Quand il s’agit de savoir desquels parlent les " partenaires sociaux ", ont tombe sur les fonctionnaires, les agents SNCF ou ceux de l’EDF. Ceux des " Petits frères des pauvres " ou ceux de l’Abbé Pierre sont tout de mêmes plus crédibles. Les pauvres des partenaires sociaux sont les nantis de l’égalitarisme. Ils obtiennent des revenus de statut. Ces statuts sont des exonérations de la loi commune et ne sont pas assumés par ceux-là même qui en jouissent. Ils sont à compte d’autruis et produisent les laissés pour compte de l’Abbé Pierre. Ces statuts, par le fait même qu’ils ne sont pas assumés par ceux qui en jouissent, introduisent une violation des lois naturels des individus.

Le droit naturel de l’individu n’est pas seulement possible par le déploiement des talents de l’individu. Il est rendu possible par la garantie des lois bonnes et égales pour tous. Un homme libre qui est obligé de défendre à chaque instant ses intérêts contre d’autres hommes ou d’autres organisations qui veulent établir leur ordre sur un espace donné et à leur avantage, n’est pas un homme libre qui vit son droit naturel autrement qu’en théorie. La liberté, c’est la force de se maintenir mais aussi de faire. Les lois communes doivent donc être les mêmes pour tous, égales devant toutes les conditions sociales pour être équitables. Le statut des agents publics ou des fonctionnaires, ou des employés de l’Etat n’est pas une dérogation à la loi commune si dans le même temps ceux qui en jouissent l’assument réellement sans rien demander aux autres. Mais, ce n’est pas la situation d’aujourd’hui ou l’ensemble des statuts publics sont assumés par les parts de butins que leurs représentants prélèvent sur la ressource de ceux qui n’en jouissent pas. Butin et non impôt, parce que l’impôt est noble. Le Butin, c’est du vol. Le Butin, c’est le pillage. Il ne s’agit pas de payer quelque chose parce que la loi l’exige, mais parce que le libre exercice du droit naturel est empêché lorsqu’il faut aidé ceux tombés temporairement dans le besoin. En revanche, quand les " partenaires sociaux " imposent à la nation le diktat corporatiste et qu’ils emploient les moyens que la nation met à leur disposition pour qu’ils rendent les services qu’elle en attend, il s’agit d’un prise de Butin. Cette prise de Butin à lieu à la SNCF, à la RATP et ailleurs notamment dans les lois du gouvernement transférant la charges des retraites du public aux salariés du privé en maintenant l’essentiel des iniquités de cotisations et d’accès à l’exercice des droits. C’est une caisse commune ou selon le statut des uns et des autres, le gouvernement et les " partenaire sociaux " ont imposé un Tribu aux cotisants du privé et futur retraité du privé pour payer le Butin des cotisants du public et futur retraités du public. Le moyen d’obtenir le paiement du Tribu est le chantage qu’ils exercent en menaçant l’ensemble de la Nation de paralyser les moyens collectifs lui permettant de servir les droits naturels. Ils se sont appropriés ses moyens par le fait et commettent ainsi une violation de la propriété nationale pour le service de causes particulières. Il s’agit bien d’un pillage qui vient après une prise d’otage. Il n’y a aucun abus dans les mots. Il s’agit d’une stricte description des faits.

Le statut en la matière contourne la loi générale et équitable, qui en fait une loi égale à partir du moment ou il existe un écart entre ce qu’ont assumé les bénéficiaires et futurs bénéficiaires. Il s’agit d’une véritable reproduction d’un ordre ou d’une caste. La loi est la même pour tous mais les statuts non assumés permettent de la rendre caduque et de produire une société inégalitaire de droit et de fait. L’égalité en France est donc devenue inique. Les statuts publics ont leur propre gouvernement identifié comme les " partenaires sociaux " qui imposent par le pouvoirs de moyens collectifs dont ils se sont emparés, le paiement d’un Butin et non d’un impôt au gouvernement légal et élu par le peuple. Le statut non assumé est donc bien la reconstitution d’un ensemble de règles dans la loi générale pour produire un privilège.

Les " partenaires sociaux " se sont enkystés entre l’égalité des lois et leur généralité pour restaurer l’iniquité et le privilège qui réglait la vie sociale sous la monarchie absolutiste. Si la France et ses institutions ne vont pas bien, c’est d’abord parce qu’elle croit vivre sous une constitution écrite alors que les principes qui dominent désormais les lois de l’Etat relèvent d’une constitution de fait. Une constitution qui est le fruit du chantage, de l’appropriation des moyens collectifs et du revenu national. Les lois de l’Etat démocratique ne sont plus l’expression de la volonté générale, mais l’habillage simple de ceux qui ont une vision contraire à l’intérêt général. Les " partenaires sociaux " sont aujourd’hui orphelins des grands Etats collectivistes et désertés des électeurs ou des adhérents par le jeu de la démocratie et de la volonté générale. Ils en sont réduit à considérer les institutions et les moyens collectifs tombés dans leur contrôle comme le dernier bastion permettant leur survie. Ils ne défendent plus aujourd’hui, et ne représentent plus aujourd’hui, que le strict intérêt particulier de ceux qui par leur statut non assumé sont de fait devenus les groupes survivants d’une utopie morte et enterrée. Le partenariat social n’est qu’une loi qui subordonne toutes les institutions de la France. C’est la loi du monopole, une loi particulière qui rend caduque l’ensemble des intentions de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui devait épanouir les droits naturels de chacun dans le cadre le plus approprié pour qu’ils ne reste pas théoriques.

Ce n’est pas l’exclusivité de la pensée libérale et ce n’est donc pas se compromettre avec elle que de considérer que la restauration des droits naturels de l’homme n’entame ni la noblesse de la fonction de l’Etat, ni n’abîme la commisération de l’homme pour son prochain. Restaurer le droit naturel de l’homme, c’est rendre à l’homme en société les bonnes lois qui respectent sa nature par la restauration de l’équité dans le fonctionnement de nos institutions.

Lien vers le commentaire
Invité jabial

Je peux me réjouir de la victoire d'un type comme Bush, Pinochet ou Sarkozy, parce qu'en face il y a bien pire. Mais les soutenir, désolé, ça ne va pas être possible. C'est au-delà de mon seuil de vomissement.

Lien vers le commentaire
Invité jabial
"Te réjouir" ? Et pourquoi toujours présumer que la droite est moins pire que la gauche ? Ce qui compte, ce sont les actes politiques, pas les prétextes employés pour les légitimer.

Je ne pense pas que la droite soit moins pire que la gauche en général. Ce sont des cas particuliers bien précis. Par exemple, je voterais Blair (gauche) contre Chirac (droite) sans hésiter.

Lien vers le commentaire
Je ne pense pas que la droite soit moins pire que la gauche en général. Ce sont des cas particuliers bien précis. Par exemple, je voterais Blair (gauche) contre Chirac (droite) sans hésiter.

Blair est admiré par certains comme étant plus à droite que Chirac (accusé de ne pas incarner la "vraie" droite)…

Mais Blair, d'un point de vue libéral, est nullissime. Peut-être même pire que Chirac, c'est tout dire !

Lien vers le commentaire
Invité jabial
Blair est admiré par certains comme étant plus à droite que Chirac (accusé de ne pas incarner la "vraie" droite)…

Mais Blair, d'un point de vue libéral, est nullissime. Peut-être même pire que Chirac, c'est tout dire !

Tu aimes vraiment ne pas être d'accord avec moi toi :icon_up:

Le problème c'est que depuis Jaurès je ne vois pas grand monde à gauche de plus proche des valeurs libérales que la droite… Si tu as des exemples, vas-y.

Lien vers le commentaire
Et il n'est pas dit que Chirac soit opposé à une autre guerre que celle d'Irak!

et avec sarko, il y aurait même de force chance qu'il suive les US..

Chaque guerre est un cas particulier et la décision de s'y engager ou pas répond à des éléments spécifiques. On peut trouver plus et moins légitime que l'engagement US en Irak….

Quant à Sarko, I don't know…

Lien vers le commentaire
Tu aimes vraiment ne pas être d'accord avec moi toi :icon_up:

Le problème c'est que depuis Jaurès je ne vois pas grand monde à gauche de plus proche des valeurs libérales que la droite… Si tu as des exemples, vas-y.

Sur certains points, tu peux trouver quelques hommes de droite plus proches des libéraux; sur d'autres questions, ce seront certains hommes de gauche. Mais, chacune considérée dans sa propre globalité, gauche et droite sont à équidistance du libéralisme.

Lien vers le commentaire

Je me permets de continuer en reparlant de DASSAULT qui vient de sévir sur France Inter il y a trente minutes, puisque sur le fond ce qu'on disait sur le personnage est assez lié à ce fil sur SARKOZY.

Et bien pour ceux qui rêvaient doucement en pensant utiliser ses organes (de presse ainsi que sa grande gueule) c'est vraiment pas gagné les amis.

On a eu droit ce matin à un numéro de pleureuse pas content de la France en général et de la gauche en particulier. Le tout sous forme d'accusations très peu argumentées mais dont le seul énoncé sur le ton d'une discussion de bistrot semblait suffir au personnage pour assurer la qualité du numéro d'esbrouffe.

La France ne travaille plus, ne pense qu'aux vacances, elle régresse, tout le monde sera bientôt au chômage etc…

Bien sûr, sur le fond ce constat n'est pas tout à fait faux. Mais quand le journaliste est suffisamment malin pour crier à la caricature immédiatement, M. DASSAULT n'a rien de bien croustillant pour étayer ses arguments.

Là où le veau moyen pris dans les bouchons attend quelques chiffres, quelques pourcentages et surtout quelques perspectives, M. DASSAULT oppose une réponse dédaigneuse, agite sa main comme on renvoie un valet et reste sur la position du vieux con qui a tout vécu et que la société désespère.

Pour finir en beauté il n'a pas oublié de dire que l'état devait garantir à l'économie et aux personnes qui travaillent que bla bla bla…

Allez Roger, remets une tournée c'est moi qui paye !

Lien vers le commentaire

salut les jeunes!

c'est ma première participation sur ce forum, pour dire que je trouve un peu "gonflés" et meme "a coté de leurs pompes" tous ces libéraux qui critiquent Sarkozy comme si on avait un grand choix dans les candidats, comme si on pouvait faire la fine bouche

soyez un peu malin, Madelin a fait 4% aux présidentielles, il est évident que c'est a peu pres le score que peux obtenir un "vrai libéral" et pas plus

(moi je vote Madelin, pour info, mais je suis 100% pro-Sarkozy)

par ailleurs j'en ai un peu marre d'une conception purement intellectuelle du libéralisme, il ne faut pas avoir peur de résumer notre pensée en quelques vérités incontournables :

1/ il y a beaucoup trop de fonctionnaires dans ce pays

2/ il y a beaucoup trop d'impots dans ce pays

3/ il faut réformer le statut de la fonction publique

etc…

c'est trés important tout ca, faire des belles phrases sur la liberté, ca m'en touche une sans faire bouger l'autre

de ce point de vue là c'est Dassault qui a raison dans son analyse catastrophiste, et si meme les libéraux le font passer pour un guignol, ou va t'on?

a+

Lien vers le commentaire
c'est ma première participation sur ce forum, pour dire que je trouve un peu "gonflés" et meme "a coté de leurs pompes" tous ces libéraux qui critiquent Sarkozy comme si on avait un grand choix dans les candidats, comme si on pouvait faire la fine bouche

As tu lu les arguments présentés? Penses-tu que les balayer d'un revers de main (voir partie soulignée) suffira?

Lien vers le commentaire
As tu lu les arguments présentés? Penses-tu que les balayer d'un revers de main (voir partie soulignée) suffira?

j'ai lu une bonne partie de ce fil, pas tout…

ce que je dis est vrai, il y a des libéraux tendance "éternel étudiant" qui font ca pour se revigorer l'esprit

a coté il y a des libéraux lucides, ce pays est un pays socialiste depuis 30 ans…

la satisfaction des attentes des libéraux passe par des choses extremement concretes (celles que j'ai donné notamment)

mais d'autres aiment apparemment plus le débat que le principe de réalité

la différence entre la France et les autres pays européens qualifiés de "modernes" c'est le % de fonctionnaires et le % de prelevement obligatoires

le reste, c'est du bavardage d'étudiants (étudiants que je respecte!)

Lien vers le commentaire
Invité jabial
Et on peut même dire qu'ils en sont pleinement responsables :icon_up:.

Ca me fait de la peine, parce que j'ai des potes qui l'ont fait.

Je leur avait pourtant dit… votez LP bordel!

Et ben non. Ils m'ont sorti exactement les mêmes arguments qu'on voit là.

Si les armes avaient été autorisées dans les vols américains le 11 septembre aurait été impossible.

Lien vers le commentaire
ce que je dis est vrai, il y a des libéraux tendance "éternel étudiant" qui font ca pour se revigorer l'esprit

a coté il y a des libéraux lucides, ce pays est un pays socialiste depuis 30 ans…

De deux choses l'une: soit tu te fous de ma gueule, soit tu es analphabète. AK72 a très exactement dit cela, très exactement, tout en étant plus complet, plus précis, mieux renseigné, et moins "je vais vous expliquer la vie, les enfants".

Tu réécris les mêmes arguments en prenant un ton docte. Ca ne les rend pas plus percutants pour autant.

le reste, c'est du bavardage d'étudiants (étudiants que je respecte!)

Super intéressant comme remarque.

Lien vers le commentaire

Je ne me vois pas lécher les bottes de Sarkozy, sous prétexte que celui-ci serait un peu moins social-démocrate que les autres ! Sarkozy veut fourrer son nez partout. C'est un malade, ce mec ! Je parie qu'une fois élu il serait pire que Chirac ! Et si, parce qu'on peut faire pire…

Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...