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tatouage et piercing


A.B.

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Moi les percing ne me dérangent pas, ni les tatouages, ça dépend surtout plutôt du style de la personne qui les portes. J'aime les petit anneaux sur l'arcade, mais je vois vraiment mal des personens classique ou même moi même avec ce genre d'artifice.

J'aime aussi beaucoup les percings à certains endroits stratégiques pour les pratiques sexuelles (langue, prince Albert,…) mais à nouveau ça dépend sur qui et surtout si la personne en question sait l'utiliser ou pas.

Pour les tatouages, à nouveau ça dépend ou et comment. Les monstres colorés et autres têttes de mort ou "maman je t'aime" sont immondes.

Cependant, aussi con et beta soit il, le tatouage dans le cou M Copora est très beau, mais je me demande ce que ça va devenir avec l'age.

Le tatouage de Frédéric Michalak (XV de france) qui commence sur la cuisse et remonte jusqu'a la hanche, est tout simplment divin !

freddy.jpg

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Je ne connaissais pas cette expression. Ca désigne bien ce que je pense que ca désigne ?

L'Albert en question est le prince consort, époux de la reine Victoria. Du temps de la jeunesse dudit Albert, la mode était aux pantalons hyper-moulants, type écrabouilleur de burnes.

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Je ne vois pas trop ce que tu veux dire, mais un appareil c'est ce qui permet de se parer, bijoux, vetements etc.

Cherches tu le premier a avoir employe cette expression?

C'est de Jean Racine, Britannicus, Acte II, scène III:

NÉRON __ Narcisse, c'en est fait, Néron est amoureux.

NARCISSE __ Vous !

NÉRON __ Depuis un moment ; mais pour toute ma vie,

J'aime, que dis-je aimer, j'idolâtre Junie.

NARCISSE __ Vous l'aimez !

NÉRON __ Excité d'un désir curieux,

Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux,

Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes,

Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes,

Belle, sans ornement, dans le simple appareil

D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.

Que veux-tu ? Je ne sais si cette négligence,

Les ombres, les flambeaux, les cris et le silence,

Et le farouche aspect de ses fiers ravisseurs,

Relevaient de ses yeux les timides douceurs,

Quoi qu'il en soit, ravi d'une si belle vue,

J'ai voulu lui parler, et ma voix s'est perdue :

Immobile, saisi d'un long étonnement,

Je l'ai laissé passer dans son appartement.

J'ai passé dans le mien. C'est là que, solitaire,

De son image en vain j'ai voulu me distraire.

Trop présente à mes yeux je croyais lui parler ;

J'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler.

Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce :

J'employais les soupirs, et même la menace.

Voilà comme, occupé de mon nouvel amour,

Mes yeux, sans se fermer, ont attendu le jour.

Mais je m'en fais peut-être une trop belle image :

Elle m'est apparue avec trop davantage :

Narcisse, qu'en dis-tu ?

Dans mon édition (un vieux larousse de 1900), il y a la note suivante:

"Appareil ne contient pas par lui-même l'idée de pompe ou de magnificence: il signifie apprêt, préparatif, disposition, d'où arrangement. Cependant la phrase de Racine a une sorte d'élégance un peu compassée, qui contraste avec l'idée, et c'est justement ce qui l'a fait passer en Proverbe."

Avec Corneille, vous n'étiez pas loin.

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Serait-ce cela, la marque de la bête ?

A noter que la Torah interdit le tatouage.

Je crois que c'est associé au fait de pouvoir acheter et vendre, on ne peut acheter et vedre sans le signe de la bête. Ce n'est pas le cas du tatouage.

Pour AB: Pff… N'importe quel apprenti littérateur apprend à distinguer le style de corneille de celui de Racine! Vous avez zéro!

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Pour AB: Pff… N'importe quel apprenti littérateur apprend à distinguer le style de corneille de celui de Racine! Vous avez zéro!

Maxima culpa. Le style pointait vers Racine, le sens vers Corneille.

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