Aller au contenu

Article archéologique d'une agence de presse israélienne


xiii

Messages recommandés

Par sa volonté de faire obstruction à la recherche archéologique et par son constant défi aux autorités israéliennes, la WAKF, l’institution musulmane qui gère les mosquées situées sur le Mont du Temple, a permis une découverte historique majeure.

Depuis des années, la WAKF s’oppose à toute recherche archéologique des niveaux de sols localisés sous l’aire des mosquées. C’est à ces profondeurs que l’on a le plus de chances de trouver les vestiges du Temple de Salomon (VIème au Xème siècle avant notre ère) ; or, chaque fois qu’Israël a entamé des fouilles poursuivant cet objectif, l’institution religieuse islamique s’est empressée d’appeler le monde musulman aux armes, arguant hystériquement que les Juifs s’étaient mis à détruire la Mosquée d’Al-Aksa.

A plusieurs reprises, et même cette année, on avait effectivement frôlé l’explosion d’une guerre de religions. Derrière cette déplorable attitude, se cache un intérêt fortement teinté de nationalisme et lié au différend israélo-arabe, portant sur la propriété historique de Jérusalem. En effet, jusqu’à cette semaine, n’ayant pu soulever les grosses dalles qui scellent le vestiges par le haut, empêchés de creuser des galeries longitudinales pour atteindre les niveaux intéressants par les côtés, les archéologues n’avaient jamais pu identifier la moindre relique qui liait scientifiquement le sanctuaire au premier temple juif.

L’action de la WAKF permettait à certains "exégèses" pervers et malintentionnés de prétendre qu’il n’avait jamais existé de temple juif à cet emplacement, que le soutenir procédait d’une propagande sioniste, et, qu’en définitive, les Juifs n’avaient aucun lien historique réel avec Jérusalem. L’un de ces "experts" autoproclamés n’était autre que feu Yasser Arafat, le père du nationalisme palestinien. Rares sont les personnalités ayant rencontré Abou Amar à ne pas avoir été forcées d’écouter cette ineptie.

La situation de manque de preuves matérielles liant le Mont Moriah (Mont du Temple en hébreu) au Temple juif aurait pu se perpétuer longtemps de la sorte, si la WAKF n’avait pas commis récemment une maladresse de taille. Car voici qu’un câble électrique, vieux d’au moins quarante ans, s’était abîmé et avait cessé de convoyer l’électricité nécessaire à éclairer les milliers de fidèles musulmans qui fréquentent les mosquées de l’esplanade.

Mais, au lieu d’aviser la municipalité de Jérusalem de son intention de remplacer le câble défectueux, au risque de se voir imposer d’effectuer les travaux avec parcimonie, et sous la supervision d’archéologues afin de ne pas porter atteinte aux vestiges bibliques situés sous les dalles, la WAKF entreprit de n’avertir personne. Elle fit, au contraire, venir un tracteur, qui creusa une profonde tranchée dans l’alignement du câble, sans se soucier du risque de destruction d’objets fondamentaux appartenant au patrimoine de l’humanité.

Reste que le remue-ménage occasionné par les travaux a attiré l’attention de Jon Seligman, l’archéologue de l’Autorité des Antiquités pour la région de Jérusalem, qui est intervenu avec son équipe. Fouillant parmi les gravas déplacés par les ouvriers, ils allaient faire des découvertes fondamentales : des morceaux de céramique datables, provenant d’articles de table, et des os d’animaux, donnant à penser qu’ils se trouvaient probablement sur le lieu du Temple où se pratiquaient les sacrifices rituels.

Les chercheurs ont également exhumé des bases de bols, contenant des restes d’animaux ; un fragment et la hanse d’une petite cruche, le fond d’une fiole servant à la conservation de liquides, autant d’objets qu’on a pu enfin situer précisément comme appartenant à l’époque du Temple de Salomon. La WAKF, fidèle à sa mauvaise foi, s’est empressée de nier le fait des découvertes des archéologues, et, pour faire bonne mesure, elle a, dans la foulée, démenti jusqu’à la présence de Seligman et de ses camarades sur les lieux.

La renommée scientifique de Jon Seligman et du département qu’il dirige aura tôt fait de confondre le déni assez méprisable de l’autorité musulmane concernée.

Pour le reste des niveaux à investiguer et les trésors qu’ils recèlent, il faudra encore patienter. Ce, tout en connaissant de ce que l’entrave à la science, imposée par la WAKF, préserve, sans le vouloir, un immense sarcophage protecteur autour des objets du temple, qui n’a pas été visité, ni donc altéré, depuis le huitième siècle après J-C.

Il demeure que la satisfaction exprimée par Seligman est nettement tempérée par la colère des archéologues membres du Comité Public Contre la Destruction des Antiquités du Mont du Temple. Ce groupe de personnes, qui voudrait entamer de vastes fouilles des zones contenant les reliques du Temple, a condamné les travaux d’entretien pratiqués par la WAKF, accusant que ces creusements sur un site d’une telle importance étaient irresponsables et dévastateurs.

Pour Eilat Mazar, un membre éminent de ce comité, troisième génération d’archéologues à Jérusalem, les découvertes présentées par les autorités sont destinées à maintenir le statu quo politique avec la WAKF, "il ne s’agit que d’un écran de fumée qui permet la destruction de vestiges", a-t-elle déclaré.

Cette histoire de recherches archéologiques concernant les secrets fondateurs du judaïsme, enceint par les luttes politiques et territoriales, ne manque pas de rappeler, par certains aspects, le film de Steven Spielberg Les aventuriers de l’Arche perdue. Peut-être même que la fameuse arche se trouve encore à quelques coudées en dessous des roues du tracteur arabe. C’est, en tous cas, l’endroit où elle a demeuré, dans un bâtiment qui lui était consacré, durant de nombreux siècles.

Sources : Metula press

Lien vers le commentaire
Par sa volonté de faire obstruction à la recherche archéologique et par son constant défi aux autorités israéliennes, la WAKF, l’institution musulmane qui gère les mosquées situées sur le Mont du Temple, a permis une découverte historique majeure.

Depuis des années, la WAKF s’oppose à toute recherche archéologique des niveaux de sols localisés sous l’aire des mosquées. C’est à ces profondeurs que l’on a le plus de chances de trouver les vestiges du Temple de Salomon (VIème au Xème siècle avant notre ère) ; or, chaque fois qu’Israël a entamé des fouilles poursuivant cet objectif, l’institution religieuse islamique s’est empressée d’appeler le monde musulman aux armes, arguant hystériquement que les Juifs s’étaient mis à détruire la Mosquée d’Al-Aksa.

A plusieurs reprises, et même cette année, on avait effectivement frôlé l’explosion d’une guerre de religions. Derrière cette déplorable attitude, se cache un intérêt fortement teinté de nationalisme et lié au différend israélo-arabe, portant sur la propriété historique de Jérusalem. En effet, jusqu’à cette semaine, n’ayant pu soulever les grosses dalles qui scellent le vestiges par le haut, empêchés de creuser des galeries longitudinales pour atteindre les niveaux intéressants par les côtés, les archéologues n’avaient jamais pu identifier la moindre relique qui liait scientifiquement le sanctuaire au premier temple juif.

L’action de la WAKF permettait à certains "exégèses" pervers et malintentionnés de prétendre qu’il n’avait jamais existé de temple juif à cet emplacement, que le soutenir procédait d’une propagande sioniste, et, qu’en définitive, les Juifs n’avaient aucun lien historique réel avec Jérusalem. L’un de ces "experts" autoproclamés n’était autre que feu Yasser Arafat, le père du nationalisme palestinien. Rares sont les personnalités ayant rencontré Abou Amar à ne pas avoir été forcées d’écouter cette ineptie.

La situation de manque de preuves matérielles liant le Mont Moriah (Mont du Temple en hébreu) au Temple juif aurait pu se perpétuer longtemps de la sorte, si la WAKF n’avait pas commis récemment une maladresse de taille. Car voici qu’un câble électrique, vieux d’au moins quarante ans, s’était abîmé et avait cessé de convoyer l’électricité nécessaire à éclairer les milliers de fidèles musulmans qui fréquentent les mosquées de l’esplanade.

Mais, au lieu d’aviser la municipalité de Jérusalem de son intention de remplacer le câble défectueux, au risque de se voir imposer d’effectuer les travaux avec parcimonie, et sous la supervision d’archéologues afin de ne pas porter atteinte aux vestiges bibliques situés sous les dalles, la WAKF entreprit de n’avertir personne. Elle fit, au contraire, venir un tracteur, qui creusa une profonde tranchée dans l’alignement du câble, sans se soucier du risque de destruction d’objets fondamentaux appartenant au patrimoine de l’humanité.

Reste que le remue-ménage occasionné par les travaux a attiré l’attention de Jon Seligman, l’archéologue de l’Autorité des Antiquités pour la région de Jérusalem, qui est intervenu avec son équipe. Fouillant parmi les gravas déplacés par les ouvriers, ils allaient faire des découvertes fondamentales : des morceaux de céramique datables, provenant d’articles de table, et des os d’animaux, donnant à penser qu’ils se trouvaient probablement sur le lieu du Temple où se pratiquaient les sacrifices rituels.

Les chercheurs ont également exhumé des bases de bols, contenant des restes d’animaux ; un fragment et la hanse d’une petite cruche, le fond d’une fiole servant à la conservation de liquides, autant d’objets qu’on a pu enfin situer précisément comme appartenant à l’époque du Temple de Salomon. La WAKF, fidèle à sa mauvaise foi, s’est empressée de nier le fait des découvertes des archéologues, et, pour faire bonne mesure, elle a, dans la foulée, démenti jusqu’à la présence de Seligman et de ses camarades sur les lieux.

La renommée scientifique de Jon Seligman et du département qu’il dirige aura tôt fait de confondre le déni assez méprisable de l’autorité musulmane concernée.

Pour le reste des niveaux à investiguer et les trésors qu’ils recèlent, il faudra encore patienter. Ce, tout en connaissant de ce que l’entrave à la science, imposée par la WAKF, préserve, sans le vouloir, un immense sarcophage protecteur autour des objets du temple, qui n’a pas été visité, ni donc altéré, depuis le huitième siècle après J-C.

Il demeure que la satisfaction exprimée par Seligman est nettement tempérée par la colère des archéologues membres du Comité Public Contre la Destruction des Antiquités du Mont du Temple. Ce groupe de personnes, qui voudrait entamer de vastes fouilles des zones contenant les reliques du Temple, a condamné les travaux d’entretien pratiqués par la WAKF, accusant que ces creusements sur un site d’une telle importance étaient irresponsables et dévastateurs.

Pour Eilat Mazar, un membre éminent de ce comité, troisième génération d’archéologues à Jérusalem, les découvertes présentées par les autorités sont destinées à maintenir le statu quo politique avec la WAKF, "il ne s’agit que d’un écran de fumée qui permet la destruction de vestiges", a-t-elle déclaré.

Cette histoire de recherches archéologiques concernant les secrets fondateurs du judaïsme, enceint par les luttes politiques et territoriales, ne manque pas de rappeler, par certains aspects, le film de Steven Spielberg Les aventuriers de l’Arche perdue. Peut-être même que la fameuse arche se trouve encore à quelques coudées en dessous des roues du tracteur arabe. C’est, en tous cas, l’endroit où elle a demeuré, dans un bâtiment qui lui était consacré, durant de nombreux siècles.

Les Palestiniens ont toutes les raisons de se méfier des archéologues israéliens, dont le seul but est de mener une propagande pro-israélienne particulièrement grossière, et qui ont déjà détruit de sites archéologiques importants qui leur déplaisaient parce que non-juifs.

Lien vers le commentaire
Les Palestiniens ont toutes les raisons de se méfier des archéologues israéliens, dont le seul but est de mener une propagande pro-israélienne particulièrement grossière, et qui ont déjà détruit de sites archéologiques importants qui leur déplaisaient parce que non-juifs.

Ah bon ? Ca m'intéresse : lesquels ?

Lien vers le commentaire

J'ignorais que le conflit israelo-palestinien s'etendait jusque dans l'archeologie. :icon_up:

Pourquoi l'immense majorite des gens qui s'interessent a ce conflit se sentent ils obliges de choisir un camp (au hasard ?), pour ensuite le defendre bec et ongle sur tout les sujets ?

Apparement une fois son camp choisi tout devient clair, les gentils et les mechants sont facilement identifiables, le sens critique devient inutile et tout evenement est interprete pour etre en accord avec ses prejuges.

J'en suis venu a considere systematiquement tout ecrit venant d'un camp ou de l'autre comme necessairement biaise et de mauvaise foi (dans le meilleurs des cas).

Lien vers le commentaire
J'ignorais que le conflit israelo-palestinien s'etendait jusque dans l'archeologie. :icon_up:

Pourquoi l'immense majorite des gens qui s'interessent a ce conflit se sentent ils obliges de choisir un camp (au hasard ?), pour ensuite le defendre bec et ongle sur tout les sujets ?

Apparement une fois son camp choisi tout devient clair, les gentils et les mechants sont facilement identifiables, le sens critique devient inutile et tout evenement est interprete pour etre en accord avec ses prejuges.

J'en suis venu a considere systematiquement tout ecrit venant d'un camp ou de l'autre comme necessairement biaise et de mauvaise foi (dans le meilleurs des cas).

C'est ça, la politique. Je remarque la même chose chez les gens qui sont pour un parti, ou simplement certains qui se disent de gauche/droite. En fait, je crois que ce tort peut même parfois dépasser la politique, où les gens défendent des choses qu'ils n'ont même pas choisi.

Enfin bref, à propos de ce sujet : melodius, si le communiqué dit vrai, c'est exactement le contraire qui s'est passé, et ce n'était pas parce que les palestiniens se méfiaient des archéologues israéliens.

Lien vers le commentaire
Invité jabial

Mélodius a un parti pris pro-palestinien, je n'en fais plus un drame, j'ai appris à vivre avec :icon_up:

De toute façon, les faits parlent d'eux-mêmes. A quoi bon en rajouter?

Lien vers le commentaire
Mélodius a un parti pris pro-palestinien, je n'en fais plus un drame, j'ai appris à vivre avec :icon_up:

De toute façon, les faits parlent d'eux-mêmes. A quoi bon en rajouter?

Et xiii apparement un parti pris pro-israelien, au vu du ton et du style de l'article.

Quoi qu'il en soit de vieilles poteries ne devrait pas susciter tant de passion, tout ca n'est pas raisonnable.

Lien vers le commentaire
Et xiii apparement un parti pris pro-israelien, au vu du ton et du style de l'article.

Quoi qu'il en soit de vieilles poteries ne devrait pas susciter tant de passion, tout ca n'est pas raisonnable.

Je précise que ce n'est pas mon article. Ce qui s'observe facilement par l'absence de fautes d'orthographe. Et que je l'ai choisi en fonction d'une problématique plus large que le conflit actuel. Mon questionnement est le suivant : quand il y a droit de propriété sur un terrain et ce qu'il comporte, n'y a t'il pas danger pour la conservation de biens à forte valeur historique présents sur ce terrain ? Risques de destruction, dommages, etc …, par un propriétaire inculte ou malveillant.

Lien vers le commentaire
Oui, peut-être. Et ?

Et alors pour des objets très anciens ne peut on faire une sorte de prescription extinctive au droit de propriété pour qu'ils appartiennent à un fond mondial qui récolterait ces biens, (un truc onusien par exemple)

Lien vers le commentaire
J'ai des doutes sur ton libéralisme.

Bien si tu me déchois de mon libéralisme, je me définirai plutôt comme une personne en quête de vérité alors lol :icon_up:

Je savais que j'allais me faire incendier mais ces objets n'ont plus leurs propriétaires originaire et comment retrouver leur descendants ? En même temps ils ont une valeur historique qui par malveillance peut être annihilé. Alors voilà je pose la question et je suis prêt a entendre vos arguments et m'en inspirer.

Lien vers le commentaire
J'ignorais que le conflit israelo-palestinien s'etendait jusque dans l'archeologie. :icon_up:

Pourquoi l'immense majorite des gens qui s'interessent a ce conflit se sentent ils obliges de choisir un camp (au hasard ?), pour ensuite le defendre bec et ongle sur tout les sujets ?

Apparement une fois son camp choisi tout devient clair, les gentils et les mechants sont facilement identifiables, le sens critique devient inutile et tout evenement est interprete pour etre en accord avec ses prejuges.

J'en suis venu a considere systematiquement tout ecrit venant d'un camp ou de l'autre comme necessairement biaise et de mauvaise foi (dans le meilleurs des cas).

L'archéologie est un point tout à fait symbolique : il s'agit de la recherche du temple de salomon quand même.

Lien vers le commentaire
C'est vrai que l'histoire du judaïsme, du christianisme (et aussi un peu de l'Islam, mais nettement moins quand même), on s'en fout.

La tu exagere, il y a certaine personnes que ca interesse. Enfin dans ce cas precis je suis pas sur qu'on soit dans le domaine de l'histoire, mais plutot dans celui du conflit et de la recuperation.

A mon avis on devrait attendre que la situation soit plus sereine pour etudier l'histoire de ces religions au moyen orient, la j'ai pas l'impression que le contexte se prete a une etude depassionee.

Lien vers le commentaire
Enfin bref, à propos de ce sujet : melodius, si le communiqué dit vrai, c'est exactement le contraire qui s'est passé, et ce n'était pas parce que les palestiniens se méfiaient des archéologues israéliens.

Mon propos est que les Palestiniens ont bien raison de ne pas vouloir que des archéologues israéliens viennent faire de fouilles sur le Mont du Temple (chose que l'article cité traduit en "obstruction" et "défi aux autorités israéliennes") et basta. Ca ne signifie pas que j'approuve leur manière de tendre des cables électriques.

Mon "parti pris pro-palestinien" est surtout un parti pris anti-propagande sioniste. Pourquoi "sioniste", parce que c'est celle qu'on lit ici 99/100. Je suis aussi anti-propagande palestinienne, mais ici on n'en voit jamais ou presque, ce n'est donc pas pertinent. :icon_up:

Lien vers le commentaire
Invité jabial
Et alors pour des objets très anciens ne peut on faire une sorte de prescription extinctive au droit de propriété pour qu'ils appartiennent à un fond mondial qui récolterait ces biens, (un truc onusien par exemple)

Quelle horreur, je préfèrerais encore que les palestiniens gèrent les fouilles (bon, en les surveillant de très près quand même :icon_up:).

De toute façon, ça n'appartient à personne. Comment veux-tu retrouver les héritiers de ces objets sacrés? En toute logique ça appartient au découvreur, qui aura intérêt à le revendre au plus offrant. La valeur pécuniaire de ce type d'objets garantit a priori leur conservation.

Lien vers le commentaire
Mon "parti pris pro-palestinien" est surtout un parti pris anti-propagande sioniste. Pourquoi "sioniste", parce que c'est celle qu'on lit ici 99/100.

J'en avais parlé une fois avec jabial : une étude sur deux populations (de jeunes français) l'une d'origine magrhébine et se disant pro-palestinienne, et l'autre de confession juive et se disant pro-israëlienne (le pro-truc s'entendant ici comme ayant une vague sympathie mais aussi un soutien affiché, plus ou moins bien documenté).

A la question, pensez-vous que les media français ont un biais dans un sens ou dans l'autre?

Les arabes répondaient : "oui, dans un sens pro-israëlien"

Les juifs répondaient : "oui, dans un sens pro-palestinien".

C'est un effet extrêmement connu en psychologie (et tout à fait compréhensible par ailleurs.)

Lien vers le commentaire
Et alors pour des objets très anciens ne peut on faire une sorte de prescription extinctive au droit de propriété pour qu'ils appartiennent à un fond mondial qui récolterait ces biens, (un truc onusien par exemple)

Si les vestiges archéologique ont une valeur pour quelqu'un (un truc onusien par exemple :icon_up: , mais aussi n'importe quel musée, laboratoire et équipe de recherche, université ou collectionneur), alors il mettra le prix nécessaire pour faire les fouilles et acheter les biens, dissuadant alors de toute destructions (de la majorité en tout cas…).

Si personne n'est prêt à payer le prix, c'est qu'ils n'ont aucune importance…

Lien vers le commentaire
Invité jabial

Attention tout de même aux frictions, au temps de propagation de l'information, et à la forte préférence pour le présent (détruire maintenant vs gagner de l'argent plus tard).

Lien vers le commentaire
Si les vestiges archéologique ont une valeur pour quelqu'un (un truc onusien par exemple :icon_up: , mais aussi n'importe quel musée, laboratoire et équipe de recherche, université ou collectionneur), alors il mettra le prix nécessaire pour faire les fouilles et acheter les biens, dissuadant alors de toute destructions (de la majorité en tout cas…).

Si personne n'est prêt à payer le prix, c'est qu'ils n'ont aucune importance…

Là en l'occurence, les Israéliens pourront toujours proposer des milliards ils pourront difficilement obtenir le sous-sol d'Al Aqsa.

Lien vers le commentaire
Invité jabial
Là en l'occurence, les Israéliens pourront toujours proposer des milliards ils pourront difficilement obtenir le sous-sol d'Al Aqsa.

Parce qu'il n'y a personne à qui proposer les milliards. Qu'il y ait un leadership palestinien stable et on en rediscute :icon_up:

Lien vers le commentaire
Parce qu'il n'y a personne à qui proposer les milliards. Qu'il y ait un leadership palestinien stable et on en rediscute :icon_up:

Et particulièrement parce que l'on est dans une situation opposants deux états ou structures collectivistes et que justement, il n'y pas réellement de "propriétaire" !

Lien vers le commentaire
Parce qu'il n'y a personne à qui proposer les milliards. Qu'il y ait un leadership palestinien stable et on en rediscute :icon_up:

Franchement, si ça peut les soulager, je peux leur fournir un RIB. Je n'assure aucun suivi après vente, cependant.

Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...