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Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

Messages recommandés

De formation supérieure type « IEP -  affaires publiques » ou équivalent, vous avez une bonne connaissance de la gestion des finances publiques.

 

Ha parce que les finances publiques sont gérées ? Je ne savais pas. 

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Le copier/coller journalistique marche à plein tube depuis ce matin. Sur le Figaro:

L'armée suisse a imaginé une attaque de la France contre la Confédération dans l'exercice 2013 des brigades blindées de Suisse romande, qui s'est déroulé du 26 au 28 août, révèle le journal Le Matin Dimanche.

Concrètement, l'armée a imaginé que la France, en complète déroute financière, s'est désintégrée en plusieurs entités régionales, sous l'effet de la crise, et l'une d'elle, baptisée "la Saônia" a décidé d'attaquer la Suisse, forcée ainsi de se défendre, selon le scenario retenu.

L'exercice, appelée Duplex-Barbara, est fondé sur une invasion de la "Saônia", soit le territoire du Jura français, à partir de trois points de passage, proches de Neuchâtel, Lausanne et Genève, selon une carte reproduite par le journal, qui a pu consulter les détails de l'opération.

Une organisation paramilitaire proche du gouvernement de la Saônia, et appelée BLD (Brigade Libre de Dijon) veut "venir chercher l'argent que la Suisse a volé à Saônia", selon l'exercice militaire et organise des attentats en Suisse.

En 2012, l'exercice militaire suisse, appelé "Stabilo Due", prévoyait la chute de l'euro, entraînant un chaos social en Europe et un afflux de réfugiés en Suisse. Selon Daniel Berger, commandant de la brigade blindée suisse, "l'exercice n'a strictement rien à voir avec la France que nous apprécions, il a été préparé en 2012, alors que les relations fiscales franco-suisses étaient moins tendues".

Ce serait un bon point pour une chronique rigolote ou de N. Doze.
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À propos de la Suisse, voici une intervention de B. WICHT chez Méridien Zéro.

http://www.meridien-zero.com/apps/m/archive/2013/09/26/emission-n-158-europe-mad-max-5181310.html

Je trouve que cette émission aurait pu être mieux menée tant PGL coupe son invité. Il y a deux trois points intéressants dont celle sur "la marge d'erreur du système".

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Mes arrières grands parents servaient le Tsar, je suis français. Les cons!!

Mes arrière-grands-parents (enfin, six sur huit) ont fui les Tsars, et j'en suis fort heureux. Quels cons, ces Tsars.
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Réaction parfaitement saine de quiconque regardant cet extrait :

 

"Qu'est-ce qu'on en a à foutre de la position de l'Eglise ?"

 

Aah... le journalisme...

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C'est quoi la position type d'un libéral catholique (ou même d'un libéral conservateur peut etre) sur le travail le dimanche ?

 

" libéralisons et de toute manière le dimanche chomé étant une tradition avant d'etre une loi, dans les faits , les familles continueront a ne pas vouloir travailler et a préferer ramasser les champignons plutot que d'aller faire les magasins, donc pas de souci, l'activité sera minimale, seuls quelques étudiants pourront en profiter pour faire du bien à leur portefeuille ?"

 

"libéralisons, les gens font ce qu'ils veulent. Moi je suis catho, je travaille pas, c'est tout."

 

"arf j'avoue ca m'emmerde ce travail du dimanche, je suis libéral sauf pour ça."

 

autre chose ?

 

 

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Version 2 pour ma part ; laissez faire les gens comme ils veulent, je verrai comment faire pour mon dimanche.

Associée à une sérieuse envie de claquer quiconque voulant dicter à son prochain de quelle manière il doit prendre soin de son propre salut et de sa famille.

Si mon voisin vaut bosser le dimanche et passer le mercredi à la place avec ses gamins, ou en profiter pour économiser et les envoyer faire de bonnes études, grand bien lui en fasse. S'il est catho, et que ce choix l'oblige à aller à la messe anticipée, ou à 7h du matin, ou à 22h, je ne vois pas en quoi ça me concerne. Et si de toute façon  il n'est pas catho, je ne vois pas de quel droit je demanderais à l'Etat de lui imposer quoi que ce soit. Si la situation était inversée et que l'Etat voulait m'interdire de travailler le vendredi ou le samedi, ou le jour du nouvel an chinois, ou que sais-je, j'aurais tout les droits de me sentir flouée. Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse, n'est-ce pas?

 

J'ajouterai que je ne suis pas juive, et que rien ne m'interdit de bosser le jour du Seigneur. Etre catho ne me demande pas plus le dimanche que de sanctifier le Seigneur (sans m'en dispenser les autres jours), et d'aller à la messe dominicale. Si le contenu de mon travail ce jour-là était contraire à ma foi, il le serait un autre jour. Donc si travailler ce jour-là ne m'empêche pas d'aller à la messe, je ne vois pas où est le problème.

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Mouais, il me donne l'impression de vivre dans une bubulle. Parmi les rares chrétiens encore croyants, plus rare encore sont ceux qui prennent les obligations religieuses au sérieux. Pourquoi ceux qui peuvent forniquer, avorter et divorcer en toute liberté n'auraient pas aussi le droit de travailler le dimanche ? 

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J'ajouterai que je ne suis pas juive, et que rien ne m'interdit de bosser le jour du Seigneur. Etre catho ne me demande pas plus le dimanche que de sanctifier le Seigneur (sans m'en dispenser les autres jours), et d'aller à la messe dominicale. 

 

La petite maison dans la prairie m'aurait menti ?

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Je pense que ce brave homme (je parle de l'évêque) essaye d'appliquer un principe du catéchisme selon laquelle les autorités temporelles doivent "faciliter" la vie selon le Christ de leurs administrés -  d'où l'idée d'aider les gens à pouvoir utiliser leur dimanche pour aller à la messe. Il a juste oublié qu'on était dans un Etat omniprésent et nous privant de plus en plus de libertés, et que la meilleure façon que cet Etat aurait de "faciliter" l'avènement du Royaume de Dieu serait d'être divisé par cent et de ne plus s'occuper de ce qui ne le regarde pas. Il a aussi oublié qu'on était dans un monde très différent, où la pratique religieuse est à la fois facilitée grandement (transports, souplesse d'emploi du temps) et très marginale. 

Etat moderne, et société moderne. Deux paramètres importants oubliés dans son équation.

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