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Fillias (Sabine) contre Aurélien Veron


christophe

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On a besoin dun parti pour avoir des représentants libéraux et de véritables libéraux. Je suis vraiment attristé de ces queurelles de personnes même si je les comprends et je soutiens totalement Aurélien et voterai pour la nouvelle liste qu'il nous proposera. Simplement, j'aurai aimé que certaines positions d'alternative libérale ne soient pas prises. Cependant, il est vrai que je me pose la question de savoir où toutes ces queurelles vont nous mener. Je ne regrette pas, bien entendu d'avoir quitté l'UMP, mais je sais pas, ça me fait vraiment beaucoup de peine tout ça.

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AL, le PSU libéral?

Simplement un parti politique… Les seuls où l'on ne voit pas ce genre de chose sont ceux qui sont suffisamment verrouillés pour empêcher toute opposition de s'exprimer. Evidemment le ridicule est tout de suite plus apparent lorsque le but est de prendre le contrôle d'un parti minuscule…

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Je crois que le seul objectif réaliste pour un parti politique libéral serait d'institutionnaliser une forme de contestation, et, de la sorte, participer aux campagnes électorales dans le seul but de faire du prosélytisme. Ce qui veut donc dire adopter la stratégie de l'extrême-gauche - jusqu'à présent, les choses ont l'air de changer : partir du principe qu'être élu n'est pas une fin en soi. Ni même un moyen. Mais un faux objectif.

On distingue très bien dans la stratégie de beaucoup au sein d'AL le carriérisme, et je ne le critique pas en soi car après tout chacun cherche à s'accomplir dans sa vie active (je n'ose dire professionnelle, bien qu'il y ait des professionnels de la politique). Le carriérisme, et rien d'autre.

Finalement, je crois que faire de la politique c'est un peu comme écrire un roman ou peindre des tableaux ; il vaut mieux ne pas en avoir besoin pour vivre, ni être mu par la convoitise.

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Ce qu'il faut c'est ne pas avoir peur d'être réellement libéral. Se travestir comme le fait AL au niveau national est contre-productif, puisque nous ne nous démarquons absolument pas des autres partis.

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j'ai constaté là même chose.

Bien connaitre ses idées cependant, les erreurs de culture libérale comme celle faites recement sur un fil supprimé qui concernait la sanction d'un prof ne pardonnent pas et font un mal incroyable.

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Je le reposte ici, on ne sait jamais, ça servira pour la postérité :icon_up:

Un quarteron de rebelles en goguette

L’accès des membres du Bureau ayant été coupé jusqu’à la date du scrutin, ce blog constituera mon espace d’expression jusqu’au 5 mars, jour de l’élection du nouveau Bureau.

« Comment ça va ? ». Ainsi ont commencé tous les appels téléphoniques du jour, que ce soit de responsables de comités locaux ou de responsables nationaux. « Bien, évidemment ! », mais je sens l’inquiétude au bout du fil. Tous les partis, les petits comme les grands, traversent des moments pénibles, souvent bien plus graves que le nôtre. Ils s’en remettent. Nous nous en remettrons aussi. Certes, nous espérons tous une sortie rapide de notre mini crise. Soit par un accord qui mettrait fin aux tensions actuelles, soit par un programme et une équipe qui suscitent l’adhésion générale et permettent un retour rapide à l’action.

En trois mois, depuis que j’ai pris la Présidence du Bureau avec un déficit proche de 60.000 euros à remonter et des comités en débâcle depuis le choix de Bayrou à la présidentielle, je constate que le moral est revenu au beau fixe, que les comités et le recrutement sont bien repartis. L’abcès que j’ai choisi de vider, contraint par un désaccord avec les 4 démissionnaires qui devenait dangereux, ne doit pas nous faire oublier ces succès : huit membres aux cantonales, la présence aux municipales dans une vingtaine de villes en France et des contacts prometteurs avec des personnalités libérales d’autres formations qui reconnaissent la qualité de notre travail et de notre réseau.

Que demandent nos membres ? De la cohérence dans notre ligne pour ne plus entendre rigoler ceux qui pensent que nous soutenons Delanoë, de la cohésion dans le Bureau pour ne plus voir pareilles dissenssions réapparaître à l'avenir, un réel débat démocratique au Conseil National. Si la plupart admettent qu’Edouard Fillias doit se retirer, ils ne souhaitent pas pour autant un conflit stérile entre Sabine Herold et moi. Bien qu'elle soit en train de composer une équipe, ce clash n'est pas une fatalité. Après tout, piques occasionnelles à part, nous avons toujours été sur la même ligne. Sabine ne s’est jamais laissée aller à des propos troubles, elle a toujours été un porte-parole remarquable. Et sa position actuelle la place au cœur des décisions stratégiques de notre parti. En tant que Première Conseillère, sa mission consiste en effet à animer les débats et les votes du Conseil National qui valideront la ligne et d’éventuelles alliances si elles se présentent un jour.

Afin de sortir de cette période douloureuse, je compte proposer rapidement une nouvelle équipe solide qui a envie de travailler ensemble. Le malaise actuel sera d’autant plus vite oublié que le nouveau Bureau aura repris son travail avec une belle motivation et une réelle cohésion. La liste est en cours de composition, elle sera exposée très rapidement aux membres pour les rassurer sur sa qualité et sur sa fiabilité. J’en profite pour tendre officiellement la main à Jean-Paul Oury, qui a fait un travail remarquable pendant deux ans, et à Sabine Herold si elle souhaite vraiment quitter le Conseil National pour le Bureau. Je les invite à venir à mes côtés pour assurer ensemble le développement de notre parti. Quelle que soit l’issue du conflit actuel, nous serons amenés à nous entendre et à travailler ensemble pour l’avenir d’Alternative Libérale. Trouvons une solution dés aujourd’hui pour rassurer les plus inquiets de nos membres.

L’identité que nous souhaitons construire est celle que nous avons inscrite dans notre manifeste fondateur : construire un parti libéral indépendant mais ouvert aux coalitions, défendre un libéralisme grand angle sans rétrécir notre discours sur une ligne trop économique, gagner en crédibilité en s’éloignant d’une ligne sectaire, trop radicale et systématique dans son opposition. Nous savons que nous n’avons plus droit à l’erreur. Nous ne pouvons plus nous permettre d’avoir un Bureau composé de personnalités incompatibles, sans vision commune et sans expérience pour affronter sereinement les crises qui nous attendent. C’est dans cette voie que j’ai décidé de m’engager.

Je remercie l'immense majorité des Conseillers Nationaux qui m'ont manifesté leur soutien, comme l'ont fait de nombreux responsables de comités locaux.

Je trouve ses propos très dignes.

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….

On distingue très bien dans la stratégie de beaucoup au sein d'AL le carriérisme, et je ne le critique pas en soi car après tout chacun cherche à s'accomplir dans sa vie active (je n'ose dire professionnelle, bien qu'il y ait des professionnels de la politique). Le carriérisme, et rien d'autre.

Ne me dis pas que tu crois ce que tu dis ?

tu crois vraiment qu'un militant qui a investi son pognon et son temps au printemps 2007 dans une campagne électorale -la plupart du temps en solo- et dans l'unique espoir d'être un tout petit peu entendu, soit un carriériste ?

Edouard ou Aurélien, s'ils étaient carriéristes seraient peut-être déjà député UMP.

Si vous voulez faire carrière, je vous déconseille fortement AL !

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Ne me dis pas que tu crois ce que tu dis ?

tu crois vraiment qu'un militant qui a investi son pognon et son temps au printemps 2007 dans une campagne électorale -la plupart du temps en solo- et dans l'unique espoir d'être un tout petit peu entendu, soit un carriériste ?

Edouard ou Aurélien, s'ils étaient carriéristes seraient peut-être déjà député UMP.

Si vous voulez faire carrière, je vous déconseille fortement AL !

Si si Jérôme, j'ai tout de suite vu que tu veux devenir Baron du Jura.

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Edouard ou Aurélien, s'ils étaient carriéristes seraient peut-être déjà député UMP.

Si vous voulez faire carrière, je vous déconseille fortement AL !

Eddie est tout simplement un carriériste qui foire ses plans (ex : il est où son siège de député AL/Modem, hein ?). C'est une catégorie bien plus fréquente que tu sembles le croire.

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http://aurel.hautetfort.com/

Aurélien dévoile quelques arguments dans la campagne qu'il va devoir mener contre Sabine. On sent déjà bien que les critiques ne sont pas vraiment adressées à Sabine directement mais à Edouard qui est caché derrière. J'approuve le discours d'Aurélien surtout lorsqu'il parle de la volonté de certains de faire des coups de comm foireux plutôt qu'un travail de fond. Edouard fonctionnait déjà ainsi lorsqu'il était Président de LC.

Allez Aurel! Tu as notre soutien!

Par ailleurs, ceux qui vont sur sabine-herold.fr verront qu'il n'y a aucun commentaire négatif. C'est assez normal, tout commentaire négatif est supprimé. J'en ai fait les frais. L'attitude est différente de celle d'Aurel qui laisse ses opposants parler sur son blog (exemple: JPO ou Poryngier).

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Par ailleurs, ceux qui vont sur sabine-herold.fr verront qu'il n'y a aucun commentaire négatif. C'est assez normal, tout commentaire négatif est supprimé. J'en ai fait les frais. L'attitude est différente de celle d'Aurel qui laisse ses opposants parler sur son blog (exemple: JPO ou Poryngier).

Quand un topic génait ED sur le forum il le déplaçait dans la parti "responsables" au moins.

En Décembre on m'avais supprimé l'accès à la base AL et au mailing alors que j'étais co-responsable du 92, il a fallu que j'en avertisse Aurel pour que ce soit rétabli.

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Je republie le post d'Aurel, là encore pour en garder une trace :

No country for old men

Nos nombreux candidats en campagne sont bien embarrassés par nos histoires de Bureau. Ils n'ont pas franchement envie de se plonger dans ces querelles qui, si exaspérantes qu'elles soient pour ceux qui ne nous connaissent pas, posent des questions importantes pour notre développement futur. Pendant que ça dézingue, les observateurs peuvent bien rire. Nous leur offrons déjà ce plaisir, mais ils savent que les libéraux sont plein de ressources. Qu'ils en profitent, nous repartirons bien plus forts une fois le Bureau remis d'aplomb.

Ma certitude, c'est qu'attendre aurait été pire pour Alternative Libérale. Aujourd'hui, nous lessivons à la brosse dure et au grand jour. Nous n'avons pas encore le privilège de faire apparaître nos duels mouchetés dans le Canard Enchainé, et nous sommes de la génération des blogs. Le choix est vite fait, et tout le monde peut en profiter, c'est la règle dans notre société de l'information.

Au sein d'Alternative Libérale, nous sommes enfin nombreux à nous accorder sur le fait que l'ancien Bureau ne pouvait continuer à pomper l'énergie de ses membres pour ne faire que reculer sous la mauvaise volonté d'un quarteron de grincheux. La vie vaut mieux que ça, Alternative Libérale aussi. Il est naturel que le Président sortant, moi en l'occurrence, propose aux membres du parti un nouveau Bureau débarrassé, cette fois-ci, de ses erreurs passées, de son côté "club de jeunes copains" qui se refont le monde sans compromis. Nous avons suffisamment de talents qui attendent de pouvoir s'impliquer pour être plus exigeants dans notre développement.

Lorsque j'ai appris que Sabine préparait une liste concurrente, deux sentiments me sont venus à l'esprit : d'abord, vive la concurrence ! Surtout de la part d'un bel esprit comme le sien. Puis plus sérieusement, que vient-elle faire ici ?

* Sabine Herold est première porte-parole du parti. Devenir Présidente du Bureau changera-t-il quelque chose à cette fonction ? Clairement non

* Sabine Herold veut contrôler la ligne d'Alternative Libérale pour éviter la tentation "fascisante" que je représenterais, pour empêcher des alliances contre nature. Or, c'est précisément la mission du Conseil National dont elle est déjà Première Conseillère. Sabine, si tu as bien lu les statuts, tu ne peux pas cumuler toutes les fonctions (sauf à changer les statuts dans la foulée pour cumuler les fonctions…et les pouvoirs).

* Comme l'a rappelé assez opportunément Jean-Paul Oury, "une carrière politique ne se décrète pas". Sabine Herold serait plus vendable avec une carrière réussie, qui passerait par cette fonction. Mais alors, si je comprends bien, ce poste ne servirait qu'un vulgaire intérêt personnel : permettre à notre super Sabine de faire carrière ! Tous les candidats, les responsables de comités locaux ne seraient là que pour servir ce but ultime et non avoué jusqu'à ce que Jean-Paul l'avoue enfin publiquement.

Si le star système veut ça, pourquoi pas ? Tous les coups sont bons, les coups de com' qui servent sa notoriété, tant pis si l'image du parti est confuse, si les membres ne s'y retrouvent pas. Mais si nous consacrons toute notre énergie à la forme, qui croira au fond que nous défendons ? Si nous privilégions les coups sur le travail de fond dans la durée, qui prendra nos propositions au sérieux ? Je pense toutefois que cette candidature téléguidée dissimule un autre enjeu, plus personnel.

Ce n'est pas ma vision des choses. Je défends un projet collectif pour qu'il se développe et gagne en notoriété non pas au travers d'une communication gadget et de coups parfois foireux mais par un discours lisible et consistant. Plutôt que de faire fuir les talents et de refuser de nous rapprocher des autres formations comme s'il s'agissait de lépreux, apprenons à exploiter les compétences de nos membres et à travailler avec autrui. Pour être élu un jour, il faut donner envie aux électeurs de voter pour nous…à commencer par les libéraux. Et les électeurs veulent des bonnes volontés capables de coopérer.

La route est extrêmement difficile pour les libéraux en France. Mais nous y arriverons, j'en suis convaincu. Nous avons l'énergie, le talent et les bonnes idées, celles qu'aucune autre formation politique n'ose encore défendre. Nous sommes pugnaces (parfois trop je vous l'accorde). Ce qu'il nous manque, c'est ce sens du jeu collectif, ce sens de l'ouverture aux autres dans notre tempérament militant.

Voilà le défi qui nous attend pour parvenir au succès, voilà l'enjeu de cette élection du Bureau, voilà les priorités de l'équipe que je vous présenterai.

Le 5 mars, nos membres devront choisir entre une Présidence pour la notoriété et une Présidence pour les compétences au service d'un projet.

04:35 Publié dans Vie politique | Lien permanent | Commentaires (3) | Envoyer cette note

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Je crois que le seul objectif réaliste pour un parti politique libéral serait d'institutionnaliser une forme de contestation, et, de la sorte, participer aux campagnes électorales dans le seul but de faire du prosélytisme. Ce qui veut donc dire adopter la stratégie de l'extrême-gauche - jusqu'à présent, les choses ont l'air de changer : partir du principe qu'être élu n'est pas une fin en soi. Ni même un moyen. Mais un faux objectif.

Si l'élection n'est pas une fin en soi, je pense que l'élection de représentants libéraux auraient sans doute une utilité pour l'expression du libéralisme. En particulier, la présence d'un député libéral à l'Assemblée Nationale permettrait deux choses : d'une part, une tribune auprès des autres députés et des caméras de télévision, d'autre part, l'expression du point de vue libéral de l'intérieur sur l'activité réelle des députés et de l'Assemblée.

Cela dit, le problème reste d'arriver à se faire élire en tant que représentant d'un parti libéral. Je pense que c'est possible, à condition que les idées libérales soient traduites dans un langage populaire.

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En quoi le député non inscrit trucmuche (non-inscrit, car il faut être au moins 20 pour former un groupe) aurait plus de poids médiatique qu'une assoce comme liberté chérie, ou même qu'AL aujourd'hui ? En quoi un obscur conseiller général ou municipal AL favoriserait-il l'expression du libéralisme ? Besancenot n'est élu nulle part, les gars.

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Je crois que le seul objectif réaliste pour un parti politique libéral serait d'institutionnaliser une forme de contestation, et, de la sorte, participer aux campagnes électorales dans le seul but de faire du prosélytisme. Ce qui veut donc dire adopter la stratégie de l'extrême-gauche - jusqu'à présent, les choses ont l'air de changer : partir du principe qu'être élu n'est pas une fin en soi. Ni même un moyen. Mais un faux objectif.

On distingue très bien dans la stratégie de beaucoup au sein d'AL le carriérisme, et je ne le critique pas en soi car après tout chacun cherche à s'accomplir dans sa vie active (je n'ose dire professionnelle, bien qu'il y ait des professionnels de la politique). Le carriérisme, et rien d'autre.

Le problème que je pense important de résoudre est, quelles institutions (statuts) propose tu pour orienter naturellement un parti vers cette stratégie.

Car enfin, si tu compte sur un homme de qualité ou un petit groupe d'amis, comme LC, a supposé qu'il soit bien choisi, ce parti resterait nécessairement un groupuscule.

cela va très bien pour de l'agit prop mais ça existe dejà.

Un parti, c'est fait pour avoir des élus, c'est à dire beaucoup de membres et d'électeurs.

La groupusculite de l'extrême gauche n'est pas tant un choix tactique pour eux que la conséquence de vouloir contrôler étroitement leurs adhérents conformément à à leur conception totalitaire de la société.

L'avantage d'avoir un parti de bonne taille, est surtout la possibilité de réunir des talents en son sein.

Les règles internes doivent donc être conçues pour permettre de les découvrir et de ne pas les laisser étouffer par des bras cassés carriéristes.

C'est à dire la concurence/coopération interne avec pour seule contrainte et objectif possible la défense de nos idées.

Appliquons simplement nos idées à la création d'un parti.

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Cléopâtre et César conte Auguste!

On espérant que l'histoire va être cyclique! :doigt:

Et que l'Actium de l'AL connaîtra la même issue: le "règne" bienfaiteur d'Octave d'Aurélien!

Une perspective qui intéressera sans doute notre ami :

http://www.empereurs-romains.net/emp40.htm

Aurélien fit également montre d'une clémence fort surprenante quand, vaincue, la jolie reine Zénobie tomba entre ses grosses pattes. Il se contenta d'exhiber la belle rebelle, entravée de chaînes d'or, lors de son grand triomphe à Rome. Après cette exhibition, il aurait permis à Zénobie de terminer ses jours comme simple citoyenne dans un charmant petit cottage du Latium.

S'il gagne la bataille, je propose que le titre d'Aurel sur lib.org soit désormais Restitutor Orbis ! (merde, je confonds avec un autre forum… :icon_up: )

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Ca y est ! j'ai mis le temps mais je crois bien que j'ai compris….

En fait c'est assez simple :

1) Edouard se place derierre Sabine

2) Du coup (si j'ose dire) Christophe se place derrière Aurélien

Conclusion : la politique c'est jamais qu'une histoire de membres…. importants et actifs de préférence !

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Le problème que je pense important de résoudre est, quelles institutions (statuts) propose tu pour orienter naturellement un parti vers cette stratégie.

Car enfin, si tu compte sur un homme de qualité ou un petit groupe d'amis, comme LC, a supposé qu'il soit bien choisi, ce parti resterait nécessairement un groupuscule.

cela va très bien pour de l'agit prop mais ça existe dejà.

Absolument, c'est bien pour cela que je suis CONTRE l'existence même d'un parti libéral, qui me semble une contradiction dans les termes. Sauf à faire dans le radicalisme et à le revendiquer. Mais ça restera antinomique à la conception que je me fais du libéralisme, évidemment.

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Je pense que tu te trompe, qu'il est possible de trouver des statuts adaptés ajustements.

Le modéle relativement décentralisé de l'udf à eu 215 députés en 93.

Il me semble que cela plaide en faveur de son efficacité face au culte de la personnalité typique de l'UMP… d'AL … et de la presidentialisation à la Bayrou.

C'est pour celà que je m'attache à ce travail et ma micro expérience politique m'aide à le poursuivre.

http://statuts.laissez-faire.eu

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Il faut quand même reconnaître à AL une réussite : avoir réussi à renouveler le genre classique du déchirement intra-groupusculaire, habituellement trusté par les gauchistes.

Ainsi les "par ta gestion opportuniste, tu as coupé le Parti des masses" sont remplacés par des "ton déficit managerial a empêché la création d'une dynamique de workflow opérationnelle". Plutôt que "Ta ligne petite-bourgeoise ne peut que retarder l'éclosion du grand parti ouvrier attendu par le prolétatariat", on a des "Ta sensibilité droitière est un frein au développement d'une réelle stratégie de promotion du libéralisme". Et "Je défends une ligne d'ouverture à toutes les sensibilités de la gauche anti-libérale" devient "Je défends une ligne de rassemblement ouverte à toutes les sensibilités libérales".

Ça change. (ou pas ?)

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