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"L'Allemagne face à un scandale d'évasion fiscale historique"


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C'est une blague?

Non c'est une lapalissade. Ceux que l'Etat peut le plus taxer sont ceux qui ne peuvent pas se défendre ie qui ne sont pas une clientèle électorale ie les plus faibles.

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Quand même, vous trouvez pas anormal qu'il n'y ait que les super-riches qui puissent faire cela? Si le patron de Deutsche Post, par exemple, avait domicilié son entreprise au Liechtenstein, et avait payé ses salariés sur place avec les conditions fiscales locales, ça aurait eu de la gueule, même si le gouvernement avait refusé : un p'tit référendum interne "préférez-vous être payé en Allemagne ou au Liechthnsntnehine?" aurait eu un résultat embarassant pour le gouvernement allemand.

Mouais…

Faut pas oublier qui c'est not' gaillard Zumwinkel…

D'abord cadre sup à Karstadt-Quelle… et on peut difficilement dire que cela ait fait du bien à l'entreprise.

Puis il se retrouve à la Poste, organisme monopoliste bien connu, où il continue de pomper les impôts du contribuable dans le sable

(C'est sûr alors qu'il n'a pas que des amis dans la presse…)!

Tout cela pour dire que c'était pas le genre d'homme à interroger "la base", sans parler du fait que l'Etat Allemand détient encore suffisamment de part dans l'entreprise pour ne devoir de compte à personne en général, et surtout pas au contribuable en particulier :icon_up: .

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Je croyais que la Deutsche Post avait été privatisée. Une privatisation qui n'en porte que le nom? Ou alors j'ai mal compris ce que tu as dit.

La privatisation est un processus que les gouvernements font avec peu de conviction en Europe:

c'est à dire que l'Etat se débarasse progressivement d'un paquet d'action…

Aujourd'hui, la KfW - Kreditanstalt für Wiederaufbau (organisme d'Etat) possède encore au minimum 30,5%. De quoi peser fort sur la stratégie générale de l'entreprise alors…

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Lors d'un point de presse à Bercy, il a également souhaité la création d'"Eurofisc, un peu comme Eurojust ou Europol", une organisation européenne qui constituerait "une base juridique solide d'échanges d'informations et de travail en commun avec l'ensemble des pays de l'Union européenne" pour lutter contre les paradis fiscaux.

Ah ah ah. :icon_up:

Euh, izen sont pas capables, hein ? Je veux dire dans la réalité ?

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Ah ah ah. :icon_up:

Euh, izen sont pas capables, hein ? Je veux dire dans la réalité ?

Ha oui, j'ai oublié de commenter ce morceau-là, que j'avais aussi remarqué. Ils sont parfaitement capables de fabriquer un nouveau Frankenstein à partir de bas-morceaux prélevés ci et là. Sera-ce efficace? On peut espérer que non.

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Depuis quand un troll communiste peut-il faire l'apologie de la violence étatique sur ce forum ? Il est temps de virer ce gros merdeux d'esclavagiste.

Je proteste ! Il est marrant la plupart du temps.

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Non c'est une lapalissade. Ceux que l'Etat peut le plus taxer sont ceux qui ne peuvent pas se défendre ie qui ne sont pas une clientèle électorale ie les plus faibles.

C'est surtout faux. Prenons les Etats-Unis. Les 50% des contribuables les plus pauvres ne contribuent qu'à 3,6% des recettes. Le pour cent des plus riches représente 33,7% des recettes…

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Ha oui, j'ai oublié de commenter ce morceau-là, que j'avais aussi remarqué. Ils sont parfaitement capables de fabriquer un nouveau Frankenstein à partir de bas-morceaux prélevés ci et là. Sera-ce efficace? On peut espérer que non.

Frankenlichtensuissenstein.

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C'est surtout faux. Prenons les Etats-Unis. Les 50% des contribuables les plus pauvres ne contribuent qu'à 3,6% des recettes. Le pour cent des plus riches représente 33,7% des recettes…

C'est bien ce que je dis, les plus faibles raquent.

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Un peu de bon sens dans un flot de moraline

On irait tous au paradis

La chronique de Stéphane Denis du 6 mars.

La récupération par la France (dans quelles conditions ) d'un document volé par un employé de banque au Liechtenstein a déclenché une vague de vertu offensive : quand publierait-on les noms des deux cents titulaires des comptes ? L'Allemagne montrait l'exemple en portant le fer dans un paradis fiscal. Qu'attendait la France pour liquider les malheureux qu'elle avait sous la main ? Personne ne s'est demandé pourquoi ces paradis existent. La meilleure réponse est que la plupart des États sont incapables de rémunérer convenablement l'épargne de leurs citoyens. Entre la série de catastrophes dont ils sont la cause et leur acharnement à racler le peu qui a pu être sauvé de leur impéritie, les paradis fiscaux ne sont pas seulement une nécessité, mais bel et bien un éden synonyme de liberté fondamentale pour chacun d'entre nous.

Les pays qui les abritent aujourd'hui n'ont pas tous en mémoire l'origine du secret bancaire dont la plupart se revendiquent. Il date de 1934, quand les nazis voulurent récupérer l'argent déposé en Suisse par des juifs et tant d'autres persécutés. Depuis, le secret bancaire a profité certainement à des fortunes mal acquises, mais il a aussi permis à des milliers de gens de survivre à la politique changeante de leur patrie.

Pour s'en tenir à l'histoire la plus contemporaine, ce fut le cas en Argentine quand il n'y avait même plus assez d'argent pour qu'on puisse aller en retirer au guichet du coin ; en Yougoslavie quand les guerres locales ont éclaté entre les membres rivaux de l'ex-fédération communiste ; et c'est le cas à présent en Russie où les opposants, comme hier en Serbie, sont purement et simplement dépossédés par le régime. Personne au monde ne sait quand, à son tour, il aura besoin d'échapper à des lois iniques et aux formes les plus grossières de l'oppression, mais les exemples énumérés ci-dessus sont assez probants pour faire réfléchir à l'un des aspects les plus défendables des paradis fiscaux.

Le plus convaincant d'entre eux cependant reste la spoliation légale, celle dont se rendent coupables les États dont la pression fiscale est trop élevée. Une des principales raisons de la chute du Royaume-Uni des années 1960 et 1970 est le rapport entre l'ahurissant taux de prélèvement auquel étaient arrivés les Britanniques et la multiplication de leurs comptes à l'étranger, malgré un contrôle des changes particulièrement soupçonneux et malthusien. Les pays limitrophes de ceux qui connaissent une pression fiscale irréfreinée sont souvent des pays prospères du point de vue financier : l'Autriche, la Hongrie, la Belgique, le Luxembourg. Que ces pays soient petits ou même minuscules ajoute à la légende maléfique du paradis fiscal, mais ce ne sont pas leurs proportions lilliputiennes qu'il faudrait prendre en considération, c'est le montant des avoirs qu'ils gèrent : il en dit long sur les performances des grands pays dont nous nous enorgueillissons de faire partie.

Il n'est inscrit nulle part, dans aucune constitution, que le devoir d'un État soit de ruiner des générations d'épargnants comme la France le fait depuis la fin du XIXe siècle avec une sûreté et une régularité qui laissent admiratif. Se soustraire à cette calamité devrait être considéré comme un droit également non écrit, mais celui-là à la disposition de n'importe quel citoyen qui ne se déclare pas vaincu d'avance par la fatalité.

Les performances d'un État, d'ailleurs, doivent lui être comptées à débit ou crédit. Indépendamment des persécutions politiques, religieuses ou raciales il n'y a aucune raison pour que des milliers d'autres gens soient soumis sans protester à la nullité de leurs dirigeants. Les démocraties n'exigent pas que les plus riches, ou les plus méritants, ou même les plus veinards, voient le produit de leur héritage, de leur travail ou de la chance réduit à néant au nom d'un hypothétique et toujours inaccessible bien commun par l'insatiable Moloch qui promet de l'atteindre. De ce point de vue le paradis fiscal s'apparente à un réflexe civique et c'est une injustice qu'il ne soit pas à la portée de tout le monde.

Aussi les paradis fiscaux ne devraient-ils pas être considérés comme le Paradis perdu de Milton, c'est-à-dire comme le témoignage bientôt étouffé d'un passé idyllique et condamné, mais comme la preuve vivante, pour les autres pays, de la nécessité de se réformer en prenant de bonnes résolutions. Au lieu d'accepter le marché douteux qu'on lui proposait, Angela Merkel aurait dû se demander pourquoi sept ou huit cents de ses compatriotes ont placé leur argent à Vaduz. Il y a toujours un moment où, contrairement à ce qu'affirment les moralisateurs, on doit juger les intentions plutôt que les actes. L'appât d'un gain excessif, l'égoïsme et le refus de payer sa part n'est pas le comportement naturel des humains, même quand ils ont de l'argent devant eux. Pour la chancelière, la bonne réaction eût été de demander à son ministre des Finances ce qu'il pensait faire pour que le Liechtenstein place le sien en Allemagne. Et je serais le gouvernement français que je réfléchirais à la possibilité de la prendre de vitesse. Grâce au travail et à l'épargne de nos voisins, quel ne serait pas notre bonheur d'être un pays riche et considéré ?

http://www.lefigaro.fr/debats/2008/03/04/0…au-paradis-.php

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En cherchant comme d'habitude des infos sur l'auteur, je suis tombé sur ce succulent article :

Fantômes à vendre –Stéphane Denis / Le Figaro (7 septembre 2004)

"Le mobilier des Mitterrand est à vendre. Celui de la rue de Bièvre, pas de l'Elysée, qui fut vraiment l'endroit de son coeur. La stupéfaction de la gauche, après sa victoire de 1981, était considérable. Tout à portée de la main. Mitterrand, malade, ne tarda pas à s'installer définitivement dans ce château bourgeois. Seule la mort l'en chasserait, et longtemps il rusa avec elle.

Il aimait le décor, et il fut bien attrapé quand les artistes qu'il s'était cru obligé de recruter lui envoyèrent un cauchemar contemporain. Mais là encore il fut stoïque, bien qu'il n'entrât pas dans sa chambre sans frémir.

Son goût n'était pas sûr – il n'en avait pas. Nous trouvons chez lui les étapes de sa vie politique, dont le mobilier de la rue de Bièvre représente les années socialistes. Du danois. Vers 1950, nous l'aurions vu en cosy-corner ; vers 1967, j'imagine qu'ils avaient acheté un Sacco. Tels qu'ils sont, ces canapés, ce «fauteuil de lecture», résonnent encore des leçons de Jacques Attali et des discussions sur le prolétariat. Imperceptiblement, il allait gagner la gauche ; il commençait par s'habiller comme elle. Elle ne serait pas dépaysée. Elle ne le fut pas. Ils voyagèrent, assis côte à côte, dans le même sens de l'histoire. J'eus la même impression chez Françoise Giroud, avenue de Latour-Maubourg, en 1995 : c'était resté le décor de la gauche.

J'imagine que Mitterrand n'osa plus toucher à rien, enroulé dans les pelures de sa vie. Où partait son regard, il en reconnaissait les étapes qu'il n'avait pas présentées les unes aux autres. Elles s'ignoraient avec curiosité.

On vend aussi le Temple de la Gloire, nom qui lui aurait plu. (Peut-être lui a-t-il plu, lui qui connaissait son Ile-de-France, et puis le milieu que recevaient les Mosley n'était pas vraiment gaulliste.) Ce sera nettement plus cher, je le crains, que les reliques de la rue de Bièvre. La propriété, comme disent les agences, est joliment située sur un étang d'Orsay. On dînait autour d'une table Empire sur des chaises Directoire dans leur habit bleu et or, devant un buste de lord Chatham. Les chambres étaient minuscules et le salon immense. C'était correct, ridicule et charmant. La patrie (reconnaissante) avait construit cette folie pour le général Moreau, vainqueur à Hohenlinden. Rival de Bonaparte, rallié aux princes et mort à Dresde avec les Russes : comme le mobilier de Diana Mosley, les événements s'étaient donné la main. Alors les hommes se faisaient un style, faute de pouvoir conserver un décor.

Le nôtre est immuable. Il s'appelle la Ve République. Il a ses rites qui meublent l'horizon. Nous connaissons le Conseil des ministres, le journal télévisé, hochets mécaniques et désuets. Néanmoins, la vie s'échappe. On apprend que Nicolas Sarkozy a été touché par l'encouragement de Jacques Chirac à prendre l'UMP. Touché mais pas coulé. Il perd son portefeuille, il gagne un avenir. C'est à son passé qu'il dit au revoir : aux gouvernements auxquels il a appartenu, à la droite où il a grandi. Il ne plie pas, il rompt. Toute son affaire est là, qui peut s'effondrer comme un soufflé, ou l'obliger à marcher sur ses prédécesseurs. L'adversaire de Sarkozy, c'est la droite qui l'a vu naître : il lui passera sur le corps pour arriver au pouvoir.

Il lui en coûte donc moins de ne plus être ministre. Etre ministre ? Il le dira demain : être ministre, ça ne sert plus à rien. Et, à ceux qui répondront qu'il doit sa popularité à son passage à l'Intérieur, il répondra qu'il est arrivé au point où il ne peut faire davantage. On comprendra que quelqu'un l'en empêche (Chirac, l'ENA, les habitudes, les compromis, et tout ce que charrie avec lui le passé immédiat) ; et qu'il propose de le remplacer.

Alors, dans le décor, c'est Matignon qui trinque. On parle de supprimer le poste. M. Bayrou, qui a son fonds, rêve d'un Parlement égal à l'Elysée ; il demande de le partager à la proportionnelle. Jack Lang y va de sa formule : un président, un Congrès, des juges ; c'est l'Amérique que, décidément, il ne combat plus. Enfin, cela le serait s'il n'y ajoutait un «Conseil supérieur du pluralisme de la presse et des médias». Ce Conseil supérieur, je le vois déjà. On y mettrait ces personnalités qui se goinfrent, depuis vingt ans, des fromages les mieux faits du régime, passant d'une majorité l'autre avec la considération générale. Je n'insiste pas : Jack Lang voit sûrement qui je veux dire, il en a tant nommé. Le pluralisme, en revanche, m'échappe un peu. Peut-être à la proportionnelle, comme le Parlement de M. Bayrou ? Une chaîne par candidat ? Un journal par courant du parti ? Mon Dieu, rien que pour le Parti socialiste, il va falloir multiplier les titres. :icon_up: On va ressusciter Paris-Jour, la Cinq du signore Berlusconi (Jack Lang y sera dans son élément) et jusqu'à l'Action française, à moins qu'elle ne paraisse encore dans une chapelle reculée. Après tout, nous trouvons bien L'Humanité dans les kiosques. Non, cette réforme m'enchante, et, sous cette avalanche de journaux, cette floraison dans les écrans, je me sens gagné aux idées neuves : foutons la Cinquième en l'air, et passons tous au vingt heures.

A ce sujet, j'ai reçu un livre dont l'auteur prévient qu'il use d'un pseudonyme pour «s'épargner le grand cirque médiatique de l'époque». Hélas, Mathurin Maugarlonne (c'est le pseudonyme) prend soin d'apparaître sous son vrai nom dans les pages qui suivent. Je sais qu'un peu de regret ne messied point dans une offrande au Seigneur ; je comprends qu'on ne saurait renoncer à tout sans que cela se sache. C'est vrai, le renoncement en soi a des vertus charmantes, mais à quoi bon être différent des autres si personne n'est au courant ? Ou alors il faut Chateaubriand pour parler de vous. On n'a pas toujours Chateaubriand sous la main. Et Mathurin ? Il a rencontré des gens illustres qui l'ont beaucoup aimé, et il tape longuement sur Guy Debord, gros garçon triste qui avait lu Bossuet mais dont l'évêché n'abritait qu'une poignée de fidèles. Je voudrais juste ajouter que personne n'est obligé d'aller à la télévision, d'envoyer ses livres à ceux qu'on ne connaît pas ou de signer à la Foire de Souvigny-les-Chaussettes. Un des avantages du métier d'écrivain est qu'on est assez solitaire ; il est rare qu'on en viole sur un plateau."

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Il reste Jersey dont personne ne parle (qui ne fait pas parti de l'UE certes).

Ah bon ,tu ne suis pas l'actualité à ce que je vois ! :icon_up:

source AFP 07/03/2008

Ces histoires horribles choquent les 90 000 habitants de Jersey, où la criminalité est normalement très faible. «C'est évidemment mauvais pour l'île, cette histoire, explique un chauffeur de taxi. C'est mauvais pour le tourisme, mais aussi pour la réputation de l'île pour le business, pour la finance

Effectivement, le scandale de l'orphelinat jette une ombre sur cette image d'île paisible, rurale et accueillante véhiculée par l'office de tourisme dans l'espoir de relancer une fréquentation touristique en baisse régulière depuis trente ans.

Plus grave, l'homme à l'origine de l'enquête, le sénateur Stuart Syvert, accuse les gouvernements passés et les anciens responsables de la police d'avoir tout fait pour que l'histoire du Haut-de-la-Garenne ne sorte pas au grand jour.

D'après lui, c'est parce qu'il a ressorti cette affaire, après avoir reçu des témoignages, qu'il a perdu, il y a quelques mois, son poste de ministre de la Santé.

Plusieurs membres du Parlement britannique, qui n'a pourtant pas de pouvoir législatif sur l'île de Jersey, autonome en tant que dépendance de la couronne britannique, ont exprimé leur soutien à Stuart Syvert, et demandé la nomination de juges et de procureurs du Royaume-Uni pour mener les actions en justice contre les 40 suspects identifiés par la police.

Cette position, critiquée à Jersey, a apparemment le soutien de Jack Straw, ministre de la Justice de Gordon Brown.

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Il leur manque un Parti d'Action et de Décision et les PADophiles qui vont avec.

En fait, le message que tente adroitement de nous faire passer ce cher Maurice, c'est que les affaires et la finance c'est sale. Ce faisant il nous fait la démonstration que ce qui permet de différencier Nabotléon et ses UMPards de la pintade poitevine tient de la feuille de papier à cigarette.

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l'Allemagne se trouve au centre d'un vaste scandale de recel d'informations volées.

De plus, ceux qui applaudissent ce recel sont les premiers à crier au scandale de délation lorsque la police a payé des informateurs pour identifier les tireurs de Villier Le Bel.

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De plus, ceux qui applaudissent ce recel sont les premiers à crier au scandale de délation lorsque la police a payé des informateurs pour identifier les tireurs de Villier Le Bel.

Le terme consacré est aviseurs occasionnels.

Il est à noter que le service des douanes comme le ministère des finances ont pour habitude de rétribuer ceux qui leur permettent de faire de belles prises que ce soit pour la contrebande/trafic comme pour la fraude fiscale.

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Fraude: l'informateur craint pour sa vie

L'homme qui a transmis aux services secrets allemands (BND) des données bancaires de clients du Liechtenstein a exprimé par mail avoir peur pour sa vie. "Vous mettez ma vie en danger", a écrit Heinrich Kieber au BND, selon l'hebdomadaire allemand Focus.

L'informateur, qui reproche au BND de ne pas avoir réussi à maintenir secrète son identité, lui a demandé une nouvelle identité afin de pouvoir refaire sa vie éventuellement en Amérique du Sud. Mais les services secrets ont refusé, selon la même source.

D'après le magazine Der Spiegel, il a peur d'avoir affaire à de puissants clients de la banque LGT dont il a transmis les noms au BND, comme des membres de la famille royale saoudienne, ou de la famille de l'ancien dictateur indonésien Suharto, mort en janvier.

Source: AFP

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Quelle déception pour ce gars qui croyait fermement à l'Etat-notre-bon-berger!

Je me demande pourquoi le BND l'a laché d'ailleurs… peut-être des raisons légales?

En tout cas, s'il lui arrive malheur, ce sera un fiasco politique total pour l'Allemagne.

Je souhaite qu'il ne lui arrive rien ceci dit… mais qu'avec ses 10 Millions en poche, il fasse dans son froc toutes sa vie. Comme cela il connaîtra la vraie valeur de sa récompense :icon_up: .

EDIT:

Il a deux nouveaux passeports, soit, mais tout les vieux diplômes sont bons pour la poubelle!

Il a perdu tout son passé en une fois… faut qu'il ait eu de bonnes raisons quand même!

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