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Être libre dans sa profession...


Alxandr

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Cela fait des mois que cette problématique me trotte dans la tête, sans que je n'arrive pourtant à correctement la formuler.

Sans doute parce qu'elle sous-tend plusieurs autres problématiques entremêlées.

Comment être aussi libre que possible dans son travail ?

Faut-il chercher une profession garantissant davantage de liberté (ex : indépendant, à son compte) ou cela n'est-il qu'un leurre (car les indépendants se retrouvent directement sous la contrainte de la rentabilité de leur business et accessoirement du fisc) ?

Faut-il alors plutôt rechercher une philosophie de vie qui permettrait de se libérer autant que possible des aliénations professionnelles, quels que soient les métiers occupés ?

Il doit exister diverses libertés au travail : indépendance financière, liberté de parole ou de conseil vis-à-vis de sa hiérarchie ou de ses collègues, droit d'initiative et d'action, sachant que je ne considère pas, au final, la responsabilité ou le niveau managérial comme une véritable liberté, bien au contraire.

Et puis il y a aussi les classiques : horaires de bureaux, costumes-cravates, nécessité de vivre dans une grande ville, autant d'éléments auxquels j'ai consenti (plus ou moins contractuellement) mais qui me rendent finalement malheureux.

Je vous invite dans cette file à partager vos expériences de l'acquisition d'un plus grand sentiment de liberté dans le travail.

- Avez-vous réussi et quels sont alors vos conseils ?

- Comment considérez-vous cette problématique ? Quelles sont les vraies questions à se poser ?

- Je suis sur le point de quitter un poste salarié bien payé pour essayer de créer (ou reprendre) un petit business dont j'ignore encore l'objet, mais qui me permettrait enfin de m'organiser comme je le souhaite, et de bénéficier enfin des fruits de mon propre travail : certains d'entre vous ont-ils franchi le pas ? Avez-vous commis à ce titre des erreurs, regrettez-vous ? Ou au contraire êtes-vous épanoui ?

Aujourd'hui je suis théoriquement prêt à gagner moins d'argent pour être plus heureux dans ma profession, mais c'est peut-être là encore un leurre : avez-vous connu cette situation ?

Désolé d'être aussi flou et multiple dans mes questions, je compte sur vous pour m'aider à recadrer le débat :icon_up:

J'ajoute que si l'un d'entre vous réfléchit à monter un business et cherche un associé, nous pouvons correspondre par MP.

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Invité jabial

Et la liberté de parler dans un langage inventé par soi même et connu de soi seul, hein ? Hein ? Hein ?

Non sérieusement, ce n'est pas un problème de liberté que tu as là, c'est un problème purement social. Si tu attends d'autrui qu'il se conduise d'une certaine manière, il faut lui donner quelque chose en échange. C'est tout. Ou alors tu peux aller vivre dans les montagnes.

En tant que patron d'un petit business tu seras probablement beaucoup plus aux ordre de tes clients que tu ne l'as jamais été vis à vis d'un patron dans le cadre d'un contrat de travail français. C'est presque comme passer de fonctionnaire à salarié du privé.

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Non sérieusement, ce n'est pas un problème de liberté que tu as là, c'est un problème purement social. Si tu attends d'autrui qu'il se conduise d'une certaine manière, il faut lui donner quelque chose en échange. C'est tout. Ou alors tu peux aller vivre dans les montagnes.

Quand j'ouvrais la porte à un recadrage du débat, je n'en attendais pas tant :doigt: !

Pour moi il y a bien un enjeu de liberté sur cette question, ou au moins de certains types de libertés "contextuelles" ou "partielles".

Certains travailleurs sont plus libres que d'autres ; mais j'ai du mal à hiérarchiser les causes et les critères : cela dépend-il d'abord du secteur ? du métier ? de l'entreprise ? des clients ? des compétences professionnelles du travailleur ? de son propre être ? etc.

Voyons si d'autres intervenants partagent cette interrogation ?

En tant que patron d'un petit business tu seras probablement beaucoup plus aux ordre de tes clients que tu ne l'as jamais été vis à vis d'un patron dans le cadre d'un contrat de travail français. C'est presque comme passer de fonctionnaire à salarié du privé.

C'est un point que j'ai évoqué et que je crains en effet ; d'où mon appel au partage d'expériences :icon_up: .

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Quand j'ouvrais la porte à un recadrage du débat, je n'en attendais pas tant :icon_up: !

Pour moi il y a bien un enjeu de liberté sur cette question, ou au moins de certains types de libertés "contextuelles" ou "partielles".

Certains travailleurs sont plus libres que d'autres ; mais j'ai du mal à hiérarchiser les causes et les critères : cela dépend-il d'abord du secteur ? du métier ? de l'entreprise ? des clients ? des compétences professionnelles du travailleur ? de son propre être ? etc.

Voyons si d'autres intervenants partagent cette interrogation ?

Etre sous le règne d'un contrat "contraignant" n'a rien à voir avec la liberté.

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Comment être aussi libre que possible dans son travail ?

Faut-il chercher une profession garantissant davantage de liberté (ex : indépendant, à son compte) ou cela n'est-il qu'un leurre (car les indépendants se retrouvent directement sous la contrainte de la rentabilité de leur business et accessoirement du fisc) ?

Pour moi ce n'est pas un leurre. Je me sens beaucoup plus libre etant independant que lorsque j'etais salarie. Je n'ai plus a gerer le bullshit permanent, les gueguerres et les manoeuvres politiques. Je ne porte plus de cravate, et je travaille la nuit quand mes enfants dorment. Je peux donc jouer avec eux le jour, et je choisi la date et la duree de mes vacances. Je peux travailler le dimanche.

Mais ca depend aussi de ce qu'on fait: un commercant n'est pas beaucoup plus libre d'organiser son temps qu'un salarie par exemple (quoique si en fait).

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Pour moi ce n'est pas un leurre. Je me sens beaucoup plus libre etant independant que lorsque j'etais salarie. Je n'ai plus a gerer le bullshit permanent, les gueguerres et les manoeuvres politiques. Je ne porte plus de cravate, et je travaille la nuit quand mes enfants dorment. Je peux donc jouer avec eux le jour, et je choisi la date et la duree de mes vacances. Je peux travailler le dimanche.

Mais ca depend aussi de ce qu'on fait: un commercant n'est pas beaucoup plus libre d'organiser son temps qu'un salarie par exemple (quoique si en fait).

Merci pour cette réponse, qui appelle forcément la question suivante : sauf indiscrétion, quelle est ton activité d'indépendant ?

Je n'ai pas encore d'enfants et n'avais pas pensé à ton argument : pouvoir travailler à des horaires permettant de profiter de sa famille.

Mais le pire n'est pas là, la liberté disparaît quand on embauche des salariés.

Absolument ! Voici deux ans, je suis devenu responsable d'une équipe. Depuis ce jour je sais que si je lance mon affaire, je n'embaucherai jamais personne (en France tout du moins !).

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Etre à son compte n'apporte pas la liberté totale car comme évoqué on dépend des clients, du fisc, mais également du bon vouloir de son banquier. Mais le pire n'est pas là, la liberté disparaît quand on embauche des salariés.

+1 pour les salaries. Ca depend sans doute des cas, mais dans mon experience gerer des employes est plus contraignant qu'etre un employe soi meme.

Pour les clients et le fisc, ca de depend de ce qu'on fait et ou.

Merci pour cette réponse, qui appelle forcément la question suivante : sauf indiscrétion, quelle est ton activité d'indépendant ?

Ca depend des periodes, en ce moment je fait surtout consultant dans le domaine IT, et du developpement aussi.

Absolument ! Voici deux ans, je suis devenu responsable d'une équipe. Depuis ce jour je sais que si je lance mon affaire, je n'embaucherai jamais personne (en France tout du moins !).

Je ne suis pas sur que ca soit plus facile de gerer une equipe dans d'autres pays.

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Je vous invite dans cette file à partager vos expériences de (dans) l'acquisition d'un plus grand sentiment de liberté dans le travail.

On peut chercher un travail qui se caractérise à la base par des horaires restreints mais un salaire logique moins élevé.

Personnellement, je souhaite devenir entraineur d'athlétisme dans quelques années.

Ce métier demande un travail sur le terrain assez reduit par jour ( entre 4 à 6 heures de travail par jours ) mais une disponibilité importante : en effet, je devrais partir avec mes athlètes en compétition le week end, en fin de saison.

La réussite professionnel n'étant pas batit selon moi sur l'obtention d'un salaire important en fin de mois, mais sur le partage d'expérience sportive aboutissant ou non à la réussite de l'athlète, je reste satisfait de mon choix.

Au final, je bénéficierais d'une grande liberté dans ma semaine.

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Cela fait des mois que cette problématique me trotte dans la tête, sans que je n'arrive pourtant à correctement la formuler.

Sans doute parce qu'elle sous-tend plusieurs autres problématiques entremêlées.

Comment être aussi libre que possible dans son travail ?

Question très pertinente (la preuve, je me la suis posé pratiquement dans ces termes il y a 15 ans)

Je suis à mon compte depuis 15 ans et je ne l'ai pas regretté 1 millionième de seconde.

Je suis passé de consultant d'une SSII pour IT dans la banque de marché et je me sens nettement plus libre… qu'un salarié.

Il y a beaucoup à dire.. mais en quelques mots.

Il y a business et business… Indep IT avec des clients grosses boites et Associé d'une start up ou tu mets tes weekends, du capital et des salariés, cela n'a rien à voir…. Pour la liberté, y vaut mieux être indep IT du moins à moyen terme. A long terme un fois que tu as un business qui tourne tout seul tu peux pointer deux jours par semaines pour fouetter tes commerciaux et le DG… mais avant ça tu vis jour et nuit avec ta boite pendant 20 ans. Moi c'est indep IT.

Effectivement il n'y a pas de mystère, si quelqu'un te donne de l'argent, c'est qu'il attend quelque chose en retour. Sans faute. Donc il faut se préparer à bien assurer ce qu'il attend sans l'emmerder et sans qu'il ait besoin de vérifier derrière toi. Mais une fois ce point atteint tu as une certaine marge de manoeuvre dont tu ne pouvais pas rêver comme salarié.

Effectivement, prendre des salariés, c'est une autre dimension. En ce qui me concerne, j'ai jamais franchi le pas. J'ai calculé le ratio emmerdements + temps supplementaires + impots/taxes par rapport aux bénefs potentiels était rehibitoire. Autant vendre des frites au mac do. Du moins à court/moyen terme (5 ans). Je travaille avec d'autres indep lorsque j'ai besoin de quelque chose (comptable, web) etc…

Maintenant vu les questions que tu te poses.. à mon avis c'est cuit pour toi, tu seras "forcé" tot ou tard de devenir indep ou d'avoir ton business. En ce qui me concerne, j'ai attendu l'extrème limite sous la pression de mon entourage (comment ?quitter un poste bien payé, avec un salaire assuré tous les mois et des perspectives pour ça…)… Le lendemain de ma dem, je respirais à nouveau. 6 mois plus tard, j'étais sur un nuage (à l'époque, tout en faisant des trucs chiants moins bien payés pendant des heures, mais bon, c'était mon business)

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Aujourd'hui je suis théoriquement prêt à gagner moins d'argent pour être plus heureux dans ma profession, mais c'est peut-être là encore un leurre : avez-vous connu cette situation ?

Je suis dans ce cas. J'étais contractuel à l'Ednat et d'en avoir été remercié a été finalement le plus beau cadeau qu'on pouvait me faire. Je suis retourné dans le privé et je ne regrette absolument pas : plus de travail à faire à la maison, plus tous ces cons de profs et de parents d'élèves à supporter avec leurs jérémiades. C'est pas tout rose non plus à l'heure actuelle, mais je me sens tellement mieux actuellement, probablement parce que j'ai le sentiment d'avoir un job vraiment utile.

Passer de l'autre côté, je serais vraiment tenté, parce que irait bien avec le fait que j'aime contrôler de A à Z tout ce que je fais. Rien que l'idée de se devoir se taper des armées de scribouillards me dissuade de franchir le pas. Mais qui sait ? Mais sûrement pas en France.

- Je suis sur le point de quitter un poste salarié bien payé pour essayer de créer (ou reprendre) un petit business dont j'ignore encore l'objet, mais qui me permettrait enfin de m'organiser comme je le souhaite

Je serais à ta place, je le ferais. Le plus important n'est pas de réussir, mais de l'avoir tenté. Ce serait bête d'avoir un jour des regrets de ne pas l'avoir fait. Un jour j'ai quitté un poste dans le quel je ne trouvais plus aucune satisfaction. J'ai ensuite galéré dans un autre job (contractuel) qui ne m'apportait rien et qui m'a ouvert les yeux sur le fait que j'avais fait des études pour un emploi que je ne voulais pas occuper. Je me suis retrouvé ensuite en intérim et ça m'a permis de retrouver un emploi stable.

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Je vous invite dans cette file à partager vos expériences de l'acquisition d'un plus grand sentiment de liberté dans le travail.

- Avez-vous réussi et quels sont alors vos conseils ?

- Comment considérez-vous cette problématique ? Quelles sont les vraies questions à se poser ?

- Je suis sur le point de quitter un poste salarié bien payé pour essayer de créer (ou reprendre) un petit business dont j'ignore encore l'objet, mais qui me permettrait enfin de m'organiser comme je le souhaite, et de bénéficier enfin des fruits de mon propre travail : certains d'entre vous ont-ils franchi le pas ? Avez-vous commis à ce titre des erreurs, regrettez-vous ? Ou au contraire êtes-vous épanoui ?

Aujourd'hui je suis théoriquement prêt à gagner moins d'argent pour être plus heureux dans ma profession, mais c'est peut-être là encore un leurre : avez-vous connu cette situation ?

Si tu le peux, reste seul et surtout n'embauche pas; des salariés c'est la plaie: du stress, des emmerdes et un boulot administratif monstrueux.

Reste ouvert à tout, ne t'accroche pas à ta "création". N'hésite pas à envisager de faire entrer du monde à ton capital, de façon à renforcer tes fonds propres et à financer ta croissance. Sinon tu stresseras aussi à cause de ta trésorerie moribonde et de ton endettement croissant. (Car plus ta boîte va croitre, plus tu auras des problèmes de trésorerie. Beaucoup d'entreprises coulent alors qu'elles réalisent d'importants bénéfices)

Tu auras sans aucun doute moins de temps libre qu'un salarié mais tu pourras l'organiser comme tu l'entends. J'ai apprécié pouvoir quitter mon bureau sans avoir de compte à rendre à personne, pour aider mon épouse après ses accouchements ou tout simplement pour aller faire une course. Cette liberté n'a pas de prix mais c'est finalement le seul et dernier "avantage" de l'indépendant ou du chef d'entreprise sur le salarié.

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Perso, j'hésite à me lancer -depuis 2 ans- dans le poker pro, ou "prestataire de service ludique en poker" :icon_up:

En dehors de l'aspect financier, le gros avantage étant la liberté total que ce statut procure (lieux de travail, horaires, etc.).

Mon seul frein est d'avoir aujourd'hui une activité salarié plutôt bien rémunéré et assez valorisante dans laquelle je me suis déjà beaucoup investi (théorie de l'engagement…).

Malheureusement, je ne suis pas sûr qu'un congé sans solde de 6 mois pour jouer au poker soit du goût de mon employeur…

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Je veux bien entreprendre de mes dix doigts toussa, mais pour faire quoi ? J'ai bien eu une paire d'idees geniales, mais il me faudrait des developpeurs de jeux videos, toussa. Mais un truc que je pourrai commencer demain, j'en trouve aucun. A part faire des crepes mais ca va vite me gonfler.

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Je veux bien entreprendre de mes dix doigts toussa, mais pour faire quoi ? J'ai bien eu une paire d'idees geniales, mais il me faudrait des developpeurs de jeux videos, toussa. Mais un truc que je pourrai commencer demain, j'en trouve aucun. A part faire des crepes mais ca va vite me gonfler.

Je connais des développeurs en manque d’idées, si tu veux :icon_up:

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Perso, j'hésite à me lancer -depuis 2 ans- dans le poker pro, ou "prestataire de service ludique en poker" :icon_up:

J'ai entendu parler de francais qui en vivent tres bien, ca reste un mystere pour moi.

L'idee c'est de depouiller ceux qui jouent pour le plaisir ? Il en reste encore suffisamment pour nourrir les pros ?

Je veux bien entreprendre de mes dix doigts toussa, mais pour faire quoi ? J'ai bien eu une paire d'idees geniales, mais il me faudrait des developpeurs de jeux videos, toussa. Mais un truc que je pourrai commencer demain, j'en trouve aucun. A part faire des crepes mais ca va vite me gonfler.

Fait plein de trucs differents pendant quelques annees, interesse toi a plein de trucs, et tu risque de trouver ce que tu veux faire au bout d'un moment.

T'en ferais quoi de tes developpeurs de jeux videos ? Des gens qui ont des idees geniales il y en a la pelle, des gens qui les realisent c'est beaucoup, beaucoup plus rare.

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Je connais des développeurs en manque d’idées, si tu veux :icon_up:

Je veux bien :doigt: Tout ce que je risque est qu'ils me piquent l'idee sans m'en donner un kopec si elle fonctionne, XD

Mais a chaque seconde, on se rapproche de l'eventualite qu'un asiatique developpe l'idee sans moi. Penser a un FPS multiplayeur, avec les quelques regles de bases pour qu'il soit apprecie par les occidentaux. A chaque fois que tu meurs, tu perds du fric, a chaque fois que tu tues quelqu'un tu en gagnes. Avec differentes 'tables' dont les mises sont plus ou moins fortes. Et des 'tables' gratuite pour s'entrainer avant de risquer de l'argent. Je compte attirer ainsi les meilleurs joueurs et tous les pigeons qui pensent pouvoir vivre du FPS. C'est un jeu a somme nulle bien sur, mais il suffit d'un abonnement ou d'une 'taxe' sur les echanges pour que le casino y gagne. On peut egalement penser a un jeu en coop, ou tu formes une equipe, tu paies tant, et si jamais t'arrives a finir la mission (uber difficile) tu gagnes un gros pactol. Et suffit d'un calcul de proba, une paire de stats, et on peut eventuellement rendre le truc rentable. Comme une assurance.

J'avais pense a un jeu genre Shattered Horizon, avec une autre dimension (haut et bas), mais a l'heure actuelle, ca demande trop de ressources et on est 20 sur les serveurs. On humilie le noob qui vient profiter de l'offre gratuite du week end, et il ne revient jamais. Bon voila, maintenant le premier mec qui passe peut me piquer mon idee geniale, a la rigueur j'en trouverai une autre mais ca me fait chier. Meme quand je trouve l'idee geniale, en theorie, j'ai aucune connaissance technique pour la mettre au defi de la realite. Je sais juste penser (et encore), mais je ne sais rien faire. (je suis vraiment fait pour etre chef ^^)

Fait plein de trucs differents pendant quelques annees, interesse toi a plein de trucs, et tu risque de trouver ce que tu veux faire au bout d'un moment.

Je veux etre millionnaire, pas de soucis, mon seul probleme est de savoir comment. Alors un mec malin m'a dit, si tu veux un million, demarre avec 800 000. J'ai trouve ca tres pertinent donc tout ce que je me demande, c'est comment en dix ou vingt ans, je pourrais epargner pres d'un million d'euros en partant de rien. :mrgreen:

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J'ai entendu parler de francais qui en vivent tres bien, ca reste un mystere pour moi.

L'idee c'est de depouiller ceux qui jouent pour le plaisir ? Il en reste encore suffisamment pour nourrir les pros ?

Si j'ai bien compris le principe, c'est le site internet qui rémunère les pro. Cela ne se fait pas du jour au lendemain mais plus tu es bon, plus tu attires du monde sur le site.

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Je veux bien :icon_up: Tout ce que je risque est qu'ils me piquent l'idee sans m'en donner un kopec si elle fonctionne, XD

Mais a chaque seconde, on se rapproche de l'eventualite qu'un asiatique developpe l'idee sans moi. Penser a un FPS multiplayeur, avec les quelques regles de bases pour qu'il soit apprecie par les occidentaux. A chaque fois que tu meurs, tu perds du fric, a chaque fois que tu tues quelqu'un tu en gagnes. Avec differentes 'tables' dont les mises sont plus ou moins fortes. Et des 'tables' gratuite pour s'entrainer avant de risquer de l'argent. Je compte attirer ainsi les meilleurs joueurs et tous les pigeons qui pensent pouvoir vivre du FPS. C'est un jeu a somme nulle bien sur, mais il suffit d'un abonnement ou d'une 'taxe' sur les echanges pour que le casino y gagne.

Ton business model me semble foireux car il ne prend pas en compte le facteur humain.

Contrairement au poker ou n'importe quel plouc peut raser des pros sur une soirée, dans un FPS, un mauvais se fera déglinguer continuellement.

Ce n'est pas pour rien si le texas hold em s'est imposé parmi tous les jeux d'argent PvP : c'est le meilleur rapport possible entre adresse et hasard, afin que les pros en vivent sur le long terme, et les mauvais s'amusent.

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Ce n'est pas pour rien si le texas hold em s'est imposé parmi tous les jeux d'argent PvP : c'est le meilleur rapport possible entre adresse et hasard, afin que les pros en vivent sur le long terme, et les mauvais s'amusent.

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Ton business model me semble foireux car il ne prend pas en compte le facteur humain.

Contrairement au poker ou n'importe quel plouc peut raser des pros sur une soirée, dans un FPS, un mauvais se fera déglinguer continuellement.

Ce n'est pas pour rien si le texas hold em s'est imposé parmi tous les jeux d'argent PvP : c'est le meilleur rapport possible entre adresse et hasard, afin que les pros en vivent sur le long terme, et les mauvais s'amusent.

Oui mais considerons deux minutes le nombre de jeux virtuels ou des gens echangent IRL des sommes allant de 15 euros a des sommes astronomiques, juste pour un plaisir virtuel.

Un jeu comme le mien ne serait pas frequente par le joueur du dimanche mais par des no lifes. C'est certain. Mais perso, si un tel FPS existait, j'y jouerai au moins une fois pour tater le niveau des autres et voir si je peux me faire mon beurre. Et de mon experience, j'ai toujours eu un K/D > 1 voir >2 sur certains jeux. Si ca marche un peu, suffit d'implanter des elements de RPG pour creer une valeur ajoutee a l'experience, rendre interessant la vente de perso etc.. Bref, un business virtuel sous sauces de frags. "Tu veux le Carl Gustav suedois ? Je l'ai sur mon perso, je te le vends 500 euros, ca represente des centaines d'heures de jeu, et tu pourras bien tuer plein de gens avec, tout de suite."

Les coreens deviendraient fous avec un truc pareil, apres je me demande si ca tournerait assez en Occident pour que les serveurs ne soient pas desert. Pour moi, developper un jeu ce serait deja une enorme chance de tomber sur les bonnes personnes, mais alors le developper en correen ce n'est plus de la chance, mais du miracle.

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J'ai entendu parler de francais qui en vivent tres bien, ca reste un mystere pour moi.

L'idee c'est de depouiller ceux qui jouent pour le plaisir ? Il en reste encore suffisamment pour nourrir les pros ?

Oui.

Mais les pros sont de plus en plus forts.

Les mauvais de moins en moins mauvais.

Les abrutis ont de moins en moins d'argent.

Bref, ca va être de plus en plus dur.

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Mais les pros sont de plus en plus forts.

Les mauvais de moins en moins mauvais.

Les abrutis ont de moins en moins d'argent.

Bref, ca va être de plus en plus dur.

Va a Macao, il parait qu'ils sont mauvais et riches :icon_up:

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Même quand je trouve l'idée géniale, en théorie, j'ai aucune connaissance technique pour la mettre au défi de la réalité. Je sais juste penser (et encore), mais je ne sais rien faire. (je suis vraiment fait pour être chef ^^)

D'où l'intérêt soit de connaître des gens qui savent. Le chef, c'est celui qui arrive à réunir les gens qu'il faut.

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Si j'ai bien compris le principe, c'est le site internet qui rémunère les pro. Cela ne se fait pas du jour au lendemain mais plus tu es bon, plus tu attires du monde sur le site.

Il y a un peu de ça. Quand tu joues sur un site de poker le site prélève une commission sur les pots joués: le "rake". Souvent pour attirer les joueurs les sites proposent aux joueurs qui ont le plus de volume de jeu (il s'agit souvent des pros) un rake moins élevé sur les mains qu'ils jouent: on parle de rakeback. Il y a tout un business qui s'est développé autour de ça. Les plus gros joueurs peuvent directement négocier avec le site de poker en ligne, sinon on peu passer par des intermédiaires, exemple: http://fr.rakeback.org/

Si je prend 6 mois de congé sans solde, il y a moyen que j'y aille :icon_up:

De toute façon maintenant avec la légalisation du poker en ligne, si ils veulent garder les mêmes gains, les pros vont être obligé d'aller jouer hors de France.

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De toute façon maintenant avec la légalisation du poker en ligne, si ils veulent garder les mêmes gains, les pros vont être obligé d'aller jouer hors de France.

Ceux que je connais sont deja parti de france il y a longtemps.

C'est un job qu'on peut exercer d'ou on veut, pourquoi choisir la france ?

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Ceux que je connais sont deja parti de france il y a longtemps.

C'est un job qu'on peut exercer d'ou on veut, pourquoi choisir la france ?

Ca n'en empeche pas certains de jouer malgré tout sur des sites français, parce qu'ils ont un contrat avec eux, tout en etant domiciliés a londres.

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