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Libéralisme & inégalités


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En France, tu peux tout à fait travailler à ton compte.

C'est rendu tellement difficile que c'est impossible pour beaucoup.

Tu veux faire un camion de pizza ? Les règlements rendent ça inabordable en terme d'investissement, et en plus la mairie t’interdit l'emplacement. Vendre des brochettes dans la rue alors ? Interdit.

Créer un service de ramassage pour emmener des enfants a l’école ? Interdit.

Créer une école ? Tellement de règles que c'est impossible seul sans investissement, et même la c'est dur.

Une maison close ? Interdit.

Agent immobilier ? Interdit a moins de remplir je ne sais plus combien de conditions.

Faire le taxi quand on ne peut pas investir dans une license ? Uber ? Interdit.

On pourrait encore trouver des tonnes de choses qu'il est interdite de faire, c'est a mon avis une cause essentielle du chômage. Si on autorisait les gens a bosser, pourquoi ils ne le feraient pas ?

Il y a aussi la somme des tracasseries administratives, impossible a surmonter sans aide si on n'a pas la patience et les connaissances requises.

Et bien sur n'oublions pas les charges énormes qui rendent une bonnes parties des projets non rentables, donc impossible.

Et évidemment le droit du travail qui empêche d'avoir des employés si on en a besoin.

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@Rincevent, je me garderai de répondre sur les attaques sans-intérêt sur des bas sujets, qui détournent de la vraie question.
 
 

Qui t'oblige à obéir ? Qui t'interdit de te mettre à ton compte dès demain pour fournir des services divers, pour faire du négoce, pour un tas d'autres activités non salariées ?

Désolé, mais toute personne qui a fait de l'entreprenariat sait que ce n'est pas si simple que ça. Même pour fournir en indépendant le même service que l'on fournirai en temps que salarié
ça demande de se créer une base de clientèle et donc d'avoir le temps de le faire.
 

Si Pierre nait grand et Paul petit dans un monde ou le seul moyen de réussir est d'être jockey, Pierre est très désavantagé. Que faire?

Il s'agit d'inégalité naturelles, pour lesquelles il est plus difficile de faire quelques chose. Alors que les inégalité de capital à la naissance, sont artificielle, construit par un système social sortant de l'imaginaire de l'homme.
 

Est-ce qu'il te semble que l'état est un facteur d'élargissement des possibilités de chacun et pourquoi?

Ca dépend dans le cadre de quelle économie (économie marchande vs économie du don), et quel type d'état (réellement démocratique, ou bien une fausse démocratie comme aujourd'hui).
 
Le liberalisme aurait tout son sens, si on avait un socle qui permette d'assurer le minimum pour survivre à tous. Dans ce cas là il y aurait réelle liberté.
lorsque l'on met un être humain dans une situation de vie ou de mort, car on a confisqué la terre nourricière (et sa part qui lui reviendrait légitimement),
et que sa seule perspective de survie est le salariat, alors on ne peut parler de liberté.
 

ultra-libéral ?

Je précise que quand j'utilisais ce mot je ne pensais pas au système actuel, mais au système que les libéraux espèrent.
 

Et donc que faudrait-il faire très concrètement ? Arracher le pognon des mains des parents ? Leur expliquer qu'ils ont bossé toute une vie pour accumuler du capital qui va juste se disperser dans les poches de l'état au lieu de profiter à leurs proches ? Élever les gamins dans des camps pour éviter les différences culturelles, car après tout avoir des livres chez soi est un avantage indubitable dont tout le monde ne profite pas ? Tout ça pour quoi ?

Bah je n'en sais rien, personnellement, je ne suis à priori pas de base pour un système marchant liberal, mais plus un tout autre paradigme. J'essaye d'étudier votre proposition de système. Donc c'est plutôt à vous de me dire ce qu'il faut faire dans votre paradigme...
 
 

D'autre part, assimiler le salariat à de l'esclavage comme tu le fais revient à assimiler tout rapport sexuel à un viol.

Ca serait vrai si personne ne se retrouvait jamais dans la situation prendre un travail salarié ou mourir. Ce qui est forcement le lot quotidien dans un système ultra-libéral (plus libéral que la système actuel j'entends).

Jsuqu'à présent je ne connais aucune maladie qui fait que si tu ne fais pas l'amour du meurt...
 

 

Quant à l'égalité, il s'agit d'une égalité de droit, pas d'une égalité de fait. Un esclave et un maître sont inégaux en droit -l'un est un bien, l'autre une personne-. Un salarié et un employeur ont tout les deux la même capacité juridique, le même statut juridique. Un salarié peut quitter son job et devenir employeur demain. L'employeur peut vendre sa boîte et devenir salarié demain.

On s'en fout de la dinstinction égalité de droit, égalité en argent. Il se trouve que celui qui nait avec un héritage de un million d'euro, nait avec le droit de ne pas travailler du tout de toute sa vie, alors que celui qui naît sans naît sans ce droit. Et même si on peut imaginer qu'il puisse devenir millionaire, il lui faudra un travail conséquent pour le devenir. Trouver qu'il y a égalité de droit entre les deux est illusoire.
 

 

Les choix dont une personne dispose :

- ne pas travailler

Mais d’où on a se choix? On aurait se choix si notre survie était assurée. Dans ce cas je serais tout à fait d'accord avec vous, sur le fait que le système libéral permet la liberté.

 

A mon avis cette question de l'assurance de la survie est centrale dans e libéralisme, car elle fait la différence entre un système de liberté, et un système esclavagiste.

 

@ flashy,

 

Quand je dis esclavage, j'entends état de soumission subordination, d’obéissance (même si l'on peut choisir son maître), dont on ne peut que très difficilement sortir un jour.

Le fait que l'esclave reçoivent ou non des bouts de papiers (monnaie) ne change rien. Car l'esclavagiste peut très bien créer une monnaie qu'il contrôle afin de mettre en esclavage les esclaves.

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Ca dépend dans le cadre de quelle économie (économie marchande vs économie du don), et quel type d'état (réellement démocratique, ou bien une fausse démocratie comme aujourd'hui).

.

Économie du don ?

Où se situe la différence ?

Cette histoire d'assurer la survie me paraît très maladroite.

Il est très simple de (sur)vivre : de l'eau et des baies. Pas besoin d'un système social pour cela.

Ni l'Etat ni personne n'empêche quiconque de vivre. L'esclavagisme aujourd'hui est administratif : en lieu et place de la dictature du Prolétariat, nos socialistes ont brillamment érigé la dictature du Secrétariat (célèbre boutade sur le PC des années 70-80).

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J'essaye d'étudier votre proposition de système.

Le mieux ce serait que tu lises des livres pour cela.

Par exemple les Harmonies économiques de Frédéric Bastiat ou L'action humaine de Ludwig von Mises ou La constitution de la liberté de Friedrich Hayek...

Car tu as tellement de présupposés ancrés que cela demanderait beaucoup de temps de revoir tout ce que tu considères comme allant de soi.

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Je comprendrais jamais la mentalité socialiste : il faut aider tout le monde sauf ses enfants, sa famille et ses amis. Là c'est dégueulasse.

C'est le fantasme socialiste de la fourmilière. Les parents ne sont plus que des géniteurs. La seule autorité c'est l'état. L'individu est un mineur sous tutelle. Et il ne reste que l'égalité de fait puisque le droit a disparu.

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Le liberalisme aurait tout son sens, si on avait un socle qui permette d'assurer le minimum pour survivre à tous. Dans ce cas là il y aurait réelle liberté.

lorsque l'on met un être humain dans une situation de vie ou de mort, car on a confisqué la terre nourricière (et sa part qui lui reviendrait légitimement),

et que sa seule perspective de survie est le salariat, alors on ne peut parler de liberté.

 

Vous parlez de liberté positive.

Vous nous dites qu'il n'y a de salut que dans la redistribution et que l'héritage est une mauvaise chose et l'inégalité sociale un frein.

 

Il est temps pour vous de prendre votre carte au front de gauche, si ce n'est pas déjà fait.

  • Yea 1
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Mais d’où on a se choix? On aurait se choix si notre survie était assurée.

 

D'ailleurs je précise que dans le système actuel (qui n'est pas le système désiré par les libéraux), on a en pratique ce choix, "grâce" au RSA,

qui fait en sorte que l'on peut survire/vivre sans travailler au prix de la honte sociale d'avoir l'impression de profiter des autres.

 

Honte qui oublie que en naissant pauvre on a été spolié de la terre qui nous reviendrait légitimement (qui n'appartenait initialement à personne),

et qui nous permettrait normalement en dernier recourt pour échapper au salariat de se construire un habitat et se nourrir des fruits de la terre.

 

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Quand je dis esclavage, j'entends état de soumission subordination, d’obéissance (même si l'on peut choisir son maître), dont on ne peut que très difficilement sortir un jour.

Le fait que l'esclave reçoivent ou non des bouts de papiers (monnaie) ne change rien. Car l'esclavagiste peut très bien créer une monnaie qu'il contrôle afin de mettre en esclavage les esclaves.

 

Et moi quand je dis carotte, j'entends choux fleur.

 

Ou d'une autre façon : Psychologique, c'est pas tout ce qui se passe à la campagne ?

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Honte qui oublie que en naissant pauvre on a été spolié de la terre qui nous reviendrait légitimement (qui n'appartenait initialement à personne),

et qui nous permettrait normalement en dernier recourt pour échapper au salariat de se construire un habitat et se nourrir des fruits de la terre.

 

Comme si tous les lopins de terre étaient égaux.

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Il est très simple de (sur)vivre : de l'eau et des baies. Pas besoin d'un système social pour cela.

 

Alors là  si tu as des exemples je serais plus qu'intéressé.

 

Des gens qui vivent sans argent sa existe (et c'est très rare et en général au bout de 10 ans max ils arrêtent), mais sans terre et/ou sans l'aide des autres jamais entendu parlé.

 

Il est temps pour vous de prendre votre carte au front de gauche, si ce n'est pas déjà fait.

 

Je déteste les partis , je ne risque pas de prendre un carte dans un quelconque parti.

 

Car tu as tellement de présupposés ancrés que cela demanderait beaucoup de temps de revoir tout ce que tu considères comme allant de soi.

Non j’émets mes impressions et je vous invite à la corriger dans l’espoir que sois vous me montriez que j'ai tors, soit ça renforce mes impressions;

(Sachant que quand j'ai lu wikibéral, je me suis posé la question est-ce que cette idéologie est proche de mes idées sachant que je suis pro liberté).

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D'ailleurs je précise que dans le système actuel (qui n'est pas le système désiré par les libéraux), on a en pratique ce choix, "grâce" au RSA,

qui fait en sorte que l'on peut survire/vivre sans travailler au prix de la honte sociale d'avoir l'impression de profiter des autres.

Honte qui oublie que en naissant pauvre on a été spolié de la terre qui nous reviendrait légitimement (qui n'appartenait initialement à personne),

et qui nous permettrait normalement en dernier recourt pour échapper au salariat de se construire un habitat et se nourrir des fruits de la terre.

Le RSA a un prix, et ce n'est pas celui de la honte. C'est une assurance. C'est un concept assez facile à comprendre pourtant.

Ce que nous dénonçons ce n'est pas l'existence d'une telle assurance, c'est la méthode (monopole étatique + obligation de cotiser).

Oh, et "se nourrir du fruit de la Terre" c'est proche, très proche de travailler. Imaginez que mon voisin se mette à échanger ses choux contre mes tomates. On vient d'inventer un putain de paradigme de ouf : le marchandage.

Si la Liberté se définit juste par "le fait de pouvoir, à tout moment, s'échapper en pleine nature et y vivre comme on l'entend" ça ne va pas très loin :D

Et c'est tout à fait possible aujourd'hui. En France plus difficilement, mais y'a beaucoup de place au Canada, en Syrie...

On a bien sur Contrepoints deux jeunes (enfin, ils étaient jeunes en commençant) qui vadrouillent à travers le globe et qui racontent leurs aventures. C'est exceptionnel et passionnant et ils n'ont pas besoin de l'aide du système.

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@Rincevent, je me garderai de répondre sur les attaques sans-intérêt sur des bas sujets, qui détournent de la vraie question.

 

 

Désolé, mais toute personne qui a fait de l'entreprenariat sait que ce n'est pas si simple que ça. Même pour fournir en indépendant le même service que l'on fournirai en temps que salarié

ça demande de se créer une base de clientèle et donc d'avoir le temps de le faire.

 

Il s'agit d'inégalité naturelles, pour lesquelles il est plus difficile de faire quelques chose. Alors que les inégalité de capital à la naissance, sont artificielle, construit par un système social sortant de l'imaginaire de l'homme.

 

Ca dépend dans le cadre de quelle économie (économie marchande vs économie du don), et quel type d'état (réellement démocratique, ou bien une fausse démocratie comme aujourd'hui).

 

Le liberalisme aurait tout son sens, si on avait un socle qui permette d'assurer le minimum pour survivre à tous. Dans ce cas là il y aurait réelle liberté.

lorsque l'on met un être humain dans une situation de vie ou de mort, car on a confisqué la terre nourricière (et sa part qui lui reviendrait légitimement),

et que sa seule perspective de survie est le salariat, alors on ne peut parler de liberté.

 

Je précise que quand j'utilisais ce mot je ne pensais pas au système actuel, mais au système que les libéraux espèrent.

 

Bah je n'en sais rien, personnellement, je ne suis à priori pas de base pour un système marchant liberal, mais plus un tout autre paradigme. J'essaye d'étudier votre proposition de système. Donc c'est plutôt à vous de me dire ce qu'il faut faire dans votre paradigme...

 

 

Ca serait vrai si personne ne se retrouvait jamais dans la situation prendre un travail salarié ou mourir. Ce qui est forcement le lot quotidien dans un système ultra-libéral (plus libéral que la système actuel j'entends).

Jsuqu'à présent je ne connais aucune maladie qui fait que si tu ne fais pas l'amour du meurt...

 

On s'en fout de la dinstinction égalité de droit, égalité en argent. Il se trouve que celui qui nait avec un héritage de un million d'euro, nait avec le droit de ne pas travailler du tout de toute sa vie, alors que celui qui naît sans naît sans ce droit. Et même si on peut imaginer qu'il puisse devenir millionaire, il lui faudra un travail conséquent pour le devenir. Trouver qu'il y a égalité de droit entre les deux est illusoire.

 

Mais d’où on a se choix? On aurait se choix si notre survie était assurée. Dans ce cas je serais tout à fait d'accord avec vous, sur le fait que le système libéral permet la liberté.

 

A mon avis cette question de l'assurance de la survie est centrale dans e libéralisme, car elle fait la différence entre un système de liberté, et un système esclavagiste.

 

@ flashy,

 

Quand je dis esclavage, j'entends état de soumission subordination, d’obéissance (même si l'on peut choisir son maître), dont on ne peut que très difficilement sortir un jour.

Le fait que l'esclave reçoivent ou non des bouts de papiers (monnaie) ne change rien. Car l'esclavagiste peut très bien créer une monnaie qu'il contrôle afin de mettre en esclavage les esclaves.

 

Tu ne réponds qu'à la moitié des objections qui te sont faites. Pourquoi ?

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Comme si tous les lopins de terre étaient égaux.

 

Et alors?

 

Si la Liberté se définit juste par "le fait de pouvoir, à tout moment, s'échapper en pleine nature et y vivre comme on l'entend" ça ne va pas très loin :D

Mais non. Le fait est que s'il est raisonnablement possible de se passer du salariat pour vivre, ça modifie complètement le rapport de force, et donc toute la société.

Et c'est ça que vous ne voulez pas voir: il n'y a nulle différence entre être contraint au salariat parce-que l'on a un flingue sur la tête ou parceque l'on a été mis dans

des circonstances ou l'on meurt de faim/froids .

 

 

On a bien sur Contrepoints deux jeunes (enfin, ils étaient jeunes en commençant) qui vadrouillent à travers le globe et qui racontent leurs aventures. C'est exceptionnel et passionnant et ils n'ont pas besoin de l'aide du système.

J'ai moi même fait un certain nombre de voyage sans aucun argent. Mais on ne peut pas considérer ça comme un model de vie. Car l'humanité ne peut être constamment en voyage.

 

Par contre ce type de voyage ouvre les yeux sur un autre paradigme possible. Plutôt que de vendre les salade que j'ai en trop je peux les donner inconditionnellement, en ayant confiance que si je donnes alors je recevrai.

 

Quand on fait des voyages comme ça on se rend compte que lorsque l'on accepte de recevoir, alors on a envie de donner. Et que plus on est dans une attitude de don, même si on a quasiment-rien plus on va recevoir.

 

Commencez par définir le mot liberté tel que vous l'entendez.

Dans ce contexte: possibilité réelle de n'obéir à personne, et à n'obéir qu'à des décision collectives auxquelles j'ai directement put participer et eu un égal pouvoir de décision, que mes congénères.

 

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@Escondido: ça prend du temps de répondre à tout j'essaye de sélectionner le plus intéressant

 

Au bout de la 3ème génération, il ne reste plus rien du capital initial, et ce aux USA.

C'est bien, mais moi je m'en fous de la 3ième génération, ce qui m'intéresse ce n'est pas la vie de mes petits-enfants mais la mienne.

(D'ailleurs je vois mal comment on peut sortir ce genre de stat sachant que le système financier a muté de manière tout à fait importante

ces 50 dernières années, donc je ne sais pas comment on peut savoir que dans ce nouveau système le capital est perdu au bout de X générations)

 

Et de toute façon tu es d'une naïveté sidérale de penser que c'est le capital financier qui fera la fortune des héritiers et non pas le capital culturel transmis. Tu peux taxer tant que tu veux,  tu ne pourras jamais toucher à cet héritage là qui est pourtant le plus important.

Je n'en doutes pas même si les deux sont inter-dépendant, et je n'ai pas dis que ma solution était de taxer.

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la liberte a un cout.Il faut payer.Il existe plein de facons de payer.

 

il n'y a nulle différence entre être contraint au salariat parce-que l'on a un flingue sur la tête ou parceque l'on a été mis dans

des circonstances ou l'on meurt de faim/froids 

 

 

je comprends le raccourci mais il n'a pas vraiment de sens.

Le travail salarie achete une forme de confort a travers la securite.D'autres types d'emplois offrent d'autres conforts et d'autres securites.

Le concept d'esclavage est inoperant comme point de depart pour expliquer la liberte.

Comparer travail et esclavage est dysfonctionnel.C'est une metaphore sans existence reelle a moins d'etre un cas penal.

La critique vient des sweat-shop d'asie.

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(D'ailleurs je vois mal comment on peut sortir ce genre de stat sachant que le système financier a muté de manière tout à fait importante

ces 50 dernières années, donc je ne sais pas comment on peut savoir que dans ce nouveau système le capital est perdu au bout de X générations)

 

 

c'est comportemental, rien a voir avec la finance.

 

de penser que c'est le capital financier qui fera la fortune des héritiers et non pas le capital culturel transmis

 

La dilapidation de la fortune correspond a un echec de transfert du capital culturel.

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(D'ailleurs je vois mal comment on peut sortir ce genre de stat sachant que le système financier a muté de manière tout à fait importante

ces 50 dernières années, donc je ne sais pas comment on peut savoir que dans ce nouveau système le capital est perdu au bout de X générations)

... ah, et si c'est comme ça, comment peut-on savoir qu'il est conservé ?

  • Yea 1
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Mais non. Le fait est que s'il est raisonnablement possible de se passer du salariat pour vivre, ça modifie complètement le rapport de force, et donc toute la société.

Et c'est ça que vous ne voulez pas voir: il n'y a nulle différence entre être contraint au salariat parce-que l'on a un flingue sur la tête ou parceque l'on a été mis dans

des circonstances ou l'on meurt de faim/froids .

 

J'ai moi même fait un certain nombre de voyage sans aucun argent. Mais on ne peut pas considérer ça comme un model de vie. Car l'humanité ne peut être constamment en voyage.

 

Par contre ce type de voyage ouvre les yeux sur un autre paradigme possible. Plutôt que de vendre les salade que j'ai en trop je peux les donner inconditionnellement, en ayant confiance que si je donnes alors je recevrai.

 

Quand on fait des voyages comme ça on se rend compte que lorsque l'on accepte de recevoir, alors on a envie de donner. Et que plus on est dans une attitude de don, même si on a quasiment-rien plus on va recevoir.

 

Dans ce contexte: possibilité réelle de n'obéir à personne, et à n'obéir qu'à des décision collectives auxquelles j'ai directement put participer et eu un égal pouvoir de décision, que mes congénères.

 

1/ Rien n'oblige les gens au salariat. Le salariat est plus confortable, entreprendre est complexe, ce sont des obstacles. Rien à voir avec un état de servitude.

 

2/ Des peuples sont restés nomades des millénaires.

 

3/ Ah, ça, les paradigmes...

Tu as déjà partagé un squat? Essaie. Et fais la vaisselle spontanément, en partant du principe que d'autres la feront spontanément ensuite. 

 

4/ Ta définition de la liberté conduit à penser que tu considères toute forme de travail comme une aliénation. Que tu sois fonctionnaire, salarié, libéral ou patron, tu dois obéir -à ton supérieur hiérarchique ou à tes clients-. Le monde est mal fait, je sais.

Sinon, pour cette sombre affaire de lopin de terre, tu connais le Cambodge?

 

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c'est comportemental, rien a voir avec la finance.

Oui et non il est quand même apparu les ordinateurs entre temps ce qui a tout de même un peu changé révolutionné le domaine de la finance.

 

Et bien tu crois que celui qui récupère un tas de sable dans le Sahara est aussi libre que celui qui reçoit un verger en Normandie ?

Qui a dit qu'une répartition équitable devrait être au mettre carré sans prendre en compte les qualités des terrains.

 

 

Le travail salarie achete une forme de confort a travers la securite. D'autres types d'emplois offrent d'autres conforts et d'autres securites.

Le problème est que quand bien même on est ingénieur (c'est mon cas), et que l'on s'en fout de la sécurité, dans le système actuel c'est le parcourt du combattant pour devenir indépendant.

Je dis ça j'ai un nombre incalculable d'amis ingénieur qui rêvent d’arrêter le salariat et qui on fait des tentatives et abandonné (moi je n'ai pas abandonné), mais en pratique soit moi et mes amis

sont tous très mauvais, soit c'est très compliqué (et on est ingénieur, je ne te dis pas pour un ouvrier).

 

Si tu as un espèce de guide pour devenir indépendant du jour au lendemain je suis preneur.

 

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Honte qui oublie que en naissant pauvre on a été spolié de la terre qui nous reviendrait légitimement (qui n'appartenait initialement à personne),

et qui nous permettrait normalement en dernier recourt pour échapper au salariat de se construire un habitat et se nourrir des fruits de la terre.

 

 

 

un autre comparaison metaphorique dysfonctionnelle du meme ordre que celle travail/esclavage:

 

-aucune terre ne nous revient legitimement a part le territoire physique ou culturel que nos parents ont construit.S'il n'y a rien ( ce sont des drogues au chomedu), tu n'as rien.C'est legitime parce que la responsabilite revient a tes parents de ne pas faire d'enfant sans avoir les moyens de les entretenir.

 

-"echapper au salariat."

edit: il suffit de demissionner :mrgreen:

 

Tout ton questionnement  semble tourner autour de la pauvrete des demunis, c'est tres amusant apres ce reveillon de Noel et avant ce reveillon du Permier qui vont rassembler a table des francais tous arc-boutes sur la lutte contre le malheur, seul et unique horizon de l'etat  et de la culture francaise en 2015.

 

 

 

 

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Qui a dit qu'une répartition équitable devrait être au mettre carré sans prendre en compte les qualités des terrains.

 

Comment on évalue ? La valeur de terrains fluctue tout le temps. Et puis on fais quoi ? On relocalise les personnes qui ne sont pas au bon endroit ? Ca me rappelle quelque chose cette "liberté"...

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Dans ce contexte: possibilité réelle de n'obéir à personne, et à n'obéir qu'à des décision collectives auxquelles j'ai directement put participer et eu un égal pouvoir de décision, que mes congénères.

 

Ok! vous êtes sur le bon chemin puisque vous commencez par définir la liberté comme négative, l’absence d’obéissance.

 

Mais alors rendez -vous compte que l'allocation universelle (RSA ou autre) dont vous vous faisiez le promoteur un peu plus haut nécessite, pour que certains la touchent sans "obéir", sans être travailleur salarié que d'autres obéissent volontairement ou non (coercition) pour produire la richesse qui sera redistribuée sous forme de cette allocation à ceux qui ne veulent pas obéir....situation profondément contradictoire.

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Le problème est que quand bien même on est ingénieur (c'est mon cas), et que l'on s'en fout de la sécurité, dans le système actuel c'est le parcourt du combattant pour devenir indépendant.

Je dis ça j'ai un nombre incalculable d'amis ingénieur qui rêvent d’arrêter le salariat et qui on fait des tentatives et abandonné (moi je n'ai pas abandonné), mais en pratique soit moi et mes amis

sont tous très mauvais, soit c'est très compliqué (et on est ingénieur, je ne te dis pas pour un ouvrier).

 

Si tu as un espèce de guide pour devenir indépendant du jour au lendemain je suis preneur.

 

tu es en fRance ou au Quebec ( ton nom est tres courant au Quebec) ?

Si tu es en fRance c'est la raison de ton probleme pas besoin dechercher plus loin.Step 1: se casser.

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Que tu sois fonctionnaire, salarié, libéral ou patron, tu dois obéir -à ton supérieur hiérarchique ou à tes clients-. Le monde est mal fait, je sais.

Sinon, pour cette sombre affaire de lopin de terre, tu connais le Cambodge?

Non accepter une mission bien définie au niveau de la tache et délimitée dans le temps ne relève pas de l'aliénation pour moi, mais de l'échange.

 

Vendre son temps pour que le patron puisse nous dire de faire quoi-que ce soit de non prévu à l'avance au moment de la signature du contrat,

et ce pour une durée indéterminée ça c'est de l’aliénation

 

 

Tu as déjà partagé un squat? Essaie. Et fais la vaisselle spontanément, en partant du principe que d'autres la feront spontanément ensuite.

 

Je n'ai pas parlé de don sans discernement...

 

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