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Cannabis : Connerie Française Sans Limite


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Comme disait je ne sais plus qui, la distinction entre dépendance physique et psychologique est très douteuse :

Quelqu'un avec une forte volonté parviendra sans mal à surmonter une dépendance physique, quelqu'un avec un volonté plus faible se laissera facilement submerger par une dépendance psychologique.

Je ne sais pas qui disait ça, mais il est grand! Ca parait excessivement vrai, quand je vois le mal que j'ai eu pour me débarasser de ma dépendance (et encore avec "débarasser", je m'envoie des fleurs…) :icon_up:

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Je ne sais pas qui disait ça, mais il est grand! Ca parait excessivement vrai, quand je vois le mal que j'ai eu pour me débarasser de ma dépendance (et encore  avec "débarasser", je m'envoie des fleurs…)  :icon_up:

Moi, le chocolat, j'arrête quand je veux !

D'ailleurs j'ai arrêté le chocolat au lait, parce que je ne suis pas sûr de la qualité de l'herbe que les vaches suisses et belges fument…

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D'ailleurs j'ai arrêté le chocolat au lait, parce que je ne suis pas sûr de la qualité de l'herbe que les vaches suisses et belges fument…

Perso, le simple fait que les vaches en question soient subventionnées me coupe l'appétit (quoique vivant en URSS je risque fort de mourrir de faim à ce compte là…)

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Moi j'ai arrêté le cannabis du jour au lendemain. Je fumais plusieurs joints tous les jours depuis 3-4 ans. Pas de problème de dépendance, si ce n'est de temps en temps me dire que finalement j'en refumerais bien un etc… Mais j'ai des amis qui ont eu plus de mal…

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Il y a une dependance indeniable au cannabis, qui est psycologique et due au mode de vie qui l'accompagne. J'ai vu quantite de jeunes qui fument regulierement. Leur vie tourne autour des bringues, ils quittent souvent les etudes a un certain niveau, ils sont soit incapable de tenir un job longtemps ou d'obtenir un job qui debouche sur une carriere de haut niveau. J'ai vu quantite d'entre eux rester au chommage et vivre sur les welfare. Seulement tres peu d'entre eux arrive a realiser leurs reves.

Meme si la dependance n'es pas physique comme l'heroine, par exemple, elle detruit des vies. Si une personne dans un couple fume mais pas l'autre, generalement le couple ne tiens pas. Et quand des gamins sont impliques, c'est la que ca devient tragique.

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Il y a une dependance indeniable au cannabis, qui est psycologique et due au mode de vie qui l'accompagne. J'ai vu quantite de jeunes qui fument regulierement. Leur vie tourne autour des bringues, ils quittent souvent les etudes a un certain niveau, ils sont soit incapable de tenir un job longtemps ou d'obtenir un job qui debouche sur une carriere de haut niveau. J'ai vu quantite d'entre eux rester au chommage et vivre sur les welfare. Seulement tres peu d'entre eux arrive a realiser leurs reves.

Meme si la dependance n'es pas physique comme l'heroine, par exemple, elle detruit des vies. Si une personne dans un couple fume mais pas l'autre, generalement le couple ne tiens pas.Et quand des gamins sont impliques, c'est la que ca devient tragique.

En meme temps, cela veut aussi dire que le(la) conjoint(e) non-fumeur méritait mieux que son(sa) conjoint(e) actuelle…

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Il y a une dependance indeniable au cannabis, qui est psycologique et due au mode de vie qui l'accompagne. J'ai vu quantite de jeunes qui fument regulierement. Leur vie tourne autour des bringues, ils quittent souvent les etudes a un certain niveau, ils sont soit incapable de tenir un job longtemps ou d'obtenir un job qui debouche sur une carriere de haut niveau. J'ai vu quantite d'entre eux rester au chommage et vivre sur les welfare. Seulement tres peu d'entre eux arrive a realiser leurs reves.

Meme si la dependance n'es pas physique comme l'heroine, par exemple, elle detruit des vies. Si une personne dans un couple fume mais pas l'autre, generalement le couple ne tiens pas. Et quand des gamins sont impliques, c'est la que ca devient tragique.

N'importe quoi.

Comme beaucoup de mes amis à l'époque, je suis moi-même passé par une période "fumage intensif de joints". Comme Foxxbat, le jour où j'ai décidé que ça suffisait, je n'ai pas eu de problèmes insurmontables à arrêter. A présent, il m'arrive de prendre un petit spliff à l'occasion mais à aucun moment cela ne me donne l'envie de redevenir un fumeur régulier. La plupart des "fumeurs" que je connaissais dans ma fac (qui était quand même l'ecole de commerce la plus réputée de belgique) n'ont pas eu de gros problèmes à mener ensuite une carrière professionnelle active et ambitieuse.

Tout ça c'est avant tout une question de volonté, d'envie de prendre sa vie en main. Et c'est valable pour le joint comme pour la cigarette, l'alcool ou le chocolat.

Pour ceux qui douteraient du caractère addictif du chocolat, je peux citer l'exemple de ma propre mère, qui à un moment dans sa vie avait pris l'habitude de grignoter des biscuits au chocolat devant sa télé. Au bout de quelques mois, c'était devenu une véritable assuétude. Elle a mis des semaines à s'en débarrasser, et les premieres semaines ont été dures pour toute la famille : maman était nerveuse et extrêmement irritable, le moindre incident prenait des proprtions dantesques.

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Pour ceux qui douteraient du caractère addictif du chocolat, je peux citer l'exemple de ma propre mère, qui à un moment dans sa vie avait pris l'habitude de grignoter des biscuits au chocolat devant sa télé. Au bout de quelques mois, c'était devenu une véritable assuétude. Elle a mis des semaines à s'en débarrasser, et les premieres semaines ont été dures pour toute la famille : maman était nerveuse et extrêmement irritable, le moindre incident prenait des proprtions dantesques.

Autre exemple: les chips.

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Pour ceux qui douteraient du caractère addictif du chocolat, je peux citer l'exemple de ma propre mère, qui à un moment dans sa vie avait pris l'habitude de grignoter des biscuits au chocolat devant sa télé. Au bout de quelques mois, c'était devenu une véritable assuétude. Elle a mis des semaines à s'en débarrasser, et les premieres semaines ont été dures pour toute la famille : maman était nerveuse et extrêmement irritable, le moindre incident prenait des proprtions dantesques.

Je suis exactement dans la même situation avec les céréales.

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Tu deviens en quelque sorte plus mûr, tu commences à savoir apprécier ce qui est bon. Tu prends donc des frites de plus en plus grosses, de plus en plus roussies et de plus en plus grasses.

:icon_up:

Ce doit être ton ascendance turco-française que te fait proférer pareilles énormités. Moi au contraire, je deviens de plus en plus difficile, au point de ne plus vouloir en manger que dans trois-quatre friteries "sélect", et encore, si je pouvais, je me bornerais à celle de la Place Saint-Josse.

melo le belge

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:icon_up:

Ce doit être ton ascendance turco-française que te fait proférer pareilles énormités. Moi au contraire, je deviens de plus en plus difficile, au point de ne plus vouloir en manger que dans trois-quatre friteries "sélect", et encore, si je pouvais, je me bornerais à celle de la Place Saint-Josse.

melo le belge

Je pense que ça provient du fait que les Américains victimes de l'addiction aux frites ne bénéficient pas de l'environnement culturel et de la longue tradition belges qui permettent de réguler la consommation par la pression du milieu et la transmission des savoirs expérimentaux.

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Tiens, traditionnellement, les frites c'est au saindoux en Belgique non ? ça se fait encore ?

Ca a totalement disparu, mais il est vrai que les vieux Bruxellois ont encore connu les frites au saindoux (années 30-40 plus ou moins). Dans les années 50 on les faisait plutôt avec de la graisse de boeuf. Maintenant c'est à l'huile, et pour les barbares au micro-ondes.

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Ca a totalement disparu, mais il est vrai que les vieux Bruxellois ont encore connu les frites au saindoux (années 30-40 plus ou moins). Dans les années 50 on les faisait plutôt avec de la graisse de boeuf. Maintenant c'est à l'huile, et pour les barbares au micro-ondes.

Des frites cuites au saindoux ? :icon_up: Jamais entendu ça. C'étaient probablement les pauvres qui faisaient cela ! :doigt:

Sinon, toute friterie qui se respecte utilise du blanc de boeuf. L'huile et le micro-ondes, c'est bon pour les snacks turcs de bas étage.

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Pour ceux qui douteraient du caractère addictif du chocolat, je peux citer l'exemple de ma propre mère, qui à un moment dans sa vie avait pris l'habitude de grignoter des biscuits au chocolat devant sa télé. Au bout de quelques mois, c'était devenu une véritable assuétude. Elle a mis des semaines à s'en débarrasser, et les premieres semaines ont été dures pour toute la famille : maman était nerveuse et extrêmement irritable, le moindre incident prenait des proprtions dantesques.

Tout à fait convaincant, sauf que le chocolat, ça ne déboite pas la face, si tu vois ce que je veux dire, disons que ça te modifie moins ta perception du monde. Et c'est ça, l'effet principal des drogues.

Une fois que tu es dedans, tu n'es plus le même, et donc tes réflexions (si on peut appeler ça comme ça) sont profondément modifiées, notamment en ce qui concerne:

- la motivation (pas la peine de détailler, j'imagine)

- l'estime de soi (qui est celle d'un type qui fume 5 joints par jour)

- le moteur de ta vie (qui devient le shit)

Le problème est bien plus complexe qu'une simple affaire de volonté, à mon avis, ou de mauvaise humeur.

Je connais quelqu'un, qui a fait une école plutot très prestigieuse, et qui a eu un début de carrière tout à fait intéressant.

Cependant, la dernière fois qu'il a bossé, c'était il y a deux ans et demi (le type a mon age, soit 28 ans), il cherche à nouveau du taf, mais il a perdu pied à mon avis.

Pendant les deux ans, devine un peu à quoi il carburait: pétard, Warcraft, etc…

On ne peut pas faire comme si le cannabis et le chocolat était la même chose.

Comme toi, Constantin, je suis libertarien, tu connais donc bien évidemment mon avis sur les drogues, qui est le même que le tien, mais je crois que cela n'empêche pas de chercher à éclairer sérieusement le contexte de la prise de drogue à haute dose, qui n'est pas vraiment anodine, et qui modifie énormément la perception que l'on a du monde. (Quels choix sont possibles, ensuite? Peut-on choisir, décider, sans s'être pris une claque, avant? Est-on encore autonome?)

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que tu crois

Comparaison Frites-Drogues dures

1) L'accoutumance:

La première fois que tu manges des frites, souvent au restaurant ou a la friterie du coin qui vient d'ouvrir, tu les trouves succulentes et tu renouvelles l'expérience dès que tu le peux, généralement une semaine ou deux plus tard. Quelques mois plus tard, tu t'achètes ta propre friteuse et tu en fais chez toi. Tu prends l'habitude d'en manger toutes semaines et si tu n'as pas ta dose hebdomadaire, tu devient anxieux… Tu viens d'entrer dans le monde impitoyable de la drogue…

2) La tendance à prendre des drogues de plus en plus dures:

Plus tu manges des frites, plus tu deviens exigent envers elles. Les premières frites que tu as goûtées te semblent bien fades à côtés de tes exigences du moment. Tu deviens en quelque sorte plus mûr, tu commences à savoir apprécier ce qui est bon. Tu prends donc des frites de plus en plus grosses, de plus en plus roussies et de plus en plus grasses.

3) L'augmentation des doses:

Rapidement, ton petit cornet 60(FB) ne te satisfait plus. Il t'en faut plus pour assouvir ta faim. Tu passes donc par toutes les étapes: cornet 80, cornet 100, ensuite tu rajoutes une fricadelle, une viandelle, une boulette,… et bardaf, c'est l'embardée…

4) L'euphorie:

Il s'agit de cette sensation très particulière que connaissent tous les mangeurs de frites qui les plonge dans un état second terriblement agréable et unique.

5) Le coût:

Les frites peuvent vite devenir très cher pour les accrocs. En effet, un rapide calcul permet de dire qu'une personne mangeant un grand cornet avec mayonaise, une fricadelle et une boulette ou une viandelle matin, midi, soir, et une fois pendant la nuit dépense environ 35.000 FB par mois.

6) L'isolement social:

Il arrive un moment où tu as tellement mangé de frites, qu'en manger davantage devient l'unique but de ta vie. La friterie du coin devient ta seconde patrie. Tu t'y trouves plus souvent que chez toi et encore plus étonnant, plus souvent qu'au bistrot. Ta famille t'en veut et tes collègues de travail te considèrent comme un animal de foire.

7) La nocivité:

L'abus de frite nuit gravement à la santé: infarctus, artères bouchées, ennuis de respiration,…

Alors profite des frites avant qu'elles ne soient interdites par la loi… mais avec modération…

http://archives.jeuxonline.info/fils/166647.html

Excellent ! Bravo ! :icon_up:

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