-
Compteur de contenus
5 915 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
28
Tout ce qui a été posté par Mégille
-
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
C'est une insulte ? Ca m'a l'air d'être un type de club privé comme un autre, je n'ai jamais mis les pieds dans un truc comme ça, et je n'ai pas d'avis sur le sujet. Ca me semble toujours moins ridicule qu'une loge maçonnique, par exemple. (et puis bon, la plupart des membres du forum sont vraisemblablement assez doués, je ne pense pas manquer de pudeur en évoquant ça) -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Je croyais que seules les facs d'humanités étaient aussi atteintes Au fait, vous connaissiez l'existence des sociétés à haut qi ? @Lancelot, @Rincevent ? (je vous nomme car vous parlez souvent de qi) Il y a une séance de recrutement pour la Mensa samedi, vers Lyon, je vais aller y jeter un coup d'oeil, ils ne sélectionnent pas trop haut. La ISPE est beaucoup plus sexy, mais j'ai bien peur de ne pas avoir le niveau. Je me demande si on y rencontre plus de libertariens-compatibles ou plus de constructivistes dégénérés... -
Images fun et leurs interminables commentaires
Mégille a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Merde, pareil, ça fait des années que je traite des gens de pnj ou de "hylique" ! Surtout les secrétaires et autres bureaucrates, en fait. J'imagine que ça se recoupe pas mal avec les gauchistes. Me voilà fasciste, donc. -
Responsablité, capacités et lacets
Mégille a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
J'ai un peu de mal à croire qu'une personne sur dix soit incapable de faire ses lacets. Entre 70 et 90, tu dois bien pouvoir faire deux trois trucs utiles. A propos du Johnny Gupton de l'article, on ne connaît pas son qi exacte. Si la limite habituelle est à 83, m'est avis qu'il n'est pas à 82. TIL : on parle d' "idiot" de 0 à 25, de "imbecile" de 26 à 50, et de "moron" de 51 à 70. Bref, petits boulots pour les moins attardés (facilité par la suppression du smic et de l'école obligatoire), et aide plus ou moins grande (de l'accompagnement à l'assistance) familiale, communautaire et associative. Il faut aussi se demander dans quelle mesure les allocs et les emplois aidés ont un effet dysgénique. -
Responsablité, capacités et lacets
Mégille a répondu à un sujet de 0100011 dans Politique, droit et questions de société
J'ai un peu de mal à me représenter exactement les limites de ces gens, mais à 80, tu es tout de même capable de ramasser des poubelles, de faire le ménage, de ranger des courses dans un sac... non ? Première remarque : ces gens sont sans doute les premiers pénalisé par le SMIC, qui supprime en grande partie les seuls emplois qui leurs sont accessibles. Et de l'école obligatoire, qui leur fait perdre leur temps en exigeant d'eux des choses qu'ils ne pourront de toute façon pas faire, et les humilie au passage en leur imposant une échelle de valeur face à laquelle ils n'ont aucun espoir. Maintenant, qu'il y ait une toute petite minorité d'individus qui soit vraiment incapable de faire quoi que ce soit par eux même, ça, je n'en doute pas, et ça a toujours été le cas. J'ai l'audace de croire que la solidarité au sein de différent cercles sociaux (famille, association, paroisse éventuellement) peut suffire à leur entretient. -
Hm, assez inhabituel, de voir ce genre de sujet abordé sur france inter, non ? Va-t-on assister à un repositionnement de la gauche vis-à-vis l'Islam ?
-
Les droitards, quelle plaie
Mégille a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Oui, j'ai lu que Hong Kong fonctionne comme ça, mais je ne comprends pas très bien l'avantage. Notre prince ne peut plus faire de fausse monnaie lui-même, mais est-ce qu'on ne pâti tout autant des méfaits de la Fed ou de la BCE ? Est-ce que ça implique de donner le cours légal à telle monnaie, ou bien seulement de laisser les gens l'utiliser parce qu'ils la trouvent utile ?- 3 508 réponses
-
- extrême droite
- droitards
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Les droitards, quelle plaie
Mégille a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Politique, droit et questions de société
Hm... comment ça ? A bon ?- 3 508 réponses
-
- extrême droite
- droitards
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Images pas cool, justice sociale & steaks saignants
Mégille a répondu à un sujet de Lancelot dans La Taverne
J'adore le trigger warning au début du test ! Sinon... "La tendance des hommes à trouver des femmes jeunes et minces plus attirantes que les plus vieilles et les plus rondelettes a autant à voir avec les médias qu'elle a à voir avec la biologie."... comment on fait pour dire que les médias n'ont rien à voir là dedans ? (et qu'à la limite, s'il y a des facteurs culturels, que ceux-ci ne se limite pas à la pub ?) -
C'est probable, mais mine de rien, l'armé de Makhno a tout de même tenu un peu, en luttant contre deux fronts à la fois (les nazis et les rouges). Avec des monstres comme ça en face, on peut difficilement leur reprocher d'avoir perdu. Et le Rojava m'a l'air de bien se défendre, alors que ces voisins ne sont pas les plus paisibles que l'on puisse imaginer. Donc l'Histoire peut encore nous surprendre. Mais dans tous les cas, il y a des choses qui ne disparaissent pas, et les nord-syriens devront un jour ou l'autre choisir entre le marché et l'autorité.
-
J'avais l'intention d'écrire "le respect du droit naturel", mais j'ai voulu éviter le débat liborg qui aurait eu lieu derrière. (il y a toujours des mécréants qui refusent d'accepter le jusnaturalisme dans leur coeur)
-
L'individu 1 n'aurait pas de motivation pathologique, mais serait uniquement mu par la raison pure pratique. Il me semble qu'une bonne façon d'apprécier les éthiques strictement basé sur le devoir comme celle-ci est dans les cas d’héroïsme (alors qu'une éthique de la vertu s'illustrera mieux par un vieux sage). Imagine un homme qui risque sa vie pour sauver un enfant. N'auras tu pas tendance à juger son acte d'autant plus pur et noble qu'il est désintéressé ? Si notre homme aime sa vie mais va tout de même risquer sa peau, si personne ne le voit et qu'il n'aura aucune gloire à retirer de son acte, si tout ceci lui est parfaitement désagréable mais qu'il le fait tout de même par devoir, son acte sera jugé bien meilleur par la plupart des gens que s'il cherche inconsciemment à mourir, ou s'il n'est intéressé que par le prestige qu'il obtiendra. (bon, je ne sais pas dans quel mesure cet exemple est approprié puisque Kant estime que l'on a un devoir de préserver notre propre vie, mais tu vois l'idée générale). Si ce qui te gêne est l'absence de motivation sensible à bien agir, il me semble que Kant bricole un truc pour résoudre ce problème avec son histoire de respect. Je n'ai pas très bien compris d'où ça sort, mais le respect est sensé être un sentiment moral, un point de contact entre la sensibilité et la raison pure pratique donc. Dans la mesure où le respect que l'on a envers l'autre peut être compris comme l'un de nos "intérêts" au sens large que nous utilisons ici, alors, les actes moraux seraient non pas les actes désintéressés, mais une certaine catégorie d'actes intéressés. Oui, c'est déjà ce que lui reprochait Hegel, je crois. Hermann Cohen, fondateur de l'école néokantienne de Marbourg, estime que ce n'est pas tout à fait vrai, puisque le devoir d'éviter les conduites pathologiques constitue bel et bien un contenu concret. Il y a cette troisième formulation de l'impératif catégorique, selon laquelle il faut toujours être à la fois juge et législateur de sa propre action. Ce que ça signifie, pour ce que j'en comprends, est que l'on agit en nous donnant des règles à nous même, et que nous ne le faisons véritablement que lorsque nous nous les donnons de façon rationnel. En d'autre mot : on est libre que lorsque l'on obéit à la loi morale, puisque c'est la loi que nous nous donnons nous même. Et lorsque l'on viole la loi, nous ne sommes pas libre, c'est quelque chose d'autre qui agit sur nous, = pathologique. Devoir éviter ça est quelque chose de concret, dit Cohen. Je ne sais pas ce que ça vaut.
-
J'ai l'impression que les anars rouges ont tendance à croire qu'une fois débarrassé des flics et des prêtres, les gens se réuniront en communes et en coopératives et se mettront tous spontanément d'accord et que toutes les décisions seront prises à l'unanimité. Les conflits, la violence et la pauvreté sont attribués à des causes exogènes, et disparaîtront avec elle lors du grand soir. Partant de là, il n'y aurait effectivement plus vraiment d'autorité... Je ne pense pas que beaucoup soit encore d'accord avec Proudhon sur l'autorité paternelle. Ou sur l'existence de la famille tout court, d'ailleurs. (voir cette lettre à Proudhon de Joseph Déjacque, anarchiste communiste, dans laquelle -au passage- est utilisé pour la première fois, à ma connaissance, le mot "libertaire" dont libertarian était initialement la traduction) Les principaux points morts (outre leur vision de l'homme et leur espoir eschatologique) me semblent être : - qu'il soit plus facile de se mettre tous d'accord au sein d'un petit groupe, soit, mais si chaque chose est discutable par le groupe entier, jusqu'à la spiritualité d'un individu particulier, alors, plus qu'autoritaire, ça me semble même totalitaire. Le problème est qu'il n'ont pas lu Constant, et ne saisissent pas la distinction entre la liberté des anciens et celles des modernes. - que tous les groupes, communes, municipalités, collectifs, associations, coopératives, syndicats etc se mettent spontanément d'accord par des mécanismes de démocratie directe me semble difficilement imaginable. Donc, soit des mécanismes de marché verront le jour entre les communes, et ça glisserait vers un monde anarcap (inch allah c'est ce qui va se passer au Rojava), soit il y aurait une coordination autoritaire, et ça aboutirait à un modèle proche de la Yougoslavie de Tito ou du Kerala communiste (si on est optimiste). C'est sans doute ce qui se serait passé en Ukraine si Makhno avait réussit son coup, idem en Espagne.
-
Relatif ne veut pas dire subjectif. Si par subjectif on entend relatif à certains états d'âme de celui qui juge, alors tout ce qui est subjectif est relatif, mais l'inverse n'est pas vrai. Simmias est plus grand que Cébès, relativement à Cébès. La grandeur est relative, mais elle est tout à fait objective. Idem peut-être pour le très grand besoin de trouver de l'eau de celui qui est dans le désert, par rapport à quelqu'un d'autre qui vivrait à coté d'un puis. Il faut plus que cette relativité objective pour être libéral, mais le subjectivisme total à propos de la valeur n'est pas nécessaire. Il suffit d'une dose de subjectivité épistémique : même si je peux me tromper à propos de ce à quoi j'accorde de la valeur, personne n'est mieux placer que moi pour savoir ce qui est bon pour moi (à cause, entre autre, de la relativité objective des circonstances). Pour ce que j'en sais, c'est la position de l'école de Salamanque tant vanté par les autrichiens depuis Schumpeter. Un subjectivisme total à propos de la valeur pose même des problèmes supplémentaires, puisqu'on risquerait de relativiser même le NAP.
-
Intéressant, cette interprétation ! Bon, il me semble que juste après la parabole, alors que l'autre gars a été d'accord pour dire que la samaritain a été le prochain, Jésus continu par un truc comme "alors conduit toi comme lui". Mais effectivement, la question de départ était "qui est le prochain que je dois aimer"... hm, ambiguïté dans le texte. Je mets un 9/20 à Luc. Effectivement, pour Kant, agir conformément au devoir n'est pas suffisant, il faut agir par devoir... Un prétendu kantien qui ferait preuve de bonté en te disant qu'il n'en tire aucun plaisir serait peut-être agaçant, mais un type qui te dirais être bon envers toi parce qu'il est payé, par ce que quelqu'un d'autre l'y oblige, ou pour avoir l'air nice et choper ta soeur ensuite serait encore pire, non ? Agir par devoir n’exclus pas de tirer du plaisir de son action, hein. Et dans une perspective kantienne, si ça fait plaisir aux autres de croire que ça nous fait plaisir d'être gentil envers eux, et bien tant mieux pour eux. Mais dans tout les cas, l'enjeu de la morale n'est pas de faire plaisir ou non aux autres. Il s'agit d'obéir à une loi morale universelle, qui peut être formulé "considère l'autre comme une fin en soi et pas seulement comme un moyen". (utiliser l'autre comme un moyen pour se sentir bien n'est pas interdit... mais si c'est la seule raison pour laquelle on agit, ça n'a aucune valeur morale). Par contre, autant je vois comment avec Kant comment déduire qu'il ne faut pas tuer, voler, mentir, etc, autant j'ai plus de mal à voir quel place il peut accorder à la charité. Si j'étends à l'universel la maxime "je ne vais pas donner de sous à ce mendiant", je ne vois pas en quoi il en découlerait une contradiction pratique. Mais j'ai peut-être raté quelque chose quelque part. Mais de façon générale, les éthiques de la vertu sont beaucoup plus intuitives, je trouve.
-
Presse française 10x plus subventionnée qu'en Europe
Mégille a répondu à un sujet de Bastiat dans Politique, droit et questions de société
C'est fou tous ces fans de Mises qui s'ignorent !- 707 réponses
-
- 3
-
-
-
- subventions
- presse
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Presse française 10x plus subventionnée qu'en Europe
Mégille a répondu à un sujet de Bastiat dans Politique, droit et questions de société
J'ai même un prof qui nous l'avais sorti en cours, pour sous-entendre que l'économie n'est pas vraiment de la science... j'imagine que les mathématiques n'en sont pas non plus, contrairement à la littérature et à la paix.- 707 réponses
-
- 1
-
-
- subventions
- presse
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Tous les niveaux de la réflexion s'articulent et reposent ultimement les uns sur les autres, mais ils ont tout de même généralement suffisamment d'autonomie pour être traité séparément les uns des autres. Fondamentalement, c'est la génétique et la chimie moléculaire qui permettent de comprendre les mécanismes de l'hérédité et de la mutation à la racine du processus d'évolution, mais Darwin n'avait pas besoin de connaître tout ça (et de fait, il n'en savait rien), et il est tout à fait possible de réfuter un créationniste sans remonter à un niveau supérieur, tout comme il est possible de comprendre l'évolution tout en se trompant sur ce qu'il y a en amont (par exemple, Darwin avec drôle de théorie de la panspermie). Idem pour la défense de la liberté individuelle. Oui, il y a des fondements méta-éthiques, et sans doute même métaphysiques, mais remonter jusqu'à eux n'est ni nécessaire, ni forcément très pertinent. En l'occurrence, nous sommes d'accord pour dire que la question du libre-arbitre ne change pas grand chose ici. Pourtant, on peut difficilement la contourner quand on cherche les sources de la morale. Ca vole jamais bien haut, mais c'est un argument fréquent des gauchistes semi-éduqués et amateurs de sociologie. Le libéral aurait tort parce qu'il croit que les individus sont libres, c'est à dire qu'il croit au libre-arbitre, alors que les gens sont conditionnés par des déterminismes socio-culturels qui leurs font reproduire des structures de domination à travers lesquelles s'exercent des violences symboliques. Et donc le libéralisme, c'est l'esclavagisme.
-
Ca y est, j'ai trouvé ! La légende n'était pas un mythe, il existe bel et bien au moins une féministe libérale : https://en.wikipedia.org/wiki/Wendy_McElroy
-
J'ai adopté une double parade contre le socio-déterminisme de gauche, qui prétend pouvoir rejeter la liberté personnelle avec le libre-arbitre : - s'il n'y a pas de responsabilité individuelle, alors, il n'y a pas de responsabilité politique non plus. Pour croire que voter, militer, manifester etc ait le moindre intérêt, il faut d'abord reconnaître que l'on peut agir, et que l'on est responsable de ses actes. - si ce que prone le libéralisme n'est pas une vraie liberté à cause des habitus et des diverses déterminations sociales, alors, aucun système ne peut offrir de "liberté" ainsi entendu. A moins de croire en un libre-arbitre véritablement magique, pour le coup. Ca laisse en suspens le problème de la responsabilité et du déterminisme, mais ce n'est pas plus mal. C'est déja suffisamment le foutoir en politique pour ne pas y ramener l'encore plus gros foutoir de la métaphysique.
-
Bon, si "libertarien" est définitivement le nouveau mot pour "libéral", même en France, il va falloir se mettre à expliquer que Diderot, Constant, Mme de Stael et Flaubert étaient libertariens... Ca arrache un peu les oreilles, tout de même.
-
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Hier soir, j'ai fait chanter des louanges à Mises par des gauchistes. J'étais avec des amis (auxquels je n'ai pas encore fait mon coming out libéral) et je me mets à leur parler de l'école autrichienne d'économie... je leur parle de Menger et de Mises, deux noms qu'ils n'ont jamais entendu. Je leur parle du rejet de l'homo oeconomicus, des théories de l'équilibre et de l'usage des maths, que l'on peut soupçonner d'avoir pour vocation d'être un outil technocratique... et ils approuvent. Alors, je leur parle de la Methodenstreit, du conflit contre les soit-disant "socialistes de la chair" qui soutenaient Bismarck et dont les héritiers soutiendront Hitler, et je leur fait approuver le fait qu'il y a des lois universelles de l'économie que l'on peut comprendre en se demandant ce qu'est l'action humaine, ce qu'est la valeur, etc. Puis je leur fait une robinsonnade à la Mises, pour leur montrer comment on trouve la rareté, la préférence pour le présent, etc... encore une fois, ils approuvent et se montrent très intéressés. Alors je décide de pousser le vice un peu plus loin. Je leur dis que Hayek (un nom qu'ils reconnaissent avec effroi et stupeur) était un disciple de Mises, qui lui aussi rejetait l'usage des maths en économie etc, mais qui s'écartait de Mises pour se rapprocher un peu plus des néoclassiques. Ils me disent alors qu'ils trouvent que Hayek avait du coup sans doute un peu raison, mais moins que Mises, assurément. Puis je leur parle des objections de Nozick (un nom qu'ils reconnaissent avec haine et mépris) contre l'individualisme méthodologique en économie, et je leur parle de la réponse de Walter Block à Nozick, et ils me disent être entièrement d'accord avec Block Ils m'ont dit être très intéressés par le sujet, et de leur en reparler. J'ai hâte de leur dire que Mises considérait Hayek et Friedman comme des socialistes, mais je vais essayer de retarder ce moment pour maximiser leurs dissonances cognitives.