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École & éducation : Le temps des secrets


Messages recommandés

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Si tu veux, le sens de ma remarque, c’est que si les bonhommes ne savent pas lire ni compter en 4ème, c’est soit qu’ils sont trop stupides et qu’on gaspille de précieuses ressources dessus, soit que le primaire a failli à sa mission.

 

Et si le primaire a failli à sa mission, je le mets en bonne partie sur les pratiques pédagogiques modernes qui abandonnent la répétition au profit d’autre chose.

Posté

Cette histoire de Parcoursup est quand même symptomatique de la France actuelle.
 

On a un système bureaucratique fonctionnel par algorithme des mariages stables parce qu’on a su former des gens compétents. Les gauchistes et les juges se conjurent parce que « muh feelings ». Donc on remplace ça par un truc dysfonctionnel dont tout le monde se rend compte qu’il est dysfonctionnel mais personne ne peut revenir en arrière parce que seuls les associations gauchistes ont accès aux médias et à la justice.

Posté
8 hours ago, Bézoukhov said:

Cette histoire de Parcoursup est quand même symptomatique de la France actuelle.
 

On a un système bureaucratique fonctionnel par algorithme des mariages stables parce qu’on a su former des gens compétents. Les gauchistes et les juges se conjurent parce que « muh feelings ». Donc on remplace ça par un truc dysfonctionnel dont tout le monde se rend compte qu’il est dysfonctionnel mais personne ne peut revenir en arrière parce que seuls les associations gauchistes ont accès aux médias et à la justice.

 

Parcoursup c'est la suite d'APB.

APB qui a beaucoup été contesté car c'était le tirage au sort qui déterminait qui étais pris dans les filières sélectives (droit, médecine, STAPS, etc.)

J'avoue ne pas y voir un système "super" pour le coup.

 

Et passer d'une logique de tirage au sort à une logique de "meilleur dossier" pour déterminer qui est sélectionné dans une filière sélective, mais parait une évolution plus de "droite" que de "gauche".

 

Et ce sans que cela veuille dire que je défend parcoursup notamment à cause du biais de surnotation que cela engendre pour avoir le meilleur dossier pour SES élèves.

.

 

 

 

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Non. C’est le choix politique des universités qui était de tirer au sort.

 

Ce dont je parle c’est de l’abandon du calcul des mariages stables.

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15 minutes ago, Bézoukhov said:

Non. C’est le choix politique des universités qui était de tirer au sort.

 

Ce dont je parle c’est de l’abandon du calcul des mariages stables.

Ben parcoursup ne l'abandonne pas.

C'est même la base de parcoursup.

 

Ou alors j'ai raté quelque chose.

 

Quote

L’algorithme de Parcoursup est basé sur le principe des mariages stables, qui avait été développé par deux informaticiens (algorithme de Gale-Shapley).

https://etudiant.lefigaro.fr/vos-etudes/parcoursup/33958-algorithme-de-parcoursup-tout-savoir/

 

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Ah mais je viens de voir qu’après des années de catastrophe ils ont redemandé aux étudiants de classer leurs vœux (pas en amont mais au début de la phase de choix ; ce qui est complètement idiot mai sûrement un compromis pour faire plaisir aux gauchistes)

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TIL (ou alors je l'avais vu mais oublié) que "donc" n'est plus une conjonction de coordination comme je l'avais appris mais est dorénavant considéré comme un adverbe.

 

https://pedagogie.ac-montpellier.fr/sites/default/files/ressources/Donc%2C mot coordonnant mais pas conjonction de coordination.pdf

 

Quote

« Par son comportement syntaxique et notamment par sa grande mobilité, le coordonnant donc appartient de plein droit à la classe des adverbes de relation et non à celles des conjonctions de coordination, où on le range traditionnellement. »

 

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Dès 2026, le bac de mathématiques aura lieu à la fin de l’année de première

 

Citation

Cette épreuve écrite, d’une durée de deux heures, sera affectée d’un coefficient 2, précise l’arrêté. L’épreuve de grand oral en terminale, elle, ne sera plus affectée que d’un coefficient 8 en voie générale (contre 10 actuellement) et 12 en voie technologique (contre 14 aujourd’hui). Notée sur 20 points, l’épreuve anticipée de maths comportera deux parties : «un questionnaire à choix multiples visant à évaluer la maîtrise des automatismes» et «deux à trois exercices permettant de vérifier la bonne mobilisation des connaissances et compétences» en mathématiques, détaille un communiqué du ministère de l’Éducation nationale.

 

De pire en pire...

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  • Huh ? 2
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À un moment on peut se demander si ce n'est pas fait exprès, depuis quinze ans les élèves français voient leur niveau baisser (pour ne pas dire s'effondrer) en mathématiques et on propose pour remédier à ça une épreuve qu'il sera très facile de bachoter et qui sera prise en compte par Parcoursup (c-à-d des hordes d'élèves qui feront des dizaines de fois les mêmes exercices incités par leurs enseignants au lieu d'essayer d'avancer sur le programme)...

  • Yea 1
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Super : un petit QCM foireux coefficient 2 qui, de toute façon, sera facilement compensé en cas d'échec par un oral bidon ayant un poids 4 fois plus important ! Pas de doute : on sent une vraie volonté de revaloriser les maths à l'EN ! :facepalm:

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Si les gens au Ministère sont malins, ils mettront une épreuve bien corsée et difficile à bachoter. Le coefficient faible permettrait alors de faire passer la pilule de notes beaucoup plus faibles que d'habitude en moyenne, et il y aurait probablement des effets positifs à la fois sur la sélection dans le supérieur et l'enseignement en Première. Le problème c'est le statut actuel de la Spécialité Maths en Première, qui mélange des élèves à profil scientifique et des élèves qui auraient été auparavant dans la filière ES.

 

Verdict en 2026.

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Imaginez la scène, des collégiens et des lycéens qui s'emmerdent, on leur fait sauter un cours pour qu'ils assistent à une vague conférence et là paf... ils se mettront à rêver de faire des mathématiques à longueur de journée ! 

 

Aussi cette façon navrante de vouloir toujours décerner des brevets en républicanisme ou en intérêt civique à tout et n'importe quoi :

Citation

Elles sont le langage universel des sciences, qui nous apprend à raisonner, à bâtir une pensée structurée et éclairée sur le monde

Citation

Plus profondément encore, notre démocratie a besoin de mathématiques. 

Plus grandiloquent svp. :paris:

 

Ce serait quand même assez facile de remettre un système proche de celui des classes de niveau et peut-être de rajouter une heure d'études surveillées chaque soir avec une liste d'exercices à faire en fonction de la classe dans laquelle on est assigné.

Posté

Alors que tu pourrais supprimer l’EPS, la musique, les arts plastiques, la techno et payer plus les profs de maths. Mais peut être que la démocratie n’y survivrait pas. 

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il y a 30 minutes, Daumantas a dit :

Imaginez la scène, des collégiens et des lycéens qui s'emmerdent, on leur fait sauter un cours pour qu'ils assistent à une vague conférence et là paf... ils se mettront à rêver de faire des mathématiques à longueur de journée ! 

 

Dans le milieu d'où vient le directeur de l'X, c'est sûrement vrai. Mais tout le problème, c'est qu'on envoie des professeurs en face de cassos qui sont tout l'opposé de ce milieu _o_. Et donc que personne ne veut faire prof.

Posté

Le plus important dans cet article est de constater que c'est le directeur de Polytechnique qui s'inquiète. Je l'ai déjà dit de nombreuses fois ici (je sais, je radote !) : l'effondrement du niveau en maths concerne tout le monde. L'"élite" des élèves d'aujourd'hui a un niveau beaucoup plus faible que celui d'il y a 10 ans, 20 ans. De même, l'élite française est d'un niveau moyen quand on la compare à d'autres pays. 

 

Les choses bougeront peut-être dans l'EN quand les parents des CSP++ se rendront compte qu'ils ont payé pour leurs gamins des etudes qui ne les distinguent plus guère de la masse. Mais amha ça prendra du temps pour qu'ils s'en rendent compte. Et ce sera trop tard pour corriger le tir rapidement. Il y aura au moins une génération sacrifiée. 

  • Yea 3
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il y a 18 minutes, Largo Winch a dit :

quand les parents des CSP++ se rendront compte qu'ils ont payé pour leurs gamins des etudes

Il est hélas rare qu'ils paient, notamment dans les filières les plus élitistes. Une partie importante du problème vient directement de ce fait.

Posté
41 minutes ago, Rincevent said:

Il est hélas rare qu'ils paient, notamment dans les filières les plus élitistes. Une partie importante du problème vient directement de ce fait.

Un gamin qui étudie cela te coûte du pognon, même si ce n'est pas l'école en elle-même.

 

 

Posté
11 hours ago, Bézoukhov said:

Tiens, l'élite commence à percoler le problème : https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/06/24/creons-une-reserve-citoyenne-des-mathematiques-a-l-image-de-la-reserve-operationnelle-de-la-defense_6615556_3224.html

 

Comme tout bon fonk français, il propose une solution rigolote.

Tiens en passant s'il te plaît tu as un avis sur les traductions françaises des méthodes Singapour ? Au niveau primaire et bientôt sixième.

Posté
à l’instant, Mathieu_D a dit :

Tiens en passant s'il te plaît tu as un avis sur les traductions françaises des méthodes Singapour ? Au niveau primaire et bientôt sixième.

C'est le fils de Philippe Nemo qui les édite. C'est très probablement très bien fait 

Posté
Il y a 3 heures, Largo Winch a dit :

e plus important dans cet article est de constater que c'est le directeur de Polytechnique qui s'inquiète.

 

Il y a 3 heures, Largo Winch a dit :

Les choses bougeront peut-être dans l'EN quand les parents des CSP++ se rendront compte

 

Justement, ce genre d'article, je pense que c'est le début de la prise de conscience. Assez bizarrement, la réforme Blanquer semble avoir été salutaire parce qu'elle a rendu socialement acceptable le fait de dire que le roi était nu (souvent avec le paravent d'une forme de féminisme).

Posté
Il y a 5 heures, Rincevent a dit :

Il est hélas rare qu'ils paient, notamment dans les filières les plus élitistes. Une partie importante du problème vient directement de ce fait.

 

Je comprends le message de Largo comme payent avec leurs impôts.

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il y a 23 minutes, Bézoukhov a dit :

Je comprends le message de Largo comme payent avec leurs impôts.

Largo dixit : "quand ils se rendront compte qu'ils ont payé". Le principe des impôts modernes, c'est au contraire d'empêcher les gens de se rendre compte de ce pour quoi ils ont payé, et de combien ils ont payé. 

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11 hours ago, Largo Winch said:

Et ce sera trop tard pour corriger le tir rapidement. Il y aura au moins une génération sacrifiée. 

La question, c'est comment revenir au niveau une fois que les profs eux mêmes sont issues des générations qui considèrent qu'une règle de trois c'est trop dure pour le bac? C'est un peu ce qui m'inquiète le plus avec la trajectoire du système éducatif français.

Posté
il y a 28 minutes, Jensen a dit :

La question, c'est comment revenir au niveau une fois que les profs eux mêmes sont issues des générations qui considèrent qu'une règle de trois c'est trop dure pour le bac? C'est un peu ce qui m'inquiète le plus avec la trajectoire du système éducatif français.

Rattraper du capital humain saboté pendant une ou deux générations, ça prend du temps...

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«Malgrés que», «comme même», «de base»… Le niveau inquiétant des candidats au concours des professeurs des écoles

 

Citation

Une note de 6 sur 20 pour l’académie de Créteil, 7 pour celle de Versailles, 8 pour Paris et Orléans-Tours. Comment ne pas s’alarmer de ces faibles « barres » d’admissibilité au concours de professeurs des écoles 2025 ? Un phénomène d’autant plus inquiétant qu’il est ancien. Ces notes seuils, qui permettent d’accéder à l’oral, ont eu tendance à chuter ces dernières années. Mais elles sont aussi disparates selon les territoires. Pour Rennes, l’académie la plus performante, la barre se situe à 13,25.

[...]
Les rapports des jurys permettent également de se faire une idée du niveau des aspirants professeurs des écoles. « Près de 25% des copies contiennent plus de dix erreurs orthographiques  ou syntaxiques, avec des fautes récurrentes telles que “malgrés que”, “parmis”, “comme même“, “le champs lexical”, et des confusions entre homophones (a/à, ce/se) », constate le jury de l’académie d’Amiens pour l’épreuve de français du concours 2024. « De nombreux candidats n’adaptent par leur niveau de langue dans le cadre du concours, en employant des expressions telles que “de base”, ajoute-t-il. Les plus faibles copies témoignent d’une absence de maîtrise des connaissances de niveau collège, voire élémentaire (sujet/verbe, nature/fonction, familles de mots). » Orthographe et syntaxe préoccupantes, confusion entre les temps et les modes, maîtrise fragile de l’usage de la virgule… Ces constats généraux s’imposent dans toutes les académies.

L’épreuve de français 2024 s’appuyait sur un extrait du livre Quand tu écouteras cette chanson, de Lola Lafon, sur les pouvoirs de l’écriture. Dans une question portant sur le lexique, les candidats devaient expliquer le sens du mot « apatride » dans la phrase : « C’est un geste apatride que celui d’écrire. » Les jurys ont constaté que, si le sens premier du terme était souvent ignoré, son sens figuré, utilisé dans le texte, l’était plus encore. L’épreuve de réflexion, elle, suscite des observations parfois désespérées des examinateurs.

« Le jury a parfaitement conscience que les candidats n’ont pas tous suivi un parcours de lettres. Aussi attendait-il également des références empruntées à des domaines très larges. En revanche, les références à Disney ou à Mylène Farmer, sans être totalement rédhibitoires, sont en deçà des attendus à ce niveau d’étude », observe le rapport de l’académie de Reims, qui relève par ailleurs des références artificielles, Germinal pouvant être attribué à Balzac et Les Fleurs du mal à Victor Hugo. D’année en année, les références littéraires se font plus difficiles. Harry Potter  et Game of Thrones ont supplanté Madame Bovary. « De nombreuses copies en restent à des exemples de seconde main, lointains souvenirs du passé de collégien du candidat ou de lectures adolescentes », constate l’académie de Paris, qui tient à rappeler que 1984 n’est « pas une œuvre d’Orson Welles, mais de George Orwell ». 

 

Si les références Game of thrones c'est la série de livre et pas la série ça va encore, puisqu'on y trouve de bonne citation, dans la fantaisie en général. Madame Bovary voilà quoi 


 

Citation

L'épreuve de mathématiques met, elle aussi, en lumière des difficultés sur les compétences de base. Méconnaissance de la formule de calcul de la circonférence, confusion entre nombres impairs et nombres négatifs, questions algorithmiques utilisant le logiciel Scratch peu réussies, idée répandue que « diviser rend plus petit », fragilités sur les nombres décimaux, les pourcentages, les fractions… Une série de lacunes que l’on retrouve précisément chez les élèves. En septembre 2023, le Conseil scientifique de l’Éducation nationale (CSEN) avait tiré la sonnette d’alarme en publiant une note pointant un « énorme déficit de compréhension des fractions » à l’entrée en sixième. À la question « Combien y a-t-il de quarts d’heure dans 3/4 d’heure ? », seule la moitié des élèves sortant de CM2 donnait la bonne réponse. À l’école primaire, rares sont les enseignants qui ont suivi une formation universitaire scientifique.

[...]

Selon la direction des ressources humaines de l’Éducation nationale, la garantie d’un recrutement de qualité est estimée à quatre candidats par poste. Dans le concours de professeur des écoles, seules les attractives académies de Rennes et Bordeaux dépasseraient ce seuil, quand celles de Versailles et Créteil comptent moins de candidats que de postes à pourvoir, selon une récente note du haut-commissariat à la Stratégie et au Plan.

Cette année, quelque 500 postes de professeurs des écoles n’ont pas été pourvus à l’issue des concours, dont les résultats viennent de tomber. C’est moins qu’en 2024, où 956 postes étaient restés vacants. Mais cette apparente bonne nouvelle cache une autre réalité. Consciente des difficultés de recrutement, l’Éducation nationale a pragmatiquement augmenté le nombre de postes ouverts dans les académies qui font le plein d’admis et l’a diminué dans celles qui sont traditionnellement déficitaires. Malgré cela, sur les 1037 postes ouverts à Créteil, 406 n’ont pas été pourvus. À Versailles, 590 postes sont restés vacants sur les 1230 offerts. Comme chaque année, ces deux académies attendent maintenant les résultats de leurs concours « supplémentaires », qui offrent chacun 250 places. Sans garantie aucune de les pourvoir, sauf à baisser drastiquement les exigences.

Alors que des classes se trouvent sans professeur dès le mois de septembre (3200 manquaient à la rentrée 2024) et que le non-remplacement des enseignants absents suscite de plus en plus de crispations, les contractuels sont la planche de salut de l’Éducation nationale. Ces personnels précaires, moins bien payés, et recrutés à bac + 3, bien qu’encore minoritaires (10% dans les collèges et lycées, 2% à l’école primaire), sont chaque année plus nombreux.

[...]
Très critiques, les étudiants décrivent une formation déconnectée de la vraie vie, où la gestion de classe et la pédagogie sont bien souvent oubliées au profit de la théorie. Un jeune enseignant explique ainsi qu’il n’a rien appris des « différents troubles des élèves », alors même que les enseignants, à l’heure de l’« école inclusive », sont « de plus en plus sollicités sur ces sujets ». 

« On n’a aucun cours sur “comment gérer une classe”, ou alors c’est fait par des grands théoriciens qui ont 65 ans. Ils n’ont plus vu d’élèves depuis trente-cinq ans. Ils ont encore une vision de leurs belles années, avec le maître qui avait un peu l’autorité suprême », se souvient un enseignant démissionnaire. Le choc avec le réel est parfois violent. D’ailleurs, les démissions intervenant au cours des premières années ne sont plus rares, tout comme les démissions en général. En 2022, ces départs représentaient 15% des sorties annuelles, contre 2% en 2012. Beaucoup de jeunes enseignants évoquent leur solitude et le manque de soutien de la haute hiérarchie. « Si on a un problème, il vaut mieux ne rien dire. Si on leur en parle, ça va se retourner contre nous », témoigne un autre démissionnaire. « Dans mon établissement, un étudiant a agressé une enseignante avec des ciseaux. C’est un enfant difficile à gérer qui nous a déjà posé beaucoup de problèmes. On a appelé l’inspecteur, qui nous a dit “bon courage”. On est abandonnés par la hiérarchie », raconte un étudiant de master en stage dans l’établissement.

 

  • Yea 1

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