NoName Posté 8 juin 2019 Signaler Posté 8 juin 2019 Dans ce cas là je fais remarquer que si je peux pas parler des noirs alors l'inverse est vrai aussi: les noirs n'ont aucune idée de ce que vivent les blancs 3
Mégille Posté 8 juin 2019 Signaler Posté 8 juin 2019 Les "théories critiques" ont tendance à considérer que la réalité sociale, qui est un système de domination, ne se laissent comprendre que du point de vue des dominés. Je ne sais pas si c'est un postulat de base, ou si ils ont des arguments en faveur de cette drôle d'idée.
Johnathan R. Razorback Posté 8 juin 2019 Signaler Posté 8 juin 2019 Il y a 2 heures, Demetra a dit : qui est donc le 'raciste' dans l'histoire ? C'est elle. C'est ni plus ni moins que du polylogisme et tu aurais dû lui répondre qu'elle pense comme un raciste du 19ème ou comme un nazi.
Johnathan R. Razorback Posté 8 juin 2019 Signaler Posté 8 juin 2019 il y a 25 minutes, Mégille a dit : Les "théories critiques" ont tendance à considérer que la réalité sociale, qui est un système de domination, ne se laissent comprendre que du point de vue des dominés. Je ne sais pas si c'est un postulat de base, ou si ils ont des arguments en faveur de cette drôle d'idée. C'est du marxisme culturel abolitionnisme de structure. Althusser disait qu'un ouvrier était beaucoup plus apte qu'un intellectuel petit-bourgeois à comprendre Le Capital car ... ça parle de son vécu !
Rübezahl Posté 8 juin 2019 Signaler Posté 8 juin 2019 il y a une heure, Mégille a dit : Les "théories critiques" ont tendance à considérer que la réalité sociale, qui est un système de domination, ne se laissent comprendre que du point de vue des dominés. Je ne sais pas si c'est un postulat de base, ou si ils ont des arguments en faveur de cette drôle d'idée. C'est surtout une idée qui se voudrait super commode. ça devrait permettre de se dispenser d'argumentation, remplacée par l'exhibition de son statut incontestable. La mort de toute discussion intellectuelle, la personne qui brandit son statut en premier gagne par KO. Bref, nul. Encore un truc de paresseux gauchiste. 2
Demetra Posté 8 juin 2019 Signaler Posté 8 juin 2019 Merci pour vos retours et vos références. Elle reste logique dans son raisonnement en me disant qu'elle ne connait pas la vie des hommes blancs cis-genre donc elle ne peut pas s'exprimer sur eux (par exemple). Mais je suis pas rentrée plus dans le débat. Encore moins le racisme anti-blanc. J'avais déjà discuté de cela avec d'autres connaissances et d'après eux, c'est des conneries, ça n'existe pas le racisme anti-blanc. Ok ... Pour revenir à mon amie, pour elle y a des sujets sur lesquels y a pas de débat à avoir. Elle m'a sorti l'avortement, au-delà de la couleur de peau. Elle ne comprend pas pourquoi des hommes s'expriment sur le sujet. Cette discussion est partie du fait qu'elle disait qu'elle ne supportait pas qu'on lui dise qqch de déplacé sur sa couleur. Qu'il fallait le dire aux gens qui abusent, que la connerie et le mal cessent. Déplacer la gêne comme elle appelle ça. J'ai eu beau lui faire remarquer que la bêtise et le mal c'est des notions relatives à chacun et qu'elle ne pouvait pas changer les gens, elle s'est obstinée malgré tout. Et selon elle, ce n'est pas du tout une question de liberté d'expression ...
NoName Posté 8 juin 2019 Signaler Posté 8 juin 2019 Les hommes n'ont rien à dire mais ils redeviennent accountable quand il s'agit de payer la pension alimentaire, bizarrement. Cela dit elle a pas l'air sauvable donc au pire, essaie la technique contraire: exagère et amplifie. Tu la convaincra peut être pas mais tu vas bien te marrer. 1
Wayto Posté 8 juin 2019 Signaler Posté 8 juin 2019 il y a 59 minutes, NoName a dit : Cela dit elle a pas l'air sauvable donc au pire, essaie la technique contraire: exagère et amplifie. Tu la convaincra peut être pas mais tu vas bien te marrer. C'est pas en une conversation que tu changes radicalement des gens.
NoName Posté 9 juin 2019 Signaler Posté 9 juin 2019 Il y a 12 heures, Wayto a dit : C'est pas en une conversation que tu changes radicalement des gens. C'est pas en parlant avec les gens. Une conversation ou mille ni changera rien. C'est en faisant une inception, comme disait filthyjohn, tu fous le feu à la forteresse l'air de rien. C'est pour ça que les punchlines sont plus efficaces que les grands débats. 1
Loi Posté 11 juin 2019 Signaler Posté 11 juin 2019 Itw très sympa de Bret Easton Ellis à l'occasion de la sortie de son dernier ouvrage. 2
Soda Posté 15 juin 2019 Signaler Posté 15 juin 2019 Une vidéo rare qui montre le fonctionnement d'une classe d'anglais en URSS, la qualité de l'image est bluffante. 2 1
Salim32 Posté 15 juin 2019 Signaler Posté 15 juin 2019 Une vidéo rare qui montre le fonctionnement d'une classe d'anglais en URSS en UKRSSS Comme on peut terminer aliéné à ce point ... ? l'étudiant essaye habilement de le pousser vers l'"Error404 : Does Not Compute" mais n'arrive pas à faire sauter les barrières. Impressionnant 2
Waren Posté 15 juin 2019 Signaler Posté 15 juin 2019 "Tu as choisi de réagir d'une manière qui est contraire à la politique". Effrayant ! 3
Johnathan R. Razorback Posté 15 juin 2019 Signaler Posté 15 juin 2019 Si je puis me permettre ce "prof" est un Adolf Eichmann en puissance: "L'autorité a dit que donc j'obéis, même si je ruine totalement la légitimité scientifique censé être la raison d'être de mon activité. Et non seulement j'obéis mais je fais du zèle en essayant de prouver qu'au fond j'ai raison". 3
Salim32 Posté 15 juin 2019 Signaler Posté 15 juin 2019 Comme disent certain vieux de mon entourage : "On sait de quel coté tu aurais été pendant la guerre"
Lancelot Posté 15 juin 2019 Signaler Posté 15 juin 2019 Je trouve le prof très ouvert d'esprit. Dans le contexte actuel en UK il aurait pu juste balancer un milkshake à la gueule du malpensant. 1
Marlenus Posté 15 juin 2019 Signaler Posté 15 juin 2019 Put1 de décadence. Depuis quand on discute avec un élève? Un élève qui tente de contredire le prof, c'est 2h de colle et puis c'est tout. 6
Noob Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 10 hours ago, Johnathan R. Razorback said: Si je puis me permettre ce "prof" est un Adolf Eichmann en puissance: "L'autorité a dit que donc j'obéis, même si je ruine totalement la légitimité scientifique censé être la raison d'être de mon activité. Et non seulement j'obéis mais je fais du zèle en essayant de prouver qu'au fond j'ai raison". On sent bien dans la voix qui tremble la colère du type au bord de la crise de rage. Inquiétant.
Jukebox Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 On sent qu'ils ont foi en leurs opinions. Un avis discordant ? Solution A : avancer ses arguments comme quoi il existe bel et bien plus de deux genres et, ainsi, amorcer une discussion avec l'élève tout en respectant sa liberté d'exprimer son opinion. Solution B : "Barre-toi de cette classe, on n-ne c-contredit pas le Part... enfin l'idéolo... merde, la politique éducative de notre démocratie libérale !" Même en Chine, j'ai vu des professeurs et des élèves librement discuter à propos du régime, au sein de l'université. Un peu comme si un unijambiste te battait au 100 mètres : la honte.
Mégille Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 Comme quoi, les critères de sélection des profs ne sont pas forcément très élevé en GB non plus. Ca me trigger, cette histoire de 2 genres ou plus. Même les gender studies ne parlent pas vraiment de plus de 2 genres. Il y a des hétéros, des homos, des bi (comme dans 2, tiens donc) et des asexuels, mais ça, c'est l'orientation, pas le genre. Il y a des d'intersexués, mais ça, c'est le sexe, toujours pas le genre. Il y a des trans et des cis, mais si on définit le genre comme l'auto-identification, alors, l'homme trans est un homme autant que l'homme cis, prétendre le contraire et dire qu'il s'agit d'un genre supplémentaire reviendrait à de la transphobie, d'après leurs critères. Il y a des gender fluid, mais ça veut dire être tantôt l'un, tantôt l'autre. Si être fluid était un troisième genre, alors, les fluids seraient ce troisième genre en permanence au lieu d'être tantôt homme tantôt femme, et ne seraient donc pas fluid. Et puis, viennent les "non-binaires". Mais c'est un terme négatif. Comment une absence de genre serait-elle un genre supplémentaire ? Et est-ce qu'il y a vraiment besoin de rajouter quelque chose à propos des "two spirits" ? Pour leurs défenses, prétendre qu'il n'y a que deux genres "d'après la science" est un peu bête. Tout au plus on peut dire qu'il y a deux types sexuels chez les animaux et la plupart des plantes d'après la biologie. Mais on parle de sexe, pas de "genre". Et puis, "la science" ne dit rien, il y a "des sciences", au sein desquels s'établissent provisoirement des consensus différents, et les gender studies prétendent être une science à coté de la biologie (institutionnellement, c'est le cas...). Mais bon, heureusement, les genderistes sont suffisamment idiots pour avoir "déconstruit" le concept de sexe dont ils ont besoin pour définir, par la négative, leur concept de genre. Et comme montré plus haut, d'après eux même, il n'y en a que deux. 2
poincaré Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 peut-on considérer les gender studies comme une science avec ses méthodes propres pour le seul motif qu'elles on tpour but d'étendre la connaissance/traiter un sujet sous un autre angle alors qu'il y a un versant idéologique en contrariété avec l'exigence scientifique d'impartialité ? quels sont les critères pour considérer qu'un champ de recherche appartient au domaine scientifique ?
Mégille Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 Et bien, il y a plusieurs approches... On te dira que la pure objectivité n'est pas possible, que l'activité du chercheur est toujours située dans un contexte socio-économique donné, etc. J'ai tout de même cette tendance bachelardienne à croire que ça ne devient de la science qu'à partir du moment où il y a une rupture avec tout ça. On s'élève à la scientificité en se coupant de nous même, de notre imagination, de nos passions contingentes, etc. Mais je ne sais pas ce que Bachelard pensait des sciences humaines. La théorie du genre a, je crois, un partie-pris épistémologique issu de la "théorie critique" de Horkeimer. Par opposition aux "théories traditionnelles", qui sont le produit des intérêts d'une classe dominante, une théorie critique est sensée être réflexive, et viser un changement de la société. Bien sûr, tout ça est un produit du marxisme universitaire à l'occidentale (qui se concentre sur le jeune Marx, philosophe plus que économiste). Quand on lit les thèses sur Feuerbach de notre barbu préféré : Citation I Le principal défaut, jusqu'ici, du matérialisme de tous les philosophes – y compris celui de Feuerbach est que l'objet, la réalité, le monde sensible n'y sont saisis que sous la forme d'objet ou d'intuition, mais non en tant qu'activité humaine concrète, en tant que pratique, de façon non subjective. C'est ce qui explique pourquoi l'aspect actif fut développé par l'idéalisme, en opposition au matérialisme, — mais seulement abstraitement, car l'idéalisme ne connaît naturellement pas l'activité réelle, concrète, comme telle. Feuerbach veut des objets concrets, réellement distincts des objets de la pensée; mais il ne considère pas l'activité humaine elle-même en tant qu'activité objective. C'est pourquoi dans l'Essence du christianisme, il ne considère comme authentiquement humaine que l'activité théorique, tandis que la pratique n'est saisie et fixée par lui que dans sa manifestation juive sordide. C'est pourquoi il ne comprend pas l'importance de l'activité "révolutionnaire", de l'activité "pratique-critique". II La question de savoir s'il y a lieu de reconnaître à la pensée humaine une vérité objective n'est pas une question théorique, mais une question pratique. C'est dans la pratique qu'il faut que l'homme prouve la vérité, c'est-à-dire la réalité, et la puissance de sa pensée, dans ce monde et pour notre temps. La discussion sur la réalité ou l'irréalité d'une pensée qui s'isole de la pratique, est purement scolastique. Pour eux, la pratique vient avant la théorie, et l'objectivité d'une théorie n'est rien d'autre que son effectivité pour changer la société (il y a une forme de proto-pragmatisme déviant là dedans...) Ca ne peut pas aller à l'encontre de leur conception de la science, puisqu'il définisse ainsi la science. Mais je ne suis pas sûr qu'ils soient allés, dans leur lecture, jusqu'au paragraphe d'en dessous : Citation III La doctrine matérialiste qui veut que les hommes soient des produits des circonstances et de l'éducation, que, par conséquent, des hommes transformés soient des produits d'autres circonstances et d'une éducation modifiée, oublie que ce sont précisément les hommes qui transforment les circonstances et que l'éducateur a lui-même besoin d'être éduqué. C'est pourquoi elle tend inévitablement à diviser la société en deux parties dont l'une est au-dessus de la société (par exemple chez Robert Owen). La coïncidence du changement des circonstances et de l'activité humaine ou auto-changement ne peut être considérée et comprise rationnellement qu'en tant que pratique révolutionnaire. Etant donné qu'ils n'affichent pas de volonté révolutionnaire, mais qu'ils cherchent à agir par réformes, soit ils cachent bien leur jeu, soit ils sont heureux à l'idée de devenir la nouvelle partie supérieure de la société. 1
Lancelot Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 4 hours ago, Mégille said: Même les gender studies ne parlent pas vraiment de plus de 2 genres. Il faut distinguer au moins deux mouvements dans la déconstruction. L'origine est, d'après ce que je comprends, à chercher du côté de l'anthropologie. L'observation d'autres cultures a mis en évidence des différences possibles dans ce qui est considéré comme masculin ou féminin ou même l'existence potentielle de catégories à part. Homme et femme n'étant donc pas des concepts invariables et universels, "le genre" peut être considéré en tant que sujet d'étude. Le second temps se passe cette fois-ci du côté de la biologie, et plus particulièrement diverses conditions typiquement génétiques qui rendent le sexe d'un individu donné ambigu. Dans ce cas une décision est prise par la société (représentée par exemple par un médecin) qui assigne un sexe à l'enfant avec des conséquences plus ou moins heureuses. C'est ce qui permet la fameuse conclusion "biological sex is a social construct". 2
NoName Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 On remarque quand même un joli saur lacantique entre "il existe un nombre restreint mais réel de situations où le concept d'homme et femme est difficile à appliquer" à "homme et femme sont de pures constructions sociales sans bases biologiques" 5
Mégille Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 il y a une heure, Lancelot a dit : l'existence potentielle de catégories à part. Je n'ai pas encore tout regardé, mais dans la plupart des cas, il s'agit bien soit d'homme qui s'habillent comme des femmes, soit de femme qui s'habillent comme des hommes. Ca ressemble quand même pas mal à ce qu'on appelle transexualité/trans-genre. Les jugements de valeur à leur sujet ne sont pas ceux auxquels on est habitué, et il s'agit moins d'individus libérés des normes que occupant une catégorie traditionnelle. Mais s'agit-il vraiment d'un autre phénomène ? Que les tradis trans soient souvent perçus, dans leur société, comme "ni tout a fait homme, ni tout à fait femme", ou encore les deux à la fois, peut tout simplement signifier qu'ils sont bien reconnu comme homme/femme, bien que personne ne soit dupe, et que tout le monde sache qu'ils sont biologiquement mâle/femelle (et agisse différemment en conséquence). En tout cas, il me semble assez abusif d'affirmer Citation Worldwide, the sheer variety of gender expression is almost limitless. Même si le nombre de combinaisons genre/sexe/orientation (plus deux ou trois autres critères, peut-être) est supérieur à deux, il n'est sûrement pas illimité. Et il faut reconnaître qu'à travers toutes les cultures, certaines combinaisons (deux, en particulier...) sont beaucoup plus fréquentes que d'autres.
Lancelot Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 @NoName et @Mégille vous soulignez ce qui est à mon sens un problème chez les déconstructionnistes de manière générale : la croyance que, sous prétexte qu'on a trouvé une exception ou un cas marginal où un modèle ne s'applique pas parfaitement, alors ce modèle perd toute pertinence.
Rübezahl Posté 16 juin 2019 Signaler Posté 16 juin 2019 Il y a 2 heures, NoName a dit : On remarque quand même un joli saur lacantique entre "il existe un nombre restreint mais réel de situations où le concept d'homme et femme est difficile à appliquer" à "homme et femme sont de pures constructions sociales sans bases biologiques" C'est une astuce de base pour la malhonnêteté intellectuelle. Ce qui est effrayant est de voir à quel point tout le monde fait mine de ne pas voir une aussi grosse ficelle (?).
Largo Winch Posté 17 juin 2019 Signaler Posté 17 juin 2019 Quote Laurent Ruquier : "Nous vivons sous la dictature de Twitter et de Marlène Schiappa" "Nous avons tout simplement changé d’époque. On l’a bien vu avec les propos de Christine Angot sur l’esclavage. Ou chez nos confrères de RMC avec les mises à pied de Daniel Riolo et Jérôme Rothen, tous deux sanctionnés pour avoir évoqué, certes avec lourdeur, les frasques du Brésilien Neymar : on ne peut plus rien dire sur quoi que ce soit", estime-t-il. (...) "Nous vivons sous la dictature de Twitter et de Marlène Schiappa. Nous sommes en permanence la proie des lobbies, des associations, des corporatismes catégoriels, du communautarisme…", déplore-t-il. Il reproche à la secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes d’utiliser Twitter pour faire pression sur les chaînes et les journalistes. (...) Et si le réseau social en est le symptôme, la maladie viendrait, selon l’animateur des journalistes eux-mêmes. "Twitter a rendu folle une profession à la dérive, qui se tire une balle dans le pied. Viendra un jour où les journalistes, s’ils ne se ressaisissent pas, ne pourront plus rien dire à force de taper sur des confrères qui sortent du lot et vont à contre-courant de la bien-pensance ou de la pensée unique", explique-t-il. https://www.sudouest.fr/2019/06/16/laurent-ruquier-nous-vivons-sous-la-dictature-de-twitter-et-de-marlene-schiappa-6217420-10228.php 1
RaHaN Posté 17 juin 2019 Signaler Posté 17 juin 2019 Il y a 15 heures, Lancelot a dit : @NoName et @Mégille vous soulignez ce qui est à mon sens un problème chez les déconstructionnistes de manière générale : la croyance que, sous prétexte qu'on a trouvé une exception ou un cas marginal où un modèle ne s'applique pas parfaitement, alors ce modèle perd toute pertinence. Prétendre le contraire, c'est nier ma réalité. Parce qu'oppressant, je signale ce message. il y a une heure, Largo Winch a dit : https://www.sudouest.fr/2019/06/16/laurent-ruquier-nous-vivons-sous-la-dictature-de-twitter-et-de-marlene-schiappa-6217420-10228.php Tu relèves une phrase pertinente, Twitter n'est que la plate-forme. Entre cette sortie contre la secrétaire d'état (qui n'est qu'elle-même qu'un symptôme aussi) qui laisse présager du meilleur pour la suite (coucou TeX, bien ta grotte ?) et la mise à l'écart temporaire d'Emma Ducros sur le réseau social, on se doute que le fossé fera beaucoup de choses, mais ne rétrécira sûrement pas.
Fagotto Posté 17 juin 2019 Signaler Posté 17 juin 2019 6 hours ago, Restless said: Twitter n'est que la plate-forme. Le média en soi n'est pas neutre (au sens de McLuhan), ce n'est pas un hasard si twitter pourrit plus le débat que d'autres formes de médias. 1
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