Aller au contenu

Mégille

Tribun de la Plèbe
  • Compteur de contenus

    5 404
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    25

Tout ce qui a été posté par Mégille

  1. Ca emmerde ceux qui ont choppé le covid il y a quelques mois, et qui procrastinent leur vaccination depuis. Je m'attendais naïvement à ce qu'on arrête avec ce pass d'ici la fin de validité du miens.
  2. Je suis en train en train de jouer sur google trend (à l'échelle du monde, depuis 2004), et je découvre avec effroi que les gens deviennent de plus en plus nuls. Toutes les choses qui me faisaient rêver au début de l'adolescence (ésotérisme, wicca, néopaganisme, bouddhisme, taoisme, parapsychologie, extra-terrestres, etc) sont en déclin, et idem même pour les choses ridicules que je croyais trendy en ce moment (l'anthroposophie et l'astrologie), sans que les termes liés à la science dure, que ce soit les plus vulgarisables ou les plus obscurs, n'augmentent. Soit ils stagnent très bas, soit ils déclinent eux aussi (à quelques étonnantes exceptions près, comme "double slit experiment"). Donc les gens ne deviennent pas plus scientistes au lieu d'être illuminés, ils deviennent juste... vides ? Idem, "heroic fantasy" et "science-fiction" déclinent, quand "superhero" se porte très bien et augmente (et idem pour tous les termes connexes à tout ça). Tous les genres musicaux que j'ai pu chercher déclinent aussi, sans doute que les gens passent tout simplement moins par google pour la musique, mais "celtic music", "hard rock" et "heavy metal" chutent encore plus vite que les autres. "Summer hit" se porte plutôt bien. C'est un peu triste de se dire que des choses, que je croyais être des phases par lesquelles il aurait été presque naturel de passer à certains âges, étaient en fait circonscrites à des périodes données. Je ne comprends pas ce qui fait rêver les gens aujourd'hui. On dirait qu'il n'y en a que pour les sujets de société et une poignée de technologies à la mode. Même les termes liés à l'histoire ancienne, à l'histoire de l'art et aux humanités en général sont en déclin. On ne me fera pas croire que tous les gens curieux ont fait leurs petites recherches google dans les années 2000 et qu'aujourd'hui tous ces gens soit savent tout ce qui les intéressent, soit ne cherchent plus qu'à la bibliothèque (ou, comme moi, ont basculé sur duckduckgo ? Ou encore que les gens chiants étaient uniquement sur yahoo dans les années 2000 ?). Fun fact : "swinger club" est en déclin aussi, donc étonnamment, on ne dirait pas que le porno pousse plus les gens à essayer de nouvelles choses, peut-être même s'y substitue-t-il. Inutile de dire que les termes liés au libertarianisme et au libéralisme sont aussi en déclin. Alors qu'il y a bien des termes de recherche qui se portent plutôt bien, hein. Outre tout ce qui a trait au monde "woke" (recherche que j'imagine d'ailleurs venir aussi souvent de ses ennemis que de ses amis), "snickers" est sur une pente montante, par exemple. Pourquoi les gens deviennent-ils aussi chiants ?! on dirait qu'il y a une pénurie d'âmes et d'esprits. (oui, je suis en train de procrastiner des corrections de copies)
  3. Mégille

    Tweets rigolos

    Même chose au Québec. Ma mère (française) se faisait souvent demander si elle se rasait, et on me demandait à l'école si les calèches étaient encore le principal mode de transport en France.
  4. Jusqu'à présent, je n'ai jamais vu de progs prendre au sérieux ce genre de compte, mais peut-être est-ce juste parce que je ne traîne pas assez sur twitter. Par contre, j'ai déjà vu beaucoup de conservateurs tomber dans le panneau et s'énerver contre ces épouvantails.
  5. Il me semble que Austin prend tout ça en compte, mais sans faire intervenir de subjectivité dans la reconnaissance des actes, ou sur la créance accorder aux promesses. Pour le mariage, ça dépendra surtout du contexte et de la personne le disant. Pour la promesse, il me semble que même si la personne n'y croit pas, ça reste une promesse. Il me semble que pour qu'elle n'en soit pas une, il faudrait qu'elle soit comme mise entre guillemets, que ce soit une citation, qu'elle fasse partie d'une pièce de théâtre, ou encore, qu'on s'entende sur un code pour la neutraliser, comme les doigts croisés. Mais dans tous les cas oui, ça implique qu'une identité de genre doive être reconnu pour être effective. D'où peut-être l'agressivité des activistes trans américains lorsqu'ils exigent qu'on emploie leurs pronoms préférés, puisque leur identité en dépend. D'où aussi le fait qu'ils aient parfois envie d'exclure ça de la liberté d'expression, puisqu'il ne s'agit pas que de dire quelque chose mais d'agir sur l'autre. Ceci dit, j'ai l'impression que beaucoup sont quand même à deux doigts de défendre la théorie du sexe de l'âme (le genre comme propriété essentielle de l'âme, susceptible de correspondre ou non au corps), sans s'apercevoir que c'est extrêmement essentialiste et que ça postule une sorte de lien naturel entre le genre et le corps (puisque le corps peut être inadéquat à l'âme), bref, l'inverse de tout ce pour quoi se bat le féminisme. Et c'est ce que les terf reprochent aux transféministes, d'ailleurs, même si c'est réducteur et que ce n'est pas du tout l'avis des plus éclairés.
  6. Et bien... tout le monde n'est pas d'accord. Chez Wittig, et chez Beauvoir déjà un peu, "homme" et "femme" désignent des positions au sein d'un système de domination, tout comme "capitaliste" et "prolétaire" dans la théorie marxiste, mais avec la famille en lieu et place de l'usine. Mais ça c'est la vision terf. Chez d'autres comme Fouque et Irigaray, on suit la psychanalyse freudienne ou lacanienne sur la question, mais en essayant d'y revaloriser le féminin, mais ça, ça a été cancel avant même qu'on invente le canceling. Chez Butler, il y a une double théorie, avec une certaine ambiguïté entre les deux (dans Gender trouble, elle saute allègrement de l'une à l'autre en faisant comme si c'était la même chose, et si elle remarque le souci dans l'introduction de 99, elle ne fait pas grand chose pour le régler). Ces deux théories sont : - Le genre comme performance théâtrale. Etre d'un genre, c'est imiter ce genre, par ses vêtements, son comportement, son rôle dans la séduction, etc. Il n'y a donc pas de différence entre l'expression de genre et l'identité de genre, le genre se trouve tout entièrement à la surface. Mais puisque c'est une série d'imitations, de copies, sans qu'il n'y ait de modèle originel, et donc de critère objectif pour déterminer ce que sont la vraie masculinité et la vraie féminité. Les sont donc toujours en train d'être réinterprété, et donc de changer, et il est inévitable que certaines performances de genre tombent suffisamment loin pour avoir l'air ambiguë, d'où le fait que ce soit un continuum et pas deux catégories fermées. Mais ça implique aussi que les gays et les lesbiennes sont "moins" des hommes et des femmes que les autres, ou au moins, ne le soit pas de la même façon que les hétéros, puisqu'ils performent très différemment la partie "vie sexuelle et amoureuse", qui est quand même un gros morceau de la pièce de théâtre du genre. Je ne sais pas si ça plairait à tout le monde dans les milieux militants d'entendre ça. S'ils lisaient leur auteur de référence, ils l'auraient sans doute cancel. En plus, ça implique une approche assez libérale et individualiste du genre, puisqu'il n'est plus possible d'en faire une grosse structure de domination bien nette et anguleuse, et c'est en toute cohérence avec ça que Butler (dans Gender trouble en tout ça) rejette la notion de "patriarcat" au profit de celle "d'hétérosexisme". Ca aussi ça pourrait mériter un petit cancel. - Le genre comme performance linguistique. C'est une référence à la théorie de la performativité du langage de Austin. Certains actes de langage ne consistent pas seulement à dire les choses, mais aussi à les faire être, du simple fait qu'elles soient dites. Ex : "Je vous fais mari et femme", lorsque dit par la bonne personne dans les bonnes circonstances. Ou encore "je te promets...". Faire de la "vraie promesse" quelque chose d'autre que le seul acte de langage, comme une sorte intention profonde, ne serait qu'un prétexte pour ne pas tenir sa promesse. Prendre le genre comme une performance linguistique consiste donc à estimer que de la même façon, être un homme ou une femme, ce n'est rien d'autre que dire qu'on l'est, être désigné par les pronoms appropriés en société, être désigné comme tel dans les documents administratifs, etc, puisque ce sont les actes de langage qui font le genre, sans qu'aucune référence à l'intériorité de la personne ne soit nécessaire. Le problème, c'est que toute seule, cette théorie est assez creuse, et que Butler ne nous dit pas très bien comment la combiner avec la première. J'imagine qu'on peut dire qu'être mari et femme est aussi une certaine performance théâtrale, ou moins, une attente de cette performance, mais que tant que la performance linguistique a eu lieu et n'a pas été annulée, deux personnes restent époux quand bien même ils ne jouent pas du tout le jeu et ne font même pas semblant de le faire. Idem, une promesse reste une promesse même si elle n'est pas tenue. Peut-on dire d'une personne qui se dit d'un genre mais qui n'en joue pas le rôle qu'elle brise une promesse ? Pas sûr que ça plaise. J'ai entendu dire que certains transféministes, comme Sam Bourcier, ne sont pas du tout d'accord avec Butler, et s'opposent notamment à ce que le genre soit défini sans aucune référence à la subjectivité de la personne. J'imagine que ces gens sont conscient du risque qu'il peut y avoir à faire du genre une sorte de "sexe de l'âme" éternel et inchangeant, mais je ne sais pas très bien ce qu'ils proposent à la place. Petite remarque, pendant que je suis là. On essaie souvent de faire de tout ça une conséquence du post-modernisme et de la philosophie continentale, mais... Même si Butler se revendique bien de Foucault et de Derrida, et imite leurs styles, ses idées ne viennent absolument pas d'eux. Elle se place tout entièrement dans la continuité, d'une part des sciences sociales (pré-invasion post-moderne) et de la philosophie du langage naturel britannique, appartenant à la tradition analytique. Même si elle ne les cite jamais, pas même dans ses bibliographies, sa théorie de la performativité théâtrale se situe dans la continuité directe de Doing Gender des psychologues sociaux West et Zimmerman (et on ne me fera pas croire qu'elle n'a pas lu Doing Gender, elle a littéralement discuté de ces mêmes idées dans un livre qu'elle a titrée "Undoing genger" !). La contribution de ces deux là consistant à amender la conception du rôle de genre/identité de genre développé chez le psychologue John Money, lui même travaillant à partir du concept de "rôle sexuel" étudié en anthropologie notamment par Margaret Mead. D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi Butler ne cite jamais tous ces gens, dont elle hérite pourtant directement. Cherche-t-elle a les faire oublier pour paraître plus originale ? Ou bien la référence à eux était-elle tellement évidente dans son milieu qu'il n'était même pas utile de la mentionner ? Coté performance linguistique, elle se situe dans la famille non seulement de Austin (qu'elle cite pas mal, pour le coup), mais aussi du second Wittgenstein et de Ryle, et du rejet hors du champs du langage et du sens tout ce qui a trait à une intériorité psychique. On peut dire même que sa contribution consiste à appliquer la pensée de ceux là au domaine du genre. Est-ce le fait d'avoir importer au sein de la philosophie continentale des idées (pas tout à fait toutes prêtes mais presque) qui a fait que l'on a perçu Butler comme originale ? Je veux dire, maintenant qu'elle fait de la philo 100% continentale et qu'elle disserte sur Hegel pour essayer de répondre à Zizek, elle ne marque plus personne.
  7. Tout à fait (enfin, sauf si on suit les "transmédicaliste/truscum"), d'où ma précision "ayant fait une transition" (mais j'aurais du préciser "hormonale/chirurgicale", puisque la transition désigne aussi le processus social).
  8. Boghossian descend dans mon estime. Outre la ligne drogue, qu'est-ce que Soros vient faire dans la colonne des "héros" ? Les progs se fichent complètement de lui, il n'y a que les conservateurs qui en font une fixette. Idem, Malthus, personne ne s'en revendique à gauche, c'est nous qui le rapprochons d'eux, et ce pour mieux les critiquer. On dirait un résumé semi-documenté des idées "woke" par un droitard américain de base, et qui n'aurait jamais discuté avec les personnes en question. Idem, parler de dysphorie n'est pas du tout tabou, les trans ayant fait une transition en parlent à tout bout de champ, et c'est même la justification de leur transition. Idem, personne ne pense que l'on peut "changer de sexe" par une simple opération de volonté, si on utilise plutôt le terme de "genre", ce n'est pas qu'une question de style. Du coup, ça met en évidence un risque avec le mouvement antiwoke : sitôt que l'on a identifié quelques positions comme ridicules (généralement, sans faire beaucoup d'effort pour les comprendre) et symptomatiques d'un mode de pensée absurde, il suffit de les compacter avec toutes les positions mêmes les plus raisonnables avec lesquelles on a pas envie d'être d'accord pour ne plus avoir à argumenter contre ces dernières. Par exemple, ici, Boghossian chasse complètement et la réflexion sur les drogues, et la critique du système carcéral américain, du champ de la réflexion, ceux qui sont contre le statu quo sont nécessairement des illuminés qui se prennent pour des escargots hermaphrodites et leurs idées relèvent tout entièrement de la religiosité irrationnelle.
  9. Je ne sais pas si ça va t'intéresser, mais ce n'est pas la première fois que les choses autour desquelles tu tournes, @Vilfredo, me font penser à Yagisawa. (En poussant à l'extrême la tendance implicite depuis Kripke à mettre le "monde" du "monde possible" avant le possible, il jusqu'à faire de l'impossibilité une simple propriété relative que peuvent très bien avoir les choses qui existent, dont les mondes).
  10. Mégille

    Actualité Covid-19

    "C'est une question de perspective, hein, les statistiques !". On ne discute pas des chiffres, sauf quand ils ne sont pas assez alarmistes.
  11. Je ne comprends vraiment pas que l'équation "création monétaire = inflation" ne soit pas comprise par tout le monde. Autant je peux concevoir que comprendre les ordres spontanés demande une certaine initiation, autant là... Ce sont ceux qui se démènent pour tout au plus légèrement minimiser le phénomène qui heurtent le bon sens et demandent de faire des détours compliqués. Et on a des tonnes d'exemples historiques très parlant. Vraiment, je ne comprends pas que le grand public ne comprenne pas.
  12. Avec des formulations aussi pédagogiques en 6ième, j'espère qu'on leur a appris l'axiomatique de Peano en CM2.
  13. Je tente confucianisme tout de même, dans le doute.
  14. Le peronisme en Argentine.
  15. Aux dernières nouvelles (ça a quelques années, mais pas forcément une décennie), les jeunes couchent moins, plus tard, boivent moins et prennent moins de drogue. Faut voir si cette histoire de pipe à la récré est un vrai changement de la tendance générale ou bien juste une anecdote qui fait peur aux mamans. Je ne vois pas de problème moral au sexe entre adolescents, ou même entre enfants. Par contre, j'y vois une forte raison de les y éduquer mieux et plus tôt (consentement, sécurité, etc).
  16. Questions alakons : d'où viennent les pièces et les billets de 5€ ? Je veux dire, à partir d'où commencent-ils à circuler, puisqu'ils ne sortent pas des distributeurs ? Y a-t-il des gens qui les demandent à leurs banquiers ? Des commerçants les achètent-ils aux banques ?
  17. Je suis au début de l'épisode 1 de la saison 2 de sex education (oui, j'ai du retard), et c'est tellement agréable de voir une mise en garde contre l'hystérie collective sanitaire, avec des masques et tout en plus. Et qui sort pile poil début 2020 (et donc écrit un an plus tôt, j'imagine). Comme quoi, nous ne sommes pas fous lorsque nous prétendons que notre vision des choses n'est pas différente de ce qui était encore la norme en 2019. Si seulement le public cible de cette série avait pris au sérieux l'avertissement...
  18. C'est vraiment un cadeau empoisonné les vacances de deux semaines dans l'éducation. C'est clairement plus que suffisant pour décrocher complètement du rythme du boulot, et même si j'aime mon travail, je sens que je vais avoir beaucoup de mal à me lever demain.
  19. Pas besoin de rester à la fac, suffit de viser dans un milieu endogame avec un sex ratio déséquilibré. Les bac+5 en sciences humaines par exemple. Ou les végétariennes.
  20. OMG, je n'avais pas fait le calcul. Ca veut dire que ma combine va se mettre à encore mieux fonctionner ?! Golden est déjà cool, mais j'ai hâte d'avoir le niveau platinium. J'aime la loi du marché.
  21. En fait, tous les vrais socialistes avaient un même objectif : faire en sorte que les travailleurs possèdent eux-mêmes leurs outils de travail, et ce collectivement si nécessaire. On peut à partir de là les diviser selon deux critères : 1) est-ce que l'état, lorsqu'il représente les travailleurs, peut aussi être ce à travers quoi les travailleurs possèdent leurs outils ? Ou bien est-ce que l'état est toujours étranger aux travailleurs, auquel cas les outils ne pourront être possédés collectivement qu'à travers des associations volontaires (étatiste vs anarchiste). 2) Est-ce qu'il est possible d'atteindre cet objectif paisiblement et graduellement, ou bien est-ce qu'une rupture brutale et violente avec le système en place est inévitable ? (réformiste vs révolutionnaire). En croisant les deux, ça nous donne un tableau à quatre cases, dont chacune est occupée : Anarchiste réformiste : Proudhon Anarchiste révolutionnaire : Bakounine Etatiste révolutionnaire : Marx Etatiste réformiste : sociaux-démocrates de Lassalle en Allemagne (qui ajoutent une clause de démocratie pour que l'état représente bel et bien les travailleurs), socialistes républicains de Jaurès en France (qui ajoutent une clause un peu plus lourde que les sociaux-démocrates allemands, puisqu'ils exigent un minimum de respect des droits de l'homme dans la tradition républicaine révolutionnaire française), socialistes fabiens en Angleterre (qui s'en fichent un peu de la démocratie et des droits de l'homme et qui se soucient plus de l'expertise des hommes d'état dans une perspective utilitariste). Ce n'est que plus tard que les étatistes réformistes, dont la tradition social-démocrate germanique (mais aussi scandinave), ont fini par accepté de se contenter d'un moindre contrôle de l'économie, mais seulement parce que leur réformisme les a poussé à un certain pragmatisme dans leurs négociations. edit : d'ailleurs, on voit dans la Critique du programme de Gotha que les désaccords entre Marx et Lassalle sur la politique que doit mener un état socialiste sont en fait assez cosmétiques, et, une fois le pouvoir pris en tout cas, pas vraiment une question de degré de radicalité.
  22. Après d'intenses réflexions, j'ai enfin trouvé le sens du terme "social". Il s'agit en fait d'un strict équivalent de "pseudo". Ainsi, "justice sociale", "social-libéral", "social-conservateur", ou "sciences sociales" peuvent tout à fait être reformulés en "pseudo-justice", "pseudo-libéral", "pseudo-conservateur" et "pseudo-sciences"
×
×
  • Créer...