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poincaré

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Tout ce qui a été posté par poincaré

  1. Mais si on a d'autres ambitions dans la vie qu'être fonctionnaire, alors autant rompre le contrat et en assumer les conséquences (ie: remboursement des frais de scolarité).
  2. Bof. Je ne trouve pas ça déconnant de prendre une mauvaise décision à 17 ans pour changer d'avis 5 ans plus tard.
  3. Oula... le droit de la fonction publique. Après recherche, il me semble que ce type de contrat peut être unilatéralement rompu - je suis parti du principe qu'il venait d'une grande école type ENS puisque ça y ressemble - mais qu'il devra en subir financièrement les conséquences (ie: remboursement des frais de scolarité). C'est ce qui est prévu pour lui normalement, non ? J'ai vu qu'il existait une rupture conventionnelle d'un contrat entre un fonctionnaire et l'Etat, mais c'est uniquement applicable aux agents de la FP... ce qui n'est pas encore le cas de ton ami (non ? c'est quoi son statut à l'heure actuelle ?)
  4. Alors aujourd'hui j'ai eu le plaisir de goûter à la qualité du service de la RATP. Vous savez, le guichetier au service orientation de la station de métro. Celui qui est censé aider les gens paumés avec le minimum de patience et de courtoisie qu'on peut attendre pour ce genre de mission. Jamais on ne m'a autant parlé comme du poisson pourri. Sérieusement. Service public de mes cou*****.
  5. Jean-Michel liborg Eh bien moi, je ne savais pas. Je n'ai pas lu non plus d'accusation ou sous-entendus de racisme. Comme le dirait @Mister_Bretzel : détendez vos strings !
  6. Notamment sur la psychologie des libéraux :
  7. ça implique quoi au niveau des conséquences ? l'entreprise doit indemniser la famille ?
  8. Tu es pardonné, jeune padawan. Maintenant, tu peux nous raconter qui tu es/d'où tu viens dans le fil idoine: nous sommes curieux!
  9. De toute façon, admettons que les meurtres pour des motifs "sexistes" soient nettement plus courant qu'on ne le pense: comment voulez-vous le prouver ? Que certaines pensent déceler un motif intentionnel ou dol spécial quasiment impossible à démontrer me paraît bien prétentieux : "la matérialité des faits de féminicide appelle une qualification juridique exacte que l'homicide n'offre pas complètement". "Le féminicide recouvre une violence spécifique, son incrimination ne peut résulter d'une qualification globale et indifférenciée" https://www.lexpress.fr/actualite/societe/feminicide-pourquoi-ce-mot-s-est-impose-dans-le-debat-mais-pas-dans-le-droit_2096264.html
  10. Une excommunion, vraiment ? Tout mon entourage est au courant et ils n'ont aucun problème avec ça. Au contraire, ils écoutent volontiers. Pour le coup je n'ai franchement pas l'impression que les socialistes soient plus sectaires que les libéraux. Je dirais même l'inverse.
  11. Il est décevant. Villani qui fait de la vulgarisation scientifique > Villani qui joue au politicard
  12. Oui, on peut en trouver l'explication en étudiant l'histoire du droit. d'ailleurs, on notera qu'ils n'ont jamais rompu avec les symboles de la royauté... la fameuse noblesse de robe que l'on retrouve dans les professions universitaires. Encore une tradition avec laquelle il faudrait rompre.
  13. Eh bien désolée, mais avoue que ce que tu nous proposes est assez surprenant. Si je comprends bien : ce que tu recherches avec ce système, c'est d'instaurer une sorte de loi du talion implicite où la plainte d'une victime aurait proportionnellement moins de valeur en fonction des crimes qu'elle aurait commis ? Et parallèlement, diminuer le nombre de plaintes infondées ? Si être accusé a plus d'impact négatif qu'être accusateur, alors la parole du plus grand nombre contre une seule et même personne constituerait un commencement de preuve ? Ça pose de sérieux problèmes probatoires, tu ne penses pas ?
  14. J'ai l'impression que c'est une spécificité française où tout ce qui se rapproche de près ou de loin à l'État est nécessairement sacralisé, oui. On a vraiment un rapport particulier à "l'autorité" et ses symboles. Sans parler du cas polonais que je ne connais pas, il me semble que la critique d'h16 a pourtant été très bien accueillie par les lecteurs : peut-être aussi parce qu'on aurait atteint un point de non retour sur la proximité trop évidente du corps judiciaire avec l'exécutif. Quand on pense qu'un procureur a refusé de lancer une enquête sur des violences policières pour des motifs fallacieux et surtout ne pas gêner le gouvernement sérieusement, ça me tue.
  15. Félicitations, tu viens de balayer environ trois siècles de réflexion sur le droit et la philosophie pénale en moins de deux lignes
  16. Sauf que le mode de nomination impactera nécessairement l'existence dudit monopole. Difficile de maintenir un sentiment corporatiste quand la nomination est conditionnée à des élections, partisanes ou non. Existe-t-il seulement un syndicat de la magistrature aux Etats-Unis ? Pas à ma connaissance, et ça n'aurait que peu de sens.
  17. Ça se recoupe parfaitement avec le billet d'H16 sur l'interdiction de juger les juges. Une décision aussi sévère mériterait a minima une suspension de ses fonctions, mais comment voulez-vous remettre en cause une institution aussi corporatiste que la magistrature sans jamais aborder la question du processus de nomination. Supprimons l'ENM.
  18. Sinon, on peut parler de choses un peu plus sérieuses qui se passent en ce moment même : Nouvel arsenal législatif dans le cadre du "Grenelle" https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/09/03/grenelle-des-violences-conjugales-depot-de-plainte-a-l-hopital-places-d-hebergement-le-point-sur-les-mesures-annoncees_5505922_3224.html
  19. Pas sûr que ce soit si anecdotique que ça quand on regarde le nombre d'infanticides liés au sexe dans les pays précités. Mais ça reste bien une sous catégorie d'une autre catégorie et c'est imo assez révélateur de l'objectif politique derrière ce terme : montrer que les femmes sont structurellement opprimées. Et je n'aime pas prononcer cette phrase mais oui : on est d'accord, le terme est à côté de la plaque pour les violences conjugales.
  20. Je vais répondre à sa place mais je soupçonne aussi qu'il y a un volet militantisme féministe à l'origine de ce terme. Parce qu'en soi, tuer des nourrissons entre parfaitement dans la catégorie de l'infanticide. Donc on se fiche de savoir s'il s'agit d'une fille ou d'un garçon puisqu'il existe déjà une circonstance aggravante du meurtre. Le fait de mettre en avant le sexe de la victime va très certainement de pair avec cette vision marxiste des rapports h/f et renchérit largement ladite rhétorique victimaire.
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