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OK deal j'achète !

Combo multiple pour réconcilier Lucilio avec le rap portugais (à partir de 0:40) et fusioner le fil avec les playmates : http://www.youtube.com/watch?v=45JmMnLdMvQ

Oui d'ailleurs le vrai risque des portables c'est de chopper la chiasse en cas d'hygiène déficiente : http://fr.news.yahoo.com/t%C3%A9l%C3%A9phonie-smartphones-d%C3%A9go%C3%BBtants-140800434.html

Oui c'est clairement un problème : j'ai quitté mon ex à l'époque précisément pour ça. Les tranjus c'étaient mes dernières limites après elle voulait continuer une vie sur ce mode et moi non. Je pense qu'elle continue à passer sa vie à courir etc. Je suis content de l'avoir fait mais je ne pense pas recommencer un jour : trop de sacrifices. De toutes les activités physique c'est quand même le trail qui me manque un peu. C'est une activité très individuelle et très Nietzschéenne. En tous cas moi ce qui me motivait était l'aspect de ne pas savoir si j'allais y arriver et en même temps de n'avoir à rendre de compte à personne par rapport aux résultats : c'est un problème entre moi et moi. Bon c'est assez étrange à expliquer. Le souci est qu'on ne peut pas vraiment en faire (de l'ultra trail) à moitié. Maintenant je vais a la piscine et je me bouge pour aller bosser : c'est bien suffisant

Est ce que tu as déjà couru un marathon ? Avant de se lancer sur de l'ultra il faut une certaine expérience de l'endurance qui se mesure en années de pratique. Pour moi ça faisait déjà plus 5/6 ans que je faisais de l'endurance longue (par exemple des courses type 6h en roller ou de grosses sorties vtt, voir des tours de massif sur plusieurs jours en vtt) et je me suis donné un an de préparation pour la transju (préparer le corps à encaisser le choc est bien plus long que d'avoir l'endurance cardio vasculaire correspondante). Pour la nourriture c'est très perso : c'est à l'entrainement que tu trouves ce qui te va le mieux. La règle d'or est de ne jamais, *jamais*, faire quelque chose de nouveau en course. Pas d'exception tout a du être testé et re retesté à l'entrainement. Je ne fais pas confiance aux ravitaillements de la course et je pars toujours en auto suffisance alimentaire. Après tu peux changer d'avis en course car pour la transju ça faisait dix gels (mais à la fin j'en avais trop marre du gout sucré: j'ai pas tout pris) donc pas très lourd. Avant la course le but est de charger en glycogène au maximum et tu as plein de méthodes pour ça (la base c'est de ne se goinfrer que de carbs une semaine avant). Après j'ai jamais rien fait de spécial. Pour la semaine type c'est dur à dire : est ce que tu as déjà suivi un programme pour préparer un marathon ? Comme je l'avais déjà fait je m'en suis inspiré. Pour l'ultra c'est bien également d'alterner avec des sports soft pour les articulations pour se ménager : vélo et roller. Donc pour schématiser : trois sorties par semaine + grosse sortie le dimanche que tu fais parfois en roller/vtt. Tu prévois quelques compétitions aussi pour faire monter la cylindrée et voir où tu en es. Il y a plein de forums de cap et de blogs qui ont des tones d'informations et de petits trucs qui vont de comment éliminer les frottements aux multiples maniêres de s'entrainer en passant par des compte rendus de course (eux aussi plein d'infos utiles).

Oui tout à fait. Il ne faut pas perdre de vue que les ondes électromagnétiques en français courant on appelle ça de la lumière. Ca a des effets sur la biologie (un four à infra-rouge, les coups de soleil etc.) Mais il faut d'une part avoir la notion que dans la vie de tous les jours on est baigné dans un champs électromagnétique dont la composante principale nous vient du soleil. Ensuite il faut observer les puissances en jeu et arrêter les conneries (notamment sur le fait que les micro ondes ça chauffe un bout de viande morte sans circulation sanguine qui évacue la chaleur) La puissance d'une batterie de portable permet au max (une fois pour vérifier j'avais fait le calcul précis) de préparer une boisson chaude (si toute la puissance est utilisée d'un coup et parfaitement transformée en chaleur). Alors diffusée au mieux sur 2/3 jours (et encore en comptant que l'énergie n'est dépensée qu'en émission hertzienne et non dans le cpu du smartphone). Bref trois minutes près d'une ampoule à l'ancienne va aussi vous réchauffer les tissus corporels et à part ma grand mère personne n'a jamais rien trouvé à y redire. Donc pour reprendre : le cher Ulysse balance des études mais n'est pas capable de ne pas éluder les questions cons que je posais : où sont les cohortes de personnes atteintes de "la maladie du portable" (je répète 1milliard min d'utilisateurs sur plus de 15 ans) ? Quelles sont les explications physiques (autre que la chaleur) qui permettraient d'évoquer un quelconque effet biologique ? Ce n'est pas en alignant des études (dont certaines disent explicitement qu'elles extrapolent notamment celle sur le portable sur les genoux et les couilles : mettre du coton dans le slip était une méthode contraceptive connue des générations passées) qu'on répond à ces questions. Car c'est l'inverse de ce qui se produit avec l'épidémie d'obésité : là on voit la cohorte des gens qui ont des problèmes de poids mais on cherche les causes. Pour le portable on part à l'envers en supputant des problèmes que personne n'a jamais vu ailleurs que dans les délires des robins des toits.

J'avoue que les chaussures avec les doigts de pieds en vibram c'est trop rigolo

Je ne sais pas si ça a été signalé mais la TVA s'insinue jusque dans les actes médicaux non remboursés (faut pas déconner non plus hein perdre d'une main ce qu'on reprendrait de l'autre) : http://www.juritravail.com/Actualite/hospitalisation/Id/19084) en théorie pour les actes de chirurgie esthétique. Tout ceci est sujet à interprétation comme c'est joliment dit

Tu comptes que les dénivelés positifs (c'est un peu tricher car le déniv négatif est celui qui fait le plus mal aux jambes, le positif lui fait mal aux poumons) et tu cumules sur tout le parcours. L'altitude entre le point d'arrivé et de départ devait être quasiment la même. La petite règle qui va bien pour estimer le temps de parcours en trail est de multiplier le déniv par 10 et ça te donne un temps équivalent pour un parcours plat : par exemple sur un profil comme la transju 67+29=96. Donc le temps que tu vas mettre pour la parcourir sera en gros le temps que tu metterais sur du plat pour 96 k. Après il y a les impondérables, technicité du parcours (la face nord de l'eiger ne fait "que" 1600m de déniv après tout), sol sec ou mouillé etc. Mais ça donne un bon ordre d'idée. L'utmb c'est plus de 9000 de déniv (les 168k de la course font presque pas peur à côté)… Je n'imagine même pas la prépa que tu dois te taper pour boucler cette course. Le fait d'avoir couru une transju ne me donne que la moitié des points qu'il faut pour juste avoir le droit de "s'inscrire" à l'utmb !

A un moment donné j'ai fait pas mal de trails. Le plus long que j'ai fait était la transju (67k 2900d+). C'était une année où je voulais faire toutes les transjurassiennes (roller, ski de fond et course à pied). J'avais fait un petit compte rendu ici : http://www.kikourou.net/recits/recit-5455-transju_trail_-_67_km-2008-par-kassad.html En ce qui me concerne le trail est incomparable avec les courses sur le bitume. Pour synthétiser: Les Plus : - Changements en permanence et à tous les niveaux : parcours, allures, conditions météos (courir dans la boue ou sur des pierriers c'est pas pareil alors que bitume sec ou mouillé … il n'y a qu'en roller que ça fait une différence). - Ambiance plus décontractée : sur un ultra trail tu es là pour finir, et le chrono, à part quelques furieux, ça n'intéresse personne. - C'est une vraie aventure intérieure (comme courir son premier marathon mais pour moi ça n'avait plus d'intérêts d'enchainer les marathons à partir du moment où le seul suspens réside dans le chrono) - Ca casse moins que les courses sur routes (le marathon de Paris m'a plus cassé les jambes que la transju en étant 2,5 fois moins long en temps de course) - Il y a des aspects techniques qui n'existent pas en cap sur le béton (quand tu te prends en descente une piste de ski tu mesures vite cet aspect). - Il y a l'aspect autonomie : pour pleins de trails faut bien imaginer que tu n'as pas de ravitaillement tous les 100m. Tu mets ton sac sur le dos et basta t'es grand tu te débrouilles pour ton eau et ta bouffe. Les moins : - Courir un ultra c'est comme rentrer en religion tu ne fais plus que ça. Pour la transju c'était un an de préparqtion (le marathon de Paris était une étape de la préparation : une grosse sortie 1mois 1/2 avant). Bon l'avantage est qu'avec ma préparation pour la cap j'ai pu faire la transju ski de fond gratos (j'avais authentiquemet sorti les ski 3 fois avant d'y aller). -J'imagine que s'entrainer en ville est difficile (moi j'habitais Grenoble : je chaussais les pompes, direction la bastille et en 7 min j'étais dans la montagne : énorme avantage). -Il faut manger *plein* de glucides, mais vraiment *énormément* Maintenant la cap normale ça me fait penser à la musculation sur appareil : tout est réglé bien propre avec rien qui dépasse.

D'ailleurs je recommande chaudement : à ceux qui sont interressés

Armstrong a sans doute le record imbattable : il a perdu 7 tours de France en un seul instant. Personne ne pourra jamais faire pareil !

C'est vrai. Au début du quinquennat Sarkozien je le voyais comme un histrion indépassable. Hollande réussit l'exploit de conjuguer normalité et fuite en vrille dans le décors l'air de rien : il est presque une classe au-dessus dans la catégorie "n'imp de compétition". Ca conserve un côté frais d'amateurisme assumé. L'intérêt est qu'il est maintenant clair et indéniable que la france est une puissance de 4ème zone avec un président adapté. A la fin de la présidence Hollande il ne restera plus qu'une mélancolie qu'on ressent bien quand on va au Portugal : un pays qui ne se remet pas d'avoir une fois dominé le monde (cela dit sans animosité particulière envers les lusitaniens hein, je ne voudrais que la halde vienne me pourchasser).

Jericho en comics : http://en.wikipedia.org/wiki/Jericho_Season_3:_Civil_War Personne n'a cité :

Je pense que je n'étais pas loin naturellement d'éviter les sucres : je n'ai jamais trop aimé les desserts ni mis de sucre dans mon café, mon thé ou mate. C'est pour ça que je ne suis pas de régime particulier et qu'entre autre je continue à boire du vin et de la bière C'est marrant car c'est justement pour les effets intellectuels d'endurance que j'y trouve un intérêt. Dans mon cas c'est mesurable en nombre de conneries faites en moins en zeitnot/fin de partie aux échecs (donc après 3H30/4h00 de jeu), pas de chute d'hypoglycémie (60 pts elo en plus depuis cet été bon ok il y a PLEIN d'autres facteurs là). Par contre ça a des effets négatifs en termes de capacité sportive sur les sprints (tout ce qui est explosif) mais pour l'endurance normale c'est plutôt bénéfique dans le sens où on est moins dépendant des input (et je peux vous dire que des gels énergétiques au fructose j'en ai enquillé quelques uns, quand je courais des trails je tablais sur un tous les 3/4 d'heures).

Le fait d'être en cétose n'est pas une croyance mais un état physiologique particulier mesurable (avec des petites bandelettes quand tu vas pisser ou par mesure sanguine). D'ailleurs je vais faire un check up complet dans un mois pour voir scientifiquement ce que ça donne. Je ne suis pas de régime particulier j'ai juste réduit les glucides/féculents au maximum. Je ne vois pas quels nutriments essentiels ont disparu ou sont moins présents dans mon alimentation. Et si je mange moins sans m'en rendre compte wtf ? Ce qu'on cherche est d'être en forme et d'avoir sa température à 37,2 le matin sans faire d'effort conscient non ? L'explication mettant en avant le rôle des hormones dont l'insuline n'est pas de la magie et semble corrrespondre dans mon cas avec la réalité observée. Tu auras du mal à me faire croire que je suis moins bien qu'avant en suivant ces recommansations alimentaires : je le vis tous les jours. Il y a surement encore plein de choses à découvrir et analyser mais là c'est simple et efficace (dans tous les sens du terme c'est à dire également en prenant en compte le fait que ce soit "durable").

Oui je me souviens de cet article de Nature également : http://www.nature.com/nature/journal/v333/n6176/pdf/333816a0.pdf

Encore plus séchée : à l'état de poudre, mélangée avec du saindoux justement et des baies. Bon je vais essayer pour voir : c'est une sorte de saucisson version amérique du nord : normalement ça se conserve indéfiniment (je crois que des archéos en avait trouvé du comestible vieux de quelques siècles quelque part), c'est très énergétique (moitié gras moitié viande) et je me demande le gout que ça peut avoir. Ca m'a toujours fait penser à la nourriture des elfes dans Tolkien, bref c'est un rêve d'enfance

Oui justement statistiquement comme on a un échantillon qui tourne sur le milliard meme si les effets sont à 40 ans pour la majorité des gens comme toute maladie connue jusqu'à maintenant on aura une distribution qui suivra peu ou prou la loi normale et avec la base de la population concernée ça devrait déjà se voir comme le nez au milieu de la figure. Exemple historique : les délires autour de la vache folle et les estimations débilissimes du nombre de victime alors qu'en 2/3 mois les statisticiens avaient correctement prédis le nombre de victime. Sinon tu peux répondre précisément aux posts suivants si tu as de nouvelles informations à nous faire partager : http://www.liberaux.org/topic/37625-telephones-mobiles/page__view__findpost__p__470682 et je te remet la citation de Montaigne adaptée (post http://www.liberaux.org/topic/37625-telephones-mobiles/page__view__findpost__p__546166 ) :

Un mélange de viande séchée et de gras avec des baies ou des noix : c'est la nourriture d'hiver des indiens au nord du canada. Je me suis toujours demandé le gout que ça pouvait avoir.

Tu éludes la question : quel est le principe physique en cause ? De plus cette étude ne prouve rien, ils le disent clairement d'ailleurs, pour l'instant ce ne sont que des suppositions : " We speculate that keeping a laptop connected wirelessly to the internet on the lap near the testes may result in decreased male fertility. Further in vitro and in vivo studies are needed to prove this contention."

Tiens je vais essayer de faire du pemmican !

Que tu sois convaincu ou pas ne change rien. D'ailleurs moi non plus j'étais pas convaincu du tout avant d'essayer par curiosité. Je n'avais pas de poids à perdre mais je voulais voir ce que ça donnait l'état de cétose. Finalement ça a pour moi plein d'avantages notamment sur le fait d'avoir une meilleur endurance physique et intellectuelle, de pouvoir facilement sauter des repas etc. 95% de ce que j'ai fait tient en deux mots : plus de pain (j'en mangeais énormément) et plus de pâtes. Dans l'ensemble je m'aperçois que je mange aujourd'hui beaucoup plus varié qu'avant. Il y a un effet curiosité lié au changement d'habitude alimentaire : j'essaye un peu tout juste pour voir. Pas encore essayé le saindoux mais c'est une bonne idée je vais voir ça Je suis clairement plus actif que la moyenne mais beaucoup moins que durant une période de ma vie ou je passais mon temps à faire des sport d'endurance. Mais la question n'est pas là : je ne me pose plus la question de combien je mange. Plus du tout, je mange quand j'ai faim et en plus ce qui me fait envie (finalement je n'ai pas de sensation de manque pour les aliments sucrés et les féculents et quand j'ai envie de boire du vin ou de la bière et ben… je le fais) point barre. Et ça va très bien comme ça : je n'ai visiblement pas pris de poids (voir j'ai perdu un cran sur ma ceinture). Je dois donc être un super héros qui s'ignore et dont le super pouvoir est d'exactement équilibrer ses input et output d'énergie, à la calorie près. Dans un mois j'irai faire un check up pour voir si tout ça n'est pas qu'une illusion de mon imagination.