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La France Deviendra Un Etat Fasciste


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Je crains fort que la France finisse par devenir un véritable régime autoritaire. Je m'explique : vous aurez remarqué tout comme moi que les idées anti-libérales et altermondialistes ( alors qu'elle sont à côté de la plaque et rejetées par les PVD, enfin bon ) sont de plus en plus puissantes. La gauche, encore, on dira que c'est normal, mais même la droite est contaminée par ces valeurs et idéaux là. On voit un Chirac qui chante les louanges de l'anti-mondialisation, critique le libéralisme. Et les médias répéter ça au peuple.

Tout cela instaure un climat très très mauvais pour la démocratie. La pensée unique, petit à petit, reprend du terrain. La gauche et la droite chiraquienne ont tout fait pour que le mot " libéral " devienne une insulte, une injure. C'est comme si on se faisait traiter de facho, disons, alors que ça n'a franchement rien à voir. Les pries idioties, ommissions sur le libéralisme passent par une courroie de transmission : les médias, l'Education nationale. Les jeunes qui sortent du Bac depuis les années 80 sont franchement anti-libéraux, il suffit d'entendre ces jeunes au débat de Chirac taxer Raffarin d'extrêmement libéral. Pis, même une Constitution socialisante ( 29 mai ) est rejetée car trop libérale ( alors qu'elle ne l'est pas du tout )

Comme le disait Hayek, et finalement quelque part il avait raison, nous allons petit à petit en France vers un régime fasciste. Oui, fasciste ! En quoi, me diriez-vous ? Et bien, dans le sens où l'Etat cherche à accroître son contrôle sur les individus. On le voit bien lorsque des députés UDF veulent faire interdire la consommation de cigarettes en chocolat parce que cela incitera ensuite les jeunes à fumer. On le voit quand Blazy propose l'interdiction de distributeurs de boissons et de sucreries dans les lycées. Alors que dans les sociétés libérales le libéralisme gagne du terrain, en France c'est le contraire : l'Etat gagne du terrain. Nos politiques cherchent à aller toujours plus loin et le pire, c'est que les individus semblent accepter cet état de fait. Ils l'acceptent parce que quand on va vers une dictature, il y a un effet inconscient des gens à dire " allons toujours plus loin ! " Villepin propose des lois contre l'immigration encore plus dures que celle de Sarkozy ? Aucun tollé. Sarkozy quand il était à l'Intérieur a fait passer des lois liberticides, pires que celle de Pasqua et Debré ? Aucun tollé, ou si peu… Regardez les, tous ces politiques qui disent tant de bien de nos services publics, ils font un véritable culte de l'Etat auxquel on devrait se prosterner sous ses pieds… Ca me rappelle le fascisme de Mussolini dès années 1919. Nous allons vers le fascisme.

Le NON va l'emporter au référendum. La direction du PS sera renversée. Un gauchiste va en prendre la tête. Il va proposer une politique radicale, de rupture, la plus gauchiste qui soit pour se faire élire. Il va se faire élire. Le pire est à craindre : les libéraux parce que libéraux seront enfermés dans des prisons, les assocs libérales et autres fondations seront dissoutes, la liberté d'expression, ce sera uniquement pour les socialistes, les partis politiques qui seront représentés à l'AN seront exclusivement de gauche, etc…Et le Medef sera dissout.

Bref, une dictature mais si c'est la finalité hélas, on ne pourra pas y couper. Nous allons dans cette direction.

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La France, terre d'antilibéralisme

pix

La méfiance des politiques français à l'égard des mécanismes de marché est sans équivalent chez nos voisins européens.

Par David SPECTOR

David Spector

économiste

et chercheur

au CNRS.

vendredi 13 mai 2005

 

dans les débats sur la Constitution européenne, un point fait l'unanimité de la classe politique, extrêmes inclus : il s'agit de la nécessité de combattre le «libéralisme». Cet impératif étant posé, les désaccords portent sur le meilleur moyen d'atteindre cet objectif : selon ses partisans, la Constitution faciliterait la résistance au libéralisme ; elle l'entraverait selon ses adversaires.

Pour appréhender le lien entre la construction européenne et le libéralisme, il faut partir d'une réalité simple : que la gauche ou la droite soit au pouvoir, la France est, depuis plusieurs années, la grande puissance antilibérale de l'Union européenne. Dans beaucoup de domaines, ses positions traduisent une méfiance générale, et sans équivalent chez nos voisins, à l'égard des mécanismes de marché. Contrairement à ce que l'on croit souvent, ces divergences entre la France et le reste de l'Europe ne portent pas sur le «modèle social français» ou les services publics, mais sur des sujets apparemment techniques, peu débattus en France malgré leur importance. Cinq exemples tirés de domaines très différents illustrent cette exception française.

L'attribution des licences UMTS. En 2000 et 2001, les gouvernements européens ont dû définir des procédures pour attribuer les licences d'utilisation du spectre hertzien dans le cadre de la norme de téléphonie mobile UMTS. Huit pays, dont la Grande-Bretagne, l'Allemagne et l'Italie, ont choisi de procéder à une vente aux enchères, c'est-à-dire de laisser au marché le soin de répartir ces licences, selon des règles préalablement définies par l'Etat. Faisant jouer la concurrence, ce mécanisme permet, s'il est bien conçu, de ponctionner lourdement les entreprises : il a rapporté près de 40 milliards d'euros en Grande-Bretagne, et près de 50 milliards en Allemagne. Pour des raisons complexes, mais dues en partie à la volonté de faire prévaloir le pouvoir discrétionnaire du régulateur public sur la logique de marché, la France a choisi de ne pas effectuer d'enchères. Cette décision a conduit à un rapport de forces favorable aux entreprises et à un manque à gagner de plusieurs milliards d'euros pour les caisses de l'Etat.

Le marché des droits à polluer. Lors des négociations relatives à l'application en Europe des accords de Kyoto, la France était le pays le moins favorable à la mise en place d'un marché des droits à polluer. Soutenue par la ministre de l'Environnement du gouvernement Jospin et finalement adoptée, cette solution a longtemps rencontré une forte opposition au sein du Parti socialiste, qui récusait comme immoral le recours au marché.

La réforme de la politique agricole commune. Seule contre les quatorze autres pays de l'Union, la France s'est opposée jusqu'au dernier moment à la refonte de la politique agricole commune dans un sens plus conforme à une logique de marché, consistant à remplacer le soutien aux prix agricoles par une politique des revenus. La position française heurtait de plein fouet les intérêts des exportateurs du Sud, comme l'Inde ou le Brésil, mais aussi ceux des consommateurs européens.

A la suite du tsunami, la France a proposé d'annuler la dette des pays touchés ­ mesure hautement inefficace, certains de ces pays étant faiblement endettés. En revanche, la France est à la pointe du combat contre la proposition récente de la Commission européenne visant à diminuer les droits de douane appliqués aux produits textiles fabriqués dans ces pays.

La loi Galland. Votée en 1996, cette loi sans équivalent au monde gèle la concurrence dans la grande distribution et a provoqué une augmentation importante des prix. Elle favorise les entreprises (producteurs, petits commerçants, grands distributeurs) au détriment des ménages les plus pauvres, contraints de payer plus cher leur alimentation.

Selon les sujets, la France est plus ou moins isolée en Europe : elle ne l'est pas sur la question des enchères UMTS ou du protectionnisme textile. Mais la France se distingue de tous ses partenaires par le caractère systématique, et quasiment réflexe, de ses réticences à l'égard des mécanismes de marché, quel que soit le domaine considéré.

Les politiques antilibérales de la France n'ont pas le moindre rapport avec un quelconque souci de justice sociale : la plupart d'entre elles profitent à quelques entreprises, au détriment des consommateurs, des finances publiques, ou des pays pauvres. Inversement, les pays européens les plus soucieux d'égalité (les pays scandinaves) adoptent en général des positions plus libérales que la France.

Les politiques antilibérales sont dues avant tout à la puissance des intérêts corporatistes, mais ce facteur, qui joue aussi à l'étranger, ne saurait les expliquer à lui seul. L'absence de toute contestation à leur endroit, même lorsque ces politiques sont évidemment contraires à l'intérêt général et à l'équité, s'explique aussi par la présence, dans la culture politique et administrative française, d'une profonde méfiance à l'égard des marchés.

Parce qu'il constitue une exception française, l'antilibéralisme systématique n'est pas compatible avec le projet européen : le non souverainiste et le non antilibéral se rejoignent. Inversement, l'argumentaire actuel des partisans du oui est souvent ambigu, parce qu'il flatte les tendances antilibérales de l'opinion, dont l'aboutissement logique est le refus de l'Europe.

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Très bon article.

Ce qui me gene avec Chichi ce sont les efforts qu'il fait pour se faire apprecier par le monde paysan! Il sait que sa place tient aux choix de l'electorat paysan,

ainsi pas de rupture, pas de reforme de la PAC….! Et dès que la population crie "Nous voulons du social" Chirac suit comme un mouton!

Je pense que le changement peut venir de l' Europe!

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Surprenant, venant du CNRS et de Libération!
Marrant de constater que le libéralisme vient par des chemins inattendus. Quit à passer pour un rêveur ou un naïf, je me demande si ça ne serait pas une manifestation d'un renouveau libéral qui commence progressivement à toucher les esprits.
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Pour les licences UMTS, je suis pas très convaincu que la façon française soit moins libérale que les autres. Et puis je ne vais pas pleurer un "manque à gagner" pour l'Etat :icon_up:.

Mais sinon, ça va faire réfléchir les lecteurs de Libération !

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Quit à passer pour un rêveur ou un naïf, je me demande si ça ne serait pas une manifestation du renouveau libéral qui commencer à toucher les esprits.

C'est peut-être le début d'une réaction à l'évolution stratégique de la droite française, qui vient chasser sans vergogne sur les terres de l'écologie, de l'alter-mondialisme et du social. La gauche pourrait se dire qu'il faut se différencier encore plus d'une droite autoritaire sur ces sujets et que le libéralisme est un bon moyen d'obtenir des prix plus bas, plus d'activité économique et donc plus de sous pour l'état. C'est mentionné en clair dans l'article. Prions mes frères pour que cela soit vrai.

D'autres articles du même David Spector, sur le commerce électronique et la concurrence:

http://www.cepremap.ens.fr/depot/docweb/docweb0505.pdf

http://econpapers.repec.org/article/bepthe…3A1053-1053.htm

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Les Cercles Libéraux ont également parlé de lui.

Les idées libérales à gauche

Les idées libérales se frayent un chemin à gauche. Certes, une alouette ne fait sans doute pas le printemps, mais il faut y voir un signe du dégel des idées à gauche, comme le démontrent l’interview de Monique Canto-Sperber et la tribune de David Spector dans Libération.

Dans son inteview accordée aux Echos, Monique Canto-Sperber rappelle : «Il ne faut pas oublier que le libéralisme est une conception qui non seulement défend le droit de chacun à être libre, mais qui reconnaît aussi la nécessité de donner à tous les moyens d’exercer cette liberté»

Lire les extraits

David Spector déclare dans sa tribune : «L’antilibéralisme intellectuel de la gauche rencontre ainsi l’antilibéralsime clientéliste de la partie de la droite la plus proche des détenteurs de rentes.»

Lire les extraits

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On sent que Libération a été racheté par Rotschild et qu'ils dépendent de LVMH pour placer des pubs Chanel dans ce journal 'de gauche' :icon_up:

En fait, on croirait un article de LC. Excellent d'ailleurs. Comme le dit Eskoh, il ne faut pas exclure la redécouverte de la pensée libérale, suscitée notamment par un réflexe de survie de la réflexion face à un socialisme de plus en plus étouffant.

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Oui, enfin quand même, connaissant notre belle gauche caviar, je demande à voir.

Je ne voudrais pas que cela tourne à l'apparition d'un Sarkozy de gauche (DSK, Fabius, Montebourg?), c'est à dire d'un libéralisme de façade pour ramasser des voix en plus.

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Il y a tout de même des types genre Blair ou, plus près de nous, Cohn Bendit dont le discours et l'action ont d'indéniables accents libéraux. Ce ne seront évidemment jamais des anarcaps, mais toute évolution dans la bonne direction est bonne à prendre.

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Je ne porte guère Blair dans mon coeur. C'est plutôt le statu quo sa politique.

Oui, cela dit tout est relatif. Par rapport à la gauche (ou même la droite :icon_up:) française actuelle, Blair se classe indéniablement dans les ultra-libéraux. Ce serait déjà pas mal qu'il y ait un seul blairiste parmi les élephants du P.S.

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Oui, cela dit tout est relatif. Par rapport à la gauche (ou même la droite  :icon_up:) française actuelle, Blair se classe indéniablement dans les ultra-libéraux. Ce serait déjà pas mal qu'il y ait un seul blairiste parmi les élephants du P.S.

De toutes façon le positionement de la gauche dépend du positionement de la droite.

Tant que la droite française restera aussi étatiste je ne vois pas pourquoi la gauche donnerai dans la surenchere libérale. Les travailliste anglais ont été obligé de se reformer et de se tourner vers le liberalisme, seul alternatives leur permettant d'avoir le soutien des tabloid ( très liberal) et de faire face à l'opposition suites à la période tatcher/Major.

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Le NON va l'emporter au référendum. La direction du PS sera renversée. Un gauchiste va en prendre la tête. Il va proposer une politique radicale, de rupture, la plus gauchiste qui soit pour se faire élire. Il va se faire élire. Le pire est à craindre : les libéraux parce que libéraux seront enfermés dans des prisons, les assocs libérales et autres fondations seront dissoutes, la liberté d'expression, ce sera uniquement pour les socialistes, les partis politiques qui seront représentés à l'AN seront exclusivement de gauche, etc…Et le Medef sera dissout.

Bref, une dictature mais si c'est la finalité hélas, on ne pourra pas y couper. Nous allons dans cette direction.

T'as oublié les chars de l'Armée Rouge, la décapitation de Seillières :icon_up:

Faisons gaffe, on va peut-être finir au GOULAG. :doigt:

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Je crains fort que la France finisse par devenir un véritable régime autoritaire. Je m'explique : vous aurez remarqué tout comme moi que les idées anti-libérales et altermondialistes ( alors qu'elle sont à côté de la plaque et rejetées par les PVD, enfin bon ) sont de plus en plus puissantes. La gauche, encore, on dira que c'est normal, mais même la droite est contaminée par ces valeurs et idéaux là. On voit un Chirac qui chante les louanges de l'anti-mondialisation, critique le libéralisme. Et les médias répéter ça au peuple.

Tout cela instaure un climat très très mauvais pour la démocratie. La pensée unique, petit à petit, reprend du terrain. La gauche et la droite chiraquienne ont tout fait pour que le mot " libéral " devienne une insulte, une injure. C'est comme si on se faisait traiter de facho, disons, alors que ça n'a franchement rien à voir. Les pries idioties, ommissions sur le libéralisme passent par une courroie de transmission : les médias, l'Education nationale. Les jeunes qui sortent du Bac depuis les années 80 sont franchement anti-libéraux, il suffit d'entendre ces jeunes au débat de Chirac taxer Raffarin d'extrêmement libéral. Pis, même une Constitution socialisante ( 29 mai ) est rejetée car trop libérale ( alors qu'elle ne l'est pas du tout ) 

Comme le disait Hayek, et finalement quelque part il avait raison, nous allons petit à petit en France vers un régime fasciste. Oui, fasciste ! En quoi, me diriez-vous ? Et bien, dans le sens où l'Etat cherche à accroître son contrôle sur les individus. On le voit bien lorsque des députés UDF veulent faire interdire la consommation de cigarettes en chocolat parce que cela incitera ensuite les jeunes à fumer. On le voit quand Blazy propose l'interdiction de distributeurs de boissons et de sucreries dans les lycées. Alors que dans les sociétés libérales le libéralisme gagne du terrain, en France c'est le contraire : l'Etat gagne du terrain. Nos politiques cherchent à aller toujours plus loin et le pire, c'est que les individus semblent accepter cet état de fait. Ils l'acceptent parce que quand on va vers une dictature, il y a un effet inconscient des gens à dire " allons toujours plus loin ! " Villepin propose des lois contre l'immigration encore plus dures que celle de Sarkozy ? Aucun tollé. Sarkozy quand il était à l'Intérieur a fait passer des lois liberticides, pires que celle de Pasqua et Debré ? Aucun tollé, ou si peu… Regardez les, tous ces politiques qui disent tant de bien de nos services publics, ils font un véritable culte de l'Etat auxquel on devrait se prosterner sous ses pieds… Ca me rappelle le fascisme de Mussolini dès années 1919. Nous allons vers le fascisme.

Le NON va l'emporter au référendum. La direction du PS sera renversée. Un gauchiste va en prendre la tête. Il va proposer une politique radicale, de rupture, la plus gauchiste qui soit pour se faire élire. Il va se faire élire. Le pire est à craindre : les libéraux parce que libéraux seront enfermés dans des prisons, les assocs libérales et autres fondations seront dissoutes, la liberté d'expression, ce sera uniquement pour les socialistes, les partis politiques qui seront représentés à l'AN seront exclusivement de gauche, etc…Et le Medef sera dissout.

Bref, une dictature mais si c'est la finalité hélas, on ne pourra pas y couper. Nous allons dans cette direction.

Enfin une réforme libérale…

Sur le fond il faut arrêter le délire.

Pour qu'il y ait risque de fascisme, il faudrait qu'il yait

1) extension du rôle de l'état

2) Une vision de société portée par les hommes de l'état

Or cette condition est trés loin d'être remplie.

Ce qui se passe est me semble il bcp plus proche d'un schéma à la bastiat (chacun se sert sur la bête) qui se fonde sur 3 pieds :

- Le dévpt incontestable de l'individualisme

- Le modéle de la démocratie à la française (régne de la majorité, centralisation et absence de contre pouvoirs représentatifs) qui rend necessaire l'expression des corporatismes

- La peur de l'avenir (30 ans de chomâge de longue durée…ça marque les esprits) qui rend le besoin de sécurité essentiel

Si mon hypothése est fondée la france a un avenir libéral (population individualiste) qui passe en priorité par :

1) Réforme du marché de l'emploi et de la fiscalité (quitte à devoir assumer des déficits) et suppression de la politique de l'emploi

2) Réforme de notre démocratie au sens large : suppression du medef, fin de la representativité irréfragable des syndicats, financement privé de la politique, véritable contrôle des comptes par le parlement (proposition fourgeous), augmentation du budget de la justice, suppression du csa, suppression des nmpp,….

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Enfin une réforme libérale…

Sur le fond il faut arrêter le délire.

Pour qu'il y ait risque de fascisme, il faudrait qu'il yait

1) extension du rôle de l'état

2) Une vision de société portée par les hommes de l'état

Or cette condition est trés loin d'être remplie.

Ce qui se passe est me semble il bcp plus proche d'un schéma à la bastiat (chacun se sert sur la bête) qui se fonde sur 3 pieds :

- Le dévpt incontestable de l'individualisme

- Le modéle de la démocratie à la française (régne de la majorité, centralisation et absence de contre pouvoirs représentatifs) qui rend necessaire l'expression des corporatismes

- La peur de l'avenir (30 ans de chomâge de longue durée…ça marque les esprits) qui rend le besoin de sécurité essentiel

Si mon hypothése est fondée la france a un avenir libéral (population individualiste) qui passe en priorité par :

1) Réforme du marché de l'emploi et de la fiscalité (quitte à devoir assumer des déficits) et suppression de la politique de l'emploi

2) Réforme de notre démocratie au sens large : suppression du medef, fin de la representativité irréfragable des syndicats, financement privé de la politique, véritable contrôle des comptes par le parlement (proposition fourgeous), augmentation du budget de la justice, suppression du csa, suppression des nmpp,….

Comment tu veux supprimer le Medef? Par la force?

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Non en lui supprimant toutes le prérogatives qu'on lui a donné (ex : présomption de représentativité dans les accords de branches; paritarisme…)

Et on peut rêver d'un vrai candidat libéral au medef qui joue le madelin au ministère de l'industrie…je ne fais rien ou alors mal

Il me semble que le baron etait deja assez liberal dans ses propos…..!

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Il me semble que le baron etait deja assez liberal dans ses propos…..!

libéral le baron???? lobbyiste des interêts des entreprises plutôt.

Tant qu'on aura ce genre d'énergumène pour représenter la parole libérale on ne fera rien.

Je le répéte : le seul comportement cohérent pour un libéral vis à vis du medef est de travailler à son éradication

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