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Idiotie Et Impéritie Françaises


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En fait la grande inconnue: les américains ont-ils les senseurs qui rendent ce type d'arme efficace?

Par exemple la Skwal soviétique était équipé d'une tête nucléaire, parce que sa précision toute relative consistait à la faire exploser au sein d'une Task Force US pour foutre le boxon, certainement pas à couler d'autre sous marin.

Le combat sous l'eau est pas définition tridimensionel et se prête très mal au combat non guidé, hors comme je l'ai dit avant, je doute que l'on puisse avoir un datalink entre le soum et la torpille our installer un sonar actif avec la mhd.

Hors même les sonars passifs les plus évolués ne sont pas à même de définir précisément la position d'un autre batiment, ensuite il faut avoir un gros calculateur pour pouvoir déterminer la trajectoire prévue de la cible.

Enfin il faut aligner TOUT le sous marin pour pouvoir placer ton tir, hors les sous-marins qui sont en opération (et même ceux commissionés) sous loin d'être des ballerines.

Disons que sauf si les américains ont fabriqué un super mini sous-marin avec un sonar ou un ladar à Tachyons, la torpille MHD correspond à donner un fusil de sniper à un aveugle (et à part Dardevil, je ne vois pas grand monde qui pourrait s'en servir correctement)

comme dirait l'amiral Ackbar:

ackbar.jpg

même si l'arme existait, il faudrait supposer l'existence d'un vecteur adapté encore plus secret…

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et si un ingénieur pourrait me dire si mes calculs sont crédibles, je le remercierais beaucoup!

Edit: à part la faute d'accord qui saute aux yeux, Word ne m'indique rien pour l'erreur de conjugaison  :icon_up:

Et bien il fallait dire "pouvait" (imparfait de l'indicatif) ou "peut" (présent simple de l'indicatif) et non "pourrait" (conditionnel présent), à moins de reformuler la phrase sous forme de question : "Un ingénieur pourrait-il me dire…"

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Et bien il fallait dire "pouvait" (imparfait de l'indicatif) ou "peut" (présent simple de l'indicatif) et non "pourrait" (conditionnel présent), à moins de reformuler la phrase sous forme de question : "Un ingénieur pourrait-il me dire…"

Voilà, sauf que le "peut" eût été aussi fautif, à moins d'écrire ensuite: "je l'en remercierai" (futur simple de l'indicatif).

(Et, en hommage à Me Capelo, je mets un centime dans le nourrain).

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En fait la grande inconnue: les américains ont-ils les senseurs qui rendent ce type d'arme efficace?

[…]

Cela pose tout un tas de questions intéressantes, en effet.

Cette torpille est-elle vraiment opérationnelle? Est-elle auto-dirigée, dirigée depuis le lanceur ou pas dirigée du tout? Pourrait-on imaginer que le sonar actif soit dans le lanceur, que le calculateur programme la torpille au lancement et qu'elle se débrouille toute seule ensuite, peut-être avec une techno comme le GPS? Si elle file vraiment à 2000 km/h, elle atteint son but en quelques secondes, or la cible se manie beaucoup plus lentement, elle. Pas besoin d'une précision de tir très grande, puisque que le périmètre d'incertitude dépend de la vitesse d'évolution de la cible (très faible) et du temps de tir de la torpille (très court). Ce sont des questions honnêtes, je ne connais pas grand-chose à tout cela.

Il est possible aussi que ce soit de l'intox pure et simple, comme la Guerre des Etoiles (celle de Reagan) dans les années 80 ou bien un nouveau gaspillage d'argent public (américain cette fois-ci), ce Joe Black étant l'un des profiteurs et se faisant mousser aux frais du contribuable.

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Je suis loin de m'y connaître autant, mais un peu de psychologie pourrait abonder dans les deux sens :

- l'arme semble en effet impratique à utiliser

- mais elle semble réalisable techniquement.

Un peu comme la bombe H de 100 MT - ou les bombres à neutrons -, totalement impratique sur un champ de bataille, mais terriblement efficace sur le plan psychologique… Non ?

En plus, ça constitue en soi une excellente raison de claquer des thunes.

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Cela pose tout un tas de questions intéressantes, en effet.

Cette torpille est-elle vraiment opérationnelle? Est-elle auto-dirigée, dirigée depuis le lanceur ou pas dirigée du tout? Pourrait-on imaginer que le sonar actif soit dans le lanceur, que le calculateur programme la torpille au lancement et qu'elle se débrouille toute seule ensuite, peut-être avec une techno comme le GPS? Si elle file vraiment à 2000 km/h, elle atteint son but en quelques secondes, or la cible se manie beaucoup plus lentement, elle. Pas besoin d'une précision de tir très grande, puisque que le périmètre d'incertitude dépend de la vitesse d'évolution de la cible (très faible) et du temps de tir de la torpille (très court). Ce sont des questions honnêtes, je ne connais pas grand-chose à tout cela.

Transmettre des informations GPS a une torpille en plongée serait intéressant mais je ne sais pas si c'est possible actuellement. La seule solution pour un navire serait alors de la détruire car il serait inutile de chercher à l'éviter. Je sais que les SNLE communiquent avec la terre en plongée mais cela se fait par ondes longues et même très longues puisqu'ils déploient une antenne filaire de plusieurs km je crois.

Maintenant je ne vois pas l'intérêt d'une torpille a tête nucléaire. Un SNLE placé à 1500 km d'une task force lance un missile sur celle ci et l'affaire est réglée. Pourquoi faire compliqué ? Reste évidemment les autres sous marins.

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En fait la grande inconnue: les américains ont-ils les senseurs qui rendent ce type d'arme efficace?

Par exemple la Skwal soviétique était équipé d'une tête nucléaire, parce que sa précision toute relative consistait à la faire exploser au sein d'une Task Force US pour foutre le boxon, certainement pas à couler d'autre sous marin.

Hhhmmm, tu es sûr qu'il s'agit d'une tête nucléaire au sens où on l'entend d'habitude?

Parce que je crois que ce à quoi tu fais référence sont des torpilles dont la tête est renforcée en uranium appauvri, pas pour le côté radioactivité, mais pour le côté dureté de ce matériau. En clair, ca peut perforer quasiment n'importe quoi, de la cuirasse d'un sous-marin d'attaque à des murs de bétons de plusieurs dizaines de mètres d'epaisseur.

Le combat sous l'eau est pas définition tridimensionel et se prête très mal au combat non guidé, hors comme je l'ai dit avant, je doute que l'on puisse avoir un datalink entre le soum et la torpille our installer un sonar actif avec la mhd.

Je crois que c'est le cas de la plupart des torpilles, elles sont dotées de la capacité de changer de direction avec leur cible.

La vitesse d'évolution de la cible et celle de la torpille, ce ne sont que des paramètres, qui sont facilement contournables en mettant la puissance de calcul qu'il faut dans ladite torpille!

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De plus, le probleme principal des torpilles, c'est la flotte qui a autour. Les technologies actuelles, telles que je les connais, sont les suivantes: il s'agit de faire en sorte que lorsque la torpille se déplace, elle se retrouve enveloppée dans une couche d'eau vaporisée, ce qui améliore son aérodynamisme. (EDIT: ça s'appele la surcavitation, je crois)

Et la torpille en question va à 500 km/h, d'apres ce que j'ai vu et lu, pas 2000, c'est beaucoup trop! La plupart des torpilles dépassent difficilement les 100km/h.

Mais je suis pas spécialiste, hein…

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supercavitation :icon_up: et la Skwal est non-guidée

mais ici on parle d'uber torpille à MHD (à la manière d'un OVNI dans l'atmosphère)

donc on est un peu dans X-files et l'on ne peut que sujpputer de ses capacités.

PS: je poste un poil rond, mais à 0400 am, qui en douterait…..

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[…]

Et la torpille en question va à 500 km/h, d'apres ce que j'ai vu et lu, pas 2000, c'est beaucoup trop! La plupart des torpilles dépassent difficilement les 100km/h.

[…]

Avec la MHD, ce n'est pas la torpille qui se déplace vers l'avant, c'est le fluide tout autour de la torpille qui est mis en mouvement vers l'arrière, ce qui supprime la notion même de frottement ou de vague d'étrave. Ceci explique qu'elle peut atteindre des vitesses très élevées.

On peut signaler aussi que la MHD a été envisagée pour supprimer les ondes de choc qui se forment autour des mobiles à vitesse supersonique, justement par cette capacité à mettre le fluide en mouvement autour de l'objet. Cependant, je pense que la torpille MHD, si elle existe, reste très en deça de la vitesse du son dans l'eau de mer (1800 m/s si je me souviens bien).

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On peut signaler aussi que la MHD a été envisagée pour supprimer les ondes de choc qui se forment autour des mobiles à vitesse supersonique,

Des téléphones superrapides avec MHD ? Pour téléphoner depuis son Rafale, je suppose ?

P'tain, ils font trop fort, chez SFR, décidemment…

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En ce qui concerne le guidage des avions (WTC et Pentagone), il y une théorie qui répond à toutes vos (nos) questions. Reste à savoir si elle a été utilisée. Mais l'histoire du quatrième appareil, celui qui c'est crashé, semble confirmer cette théorie.

Sur chaque appareil IFR, qualifié pour le vol sans visibilité, existe le FAF. Final Approach Fix ou glide. Ce dispositif permet de guider un appareil IFR au mètre près en horizontal et en vertical. Et ce guidage se fait "grâce" au pilotage automatique.

Dans le récit du quatrième avion, il est précisé que le terroriste aux commandes a désactivé et réactivé le pilotage automatique de très nombreuses fois. Pourquoi donc vouloir enclencher "absolument" le pilotage automatique si on sait piloter ?

En admettant qu'un terroriste au sol place un émetteur (engin qui peut être portable puisque de la taille d'un talkie walkie) dans chaque tour du WTC et au Pentagone, il est possible d'imaginer les "faux pilotes" juste bon à reprogrammer les fréquences des pilotages automatiques des avions. Les si fameux pilotes n'ont plus qu'à se laisser guider jusqu'a leur cible…

Il n'est même pas obligatoire dans ce cas d'avoir de vrais kamikazes. Si cela se trouve, le crash du quatrième avion est dû au brouillage des fréquences bien plus qu'à "l'action" du faux pilote".

Cette théorie explique également le pourquoi du silence des autorités sur les boites noires… Parce qu'avant que toutes les communications hertziennes en aviation soient codées, il faudra beaucoup de temps… Voir même un miracle car il y a certaines règles en aéronautiques qui sont imuables. Et la pseudo sécurité de l'encodage des communications ne réponds pas aux critères de "l'esprit aviation".

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En ce qui concerne le guidage des avions (WTC et Pentagone), il y une théorie qui répond à toutes vos (nos) questions. Reste à savoir si elle a été utilisée. Mais l'histoire du quatrième appareil, celui qui c'est crashé, semble confirmer cette théorie.

Sur chaque appareil IFR, qualifié pour le vol sans visibilité, existe le FAF. Final Approach Fix ou glide. Ce dispositif permet de guider un appareil IFR au mètre près en horizontal et en vertical. Et ce guidage se fait "grâce" au pilotage automatique.

Le FAF est un point de référence extérieur à l'avion qui varie en fonction de l'aéroport de destination. Ce n'est pas un équipement embarqué. Le systéme IFR au sol se compose de deux types d'émissions radio dont la réception par les systémes de l'avion permet au pilote automatique de guider celui ci en pente (glide slope) et en direction (localiser).

Dans le récit du quatrième avion, il est précisé que le terroriste aux commandes a désactivé et réactivé le pilotage automatique de très nombreuses fois. Pourquoi donc vouloir enclencher "absolument" le pilotage automatique si on sait piloter ?

Parce que c'est plus simple. Quand le PA est enclenché on n'a plus à s'occuper de la direction, de l'altitude ni de la poussée des réacteurs.

Sur un avion moderne (type 757) rejoindre un point est enfantin si on sait se servir du MCDU (multi fonction control and display unit) cela ressemble à une grosse calculatrice. Tu entres les coordonnées géographiques du point que tu veux rejoindre tu appuie sur une touche de confirmation et l'avion va instantanément se diriger vers ce point. Il est aussi possible d'entrer l'indicatif d'une balise proche de ce point. Encore faut il connaitre la séquence des manipulations à effectuer. Plus simple encore, une fois le mode HDG (heading) engagé tu peux orienter l'avion en tournant sur une simple molette. Encore faut il savoir ou tu es et dans quelle direction tu veux aller.

Pour le reste toutes les spéculations sont possibles.

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Hhhmmm, tu es sûr qu'il s'agit d'une tête nucléaire au sens où on l'entend d'habitude?

Parce que je crois que ce à quoi tu fais référence sont des torpilles dont la tête est renforcée en uranium appauvri, pas pour le côté radioactivité, mais pour le côté dureté de ce matériau.

Ha bon? Je croyais que c'était mou comme le plomb ou l'or mais beaucoup plus lourd.

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Ha bon? Je croyais que c'était mou comme le plomb ou l'or mais beaucoup plus lourd.

C'est moins mou que l'or, plus lourd, mais beaucoup moins dur que l'acier. L'intérêt est surtout dans sa densité.

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pparently fired from standard 533mm torpedo tubes, Shkval has a range of about 7,500 yards. The weapon clears the tube at fifty knots, upon which its rocket fires, propelling the missile through the water at 360 kph [about 100 m/sec / 230 mph / 200-knots], three or four times as fast as conventional torpedoes. The solid-rocket propelled "torpedo" achieves high speeds by producing a high-pressure stream of bubbles from its nose and skin, which coats the torpedo in a thin layer of gas and forms a local "envelope" of supercavitating bubbles. Carrying a tactical nuclear warhead initiated by a timer, it would destroy the hostile submarine and the torpedo it fired. The Shkval high-speed underwater missile is guided by an auto-pilot rather than by a homing head as on most torpedoes.
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N'étant pas guidée, la Shkval n'a pas la capacité de toucher un navire ennemi et elle doit se positionner un peu au petit-bonheur-la-chance avant de faire exploser sa charge nucléaire. Comme l'uranium appauvri sert pour percer les blindages, par sa forte densité qui permet de rendre les obus plus efficaces, il ne servirait pas à grand-chose dans ce cas précis.

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