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Congrès Fondateur Alternative Libérale


Edouard1984

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Toi aussi tu es physionomiste, Aurel? J'ai tout de suite vu à son regard qu'elle était très douée pour expliquer l'avenir du libéralisme aux Français, au fond des yeux et sans tromperie ni langue de bois.

Mieux que Serge l'ami de Chitah elle pourra dire : "il n'y a que l'alternative libérale. C'est la seule qui marche. C'est la seule qui compte. Et si on veut créer des emplois il faut ça, c'est tout."

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En tous cas félicitations pour le congrès, c'était vraiment impressionnant, très pro!

Je me suis bien marrée sur le lynchage d'Ardisson dans le film et j'ai trippé sur les discours.

Bravo à tous!

PS: Aurélien, tu sais à qui je dois demander pour mes codes Intranet car j'ai toujours rien (je suppose que le retard est du à l'orga du congrès mais je voudrais quand meme vérifier que l'e-mail ne s'est pas perdu).

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Les malheureux qui n'étaient pas là peuvent-ils avoir des explications ? :icon_up:

AL a diffusé un petit film en début de congrès. A la fin du film, pour dénoncer le parti pris des médias, ils ont passé un extrait de tout le monde en parle avec Ardisson en train de balancer "c'est chacun pour sa gueule, c'est le libéralisme quoi!" Pas la peine de vous préciser que ça a pas mal chauffé la salle…

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Paraît-il - Ô rumeur - que les intervenants ont été extrêmement mauvais à l'oral. Est-ce vrai ?

Vous êtes durs, j'ai été au contraire très agréablement surprise: les discours étaient brefs et percuttants, pas le temps de s'ennuyer. Ils expliquaient clairement la logique du programme et il y avait un réel effort pour utiliser les techniques de communication. OK les intervenants étaient un peu stressés mais c'est le revers de la médaille si l'on veut avoir des jeunes en politique.

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Ce fut une heureuse surprise. Je suis venu plutôt méfiant et même un peu à reculons, mais j’en suis reparti presque enthousiaste… Bien sûr, il ne s’agit pour l’instant que de belles paroles mais ce sont au moins celles que j’avais envie d’entendre. :doigt:

@Aurel

Ce serait bien si AL mettait en ligne (sur le site et/ou ici) le texte des discours prononcés par chacun. Au fait, je vous ai trouvé très bien.

Il y avait du monde ?

Moins que ce à quoi je m’attendais. Mais comme tu le sais peut-être déjà, je préfère que l’on soit un peu moins… mais entre libéraux, plutôt qu’un peu plus… avec des intrus… :icon_up:

Monomaniaque moi? Non, non…

Paraît-il - Ô rumeur - que les intervenants ont été extrêmement mauvais à l'oral. Est-ce vrai ?

Vous êtes durs, j'ai été au contraire très agréablement surprise: les discours étaient brefs et percuttants, pas le temps de s'ennuyer. Ils expliquaient clairement la logique du programme et il y avait un réel effort pour utiliser les techniques de communication. OK les intervenants étaient un peu stressés mais c'est le revers de la médaille si l'on veut avoir des jeunes en politique.

Non c’est faux… (suis d'accord avec Zibeline)… Mais tout dépend aussi de ce que l’on entend par "à l’oral"… En fait le plus mal à l’aise «à l’oral» était aussi selon moi l’un des plus intéressants au niveau du contenu.

Si j’ai le courage, et si personne ne s’en charge, j’essaierai de développer un peu. En attendant, je résumerai mon impression de la façon suivante :

Si ça continue comme ça, je vais commencer à y croire.

Très encourageant tout ça.

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C'est long de se farcir cinq heures de train mais je dois reconnaître que ça valait le déplacement. Quand je suis arrivé sur les lieux, j'ai revu tous mes amis, d'abord Christine Mure, puis Sabine ainsi que Pierre et Antoine à l'intérieur. Christian se chargea de vendre des produits dérivés à l'effigie du parti pour faire de la pub autour de nous. Désespérant de ne rien trouver au bar, je me résigne à monter à l'étage. Ce n'était pas l'Olympia, mais c'était grand tout de même.

Je suis descendu pour chercher un vestiaire, il y en avait un mais personne pour s'en occuper. Je suis remonté à l'étage pour ne pas me faire voler ma place. J'ai fini par discuter avec un jeune qui venait droit de Pau, avant que le Congrès ne débute. Très moderne, sur de la musique Rap. Un type avec une tête de mouton regarde la télé et écoute Chirac, cherche à zapper mais entend toujours la même chose, genre : " nous vivons dans une société d'égalité, de solidarité ". Avant de voir tous les problèmes de la France, chômage, exclusion, pauvreté extrême dans les cités, etc… On interroge des gens dans la rue et on leur demande ce qu'ils pensent de la France. Pour certains, " elle pète plus haut que son cul " pour d'autres, " la France est un pays très généreux, tout le monde veut y vivre et c'est souvent ça le problème ". On s'est même farci une socialiste. On leur demande ensuite de personnifier la France en animal. Ceux qui ont été retenus : " le paresseux, le coq, le lion, la tortue ". On voit tout le long du clip Chirac avec Raffarin, puis avec Villepin et Sarkozy en embuscade. La salle l'a copieusement huée, " Chirac en prison ! " ais-je crié.

Un certain François arrive et nous présente le mouvement un moment avant de laisser la parole à d'autres intervenants. L'excellent Didier Salavert tout d'abord, complètement en phaseavec les idées libérales, puis Damien Bohringer ( un rapport avec l'acteur ? ) qui nous décrit les graves failles de notre justice et surtout le sort qui est réservé à ceux qui viennent dans notre pays pour espérer y trouver un eldorado introuvable et qui se retrouvent parqués dans des salles étroites, dans des conditions tellement inadmissibles que même des inspecteurs européens ont pété un câble et n'en sont pas revenus.

Sabine Herold qu'on connaissait déjà pour avoir organisé avec succès sa contre-manifestation du 15 juin 2003 où 80 000 personnes avaient participé, nous raconta son parcours, les avancées libérales dont la France a besoin pour conserver sa place sur la scène internationale. Puis vient Said, qui nous décrit d'où il venait, d'Algérie, il nous raconta de quelle manière la France avait traité ceux qui s'étaient battus pour elle et qui avaient été massacrés par les nationalistes algériens lors de la décolonisation. C'était émouvant… Il fit les louanges des droits de l'homme et de l'idée de liberté, contre l'oppression des dictatures règnant partout dans le monde. Ludovic est aussi passé, il a mis une ambiance du tonnerre, avec des accents populistes, merci Ludo ! Douce de Franglieu est intervenue à son tour, dénoncant la carte scolaire qui profite à une minorité de privilégiers au détriment de tous les autres.

Viennent ensuite des invités internationaux : d'abord les deux jeunes georgiens qui ont mené avec succès la révolution rose dans leur pays et qui ont pu créer un véritable Etat de droit reposant sur les droits de l'homme. Les mesures libérales qu'ils ont mené sont aujourd'hui très populaires dans ce pays, même si comme ils l'ont dit, il reste encore beaucoup de progrès à faire car il existe un trop grand nombre de dictatures. Ensuite un dissident tunisien qui ne s'est pas gêné pour critiquer le régime despotique de Ben Ali et qui rêverait de faire des islamistes de son pays des démocrates adhérant aux idées libérales, l'islam politique sera libéral ou ne sera pas. Puis un certain Karim, canadien originaire d'Inde, nous raconta comment ses parents avaient soufferts dans son pays natal car non musulmans, puis ensuite une fois arrivés en Afrique parce qu'ils n'étaient pas noirs. Ils sont ensuite partis en Angleterre avant de gagner le Canada, et ils ont découvert l'opposé de ce qu'ils avaient vu jusqu'alors ( mais le Canada est un pays très libéral, très tolérant, au passage ). Charles Beighbeider, patron de Poweo et frère d'un certain Frédéric travaillant à Canal +, a dit tout le bien qu'il pensait d'AL, était content d'être là parmi nous. Il nous dit l'urgence de changer les choses au risque sinon, de déboucher sur une très grave crise politique.

Puis est venu notre Président, le grand manitou Edouard Fillias qui fit ce constat : " les laissés pour compte, ceux qui ne croient plus en la politique, seront nos électeurs ". Etant donné en effet que dans le système qui existe actuellement en France, seuls les plus riches et les fils de ministres en profitent, au détriment de tous les autres, écrasés par des impôts toujours plus élevés, des règlementations tatillonnent qui les entraînent vers le bas, les empêchent de progresser et surtout qui plombe leur portefeuille ( car plus les réglementations sont nombreuses, plus le coût de la vie augmente ).

Ensuite on a fait une photo de famille, tous les responsables se sont levés, sont venus sur scène. On a eu droit à un lâcher de ballons.

N'importe qui qui aurait participé à ce Congrès comme simple spectateur n'aurait pas pu en sortir en pensant avoir assité au Congrès d'un parti se situant à droite de la droite. Tout a été centré sur les droits de l'homme, sur les inégalités sociales dues au système existant actuellement, sur un retour aux grands principes issus de la DDHC de 1789. Des réformes économiques radicales assurant la prospérité, tout en garantissant à tous une protection sociale efficace, voilà les grandes lignes développées par le parti. Finalement, rien d'autre que ce que propose Jean Marie Bockel, à peu de choses près, lui-même étant au PS. Alternative Libérale finalement, ressemble plus à un parti social-démocrate moderne qu'à un parti type Mouvement Pour la France d'un certain Villiers.

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Invité Arn0
La leçon est simple : il ne faut pas brouiller le message. Le "social"-libéralisme, ça n'attire pas les socialistes et ça fait fuir les libéraux. Il faut maintenir un programme libéral avec un langage "conservateur" sans équivoque, quitte à proposer des mesures concrètes progressites (libération des drogues) mais en les justifiant avec des arguments conservateurs et en gardant un ton scientifique voire utilitariste.

Il n'y a que comme ça qu'on aura le vote protestataire de droite, et ceux qui espèrent qu'un parti libéral a en France une chance quelconque d'avoir le vote protestataire de gauche ou le vote du centre est dans le wishful thinking le plus total.

Ensuite, une fois en possession d'une base solide de sympathisants, on pourra ratisser plus large. Mais pas avant. Et certainement pas en priorité à gauche.

Il me semble que les "conservateurs" voteront Sarkozy. Une telle stratégie contre Chirac aurait été efficace, mais pas contre Sarkozy. Enfin amha.
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Alternative Libérale finalement, ressemble plus à un parti social-démocrate moderne qu'à un parti type Mouvement Pour la France d'un certain Villiers.

Aïe ! ça allait bien, jusqu'à ce que tu lâches un gros mot !!!

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La France est une drôle de nation. Nous sommes le seul pays en Europe pour qui « libéralisme » est encore un gros mot. Il n'y a pas un parti politique en France qui ose se réclamer ouvertement du libéralisme, mise à part une petite organisation, Alternative libérale, qui vient de se créer dans une indifférence quasi-générale.

ivan rioufol

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Invité jabial
Il me semble que les "conservateurs" voteront Sarkozy. Une telle stratégie contre Chirac aurait été efficace, mais pas contre Sarkozy. Enfin amha.

Les conservateurs sont déja partiellement décus par Sarkozy. Enfin, on verra bien.

EDIT : En plus, je ne parle pas des authentiques conservateurs mais de tous les anti-système qui votent extrème.

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C'est long de se farcir cinq heures de train mais je dois reconnaître que ça valait le déplacement. Quand je suis arrivé sur les lieux, j'ai revu tous mes amis, d'abord Christine Mure, puis Sabine ainsi que Pierre et Antoine à l'intérieur. Christian se chargea de vendre des produits dérivés à l'effigie du parti pour faire de la pub autour de nous. Désespérant de ne rien trouver au bar, je me résigne à monter à l'étage. Ce n'était pas l'Olympia, mais c'était grand tout de même.

Je suis descendu pour chercher un vestiaire, il y en avait un mais personne pour s'en occuper. Je suis remonté à l'étage pour ne pas me faire voler ma place. J'ai fini par discuter avec un jeune qui venait droit de Pau, avant que le Congrès ne débute. Très moderne, sur de la musique Rap. Un type avec une tête de mouton regarde la télé et écoute Chirac, cherche à zapper mais entend toujours la même chose, genre : " nous vivons dans une société d'égalité, de solidarité ". Avant de voir tous les problèmes de la France, chômage, exclusion, pauvreté extrême dans les cités, etc… On interroge des gens dans la rue et on leur demande ce qu'ils pensent de la France. Pour certains, " elle pète plus haut que son cul " pour d'autres, " la France est un pays très généreux, tout le monde veut y vivre et c'est souvent ça le problème ". On s'est même farci une socialiste. On leur demande ensuite de personnifier la France en animal. Ceux qui ont été retenus : " le paresseux, le coq, le lion, la tortue ". On voit tout le long du clip Chirac avec Raffarin, puis avec Villepin et Sarkozy en embuscade. La salle l'a copieusement huée, " Chirac en prison ! " ais-je crié.

Un certain François arrive et nous présente le mouvement un moment avant de laisser la parole à d'autres intervenants. L'excellent Didier Salavert tout d'abord, complètement en phaseavec les idées libérales, puis Damien Bohringer ( un rapport avec l'acteur ? ) qui nous décrit les graves failles de notre justice et surtout le sort qui est réservé à ceux qui viennent dans notre pays pour espérer y trouver un eldorado introuvable et qui se retrouvent parqués dans des salles étroites, dans des conditions tellement inadmissibles que même des inspecteurs européens ont pété un câble et n'en sont pas revenus.

Sabine Herold qu'on connaissait déjà pour avoir organisé avec succès sa contre-manifestation du 15 juin 2003 où 80 000 personnes avaient participé, nous raconta son parcours, les avancées libérales dont la France a besoin pour conserver sa place sur la scène internationale. Puis vient Said, qui nous décrit d'où il venait, d'Algérie, il nous raconta de quelle manière la France avait traité ceux qui s'étaient battus pour elle et qui avaient été massacrés par les nationalistes algériens lors de la décolonisation. C'était émouvant… Il fit les louanges des droits de l'homme et de l'idée de liberté, contre l'oppression des dictatures règnant partout dans le monde. Ludovic est aussi passé, il a mis une ambiance du tonnerre, avec des accents populistes, merci Ludo ! Douce de Franglieu est intervenue à son tour, dénoncant la carte scolaire qui profite à une minorité de privilégiers au détriment de tous les autres.

Viennent ensuite des invités internationaux : d'abord les deux jeunes georgiens qui ont mené avec succès la révolution rose dans leur pays et qui ont pu créer un véritable Etat de droit reposant sur les droits de l'homme. Les mesures libérales qu'ils ont mené sont aujourd'hui très populaires dans ce pays, même si comme ils l'ont dit, il reste encore beaucoup de progrès à faire car il existe un trop grand nombre de dictatures. Ensuite un dissident tunisien qui ne s'est pas gêné pour critiquer le régime despotique de Ben Ali et qui rêverait de faire des islamistes de son pays des démocrates adhérant aux idées libérales, l'islam politique sera libéral ou ne sera pas. Puis un certain Karim, canadien originaire d'Inde, nous raconta comment ses parents avaient soufferts dans son pays natal car non musulmans, puis ensuite une fois arrivés en Afrique parce qu'ils n'étaient pas noirs. Ils sont ensuite partis en Angleterre avant de gagner le Canada, et ils ont découvert l'opposé de ce qu'ils avaient vu jusqu'alors ( mais le Canada est un pays très libéral, très tolérant, au passage ). Charles Beighbeider, patron de Poweo et frère d'un certain Frédéric travaillant à Canal +, a dit tout le bien qu'il pensait d'AL, était content d'être là parmi nous. Il nous dit l'urgence de changer les choses au risque sinon, de déboucher sur une très grave crise politique.

Puis est venu notre Président, le grand manitou Edouard Fillias qui fit ce constat : " les laissés pour compte, ceux qui ne croient plus en la politique, seront nos électeurs ". Etant donné en effet que dans le système qui existe actuellement en France, seuls les plus riches et les fils de ministres en profitent, au détriment de tous les autres, écrasés par des impôts toujours plus élevés, des règlementations tatillonnent qui les entraînent vers le bas, les empêchent de progresser et surtout qui plombe leur portefeuille ( car plus les réglementations sont nombreuses, plus le coût de la vie augmente ).

Ensuite on a fait une photo de famille, tous les responsables se sont levés, sont venus sur scène. On a eu droit à un lâcher de ballons.

N'importe qui qui aurait participé à ce Congrès comme simple spectateur n'aurait pas pu en sortir en pensant avoir assité au Congrès d'un parti se situant à droite de la droite. Tout a été centré sur les droits de l'homme, sur les inégalités sociales dues au système existant actuellement, sur un retour aux grands principes issus de la DDHC de 1789. Des réformes économiques radicales assurant la prospérité, tout en garantissant à tous une protection sociale efficace, voilà les grandes lignes développées par le parti. Finalement, rien d'autre que ce que propose Jean Marie Bockel, à peu de choses près, lui-même étant au PS. Alternative Libérale finalement, ressemble plus à un parti social-démocrate moderne qu'à un parti type Mouvement Pour la France d'un certain Villiers.

Merci pour ce très bon résumé, Freeman :icon_up: !

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Merci pour ce très bon résumé, Freeman :icon_up: !

Nico, en lisant ton résumé j'ai compris que tu n'as rien compris…

En quoi les libéraux sont ils à droite de la droite ?

en quoi sommes nous sociaux démocrates ?

Les différences entre nous et bockel sont grandes, il est malgré tout socialiste, il souhaite un social libéralisme passant par une nouvelle conception de l'Etat et de l'économie, pas sa dominution dans la vie des gens…

que tu sois surpris que nous nous centrions sur la DDHC et l'égalité des droits est probablement le plus étonnant pour un libéral et si tu as vraiment été surpris peut-être devrait tu te poser des questions sur ton libéralisme ?

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C'est sympa AK d'avoir assité au Congrès, mais t'aurais quand même pu en profiter pour me voir au lieu de m'ignorer, d'autant plus que tu pouvais pas me louper !

Nico, en lisant ton résumé j'ai compris que tu n'as rien compris…

En quoi les libéraux sont ils à droite de la droite ?

en quoi sommes nous sociaux démocrates ?

Je crois surtout que tu as lu trop vite Libre… Bockel est certainement le plus intelligent au PS et je souhaiterais qu'il en prenne la tête. J'ai vu des libéraux sur Saint Jean de Luz qui l'aiment bien. Ce qui me surprend, c'est que vous soyez les seuls ( et dans une indifférence quasi générale comme dit ivan ) a vous exprimer sur les droits de l'homme.

Quand on vous dit que ce pays est fini… :doigt:

Sinon, je regrette de ne pas avoir vu Harald, j'aurais bien aimé discuter avec lui. Il se passe un autre truc en novembre, je me paierais ça, pour être en phase avec le parti :

00260f.jpg

:icon_up:

Maintenant, ne me restes plus qu'à labourer… :warez:

PS : merci boubou !

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Il me semble que les "conservateurs" voteront Sarkozy. Une telle stratégie contre Chirac aurait été efficace, mais pas contre Sarkozy. Enfin amha.

Pendant le clip, on voyait la photo de Sarko et la tête de Chirac qui se superposaient. C'était très bien vu, mais seulement le problème étant qu'un trop grand nombre de gens à part un public avertit ne fait pas encore le rapprochement.

On voit quand même que la mentalité, dans les écoles de commerce, est différente de celle des facs. Je suis tombé sur des jeunes qui me disaient " la droite française est plus gauchiste que toutes les gauches européennes, si on ne fait rien on ira dans le mur ".

Agréable d'entendre ça venant de jeunes, pas tous gauchos :icon_up:

Dilbert, le libéralisme est de gauche à l'origine et je ne vois pas ce qui aurait de honteux à créer un parti de gauche libéral.

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Le mannequin ou le costume ?

Les deux :warez:

Loool. C'était une boutade parce que la couleur du parti est le violet ( je vais devoir renouveler mon stock de chemises et de polos :icon_up: )

Remarque, je te passe ce que j'ai pu faire à Paris dimanche soir :doigt:

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:icon_up:

Vu que tu dis juste après le doute subsistait effectivement.

Note que s'il avait écrit "le bourrer", c'eût été tout aussi ambivalent, eu égard aux états de service de notre ami !

"Je trouverai d'autres sillons pour mes semailles", faisait dire Sophocle à un de ses personnages.

Aaah, de là le récit du prieuré de Sillon, cher à certain romancier à sensations.

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