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Patrons agressés et sequestrés


Messages recommandés

Invité Arn0
Tiens, j'ai une expérience inverse. Mis à part quelques cohérents, ceux avec qui j'ai discuté s'intéressaient beaucoup aux produits naturels et végétaux, avec force promotions et discours lyriques sur les vertus époustouflantes de leurs machins sur des égratignures appelées maladies.

Jusqu'au jour où un abcès dentaire ou autre pathologie bien méchante et douloureuse les amène à bouffer anti-inflammatoires, antalgiques et antibiotiques classiques - plutôt que se laisser lentement pourrir la gencive, puis la mâchoire, puis le cerveau dans d'atroces souffrances.

Je faisais références aux farfelus prêt à utiliser la violence clandestine, pas le bobo de base. Il y en a même un qui s'est plus ou moins laisser mourir de faim.
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  • 2 weeks later...
On a pas fini d'innover dans le chantage :icon_up:

Il est des situations où menacer de déverser des polluants dans la Seine faute d'obtenir satisfaction s'appellerait : du terrorisme.

Même que les journaux écriraient des titres énôôôrmes sur le sujet pendant des semaines et que ça serait commenté en continu à la TV, sur le ouaibe et à la radio.

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Il est des situations où menacer de déverser des polluants dans la Seine faute d'obtenir satisfaction s'appellerait : du terrorisme.

Même que les journaux écriraient des titres énôôôrmes sur le sujet pendant des semaines et que ça serait commenté en continu à la TV, sur le ouaibe et à la radio.

Nan mais il se battent pour une cause juste voyons…. Il faut saigner ces saluds de patrons :icon_up:

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Invité jabial

Je rappelle que le message actuel c'est : quand vous êtes virés vous avez le droit de faire tout ce que vous voulez tant que vous ne tuez pas quelqu'un vous mêmes vous n'irez pas en prison. On va forcément assister à l'escalade. D'une certaine façon ces types nous rendent service : avec eux, il finira forcément par y avoir un retour de bâton, par exemple l'application réelle du droit de la grève par la force publique.

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C'est un génocide de poissons et de la faune fluviale qu'ils s'apprêtent à commettre. Perso je serai assez favorable à les envoyer manu militari nettoyer la Seine, histoire de les faire réfléchir, et s'ils se font bouffer par un silure ça leur apprendra à vivre.

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Quelle forces publiques ? Celles qui n'osent plus aller dans les zones de non droit ? Ou celles qui sont à la botte du président et qui ont pour ordre de ne pas faire de vague ? M'est avis qu'on va juste subir ça en permanence maintenant. Mais si un débordement était réprimé, notamment dans le cas de violences physique (et encore le patron de Molex aurait bien aimé un peu de répression), maintenant que la boite à été ouverte…

C'est un peu comme la dette… elle cours elle cours, et plus personne ne s'en inquiète, et même si on peut souhaiter que ça pète un bon coup je me demande si ça arrivera jamais.

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C'est un peu comme la dette… elle cours elle cours, et plus personne ne s'en inquiète, et même si on peut souhaiter que ça pète un bon coup je me demande si ça arrivera jamais.

Si ça n’arrivera jamais, où est le problème de la dette ? :icon_up:

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Bah mon parallèle était donc bon… Si la répression ne vient jamais, où est le problème du terrorisme salarié? :icon_up:

Tant que l’emprunt n’est pas forcé, je ne vois pas de problème de droit à l’endettement public — je le vois même comme beaucoup moins problématique que l’impôt, de ce point de vue. Le « terrorisme », par contre…

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Invité jabial
C'est un génocide de poissons et de la faune fluviale qu'ils s'apprêtent à commettre. Perso je serai assez favorable à les envoyer manu militari nettoyer la Seine, histoire de les faire réfléchir, et s'ils se font bouffer par un silure ça leur apprendra à vivre.

Génocide, génocide, comme tu y vas… On croirait lire un verdâtre. Mais je suis d'accord avec la suite de ton message.

C'est un peu comme la dette… elle cours elle cours, et plus personne ne s'en inquiète, et même si on peut souhaiter que ça pète un bon coup je me demande si ça arrivera jamais.

Il y a quand même une différence fondamentale. Le fait que "ça pète" au niveau de la dette n'est pas souhaitable parce que des innocents en subiraient les retombées ; a contrario, la juste répression d'actes criminels est tout à fait souhaitable en toutes circonstances.

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Cette fois on change un peu et on prend plutôt en otage la Seine, c'est plus sympa.

Les salariés de la Serta menacent de verser des polluants dans la Seine

On a pas fini d'innover dans le chantage :doigt:

JACQUES MARTIN M.

20.08.09 | 15h22

Je comprends la menace de ces hommes. Savez-vous qu'à l'inverse, il pourrait y avoir la grève des esprits supérieurs qui arrêterait le moteur économique du monde. Le roman hypercapitaliste d'Ayn Rand " La révolte d'Atlas", écrit en 1956, est à nouveau le best seller des entrepreneurs et des traders . Le texte principal se trouve sur Internet: "John, Galt parle". Ce livre est antimarxiste et contre l'intervention de l'Etat. C'est l'expression de la colère des patrons sans cesse accusés du pire.

Ironie ou pire ? :icon_up:

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Finalement la Seine ça plaisait moins que les bombes alors ils se sont "raisonnés" :doigt:

Cf l'article du nouvel Obs ici

Ca donne envie de :icon_up: . Surtout que les journaleux racontent ça comme si c'était le déroulement tout à fait normal d'un redressement judiciaire.

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Le tribunal correctionnel de Compiègne (Oise) a prononcé, mardi 1er septembre, des peines allant de trois à cinq mois de prison avec sursis contre six des sept ouvriers de l'usine Continental de Clairoix poursuivis pour le saccage de la sous-préfecture de Compiègne en avril.

Le Monde

Quel signal… Allez y brave gens on peut saccager les préfectures, pas de soucis, vous ne risquez rien.

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Quel signal… Allez y brave gens on peut saccager les préfectures, pas de soucis, vous ne risquez rien.

Là, on est seulement qu'au pénal. Et quelques mois de taule, même avec sursis, c'est déjà bien.

Ce qu'il faut maintenant, c'est frapper dur au civil. Qu'ils crachent l'oseille.

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  • 1 month later...
Invité rogermila
Ce qu'il faut maintenant, c'est frapper dur au civil. Qu'ils crachent l'oseille.

Ce sont plutôt les preneurs d'otages qui veulent faire cracher l'oseille.

Le directeur de l'usine Rohm and Hass, appartenant au groupe américain Dow Chemical (industrie chimique), situé à Semoy (Loiret), est retenu depuis lundi 5 octobre après-midi sur le site par les salariés.

"Nous sommes en grève, l'usine est fermée. Le directeur peut sortir de son bureau, aller où il veut mais il ne peut quitter le site", a indiqué à l'AFP, Martine Filippini, secrétaire du comité d'entreprise.

Les salariés, qui protestent contre la fermeture de l'usine et demandent une "prime de préjudice", ont l'intention de se relayer pour garder leur directeur toute la nuit.

"Nous protestons contre la fermeture du site, d'autant que des experts ont montré qu'il est rentable.

Les salariés, qui demandent "100.000 euros par personne", avaient donné jusqu'à lundi après-midi à leur direction pour faire connaître sa réponse.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/10/…hass-retenu.php

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Et si j'étais eux, vu la collaboration des pouvoirs publics je demanderais 1.000.000€.

Ben oui, ils sont opprimés, alors ils emploient une méthode de faibles par prise d'otage. Ils n'ont pas le choix d'autres actes, voyez-vous. :icon_up:

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Ben oui, ils sont opprimés, alors ils emploient une méthode de faibles par prise d'otage. Ils n'ont pas le choix d'autres actes, voyez-vous. :icon_up:

Il est hélas exclus de faire le coup de main sur Matignon, le pouvoir politique étant bien protégé et relativement à l'abri de la vindicte populaire.

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Il est hélas exclus de faire le coup de main sur Matignon, le pouvoir politique étant bien protégé et relativement à l'abri de la vindicte populaire.

Oh, mais on comptait sur toi pour assommer les méchants avec tes arguments.

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