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Foot et Coupe du Monde


aludosan

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Je cherchais 'stupid spanish' ou 'spanish sucks world cup 2010', a la recherche d'une photo epique d'un joueur 'espagnol' (une fois de plus une telle chose n'existe pas) qui caresse par derriere l'entrejambe de son adversaire en guise de tactiques defensives, comme Puyol, mais je suis tombe la dessus, a defaut :

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Bon apparemment après une coupe du monde, l'économie du pays vainqueur se porte bien mieux que d'habitude. Donc le mondial pourrait aider l'Espagne à se sauver économiquement et devenir plus riche que les Pays-bas :doigt:

A noter que la France, sur les 30 dernières années n'a eu qu'une année de bonnes performances économiques, ce fut en 98-99, et ce serait dû à la coupe du monde :mrgreen:

http://www.lemonde.fr/sport/article/2010/0…#ens_id=1371076

Si l'impact économique de la Coupe du monde est avéré pour le pays organisateur, du moins à court terme, les retombées pour le pays qui a remporté le trophée sont moins quantifiables. Au-delà de l'aura que confère la conquête du titre suprême du football et de l'euphorie qui suit la victoire, une simple étoile sur un maillot peut-elle relancer une économie moribonde ? La question se pose pour l'Espagne, à la tête du monde footballistique mais à la traîne sur le tableau économique.

Le vainqueur du Mondial 2010 est en effet un des pays les plus durement frappés par la crise financière depuis deux ans. Depuis l'éclatement de la bulle immobilière, l'économie espagnole est entrée durablement en récession avec des déficits publics atteignant 11,2 % du PIB et un chômage frôlant les 20 %. Des chiffres que beaucoup d'Espagnols ont préféré oublier, le temps de la campagne victorieuse de leur pays en Afrique du Sud. En émergeant après un mois intensif de football, ils peuvent avoir des raisons d'être optimistes.

Dans une étude baptisée Soccernomics, réalisée avant le Mondial 2006 en Allemagne, la banque ABN Amro avait calculé qu'un pays qui remportait la Coupe du monde "profite d'un bonus économique moyen de 0,7 % de croissance additionnelle" sur un an. "Le finaliste vaincu voit sa croissance perdre 0,3 % par rapport au taux de l'année précédente", précise encore ce document, qui reconnaît néanmoins deux exceptions à cette règle : 1974 et 1978, années où avaient été respectivement couronnées l'Allemagne et l'Argentine.

La France, victorieuse en 1998, a ainsi enregistré une explosion du PIB de 5,97 % dans le trimestre suivant la finale remportée contre le Brésil. Sur un an, le taux de croissance a été de 3,3 %. Quant à l'Italie, elle a connu une augmentation de 7,71 % dans le trimestre suivant sa propre victoire en 2006, et de 4,4 % sur l'année. L'Espagne, qui attend officiellement une contraction de 0,3 % de son PIB en 2010, suivra-t-elle leur chemin ?

L'étude Soccernomics met elle-même un bémol à ses conclusions. Si elle estime que "les effets macro-économiques" d'une victoire au Mondial "ne devraient pas être sous-estimés", elle reconnaît qu'ils "ne sont pas puissants au point de transformer une récession en un boom".

Les économistes espagnols tentent également de relativiser l'impact économique réel de cette victoire pourtant "historique" pour le peuple espagnol. "Les problèmes structurels de l'Espagne sont trop profonds pour qu'une simple victoire nous sorte de là", résume Juan Carlos Martinez Lazaro, de l'IE Business School. Son collègue Josep Maria Sayeras, de l'Esade, parle d'un possible "rayon de soleil" avec "beaucoup de nuages à l'horizon". Si effet bénéfique il y a, il sera "conjoncturel et ponctuel", ajoute M. Sayeras, évoquant des consommateurs euphoriques qui dynamiseraient temporairement la consommation des ménages.

Finalement, les économistes s'accordent à dire qu'une simple victoire sportive ne saurait remplacer une réforme du marché du travail, la baisse des déficits ou une réforme nécessaire du secteur financier. Des aspects économiques que le sport ne peut influencer. En revanche, explique M. Martinez Lazaro, le sacre de la Roja peut redorer quelque peu l'image qu'ont les Espagnols d'eux-mêmes et celle qu'ils diffusent dans le monde.

Le premier ministre espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, a abondé en ce sens en déclarant que la victoire sud-africaine "va nous donner de l'estime de [nous-mêmes], de la confiance". "Nous allons nous lever avec force", a-t-il même lancé après le coup de sifflet final. :icon_up:(évidemment il n'allait pas dire le contraire, comme ça il n'a rien à faire, juste laisser faire l'effet Roja)

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A cause du motivator dont tu l'as enrichie, ta signature est trop grosse, et trop longue à charger pour les petites connections. Change-la, s'il te plait.

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A cause du motivator dont tu l'as enrichie, ta signature est trop grosse, et trop longue à charger pour les petites connections. Change-la, s'il te plait.

Parce qu'il y a un droit à avoir une petite connexion peut-être ? ça commence par les connexions et on sait où ça finit. Je dis ça je dis rien.

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Parce qu'il y a un droit à avoir une petite connexion peut-être ? ça commence par les connexions et on sait où ça finit. Je dis ça je dis rien.

Petite connexion, grosse queue. Je dis ça je dis rien.

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Coupons court aux palabres inutiles : cette finale était à chier, littéralement. Tout comme cette coupe du monde d'ailleurs.

Enfin une voix intelligente qui s'élève. Bravo !

Une finale entre une équipe soporifique, l'espagne, dont tous ses matchs ressemblent à des séries sans fin des saga américaines, et une équipe ayant gagné ses matchs soit par des erreurs de l'adversaire (gardiens à deux balles et défenseurs au chômage), soit par des exploits individuels, soit par l'aide d'un arbitrage loin d'être impartiale, le pays-bas, qui face au Brésil, a bénéficié des trois facteurs + un 4ème (Felipe Melo).

Et je ne parle pas du Mexique, de l'Angleterre en 8ème. Ni les cartons (ou l'absence) injustifiés qui ont faussé les matchs (France - Af. du Sud ; Espagne - Pays-bas ; Allemagne - Serbie) ni de la victoire de l'Uruguay, ou que sais-je encore. Le bilan est terrible : arbitrage plus désastreux que 2002.

Bref, cette finale n'étant que le dernier épisode d'un "jour sans fin" du parcours de chacun deux finalistes, je ne l'ai évidemment pas regardé.

Au vu des commentaires de presse, j'ai pas eu tort…

C'est la première fois que je rate une finale. Pouvez pas comprendre comment je me sens bien :icon_up: !

Le seul point positif, c'est l'Allemagne. :doigt:

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Voici le classement de la FIFA

1.Espagne 2.Pays-Bas 3.Allemagne 4.Uruguay 5.Argentine 6.Brésil 7.Ghana 8.Paraguay 9.Japon 10.Chili 11.Portugal 12.USA 13.Angleterre 14.Mexique 15.Corée du Sud 16.Slovaquie 17.Côte d'Ivoire 18.Slovénie 19.Suisse 20.Afrique du Sud 21.Australie 22.Nouvelle-Zélande 23.Serbie 24.Danemark 25.Grèce 26.Italie 27.Nigeria 28.Algerie 29.France 30.Honduras 31.Cameroun 32.Corée du Nord

:icon_up:

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A cause du motivator dont tu l'as enrichie, ta signature est trop grosse, et trop longue à charger pour les petites connections. Change-la, s'il te plait.

Ce n'est pas moi, c'est not'barman m'sieur :icon_up:

(puis les pauvres avec leur 56k, osef ^^ )

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  • 2 weeks later...

Belle coupe du monde, et à la fin ce sont les gentils qui gagnent. Peu de but, certes, mais des moments très intenses.

Concernant la finale, ne pas hésiter à être ouvertement manichéen :

Le Bien qui triomphe du Mal

Le Beau qui triomphe de l'Infâme

Sarkozy qui triomphe de la racaille

Le bon goût qui triomphe de Sarkozy

Etc, etc..

Enfin, 4 ans après Materazzouille, voir le hollandais violent Van Bommel soulever la coupe m'aurait convaincu de me passionner pour le curling au détriment du foot.

+ Quarts de final mythiques.

Les espingouins sont de beaux vainqueurs. Ils faisaient les malins y'a 4 ans et s'étaient mangés de la légende du football dans les dents.

Bon, de toute manière tout a été dit.

Sinon, en plus d'avoir la meilleur équipe du monde, ils ont le meilleur commentateur au monde :

Alfredo Martinez de Onda Cero.

"Memorable, celestial, divino, eterno, INIESTA!

<…>

Al once de juego, llegó diabólico Iniesta para el remate de una vida,

el beso de la gloria, la caricia de la eternidad.

Y a Dios pongo por testigo, al mundo entero,

quiero llorar, quiero gritar, quiero abrazar a España entera

que grande es nacer español,

al fin, al fin, al fin lo conseguiremos…

España 1, serás eterno Iniesta, serás inmortal Iniesta, Holanda 0

viva, viva, viva España

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L'équipe de Corée du Nord aurait reçu une humiliation publique (en plus de leurs défaites en poule), à son retour au pays.

Visiblement :

- Six heures de procès et d'humiliation publique sur le parvis du Palais du Palais du peuple, devant 400 officiels et le fils du guide suprême, avec accusation de traitrise.

- Obligation pour les joueurs de témoigner contre le coach.

- Exclusion du parti unique pour le coach, qui devra travailler dorénavant en tant que maçon.

D'après le journaliste, c'est plutôt "light" comme traitement selon les standards nord-coréens.

Source

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Pour le punir, le dictateur nord-coréen Kim Jong-Il l'a condamné aux travaux forcés. Kim Jong-Hun doit désormais porter des charges sur un chantier pendant douze à quatorze heures chaque jour.

http://www.leprogres.fr/fr/sports/football…aux-forces.html

La bonne nouvelle :

Deux joueurs ont tout de même réussi à échapper aux tourments du retour : Jong Tae-Se et An Yong-Ha se sont enfuis à l'anglaise et n'ont pas pris l'avion vers la Corée du Nord, mais vers le Japon où ils sont désormais libres.
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