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Propositions pour Contrepoints


Copeau

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Hey,

je ne pourrais réaliser de traduction de samedi à lundi (je fête Pâques en famille hors de chez moi…)

Dès mardi, ou lundi soir, je reprendrais le boulot.

Je prend dès maintenant cet article : http://www.quebecoislibre.org/11/110415-7.html.

Sinon, pouvez vous me dire, à part Nick et Lucilio que je contacte régulièrement, à qui puis je envoyer mes traductions pour qu'elles soient publiées ?

(déjà 12 traductions à mon actif :icon_up: )

A moi le cas échéant :doigt:

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Une petite remarque, sans doute insignifiante, mais qui mérite d'être signalée : Contrepoints et causeur.fr ont des sigles tout à fait similaires quand on les ouvre en onglets (les deux sont des "C" dans un carré blanc, de la même taille et avec la même police de caractère)

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Ne voulant pas incessamment contacter Lucilio ou Nick pour qu'ils publient des articles que je traduis, j'aimerais que d'autres responsables se dévouent pour rendre publique cette dernière traduction:

Texte original : http://www.quebecois.../110415-12.html

Traduction :

Le budget fédéral américain : La politique spectacle contre de réelles avancées pour la liberté.

Il est de plus en plus évident chaque jour que le gouvernement fédéral américain a besoin d'assistance, c'est à dire des coupures budgétaires radicales si le peuple américain veut éviter une spirale à la baisse se transformant en phénomène de servitude interminable. Les Américains sont sur ​​le point d'être condamné à des générations de souffrance due à l'intérêt colossal de la dette nationale, l'augmentation des impôts, et ce qui ne peut qu'être appelé un véritable crime contre l'humanité : l'inflation. Le passage à la discussion budgétaire au Congrès de l'augmentation des dépenses massives incontestées à un examen sérieux des compressions budgétaires est un développement positif. Toutefois, elle laisse beaucoup à désirer dans sa conduite et sa réalisation effective. En outre Elle devrait ainsi conduire les défenseurs de la liberté à examiner quel est le meilleur chemin vers la réalisation de la liberté individuelle et comment un gouvernement limité authentique pourrait naitre.

Après qu'un arrêt fédéral-gouvernement ait été évité de justesse le 8 avril 2011, le Congrès semble atteindre un «consensus bipartisan» -- un phénomène qui doit toujours être abordée avec beaucoup de scepticisme et de prudence -- qui est constitué d'environ 38 milliards de dollars en "coupures" pour le budget proposé par le président Obama. Pourtant, comme les médias traditionnels le reconnaissent eux mêmes, ces réductions sont pour la plupart des tours de main, de comptabilité et de manipulations sémantiques. La plupart sont (1) soit des coupures de l'augmentation des dépenses proposées (réduire une augmentation ne signifie pas qu’il n’y en ait plus), (2) soit des redistributions des fonds inutilisés des agences fédérales ou d'élimination officielle de fonds qui ne seraient jamais dépensés de toute façon, ou (3) soit des applications de règles comptables absurdes du gouvernement fédéral qui, si elles étaient essayées dans d'autres secteurs, se traduirait par l'emprisonnement de leurs praticiens rapidement. La plupart des coupures de fond qui aurait fait économiser de l'argent des contribuables ont été abandonnés car trop controversées. Ce sont les mesures qui auraient eu une chance, même partielle, de réaliser des améliorations de fond. Certains organismes fédéraux, y compris le gouffre pour la création d'argent et des institutions connu comme le Pentagone, reçoivent actuellement des augmentations de financement. Pendant ce temps, la Réserve fédérale continue, sans aucune responsabilité, de donner des quantités beaucoup plus vaste d'argent, bien-reliée avec les intérêts financiers et même proches des financiers. Le noir est blanc, et les augmentations sont des coupures. Les fonctionnaires du Parti dans le 1984 de George Orwell seraient fiers.

Encore plus détestable est le jeu de corde raide politique pratiqué par les deux parties durant les préparatifs pour ces réductions Orwelliennes. Un accord a été atteint quelques heures à peine avant que 800.000 travailleurs du gouvernement fédéral, mais pas les membres du Congrès décidant de leur sort, soient mis en congé sans rémunération. Alors que certains d'entre eux, tels que les agents de TSA qui ont l'habitude de dépasser leurs protocoles d'agence invasifs pour tâtonner et molester les voyageurs innocents, auraient mérité plus, se sont les simples fonctionnaires d'une vaste machine administrative dominée par une petite classe élitiste concentrée de rentiers et leurs camarades dans le haut bureau fédéra qui ont payé le prix fort. Les travailleurs qui ont le plus souffert n'ont aucun pouvoir réel et ne lancent que peu ou pas de blâme pour les abus détestable, les gâchis, et la coercition au sein du gouvernement fédéral. Ils ont été et demeurent de simples pions pour le cynisme politique élitiste, ou jeu de manipulation. Leur incapacité pour effectuer des fonctions gouvernementales de routine, à juste titre approprié par le gouvernement fédéral ou non, auraient nui à de nombreux citoyens qui n'ont rien fait de mal. Des millions de gens sont devenus pauvres, incapables de recevoir des remboursements d'impôt promis (remboursement de leurs propre argent), d'obtenir l'autorisation pour des prêts au logement (et l'obligation d'obtenir une telle autorisation du gouvernement fédéral n'aurait pas été suspendue), ou même visiter des « terres publiques » dont l'entretien fut immanquablement payé par leurs impôts. Un arrêt fédéral du gouvernement n'aurait pas réduit la portée et la puissance de celui ci dans aucune mesure réelle. Il aurait simplement rendu beaucoup d'Américains pauvres en leur refusant tout bribes de leur richesse et de la liberté que le gouvernement fédéral auraient autrement daigné leurs renvoyer.

Ainsi, alors que des discussions au Congrès -- le spectacle public mis sur pied par les politiciens afin maintenir le public diverti et ignorant des véritables enjeux contemporains – se sont déplacées de l'augmentation des dépenses automatiques vers quelques "réductions" à la base des augmentations, l’observateur avisé se rendra aisément compte que le gouvernement fédéral n’entame aucunes réformes de fond. La classe politique fédérale s'est montrée décidément incapable d'adopter des politiques visant à préserver les États-Unis d'une calamité financière et son cortège de mauvais effets sur la liberté individuelle et la prospérité. Le processus politique fédéral américain n'est pas un phénomène à partir duquel nous pouvons espérer des avancées sérieuses et de longs termes en faveur de la liberté humaine et de sa dignité. Ce qui laisse l'observateur songeur : Où peut-on tenter de faire avancer l'avenir de liberté, la prospérité et la civilisation occidentale?

Comme cela a été le cas à travers l'histoire, la seule force capable de contrecarrer les déprédations des institutions coercitives a été la technologie. La technologie, en mobilisant nos capacités pour remodeler le monde de plus en plus entre les mains des individus, continue de faire pencher la balance du pouvoir vers les individus et l'écarte de sa concentration au sein d'une même entité, l’Etat. La révolution industrielle qui a commencé au 18ème siècle finalement terminée plusieurs siècles de domination connue sous le nom d'Ancien Régime, une alliance entre les monarques absolus et leurs églises établies par le gouvernement qui écrasaient les individus. La Green révolution agricole des années 1960 a donné un démenti aux prédictions de surpopulation imminente, de famine, et de guerres incessantes pour les ressources. La révolution de l'information qui s'est accéléré dans les années 1980 a permis au monde occidental de prospérer avec une haute qualité de vie malgré l’immense irresponsabilité fiscale et institutionnelle qui devient aujourd’hui, comiquement, un problème extrêmement épineux. Comme d'autres infractions à la liberté politique se produisent, la technologie permet de libérer de nouveaux domaines dans lesquels les individus peuvent être libres. Et souvent, la technologie peut conserver plusieurs longueurs d'avance sur les efforts politiques pour empêcher et limiter son utilisation. Finalement, les possibilités offertes par la technologie déclenchent des changements culturels et comportementaux qui rendent les formes antérieures de la coercition moins acceptables aux nouvelles générations. Historiquement, cela s'est déjà produit avec l’esclavage et, plus largement, l’institutionnalisation de la discrimination raciale et sexiste. Le plus grand espoir pour l'avenir est que le progrès technologique va continuer à s'accélérer; que les forces de commandement et de contrôle n’étoufferont pas suffisamment les innovateurs pour les amener à ne plus être capable de fournir des améliorations au standard de vie des personnes ordinaires. Comme les penseurs avant Adam Smith l'ont noté, la capacité humaine à créer de la valeur et à s'adapter à la plupart des environnements, mêmes défavorables, est remarquable. Les gens vont trouver et développer quelque petites sphères de liberté, de discrétion et de créativité à leur disposition. Mais il y a eu des époques où le régime dominant opprimé le peuple d’une telle façon que même cette conduite majeure de l'homme ne suffisait pas à surmonter les abus de l’autorité. A ce propos, la fin de l'Empire romain, et en particulier l'édit de Dioclétien, viennent instantanément à notre l'esprit.

En ce qui concerne la réalisation des coupes dans le budget fédéral, la rhétorique et la corde raide ne suffiront pas. Une véritable réforme politique n'est garantie que si les motivations des politiciens sont authentiques et valables. Pour un médecin, il ne suffit pas de vouloir la santé du patient. De même, pour un politicien, il ne suffit pas de vouloir la liberté des individus comme objectif. Comme nous avons une affection politique terrible entre nos mains, il nous faut l'équivalent en parcimonie, et étape par étape la chirurgie permettra, comme la politique, de nous sortir de ce mal. L'exécution de mauvaises procédures, ou exécuter les bonnes procédures dans le mauvais ordre, peut tuer le patient, comme le peuple américain.

Toutes les fonctions fédérales ne peuvent être raisonnablement supprimées tout de suite, pas même la plupart des fonctions qui seraient considérées comme illégitimes du point de vue de la philosophie libertaire ou l'économie de marché. La bonne façon de réduire le gouvernement fédéral ne permettra à personne d’innocente de tomber dans sa chute. Par exemple, les allocations au chômage ne ​​devrait pas être abrogées avant et à moins que le salaire minimum soit abrogé, ou bien de nombreuses personnes qui sont au chômage à cause du salaire minimum se retrouveront eux mêmes aux bords de la famine. C'est seulement après que ces personnes pourront gagner leur vie que le gouvernement fédéral devra retirer le soutien à la vie qu'elle leur a apporté pour les assister, en dépit des interdictions du gouvernement fédéral imposé à leur travail. Ajoute à la difficulté supplémentaire, il serait peu judicieux de supprimer le salaire minimum jusqu'à ce que le gouvernement fédéral puisse vaincre toutes les formes de subventions aux entreprises, les aides massives, privilèges spéciaux, et les barrières à l'entrée qui gonflent artificiellement la taille et la portée des entreprises les plus politiquement connectées en leur donnent un pouvoir de négociation beaucoup plus grand vis-à-vis de leur employés que tout autre firme ne pourrait jamais espérer atteindre dans un marché libre.

Dans le même temps, à quel point pouvons-nous espérer, de façon réaliste, que la politique fédérale d'aujourd'hui, et la classe politique, puissent se diriger vers une première approximation de chemin en direction d’un gouvernement limité et d'une société libre? Cet ensemble de docteurs politiques préférera tenter délibérément de tuer leur patient plutôt que de les réunir, leur apprendre et les motiver pour traiter leur maladie. Le chemin le plus viable dans ce but, apparemment, permettra aux jeunes générations et à la technologie d’avancer ensemble vers un avenir meilleur, alors que la classe politique n’aura plus, comme choix, que d’inexorablement se traîner passivement et graduellement jusqu'à ce que des individus plus éclairés prennent sa place.

Merci. ( Précisez moi au passage qui vous êtes afin que je vous recontacte )

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Une autre solution serait que tu aies un accès direct à CP comme contributeur, non ?

Pour cela, il me faut une petite bio courte (quelques mots pour situer) et un mail sur lequel je peux te contacter.

(par mp, tout ça)

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Dès qu'H16 écrit pour les geeks, ça marche, même si là le score est exceptionnel. Morale : une petite brève de quelques lignes, sans se tuer à la tâche, sur le sujet geek du moment, quand ça ne mérite pas un billet où que tu n'as pas le temps, ça prend quelques minute et ça se tente.

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Pour ta trad de QL sur Ayn Rand, j'ai fait qq corrections de style, mis une image et pouf pour 13:30 01/05 :) !

Dès qu'H16 écrit pour les geeks, ça marche, même si là le score est exceptionnel. Morale : une petite brève de quelques lignes, sans se tuer à la tâche, sur le sujet geek du moment, quand ça ne mérite pas un billet où que tu n'as pas le temps, ça prend quelques minute et ça se tente.

C'est avant tout une question de temps : crois-le ou non, mais ce petit billet m'a demandé 40 minutes ;)

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Un article sur la Belgique, et il nous faut des articles sur la Belgique, où nous sommes désormais beaucoup mieux classés qu'en France. Bon, il est pro De Wever, donc ça ne plaira pas trop aux Belges qui lisent Contrepoints, mais c'est aussi un peu notre mission. Et de plus, il aborde le thème des intellectuels de droite, trop caché. Enfin, comme c'est un évènement Libera!, ça fera plaisir à certains de nos contacts du Nord du pays.

Bref, pas urgent, pas actu brulante (sauf s'il se passait soudain quelque chose en Belgique) mais à faire, alstublieft (SVP).

http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100086301/in-praise-of-flanders-theodore-dalrymple-and-right-wing-intellectuals/

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Un article sur la Belgique, et il nous faut des articles sur la Belgique, où nous sommes désormais beaucoup mieux classés qu'en France. Bon, il est pro De Wever, donc ça ne plaira pas trop aux Belges qui lisent Contrepoints, mais c'est aussi un peu notre mission. Et de plus, il aborde le thème des intellectuels de droite, trop caché. Enfin, comme c'est un évènement Libera!, ça fera plaisir à certains de nos contacts du Nord du pays.

Bref, pas urgent, pas actu brulante (sauf s'il se passait soudain quelque chose en Belgique) mais à faire, alstublieft (SVP).

http://blogs.telegra…-intellectuals/

I take it.

Ecrit à 13h31 : C'est fait.

Cela fait 6 articles en attente de relecture que j'ai posté. Je prends une pause :mrgreen:

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Le rythme des traductions est impressionnant, merci à Barem notamment ;

Toutefois, quand on lit contrepoints, on ne sait plus bien où on est. L'actualité canadienne se mélange avec la française qui se mélange avec l'américaine. Même si cette dernière a souvent une dimension internationale, ce mélange n'est pas très clair, et crée la confusion.

Peut-être faudrait-il des rubriques plus délimitées, par région ?

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I take it.

Ecrit à 13h31 : C'est fait.

Cela fait 6 articles en attente de relecture que j'ai posté. Je prends une pause :mrgreen:

Il y en aura un pour demain vers 9:00 …

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Le rythme des traductions est impressionnant, merci à Barem notamment ;

C'est un plaisir.

Il y en aura un pour demain vers 9:00

Bien chef ! (Prenez votre temps, je ne vois aucun problème à ce que la publication se fasse lentement.)

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