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"La domination masculine"


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J'ai regardé 15 minutes, ça m'a l'air pas trop mal. On voit des femmes qui disent ouvertement que l'homme doit les dominer, qu'il doit gagner +, que la femme doit être moins cultivée etc.

Oui mais la dans le contexte c'est pour montrer comme le feminisme a encore du boulot a faire, que la revolution n'est pas termine. D'ailleurs une table de feministe l'explique apres, que l'illusion d'avoir gagne est la pire des choses.

Ca ne nous explique pas que la femme est exploitée par l'homme à cause du capitalisme… ouf !

La lutte contre "l'exploitation economique" (je cite le film) est quand meme mis en parallele avec le feminisme.

Je ne sais pas si je le regarderai en entier… que la culture dominante (femmes = ménage, vaisselle, gamins, homme = salaire, virilité, intelligence) soit dominante et donc forme la mentalité des gens, ce n'est pas vraiment une nouvelle.

Non, mais d'ailleurs il n'y a rien de nouveau dans le film.

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C'est un cliché.

Oui et non, disons que celui qui affine les techniques dans un but d'amélioration personnelle pour pouvoir, le jour dit, séduire efficacement sa compagne, celui la n'est pas ma cible ici.

Par contre, celui qui, pour affiner ses techniques, abat de la viande, la pour le coup, oui, au choix, il ramasse de la pouffiasse, ou il blesse des filles qu'il a trompé, il n'y a pas de troisième option a partir du moment ou on va jusque au 'bout'.

Donc ce n'est pas la composante amélioration personnelle que je critique, mais l'aspect pratique de "l'entrainement" et le fait que pour beaucoup, l'entrainement deviens un but en soi, d'ailleurs, je suis désolé, mais si c'était en tout bien tout honneur, ça ne s'appellerai pas "the game".

Quand aux ad-hominem sur ceux qui sont opposés au "game", il s'agit de croire que tout le monde souhaiterai ramasser a la pelle de la fille facile, ou pire, tromper des filles honnêtes, je préférerait être mort que d'être un type comme ça, donc non, aucune jalousie :icon_up:

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Finalement l'idiotie chez la femme moderne coïncide avec le projet d'émancipation et l'instinct d'imitation des hommes, ce jusque dans le goût de la tyrannie politique et dans la volonté de brutalité conduisant aux comportements de tigresse, ou des Mamas Grizzly chères à Sarah Palin. On peut donc dire que cet abêtissement démocratique est l'élément le moins féminin de leur personnalité, qui procède d'une perversion idéologique externe. De ce point de vue, il ne faut pas désespérer et continuer à croire dans l'éternel féminin. Chassez le naturel et il revient au galop.

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A signer (si vous êtes un homme): la pétition lancée par Patric Jean est un simple appel à plus d'égalité homme-femme : "Nous les hommes, nous sommes en position de force et nous trouvons cela injuste."

http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_gia…-masculine.html

Révolte contre la nature, honte incapacitante, rejet de l'affirmation de soi, veulerie à tous les étages pour zombification immédiate. C'est la pétition des derniers hommes. La mort en point de mire.

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Oui et non, disons que celui qui affine les techniques dans un but d'amélioration personnelle pour pouvoir, le jour dit, séduire efficacement sa compagne, celui la n'est pas ma cible ici.

Par contre, celui qui, pour affiner ses techniques, abat de la viande, la pour le coup, oui, au choix, il ramasse de la pouffiasse, ou il blesse des filles qu'il a trompé, il n'y a pas de troisième option a partir du moment ou on va jusque au 'bout'.

Donc ce n'est pas la composante amélioration personnelle que je critique, mais l'aspect pratique de "l'entrainement" et le fait que pour beaucoup, l'entrainement deviens un but en soi, d'ailleurs, je suis désolé, mais si c'était en tout bien tout honneur, ça ne s'appellerai pas "the game".

Quand aux ad-hominem sur ceux qui sont opposés au "game", il s'agit de croire que tout le monde souhaiterai ramasser a la pelle de la fille facile, ou pire, tromper des filles honnêtes, je préférerait être mort que d'être un type comme ça, donc non, aucune jalousie :icon_up:

Tu oublies qu'actuellement, il y a une tendance assez nette à ce que l'autre sexe fasse exactement la même chose. Ca reste moins fréquent que pour les hommes, mais les femmes qui "abattent de la viande" selon ton expression fleurie, ça existe aussi.

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Tu oublies qu'actuellement, il y a une tendance assez nette à ce que l'autre sexe fasse exactement la même chose. Ca reste moins fréquent que pour les hommes, mais les femmes qui "abattent de la viande" selon ton expression fleurie, ça existe aussi.

La première fois que j'ai entendu dans un film ou une série une nana dire "I fucked him", j'ai pensé que c'était une bizarrerie de la langue anglaise. Mais j'entends depuis, de plus en plus souvent, des jeunes femmes dire "Ouais, ce mec je l'ai baisé !" et ça me laisse pantois. Encore une mode anglo-saxonne dont on aurait pu se passer.

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Tu oublies qu'actuellement, il y a une tendance assez nette à ce que l'autre sexe fasse exactement la même chose. Ca reste moins fréquent que pour les hommes, mais les femmes qui "abattent de la viande" selon ton expression fleurie, ça existe aussi.

Je ne l'oublie pas, c'est ce que j'appelle des pouffiasses, et si j'avais la garantie que les "chasseurs" ne tombent que sur des pouffiasses, il n'y aurai pas de problème, sauf qu'en fait, ce n'est pas si simple, et qu'il y a un gradient, et que d'une certaine manière, c'est contagieux.

La première fois que j'ai entendu dans un film ou une série une nana dire "I fucked him", j'ai pensé que c'était une bizarrerie de la langue anglaise. Mais j'entends depuis, de plus en plus souvent, des jeunes femmes dire "Ouais, ce mec je l'ai baisé !" et ça me laisse pantois. Encore une mode anglo-saxonne dont on aurait pu se passer.

Je m'en passerai avec plaisir, mais je ne vois pas pourquoi ça ne serait pas aussi vulgaire et méprisable venant d'un homme.

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http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_gia…-masculine.html

Révolte contre la nature, honte incapacitante, rejet de l'affirmation de soi, veulerie à tous les étages pour zombification immédiate. C'est la pétition des derniers hommes. La mort en point de mire.

Oui, on voit en une pétition un aperçu du dernier homme européen: le refus de procréer, la mauvaise conscience démocratique, le désir de se faire châtrer, l'ontologie victimaire, la fascination du mythe de l'androgyne, la volonté maladive de renoncer à ses prérogatives viriles qui se traduit par le rejet de Mars et l'apologie de Vénus, sous l'emprise d'une morale de la peur collective.

Au fond la question est celle que posait Johnnieboy: la perte de virilité des hommes est-elle une cause ou une conséquence du projet féministe?

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Ça n'a rien à voir avec le style des PUA les plus reconnus. (Il faut préciser que Mystery, qu'on critique tellement ici, est considéré comme complètement obsolète dans la communauté du game, et ce depuis un bon moment).

Pour le petite histoire, il paraît que le personnage de "Magnolia" est inspiré de Ross Jeffries, le mec dont les pattern sont basés sur…..la PNL.

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Je m'en passerai avec plaisir, mais je ne vois pas pourquoi ça ne serait pas aussi vulgaire et méprisable venant d'un homme.

Et bien parce que nous ne sommes pas égaux : une femme ne peut pas se montrer aussi vulgaire sans porter atteinte à sa nature de femme. Par contre Jabial fait bien de rappeler que les femmes ont aussi beaucoup de pouvoir dans un couple et qu'il s'exerce de manière plus subtile. J'ai par exemple pu constater qu'un ami à moi qui était un coureur de jupons notoire est devenu très casanier, et fidèle, grâce à une fille qui ne lui fait jamais aucun reproche sur ces sorties ou autres ; non, elle a trouvé mieux : elle a appris la cuisine de son pays. :icon_up:

Oui, on voit en une pétition un aperçu du dernier homme européen: le refus de procréer, la mauvaise conscience démocratique, le désir de se faire châtrer, l'ontologie victimaire, la fascination du mythe de l'androgyne, la volonté maladive de renoncer à ses prérogatives viriles qui se traduit par le rejet de Mars et l'apologie de Vénus, sous l'emprise d'une morale de la peur collective.

Ça correspond aussi pas mal à l'homme japonais.

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La première fois que j'ai entendu dans un film ou une série une nana dire "I fucked him", j'ai pensé que c'était une bizarrerie de la langue anglaise. Mais j'entends depuis, de plus en plus souvent, des jeunes femmes dire "Ouais, ce mec je l'ai baisé !" et ça me laisse pantois. Encore une mode anglo-saxonne dont on aurait pu se passer.

Ca me choquait dans la bouche de jeunes filles de bonne famille, maintenant j'ai appris à leur envoyer un paquet dans l'épaule en signe de félicitation bien virile.

Sérieusement, ce genre de vulgarité me fait moins peur que le dégoût de la grossesse, chose de plus en plus répandue chez ces demoiselles.

Soyons-en sûr, les mères porteuses sont beaucoup plus proches de nous qu'on ne le pense.

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Sans vouloir être méchant, boubou, tu racontes vraiment nimp.

Dans la vraie vie, des injonctions paradoxales, il y en a tout plein, et un homme peut tout à fait être en mode "puissant et dominateur" lorsqu'il est dans son rôle de mâle (c'est-à-dire dans les moments de plaisir pris ensemble, et ce n'est pas un euphémisme pour parler du sexe mais un terme général) et en mode "associé égal" lorsque doivent être prises des décisions sérieuses qui impactent le couple en tant qu'entité économique et sociale, même s'il s'efforce de rester force de proposition.

Et au passage, au sujet des films romantiques, j'aimerais rappeler que les féministes aussi les détestent à peu près pour la raison inverse. Ils ne doivent donc pas être si gynocentrés que ça.

Tant que j'y suis, j'aimerais rajouter une chose sur la "domination". J'ai déjà vu de nombreux couples où l'homme domine mais où la femme décide. Dans un cas extrême d'amis d'amis ça va loin. C'est-à-dire que dans la façon de se comporter il est clair que l'homme "porte la culotte" (par exemple, sa compagne ne l'interrompt jamais quand il parle, fait ses adieux quand il fait mine de partir, ne le contredit jamais directement, etc) mais par contre si tu connais l'histoire du couple tu sais que tout, du lieu de vacances jusqu'aux changements de jobs de l'homme (si, si), a été choisi selon les préférences de sa femme. Même la montre qu'il porte en fait.

Oui. Le fait que certains hommes passent à des actes violents (viols etc), ou au renoncement s'explique en fait par une impuissance, un déni de soi lié a l'éducation actuelle destructrice de l'individu. La volonté des femmes d'être dominées n'est en fait que l'expression d'une méritocratie et un appel au "self esteem", elles veulent d'un homme sur de lui, agissant, qui assume ce qu'il est. Mais en fait c'est pareil de l'autre côté car, au fond, la volonté de domination ne peut exister que face à quelque chose/quelqu'un de dominant.

Toutes les variables que tu décris très bien reflètent bien que, quoi qu'en disent certains bisounours, la relation Homme/Femme est belle et bien une compétition constante prenant la forme d'une alternance de dominations.

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Oui, on voit en une pétition un aperçu du dernier homme européen: le refus de procréer, la mauvaise conscience démocratique, le désir de se faire châtrer, l'ontologie victimaire, la fascination du mythe de l'androgyne, la volonté maladive de renoncer à ses prérogatives viriles qui se traduit par le rejet de Mars et l'apologie de Vénus, sous l'emprise d'une morale de la peur collective.

Ce tableau correspond tout de même à une minorité d'hommes ou de femmes très prosélytes, qui tentent d'inverser les polarités naturelles et qui, dans le débat nature/culture, nous disent que tout est construction sociale, que l'inné est une invention. Les autres, c'est à dire l'écrasante majorité silencieuse, vivent bien, il me semble, leur nature de femme ou d'homme.

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Mais si c'est pour se faire de la pouffiasse de base, ça sert pas à grand chose cette méthode.:icon_up:

Mais c'est quoi exactement une "pouffiasse" ? Ça fait plusieurs années que je me pose la question et j'ai remarqué que ce mot est à 99% du temps employé par un homme pour dédaigner ce qu'il ne peut pas avoir. "Ouais cette fille ne veut pas de moi c'est une pouffiasse"

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Toutes les variables que tu décris très bien reflètent bien que, quoi qu'en disent certains bisounours, la relation Homme/Femme est belle et bien une compétition constante prenant la forme d'une alternance de dominations.

Cependant dans cette dialectique, les nouvelles élites féminines risquent fort de ne pas être à la hauteur de leurs ambitions dominatrices. Ce qui entraînera une diminution de la circulation des élites. Il faut dire que les femmes en politique, emportées par leur appétit mimétique, se révèlent souvent être plus tyranniques et intrusives que les hommes envers la sphère privée.

Ce tableau correspond tout de même à une minorité d'hommes ou de femmes très prosélytes, qui tentent d'inverser les polarités naturelles et qui, dans le débat nature/culture, nous disent que tout est construction sociale, que l'inné est une invention. Les autres, c'est à dire l'écrasante majorité silencieuse, vivent bien, il me semble, leur nature de femme ou d'homme.

Oui, c'est un tableau d'une certaine tendance idéologique nihiliste, mais je crois que c'est un processus de long terme, qui marche avec le processus démocratique d'égalisation des conditions. Evidemment la société et la nature résistent à ces pulsions égalitaires morbides en sécrétant des mécanismes d'auto-défense. Mais le succès intellectuel des gender studies ces dernières années, ou les lois sur la parité, montrent que cette tendance progresse. La régression est encore plus flagrante quand on constate le suicide démographique qui menace les européens de disparition pendant qu'ils se battent pour les causes progressistes.

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Mais c'est quoi exactement une "pouffiasse" ? Ça fait plusieurs années que je me pose la question et j'ai remarqué que ce mot est à 99% du temps employé par un homme pour dédaigner ce qu'il ne peut pas avoir. "Ouais cette fille ne veut pas de moi c'est une pouffiasse"

Dit mieux par la fontaine : "ils sont trop verts, et bon pour les goujats"

Sans ça, +1 pour Jabial. Cela me parait vraiment délirant d'assigner un rôle différent dans la vie pour les hommes et pour les femmes en prenant comme seule référence les instants de plaisir partagée.

Et de même, définir les attentes des femmes de façon générales, c'est croire qu'elles répondent toutes aux même schéma. C'est tout à fait faux. Il suffit d'en connaître plusieurs pour le découvrir. Et elles sont aussi changeantes dans leurs désirs et leurs envies que les hommes.

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Oula devenir homo pour ça, t'y vas un peu fort.

Ben si, pilgrim. C'est ce qu'on observe à New York, qui est dans le monde un des épicentres du progressisme libertaire. Les hommes vont chercher l'amour auprès d'autres hommes car ils sont fatigués de l'indécision féminine qui est d'autant plus possible que celles-ci sont indépendantes et peuvent donc laisser libre court à leur hystérie naturelle, sans contre-pouvoir. C'est aussi la même raison qui explique le phénomène call-girl et escort-girl, mais c'est en réponse au désarroi masculin qui se manifeste sous la forme de l'amour tarifé poutôt que l'homosexualité.

Et d'une façon générale on assiste à l'andogrénéisation des hommes dans les pays développés, et c'est directement lié avec le fait qu'en occident les frontières hommes/femmes ont tendance à s'estomper du fait de l'émancipation des femmes qui font qu'elles ne sont plus assignées à leur rôle sociobiologique traditionnel. C'est un des effets pervers de l'émancipation féminine.

C'est un phénomène à ne pas sous-estimer si l'on considère, comme le fait le texte que j'ai lié, que la lutte pour la vie et donc la lutte pour la recherche du partenaire sexuel est quelque chose de fondamental et même de cardinal dans l'histoire de l'espèce humaine, les conséquences ont donc forcément un impact sur le fonctionnement entier de la société.

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Toutes les variables que tu décris très bien reflètent bien que, quoi qu'en disent certains bisounours, la relation Homme/Femme est belle et bien une compétition constante prenant la forme d'une alternance de dominations.

Pas d'accord.

Voir la relation homme/femme uniquement selon le rapport de force c'est une erreur.

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…d'une façon générale on assiste à l'andogrénéisation des hommes dans les pays développés, et c'est directement lié avec le fait qu'en occident les frontières hommes/femmes ont tendance à s'estomper du fait de l'émancipation des femmes qui font qu'elles ne sont plus assignées à leur rôle sociobiologique traditionnel. C'est un des effets pervers de l'émancipation féminine.

Tu es fou.

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Mais c'est quoi exactement une "pouffiasse" ? Ça fait plusieurs années que je me pose la question et j'ai remarqué que ce mot est à 99% du temps employé par un homme pour dédaigner ce qu'il ne peut pas avoir. "Ouais cette fille ne veut pas de moi c'est une pouffiasse"

Bien au contraire, la pouffiasse est par définition facile, ça ne signifie pas que tout le monde peut passer dessus, mais franchement, elle est accessible facilement a plus de 10% de l'humanité :icon_up:

Edit: c'est exactement le pendent féminin du Pick Up Artist moyen, sauf que chez la femme, il n'y a pas besoin de rationnaliser tout ça derriere une méthode <–<

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Au fond la question est celle que posait Johnnieboy: la perte de virilité des hommes est-elle une cause ou une conséquence du projet féministe?

C'est une conséquence inéluctable de notre progression dans la connaissance scientifique, le savoir et la technique. La suite est déjà consignée dans Les Particules Elémentaires de Houellebecq. L'autre scénario c'est un effondrement de l'occident en tant que civilisation devenue Empire et un retour à la barbarie et au chaos sous la forme d'un néo-moyen-âge.

Tu es fou.

pourquoi ?

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Ben si, pilgrim. C'est ce qu'on observe à New York, qui est dans le monde un des épicentres du progressisme libertaire. Les hommes vont chercher l'amour auprès d'autres hommes car ils sont fatigués de l'indécision féminine qui est d'autant plus possible que celles-ci sont indépendantes et peuvent donc laisser libre court à leur hystérie naturelle, sans contre-pouvoir. C'est aussi la même raison qui explique le phénomène call-girl et escort-girl, mais c'est en réponse au désarroi masculin qui se manifeste sous la forme de l'amour tarifé poutôt que l'homosexualité.

Et d'une façon générale on assiste à l'andogrénéisation des hommes dans les pays développés, et c'est directement lié avec le fait qu'en occident les frontières hommes/femmes ont tendance à s'estomper du fait de l'émancipation des femmes qui font qu'elles ne sont plus assignées à leur rôle sociobiologique traditionnel. C'est un des effets pervers de l'émancipation féminine.

C'est un phénomène à ne pas sous-estimer si l'on considère, comme le fait le texte que j'ai lié, que la lutte pour la vie et donc la lutte pour la recherche du partenaire sexuel est quelque chose de fondamental et même de cardinal dans l'histoire de l'espèce humaine, les conséquences ont donc forcément un impact sur le fonctionnement entier de la société.

Voilà le genre de discours victimaires très représentatif du déni de soi que j'évoquais plus haut. On peut remarquer d'ailleurs le parallèle assez troublant avec la maxime gauchiste selon laquelle les gens sont délinquant parce qu'ils sont pauvres.

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Voilà le genre de discours victimaires très représentatif du déni de soi que j'évoquais plus haut. On peut remarquer d'ailleurs le parallèle assez troublant avec la maxime gauchiste selon laquelle les gens sont délinquant parce qu'ils sont pauvres.

Ce n'est pas un discours victimaire c'est un discours explicatif. Il n'est pas incompatible avec le fait que je sois d'accord avec johnnieboy lorsqu'il dit que les hommes ont leur part de responsabilité dans ce phénomène.

Sans doute un truc dans ta petite enfance. :icon_up:

Faut bien reconnaître que les considérations sur ce fil n'ont rien de libérales … et que j'y suis très à l'aise :doigt:

Je force un peu le trait et je résume pour essayer de faire ressortir les idées essentielles. Mais regarde bien la pose des hommes dans les journaux à grands tirages, les pubs : c'est des hommes-femmes, ils n'ont rien de viril, tout est basé sur l'image de la perfection plastique.

P.S : Au fait ton avatar il faisait peur t'as bien fait d'en changer :mrgreen:

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Je force un peu le trait et je résume pour essayer de faire ressortir les idées essentielles.

Sauf que t'es complètement à côté de la plaque. Ou sur une autre planète.

Car si victimes il y a des suites du féminisme, c'est d'abord et en premier lieu les femmes qui y souscrivent.

…même au cinéma le mythe du barman latino machite en a pris un coup.

Tu regardes de mauvais flims, c'est tout.

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Car si victimes il y a des suites du féminisme, c'est d'abord et en premier lieu les femmes qui y souscrivent.

Je crains fort que même celles qui n'y souscrivent pas en sont victimes, et que cela rejaillit sur le comportement des hommes, qui rejaillit sur le comportement des femmes, et voilà la boucle bouclée.

Les hommes sont devenus des femmes comme les autres pour le plus grand malheur des femmes.

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Je crains fort que même celles qui n'y souscrivent pas en sont victimes, et que cela rejaillit sur le comportement des hommes, qui rejaillit sur le comportement des femmes, et voilà la boucle bouclée.

Les hommes sont devenus des femmes comme les autres pour le plus grand malheur des femmes.

voilà, john_ross t'a répondu pour moi, je n'aurais pas dit mieux.

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