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Pauvreté, chômage et démographie


Claudec

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Je sais que c'est très difficile de se remettre en question quand on a une intuition très forte, un truc qui nous semble absolument évident.

Peut-être s'agit-il plus simplement de tenir la lorgnette par le bon bout ?

Mais en l'occurrence, ces histoires de pyramide, c'est tout simplement n'importe quoi, c'est nuisible à la compréhension, il faut s'en débarrasser. Plusieurs intervenants l'ont déjà dit en substance, je vais le répéter très clairement : dans la vraie vie, à un moment donné, il y a certes peu de très riches, mais il y a aussi peu de très pauvres, avec au milieu une énorme masse de gens "normaux". Donc on oublie la structure triangulaire. En fait, à une telle échelle et avec des critères si peu précis on peut même oublier toute structure régulière, je pense.

La moitié de la population mondiale, presque 3 milliards de personnes, vit avec moins de 2 dollars par jours.

Un milliard de personnes vivent avec moins d'un dollar par jour.

Toutes les trois secondes, un être humain meurt de faim.

Les 500 personnes les plus riches du monde ont un revenu combiné plus important que celui des 416 millions les plus pauvres.

Je n'ai pas inventé ces chiffres. N'importe qui peut en prendre connaissance, avec bien d'autres, en de nombreux endroits sur Internet

En outre, des "solutions politiques" impliquant la mise à mort de beaucoup de gens, ça n'a pas sa place sur un forum libéral.

Qui met à mort qui ?

Ah, effectivement, c'est un gros spammeur monomaniaque qui ne risque pas de changer d'avis. J'aurais quand même fait une tentative, c'est ma BA de la journée.

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Ma lorgnette est très bien où elle est, merci bien.

La moitié de la population mondiale, presque 3 milliards de personnes, vit avec moins de 2 dollars par jour.

Un milliard de personnes vit avec moins d'un dollar par jour.

Ben voilà, CQFD, c'est pas pyramidal.

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  • 5 months later...
  • 1 month later...

La planète était peuplée d'environ 250 millions d'êtres humains, au début de notre ère.

Au début du second millénaire, cette population compte 7 milliards d’habitants, dont 1,2 à 1,4 milliard vivent dans un état de pauvreté profonde.

L'homme, et le progrès dont il est l'auteur, ont ainsi créé, en 20 siècles, 5 fois plus de miséreux qu'il n'y avait d'habitants de toutes conditions sur terre.

Et la population augmente quotidiennement de 220 à 250 000 individus (au net des décès).

Y a pas de problème !

http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com

Sociologie, démographie - De la richesse à l'exclusion sociale, par la démographie

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L'homme est né pauvre, il n'a donc pas crée de misère mais l'à au contraire toujours repoussée de plus en plus loin. Les génération futures seront encores plus prospères.

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La planète était peuplée d'environ 250 millions d'êtres humains, au début de notre ère.

Au début du second millénaire, cette population compte 7 milliards d’habitants, dont 1,2 à 1,4 milliard vivent dans un état de pauvreté profonde.

L'homme, et le progrès dont il est l'auteur, ont ainsi créé, en 20 siècles, 5 fois plus de miséreux qu'il n'y avait d'habitants de toutes conditions sur terre.

Et la population augmente quotidiennement de 220 à 250 000 individus (au net des décès).

Y a pas de problème !

http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com

Sociologie, démographie - De la richesse à l'exclusion sociale, par la démographie

Tout raisonnement sur la misère humaine en termes absolus et non relatifs (en pourcentage) aboutit invariablement à sa conclusion logique : la programmation de l'extinction de l'espèce humaine.

Si on part du principe que chaque humain comporte un risque d'être misérable et malheureux, préférer une population de quelques millions plutôt qu'une de quelques milliards n'est pas une grande avancée. Il faudrait, si l'on était logique, ramener le résultat à zéro…

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La planète était peuplée d'environ 250 millions d'êtres humains, au début de notre ère.

Au début du second millénaire, cette population compte 7 milliards d’habitants, dont 1,2 à 1,4 milliard vivent dans un état de pauvreté profonde.

L'homme, et le progrès dont il est l'auteur, ont ainsi créé, en 20 siècles, 5 fois plus de miséreux qu'il n'y avait d'habitants de toutes conditions sur terre.

Cela fait 5,6 milliards de non-miséreux en plus, c'est un succès.

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La planète était peuplée d'environ 250 millions d'êtres humains, au début de notre ère.

Au début du second millénaire, cette population compte 7 milliards d’habitants, dont 1,2 à 1,4 milliard vivent dans un état de pauvreté profonde.

L'homme, et le progrès dont il est l'auteur, ont ainsi créé, en 20 siècles, 5 fois plus de miséreux qu'il n'y avait d'habitants de toutes conditions sur terre.

Et la population augmente quotidiennement de 220 à 250 000 individus (au net des décès).

Y a pas de problème !

http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com

Sociologie, démographie - De la richesse à l'exclusion sociale, par la démographie

ça dépend de quelles régions du monde on parle. Certains pays ont un besoin urgent de régulation de leur démographie, alors que d'autres pourraient sans problème voir leur natalité progresser.

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La planète était peuplée d'environ 250 millions d'êtres humains, au début de notre ère.

Au début du second millénaire, cette population compte 7 milliards d’habitants, dont 1,2 à 1,4 milliard vivent dans un état de pauvreté profonde.

L'homme, et le progrès dont il est l'auteur, ont ainsi créé, en 20 siècles, 5 fois plus de miséreux qu'il n'y avait d'habitants de toutes conditions sur terre.

Et la population augmente quotidiennement de 220 à 250 000 individus (au net des décès).

Y a pas de problème !

http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com

Sociologie, démographie - De la richesse à l'exclusion sociale, par la démographie

Youpi. N'importe quoi !

Le nombre de pauvre diminue plus vite que le nombre d'habitants n'augmente. Et quand les pauvres sortent de la pauvreté actuellement, ils ont un niveau de vie qu'envierait les riches d'il y a 10.000 ans.

Mais bon. Tu es un nonosse.

Certains pays ont un besoin urgent de régulation de leur démographie, alors que d'autres pourraient sans problème voir leur natalité progresser.

Non. Ils ont besoin d'accès à l'eau potable, c'est tout.

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Non. Ils ont besoin d'accès à l'eau potable, c'est tout.

les pays de la corne de l'Afrique vivent sous perfusion alimentaire internationale, subissent régulièrement des famines depuis des décennies, et leur démographie continue d'exploser, ce qui fait que la pression sur l'approvisionnement est constante. Une grande partie de cette population ne peut survivre qu'avec aide internationale. C'est évidemment une situation catastrophique.

Une aide efficace devrait nourrir, soigner ces populations ET mettre en oeuvre une régulation de la natalité pour stabiliser la population.

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Le nombre de pauvre diminue plus vite que le nombre d'habitants n'augmente. Et quand les pauvres sortent de la pauvreté actuellement, ils ont un niveau de vie qu'envierait les riches d'il y a 10.000 ans.

Mais bon. Tu es un nonosse.

Youpi, enfin un Romain ! On commence à manquer de nonosses dans le coin.

Les peurs sur la surpopulation supposée de la planète, ça date pas d'hier. On s'en inquiétait déjà dans des temps bien plus anciens ; Aristote en parlait déjà. C'est pour dire que les genres malthusiens n'ont rien pigé depuis des siècles. Le club de Rome prévoyait déjà 9-10 milliards d'habitants pour l'horizon 2000 dans les années 1960. Ils se sont plantés et beaucoup d'autres se planteront encore. Comme le nonosse que tu viens d'envoyer dans le décor (c'est quand même vrai que certains types devraient mettre des préservatifs pour éviter qu'on se retrouve avec ces trouffions).

Les hommes remettront l'épée au fourreau si la population venait un jour à devenir trop grande. Nul besoin d'Etat pour cela. Faut arrêter de déconner, une portion infime de la Terre est peuplée et les rapports pessimistes sur l'état des ressources sont chaque jour démentis.

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La planète était peuplée d'environ 250 millions d'êtres humains, au début de notre ère.

Et même les plus riches à cette époque étaient aussi pauvres que nos pauvres d'aujourd'hui et vivaient moins longtemps.

Au début du second millénaire, cette population compte 7 milliards d’habitants, dont 1,2 à 1,4 milliard vivent dans un état de pauvreté profonde.

C'est la proportion de pauvres aujourd'hui (17%) comparé à la proportion de pauvres au début de notre ère (100%)que tu dois analyser…et la définition de pauvre que tu dois revoir.

Et la population augmente quotidiennement de 220 à 250 000 individus (au net des décès).

De ton post débile et lamentable, là comme ça on pourrait conclure qu'il faut donc euthanasier les pauvres, comme ça il y en aura moins et nous serons moins sur la planète. Cool quoi!

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Il me semble que pauvreté et richesse sont des notions incomprises. Elles ne sont pas relatives, elles sont absolus, elles ne dépendent pas de vos voisins, elles dépendent de vos habitudes dépensières.

La richesse, la vraie, s'obtient simplement en dépensant moins que ces revenus. En produisant plus de ressources qu'on en consomme, générant un excès échangeable avec des tiers.

C'est ça la richesse, qu'on produise des tomates ou des hélicoptères, qu'on ait un revenu de 500€ de la Providence ou des revenus de 50 000€. Cette formule a été testé par beaucoup de gens, beaucoup de civilisations, à travers 5 000 ans, la richesse c'est aussi simple que ça. Modifier ses "besoins", désirs, nécessités pour qu'ils rencontrent un niveau de dépense inférieur aux revenus. (Et par nécessité, on se rend compte que très peu est réellement vital pour survivre, beaucoup de "besoins" ne sont que des petits désirs de confort.)

Bien sur, il y a les gens qui touchent un héritage ou gagne à la loterie, mais s'ils ne suivent pas cette recette ils finiront pauvres. C'est 100% garanti. C'est ce que j'apelle les 'riches temporaires', qui n'ont rien à voir avec la richesse, mais qui ne sont que des dépenses. Les dépenses sont la fantaisie des fous. Suffit d'aller dans un casino, c'est fascinant de voir comment les gens s'empressent et à quelle vitesse ils peuvent donner un million d'euros à des gens comme moi. Cette expérience démontre également que rien ne sert de donner son argent à des gens qui ont décidé d'être pauvres. C'est peine perdue, alors si vous êtes engagés dans la charités, considérez arrêter, vous jetez juste votre argent par les fenêtres.

En effet, les ressources sont rares et chaque jour on compte 200 000 humains en plus. C'est assez triste. Et nécessitera tôt ou tard d'aller sur d'autres planètes. Ce qui fait qu'il suffit d'acheter des ressources 'non durables' (plus difficillement remplaçable que des patates quoi, comme du cuivre, de l'argent, du pétrole. In fine, rien n'est durable dans ce système solaire) et de les détenir sans les dépenser pour s'enrichir. C'est marthématiques.

Il s'ensuit donc la dure vérité : les pauvres sont pauvres parce qu'ils le VEULENT. Les riches sont riches parce qu'ils le VEULENT.

Quelque soit le contexte, l'époque, le lieu, ou l'Empire décadent du moment.

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Une aide efficace devrait nourrir, soigner ces populations ET mettre en oeuvre une régulation de la natalité pour stabiliser la population.

Corriger les effets pervers de l'interventionnisme par encore plus d'interventionnisme ? Quelle idée géniale :facepalm:

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les pays de la corne de l'Afrique vivent sous perfusion alimentaire internationale, subissent régulièrement des famines depuis des décennies, et leur démographie continue d'exploser, ce qui fait que la pression sur l'approvisionnement est constante. Une grande partie de cette population ne peut survivre qu'avec aide internationale. C'est évidemment une situation catastrophique.

Une aide efficace devrait nourrir, soigner ces populations ET mettre en oeuvre une régulation de la natalité pour stabiliser la population.

Non. Ils ont besoin d'un accès individuel permanent et indépendant à l'eau potable, c'est tout.

Ensuite, stratégie K.

Mon billet de jeudi abordera la question.

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La rhétorique de droite de Sanksion…

Pourtant la richesse et la pauvreté sont bien relatives. Être pauvre, c'est se sentir pauvre (c'est moi qui le dit).

Et non, les pauvres ne veulent pas le rester. Au contraire. Tant de parents analphabètes sacrifient leurs ressources pour maintenir quelques-uns de leurs enfants à l'école. Pourquoi ? Pour que leurs enfants ne soient pas des pauvres comme eux.

L'effort de l'épargne ne fait pas tout. Il y a le facteur malchance, mÊme si l'environnement procuré par les sécurités sociales administratives la font oublier en Occident. Il y a aussi la difficulté. Certains sortent grandis des difficultés quand d'autres se font briser et restent à la charge de leur famille. Parmi les brisés, nombreux sont ceux qui auraient pu Être des moteurs pour leur famille avec un peu plus de facilité.

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Non. Ils ont besoin d'un accès individuel permanent et indépendant à l'eau potable, c'est tout.

Note que les désinfectants à base de chlore ne coûtent pas grand chose.

Au Bénin la plaquette de dix comprimés Aquatabs coûte 125 francs CFA en pharmacie. Chaque comprimé nettoie un seau de vingt litres d'eau. Note que j'ignore s'il y a des subventions derrière.

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Et non, les pauvres ne veulent pas le rester. Au contraire. Tant de parents analphabètes sacrifient leurs ressources pour maintenir quelques-uns de leurs enfants à l'école. Pourquoi ? Pour que leurs enfants ne soient pas des pauvres comme eux.

Certains se réveillent trop tard. C'est la pire chose qui puisse arriver dans uen vie. Se réveiller trop tard. Tous les pauvres que je connais ne font rien pour changer leurs habitudes. Ils se comportent en pauvres, ils seront pauvres toute leur vie, même si un beau jour ils découvrent une pile de gros billets devant leur porte. Et ils aiment ça. Ils aiment dépenser. Et d'autres se sont inventés mille excuses pour se cacher la réalité.

Les excuses sont pour les pauvres.

Il existe les effrayés de la richesse et des responsabilités qui en incombent. Il existe les éternels enfants qui veulent que quelqu'un s'occupe d'eux (religion, charité, socialisme, etc..). Et il y a les paresseux qui ne veulent pas fournir d'effort pour survivre. Il y a les fous qui vivent dans la fantaisie de la dépense et espèrent tomber miraculeusement sur un gros montant sortis de nul part. Il y a ceux qui aiment recevoir de l'attention en racontant leur 'histoire pas croyable', qui leur donne l'importance qu'ils désirent à coups de pelles dans la pauvreté. Les pauvres sont généralement une combination de ces différents vices. Et ils aiment leurs vice. Rien que le début de ton blog montre que tu te fourvoies. Etre riche n'est pas avoir le téléphone et une voiture, ce sont des dépenses. Beaucoup de pauvres en ont. Je connais pas mal de pauvres qui le sont justement parce qu'ils ont une belle voiture confortable et ont eu tous les téléphones dernier cri.

Etre riche, c'est épargner constamment chaque revenu. Ni plus, ni moins. Ce n'est qu'une habitude, un style de vie, une rigueur et une austérité de tous les jours. C'est le conservatisme. C'est la richesse.

La richesse est une plante, vivante, qui s'engendre elle même, mais qui a besoin d'être arrosée et qui, lorsqu'on la récolte plus qu'on ne l'arrose, finit par mourir. Bienvenue dans l'Empire Occidental du XXI. Une fois qu'on comprend ça, il suffit que le temps fasse son affaire et voilà les milliardaires du XXI, voilà les prochaines civilisations hégémoniques. Ceux et celles qui épargnent. Ce seront les 1% de demain.

Et j'irai même plus loin, ce sont les ancêtres de l'ADN humain de demain.

Trouvez moi un pauvre dont les dépenses de ses revenus ressemblent à ça : 60% Nécessités 20% Dette (s'il y en a) 10% Joies de la vie et produits de luxe 10% Epargne (ou 30% s'il n'y a pas de dette) Cherche encorez, ce pauvre n'existe pas, car il est riche. Dans tout l'univers, dans tout instant dans le temps. Cette simple loi mathématique est démontrable, on finit riche quand on épargne, suffit de le faire constamment.

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Certains se réveillent trop tard. C'est la pire chose qui puisse arriver dans uen vie. Se réveiller trop tard.

J'imagine bien le petit Sanksion, à l'âge de dix ans, qui court sur le chemin de l'école. D'autres y vont parce que les adultes ne leur laissent pas le choix. Mais pour le petit Sanksion point de basses motivations. Il est réveillé, lui ! Et il court pour être riche car seuls les paresseux de pauvres ne vont pas à l'école ou s'amusent à ne rien comprendre.

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Trouvez moi un pauvre dont les dépenses de ses revenus ressemblent à ça : 60% Nécessités 20% Dette (s'il y en a) 10% Joies de la vie et produits de luxe 10% Epargne (ou 30% s'il n'y a pas de dette) Cherche encorez, ce pauvre n'existe pas, car il est riche. Dans tout l'univers, dans tout instant dans le temps. Cette simple loi mathématique est démontrable, on finit riche quand on épargne, suffit de le faire constamment.

Faisable avec des sécurités sociales administratives seulement.

I am indeed rich, since my income is superior to my expenses, and my expense is equal to my wishes

Edward Gibbon.

Merci d'illustrer mon propos. On parlait plutôt côté pauvreté mais, en effet, voilà pourquoi la richesse aussi est relative.

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Pas besoin d'aller à l'école pour être riche. Je connais beaucoup de gens sans baccalauréat, sans diplôme supérieur, qui sont riches. C'est qu'une question d'habitudes de dépense. Et oui, déjà, petit, à l'école, j'étais parti pour devenir riche. J'avais même mon sou fétiche, le premier que j'ai gagné, en vendant des bonbons. Je l'ai gardé très longtemps, quelqu'un me l'a volé. Un proche. Ignorant de toute la valeur et de la sagesse que représentait ce sou. Cette première graine vers la richesse. Depuis, plus grand, rendant des petits services aux voisins j'avais épargné mon premier millier d'euro. Je me suis crée un nouveau sou fétiche, un Eagle d'une oz. Je ne serai jamais pauvre car je me comporte comme un riche. Il n'y a pas de suspens de ce côté là. Le seul suspens est comment je vais accélerer le rythme. Et pour trouver une manière parmi les mille qui existent, il faut avoir entraîné son cerveau pour. Une habitude s'obtient par répétition. J'épargne, je dépense moins. Je répète. Et me voilà, petit sanksion est en train de grandir. Et je connais des amis qui ont des revenus déjà trois fois supérieur au mien, ils ont quelques années d'expérience professionnel de plus que moi, et font plus d'heures que moi. Mais à la fin de l'année ils n'ont pas un euro à montrer. Et j'en ai plus. Mais ils ont sacré stocks de jouets. Ils seront surpris dans 10 ans de me voir incroyablement plus riches qu'eux. Et j'éleverai avec sévérité ma progéniture pour assurer autant que possible qu'elle se comporte comme moi. Sinon je ferai en sorte qu'ils n'héritent rien. Et je serai le précurseur d'un Empire. C'est aussi simple que ça. Comme toute chose dans l'Univers, c'est élégant, c'est simple.

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Corriger les effets pervers de l'interventionnisme par encore plus d'interventionnisme ? Quelle idée géniale :facepalm:

Ce que tu appelle "les effets pervers de l'interventionnisme", ça consiste concrétement à sauver des vies… ce qui en l'absence de régulation de la natalité, fait exploser la population de manière incontrolée. Il serait donc utile de financer des programmes visant à réduire la natalité en diffusant par exemple des moyens de contraception (ce qui ne relève pas forcément de l'interventionnisme étatique)

L'Ethiopie reçoit 3 milliards de dollars d'aide (étatique) par an et 10 à 20 % de la population dépend directement de cette aide pour survivre… si on laisse tomber du jour au lendemain cette intervention, on imagine les conséquences que ça peut avoir.

C'est là aussi qu'on voit les limites du libéralisme : Dans des pays comme le Congo ou l'Afrique du Sud, ces populations se portaient objectivement bien mieux sous la colonisation, bénéficiaient de la stabilité politique, du développement économique et d'une hausse régulière du niveau de vie. Comme quoi l'interventionnisme a parfois du bon.

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Et oui, déjà, petit, à l'école, j'étais parti pour devenir riche. J'avais même mon sou fétiche, le premier que j'ai gagné, en vendant des bonbons. […] Et je serai le précurseur d'un Empire. C'est aussi simple que ça.

Ha mais alors c'est tout un chemin de vie !

C'est bien.

Essaie cependant de comprendre que ce n'est pas le seul chemin (par exemple je serai probablement riche avant toi dans le sens de la définition que tu as citée), que d'autres n'en ont jamais vu le début pour le choisir, que d'autres encore l'ont choisi et s'en sont fait détourner par des coups trop durs.

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C'est là aussi qu'on voit les limites du libéralisme : Dans des pays comme le Congo ou l'Afrique du Sud, ces populations se portaient objectivement bien mieux sous la colonisation, bénéficiaient de la stabilité politique, du développement économique et d'une hausse régulière du niveau de vie. Comme quoi l'interventionnisme a parfois du bon.

Faut voir tout le tableau. Tout ces gains, les européens les ont payé. Ils ont finit par manquer de ressources et se sont mis sur la gueule, deux fois, avec des millions de morts. ca a été positif pour les africains, surement pas pour les européens.

Ha mais alors c'est tout un chemin de vie ! C'est bien. Essaie cependant de comprendre que ce n'est pas le seul chemin (par exemple je serai probablement riche avant toi dans le sens de la définition que tu as citée), que d'autres n'en ont jamais vu le début pour le choisir, que d'autres encore l'ont choisi et s'en sont fait détourner par des coups trop durs.

Oui c'est toujours la faute aux autres, à pas de chance, et aux coups durs. C'est cela. J'aimerai bien les voir en vrai ces pauvres. Tout les clodos que j'ai rencontré ont juste merdé et se sont infligés tout seul ce qui leur arrivait. Tout les vieux qui meurent pauvres et seuls dans les hopitaux publics également. J'en ai encore jamais rencontré qui avait tout fait pour devenir riche et échouer. Sans parler des centaines de pauvres que je connaisse qui si tôt un chèque reçu le 1er du mois, l'ont dépensé en drogues le 12, et achètent à crédit de quoi bouffer pour tenir jusqu'au 30. J'en connais des légions, je les ai fréquenté, je les ai observé. Et c'est un spectacle fascinant.

Il n'y a pas de telle chose que : 'pas assez de revenus pour commencer à construire la richesse'.

Sinon les babyloniens n'auraient jamais réussi en premier lieu et nous ne serions pas là pour en discuter.

Ma famille elle même était incroyablement riche, jusqu'à ce qu'un lemming dépensier arrive et s'endette, et que mes grands parents ont tout recommencé depuis zéro alors que nous avions un empire industriel à travers l'Europe. Dépenser, c'est s'appauvrir. Epargner, c'est s'enrichir. Ce n'est qu'une question de volonté. J'en ai parlé avec beaucoup de pauvres, qui m'ont dit : mais je ne peux pas épargner, et j'ai un loyer, et j'ai ceci, j'ai cela. Que des excuses.

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L'Ethiopie reçoit 3 milliards de dollars d'aide (étatique) par an et 10 à 20 % de la population dépend directement de cette aide pour survivre… si on laisse tomber du jour au lendemain cette intervention, on imagine les conséquences que ça peut avoir.

Je connais cette théorie.

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Ce n'est qu'une question de volonté. J'en ai parlé avec beaucoup de pauvres, qui m'ont dit : mais je ne peux pas épargner, et j'ai un loyer, et j'ai ceci, j'ai cela. Que des excuses.

Je me répète : ce que tu dis n'est valable que dans un environnement protégé par des sécurités sociales administratives. Autrement les coups durs dépassent parfois les épargnes. Et ensuite tu éludes l'effet de l'éducation, alors même que tu annonces vouloir éduquer tes enfants d'une manière qui selon toi les orientera vers la richesse.

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