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La Cause De La Décadence Occidentale


Elardag

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Pour reprendre l'exemple de "la fed", c'est un exemple parfait, on peut soit expliquer en quoi certaines politiques monétaires sont néfastes et pourquoi ces politiques néfastes sont néanmoins considerées, par l'analyse politique des aventages imémdiats, par le zeitgeist économique qui crée des ornieres a certains décideurs, par la dégradation de la préférence temporelle, etc...

Ou on peut croire qu'il y a une volonté d'appauvrir la population mondiale, et qu'une bande d'illuminatis le font expres pour assouvir leurs passions obscures.

Mais est-ce qu'on peut encore croire à la stupidité des élites, incapable de faire le choix le moins pire possible. Dans le cas de la Fed, les grands responsables sont au courant des merdes qui arrivent, c'est évident, on a pu le constater avec le délit d'initiés à Chypre récemment. Du coup, j'ai de plus en plus de mal à prendre pour recevable la stupidité des élites. Les logiques oligarchiques suffisent amplement à expliquer les prises de position unilatérales de ces dernières années.

Sinon, personne n'a répondu, mais le titytainment, c'est du n'importe quoi, ou Brzeninski l'a vraiment promu ?

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Sinon, personne n'a répondu, mais le titytainment, c'est du n'importe quoi, ou Brzeninski l'a vraiment promu ?

 

Dis moi, cela te fait pas bizarre qu'une notion créer en californie (on donne même le nom de l'hotel) est une page sur le wiki francophone et pas anglophone ?

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Ce topic crève le plafond du n'importe nawak, et Dieu sait qu'il est arrivé à des niveaux particulièrement élevés ces derniers temps. Probablement parce que le forum est en phase de décadence.

 

Il ne manque plus que quelques posts sur comment éduquer des gosses et on arrive au bout imo.

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Du relativisme comme décadence.
 

Car le scepticisme est la forme la plus intellectuelle d’une certaine condition physiologique complexe qu’en langage ordinaire on appelle débilité nerveuse ou neurasthénie ; il se développe lorsque des races ou des classes sociales, longtemps éloignées les unes des autres, se mélangent d’une façon décisive et soudaine. Dans la génération nouvelle, qui reçoit par héritage dans le sang des mesures et des valeurs diverses, tout est inquiétude, trouble, doute, tentative. Les meilleures facultés sont autant de freins, les vertus mêmes se contrarient et s'affaiblissent mutuellement ; le corps et l’âme manquent d’équilibre, de pesanteur, d'assurance. Mais ce qui, chez de pareils métis, est plus profondément atteint et dégénèré, c’est la volonté. L’indépendance des résolutions, le plaisir hardi de vouloir leur sont désormais inconnus, — ils doutent du « libre arbitre » jusque dans leurs rêves. Notre Europe moderne, ce théâtre d’un effort soudain et irréfléchi, pour mélanger radicalement les classes et par conséquent les races, est, par ce fait, sceptique du haut en bas de l’échelle, tantôt son scepticisme agile, impatient et lascif, saute d’une branche à l’autre, tantôt troublé et comme obscurci par un nuage gros d'inquiétantes questions — et parfois las de sa volonté à en dépérir! Paralysie de la volonté, où ne rencontre-t-on pas aujourd'hui cette infirmité? Elle se déguise avec une certaine élégance, avec des travestissement séducteurs. Cette maladie revêt les plus beaux apparats mensongers; par exemple ce qu’on expose aujourd’hui sous le nom d’« objectivité », « méthode scientifique », d’« art pour l’art », de « connaissance pure et désintéressée », tout cela n’est que du scepticisme fardé, maquillage d'une volonté paralysée. Je me porte garant du diagnostic de cette maladie européenne. L'épidémie ne s’est pas propagée également à travers l’Europe ; elle sévit plus sévèrement et sous les aspects les plus variés dans les pays où la vieille civilisation est depuis plus longtemps acclimatée ; elle tend à disparaître dans la mesure où sous le voile flottant de la culture occidentale le « barbare » réussit à maintenir ou à revendiquer ses droits. En conséquence, c’est dans la France contemporaine, comme il est facile de le montrer par des évidences palpables, que la volonté est le plus malade ; et la France qui a toujours possédé une habileté souveraine à présenter les phases les plus nuisibles de son esprit sous un aspect charmant et séduisant, exerce aujourd'hui le mieux son hégémonie culturelle sur l'Europe, comme la véritable école et grand magasin du scepticisme dans ce qu’il a de plus attrayant.

 

 

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Mais est-ce qu'on peut encore croire à la stupidité des élites, incapable de faire le choix le moins pire possible. Dans le cas de la Fed, les grands responsables sont au courant des merdes qui arrivent, c'est évident, on a pu le constater avec le délit d'initiés à Chypre récemment. Du coup, j'ai de plus en plus de mal à prendre pour recevable la stupidité des élites. Les logiques oligarchiques suffisent amplement à expliquer les prises de position unilatérales de ces dernières années.

 

Des hommes placés dans certaines conditions ont facilement tendance à agir n'importe commun, peu importe leur intelligence. 

 

Et pour te répondre, je dirais que la perte des valeurs chrétienne pousse l'Occident à se chercher un nouveau système de croyances, et que dans ces conditions n'importe quoi peut émerger. Les systèmes de croyance capables d'unifier une civilisation, ça ne pousse pas sur les arbres.

 

On peut aussi parler du fait que la structure du système politique amène les élites s'abaisser au niveau des foules, et que le système éducatif favorise les élèves capables d'apprendre bêtement par coeur sur ceux capable de formuler un raisonnement. 

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Non, non, désolé, la culture occidentale subit les effets du nivellement par le bas. Les gens n'ont aucune connaissance historique, ne savent plus écrire, n'ont aucune notion du Beau, de la qualité, lisent cinquante nuances de grey dans le train sans en ressentir aucune honte, considèrent que lire du Guillaume Musso, c'est déjà en soi un acte culturel incroyable, et le système ne fait rien pour instaurer des valeurs, les élites démocratiques voulant être proche du peuple, interdiction de définir des critères de bon goût.

So what ? Rien de tout ça n'a été intentionnellement souhaité par des gens qui avaient le pouvoir d'imposer ce genre de lubies.

Les complotistes sont incapables de saisir le rôle de facteurs non planifiables dans la vie humaine : le hasard, la bêtise pure, la contingence... Si la planification économique est impossible, la planification sociétale l'est tout autant. C'est triste d'avoir à le rappeler sur liberaux.org.

Non sequitur, si c'est un phénomène émergent, comme quasiment tout ce qui implique la société humaine, remonter aux sources n'est pas explicatif, mais au mieux descriptif d'un environnement d'ou emerge la tendence, Laplace est mort.

+1.

On ne peut rejeter le fait qu'il y ait des gens malveillants et influents à la manœuvre. Et encore, dans les cas de malveillance, il s'agit dans une bonne proportion d'un sens des priorités mal hiérarchisé conduisant à des décisions non vertueuses. En revanche les personnes influentes et malveillantes d'hier et aujourd'hui n'expliquent pas à elles-seules l'ensemble du phénomène de décadence occidental qu'on ne peut que constater. L'explication est multifactorielle.

Oui, mais surtout, quand on dit qu'ils sont à la manoeuvre, on surestime largement leur pouvoir réel dans ce domaine.
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Dis moi, cela te fait pas bizarre qu'une notion créer en californie (on donne même le nom de l'hotel) est une page sur le wiki francophone et pas anglophone ?

Je ne sais pas, c'est en tout cas un concept que je vois revenir souvent, Michéa en a parlé également. Du coup, si tout ça relevait de l'intox, la majorité d'agoravox serait un peu décrédibilisée. Mais quand bien même ça aurait été inventé de toute pièce, ça décrit assez bien le monde dans lequel on vit, un monde où toute valeur aristocratique, qui implique une certaine éthique, un sens du Beau et du juste est en train de disparaître.

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A mon avis y'a plusieurs causes.....

 

Une d'elle est peut etre la situation de grand confort matériel dans lequel l'occident se trouve ?!

C'est évidemment un bien, mais faut le temps de la digérer ce genre d'évolution....J'ai jamais eu faim, jamais eu froid, jamais eu soif, jamais été malade, jamais vu de gens avoir faim...A mon avis ca peut avoir des effets pervers concrets et pas forcément positifs sur le plan de l'éthique, de la morale. Ca change quand même la donne, quand le but premier de ta vie n'est pas de survivre. Ca peut décontenancer, ca peut "perdre". 

D'une manière générale, on a +, et on fait - . C'est pas forcément "bon", du moins la encore "ca se digère". 

Physiquement on a plus trop besoin de bouger. Tant mieux, tant mieux, mais ca se digère, la aussi.

Bref, l'occident a quand meme connu plein d'évolutions concrètes énormes, quoi.

 

Sinon pour moi LE principal problème c'est l'égalitarisme, pas seulement sur le plan matériel d'ailleurs. Ca s'accompagne du refus des différences, de la méfiance vis a vis de l'excellence, etc.......

Tout n'était pas mieux "avant", mais combien de petit génie on perd dans nos écoles républicaines, a mon avis.....Sans bon prof pour s'occuper d'eux, sans contexte stimulant, sans environnement élitiste....Si par exemple Voltaire naissait aujourd'hui, deviendrait il Voltaire ? etc etc.

 

 

 

 

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Non, non, désolé, la culture occidentale subit les effets du nivellement par le bas. Les gens n'ont aucune connaissance historique, ne savent plus écrire, n'ont aucune notion du Beau, de la qualité, lisent cinquante nuances de grey dans le train sans en ressentir aucune honte, considèrent que lire du Guillaume Musso, c'est déjà en soi un acte culturel incroyable, et le système ne fait rien pour instaurer des valeurs, les élites démocratiques voulant être proche du peuple, interdiction de définir des critères de bon goût.

Ceci est une réflexion de bobo de centre ville sans aucune connaissance historique.

 

Au XIXème siècle, le taux d'alphabétisation était de combien en France? Combien étaient seulement capables de lire du Guillaume Musso à défaut d'en avoir envie?

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Ceci est une réflexion de bobo de centre ville sans aucune connaissance historique.

 

Au XIXème siècle, le taux d'alphabétisation était de combien en France? Combien étaient seulement capables de lire du Guillaume Musso à défaut d'en avoir envie?

Le problème, ce n'est pas que les gens lisent du Guillaume Musso, c'est qu'il soit mis en référence par les médias, qu'il n'y ait aucune élite pour définir des codes, parce que, ohlalala, chacun ses goûts d'abord. Bien sûr qu'au XIXe siècle les gens ne savaient pas lire, mais il existait une certaine morale, un certain respect du livre, 50 nuances de grey, ça aurait été une honte, pour le style et le fond. La culture populaire a atteint un certain seuil de médiocrité, mais le problème, c'est qu'il n'y a personne pour montrer l'exemple, rappeler ce qu'est le bon goût. Et ça, ça n'a rien à voir avec l’élitiste parisien pédant qui aime Godard parce que c'est complexe et in. Je distingue clairement ici le type qui a du goût, qui peut venir de n'importe quelle couche sociale, du petit bourgeois médiocre, incapable d'expliquer ce qu'il aime dans une oeuvre.

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Le problème, ce n'est pas que les gens lisent du Guillaume Musso, c'est qu'il soit mis en référence par les médias, qu'il n'y ait aucune élite pour définir des codes, parce que, ohlalala, chacun ses goûts d'abord. Bien sûr qu'au XIXe siècle les gens ne savaient pas lire, mais il existait une certaine morale, un certain respect du livre, 50 nuances de grey, ça aurait été une honte, pour le style et le fond. La culture populaire a atteint un certain seuil de médiocrité, mais le problème, c'est qu'il n'y a personne pour montrer l'exemple, rappeler ce qu'est le bon goût. Et ça, ça n'a rien à voir avec l’élitiste parisien pédant qui aime Godard parce que c'est complexe et in. Je distingue clairement ici le type qui a du goût, qui peut venir de n'importe quelle couche sociale, du petit bourgeois médiocre, incapable d'expliquer ce qu'il aime dans une oeuvre.

 

Très puritain tout ça...quant à l'élite qui définit les codes...

 

A mon avis, il n'y a pas de décadence. Il n'y a pas de sens de l'histoire. L'homme n'apprend rien de son histoire mais son histoire est d'évolution cyclique (seul le progrès technique change le monde). L'occident revit et revivra ce qui est advenu de l'empire romain. Il a dominé le monde, demain ce ne sera plus le cas, c'est tout.

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Je ne sais pas, c'est en tout cas un concept que je vois revenir souvent, Michéa en a parlé également. Du coup, si tout ça relevait de l'intox, la majorité d'agoravox serait un peu décrédibilisée. Mais quand bien même ça aurait été inventé de toute pièce, ça décrit assez bien le monde dans lequel on vit, un monde où toute valeur aristocratique, qui implique une certaine éthique, un sens du Beau et du juste est en train de disparaître.

 

Ecoute, si par hasard Brzezinski à inventé le "Tittytainment", c'est du même niveau que le "temps de cerveau disponible" de le Lay. C'est à dire une jolie formule pour faire rire les membres d'un congré sans application pratique. 

 

Mais même ça, je n'en suis pas sûr. L'article français est une traduction de l'article espagnol. Et en amérique du sud, ils adorent les théories du complots surtout quand elles mettent en jeu le grand satan américain.

 

 

 

 
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Très puritain tout ça...quant à l'élite qui définit les codes...

 

A mon avis, il n'y a pas de décadence. Il n'y a pas de sens de l'histoire. L'homme n'apprend rien de son histoire mais son histoire est d'évolution cyclique (seul le progrès technique change le monde). L'occident revit et revivra ce qui est advenu de l'empire romain. Il a dominé le monde, demain ce ne sera plus le cas, c'est tout.

 

Il n'y a pas de retour en arrière dans la conception progressiste du sens de l'histoire. Toute conception cyclique de l'évolution sociale implique nécessairement une théorie de la décadence, c'est-à-dire de la destruction périodique des élites et de leur renouvellement. D'ailleurs tu l'illustres bien par cette analogie de la répétition de la décadence de l'empire romain. Même si ama l'analogie avec la fin de la République romaine est plus pertinente.

 

Des faits semblables s'observent fréquemment dans le cycle de la ploutocratie démagogique et aussi en dehors de ce cycle. On compromet l'avenir, en vue de s'assurer un avantage présent, ou simplement pour éviter un effort considérable au temps où il a des chances d'être efficace. C'est ainsi qu'Athènes laissa croître et dominer la puissance de la Macédoine, et que les peuples du bassin de la Méditerranée laissèrent grandir et se fortifier la puissance romaine, qui devait les asservir. De tels faits affectent différemment le sort particulier des nations et la marche générale de la civilisation : celle-ci peut avoir tiré avantage de ce qui a causé la ruine d'Athènes, ou de la destruction de Carthage. (…)

Nos sociétés présentent, sous certains aspects, des analogies frappantes avec la société romaine de la fin de la République. Un de ces aspects peut, d'une manière sinon rigoureuse au moins approchée, être caractérisé comme étant celui de la domination d'une ploutocratie démagogique. Les ploutocrates romains achetaient dans les Comices le droit de pressurer les provinces ; et ces exactions mêmes les mettaient en mesure de se livrer aux dépenses qui leur donnaient le pouvoir. Nos ploutocrates ne répugnent pas non plus à prodiguer l'argent, pour obtenir une législation favorable à leurs intérêts. Les dépenses pour les élections faites aux États-Unis n'ont rien à envier à celles qui se faisaient à Rome. Certaines exactions amenées par le protectionnisme et par l'étatisme sont plus régulières, moins arbitraires, moins contraires au droit, niais non moins importantes que les exactions des proconsuls romains.

 

https://www.liberaux.org/index.php/topic/49014-oligarchie-ploutocratie/

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La génération de nos arrières et même grands-parents savait compter et écrire sans fautes avec un niveau certificat d'études (fin de la primaire). Les générations passées par la méthode globale et sous les fourches caudines des pédagogos ont d'énormes difficultés pour comprendre l'énoncé d'un problème de 3 lignes. L'illettrisme progresse (même chez les cadres), c'est un fait démontré et mesuré, il n'y a pas à le discuter, cela se constate. L'étatisation de la culture et de l'éducation marchent avec le déclin français (et européen), que l'on voit dans tous les domaines de la création, qu'elle soit artistique ou entrepreneuriale. La décadence est palpable dans la justice pénale, de plus en plus idéologique et arbitraire, qui s'exerce en faveur des criminels et au détriment des victimes. Tout ce qui se fait en France, cette grande nurserie hygiéniste, depuis une trentaine d'années est frappé du sceau de la médiocrité et de la décadence de ses élites de ploutocrates bobos. C'est à l'école que l'on observe le mieux la décadence, avec l'ignorance pour tous, le formatage idéologique, le multiculturalisme et la théorie du genre, stade terminal du constructivisme et du bourrage de crânes.

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trouvé en 1 minute en tapant "jack lang éducation" dans youtube.

 

De deux choses l'une : soit Jack Lang a parfaitement compris ce qu'est le droit de par sa formation universitaire, auquel cas il travestit complètement l'esprit de ce qu'on lui a appris. Ou alors il n'a rien compris à l'esprit du droit, ce qui ne la pas empêché de mener une carrière publique exceptionnelle.

 

Le petit mot sur l'égalité réelle à la fin : énorme ^_^

 

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Merci pour ces vidéos, bien entendu, je pense que le marxisme culturel y est pour beaucoup dans la destruction de l'enseignement. Mais du coup, en quoi le fait de parler des effets néfastes du KGB sur les étudiants à la fac ne rentre pas dans la catégorie "théorie du complot" ?

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