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"dépasser La Démocratie" : Par 2 Libertariens Hollandais


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Ecrit par : Frank Karsten est le fondateur de la Mises Instituut Nederland (mises.nl) et de la Stichting Meer Vrijheid (Fondation pour Davantage de Liberté, meervrijheid.nl), une organisation libertarienne néerlandaise qui agit dans le but de réduire les impôts et l'intervention de l'Etat. Il apparaît régulièrement en public pour dénoncer l'interférence croissance de l'Etat dans la vie des citoyens. Karel Beckman est journaliste et auteur. Il est le rédacteur en chef de l'European Energy Review. Auparavant, il a travaillé en tant que journaliste pour le quotidien néerlandais Financieele Dagblad

"Fantastique. Excellent travail. Félicitations." Hans-Hermann Hoppe, auteur de 'Démocratie, le Dieu qui a échoué".

"Ce livre a une force explicative formidable. Il peut libérer votre esprit." Jeffrey Tucker, rédacteur en chef du Laissez Faire Books.

 

 

PRESENTATION : Pourquoi la démocratie ne mène pas à la solidarité, à la prospérité et à la liberté, mais aux conflits sociaux, aux dépenses publiques effrénées et à la tyrannie.

 

La démocratie est largement considérée comme étant le meilleur système politique possible. Et il n'est pas exagéré de dire que la démocratie est devenue une religion laïque : la croyance politique la plus répandue dans le monde. Ainsi, critiquer l'idéal démocratique, c'est risquer d’apparaître comme un ennemi de la société civilisée.

 

Pourtant, c'est précisément ce que Karel Beckman et Frank Karsten se proposent de faire. Dans ce livre provocateur et abordable, ils s'attaquent au dernier grand tabou politique de notre temps : l'idée que notre salut réside dans la démocratie.

 

Avec des arguments simples, ils montrent que la démocratie, contrairement à la croyance populaire, ne conduit pas à la liberté, à la civilisation, à la prospérité, à la paix et à la primauté du droit. Au contraire, elle conduit à la servitude, aux conflits sociaux, aux dépenses incontrôlables de l’État, à la baisse du niveau de vie et à la violation des droits individuels.

 

En seulement 140 pages, ils réfutent 13 grands mythes sur lesquels la démocratie est habituellement fondée. Qui plus est, ils offrent une alternative attrayante : une société volontaire, fondée sur les libertés individuelles.

 

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi la taille de l’État, comme la dette publique, ne cessent d'augmenter ? Savez-vous pourquoi la liberté et la prospérité sont de plus en plus menacées ? Ce livre vous aidera à comprendre non seulement les causes du mal mais aussi les remèdes.

 

Dépasser la démocratie est un livre novateur et fascinant pour tous ceux qui veulent mieux comprendre les problèmes sociaux actuels et la crise économique.

 

www.depasserlademocratie.fr En collaboration avec l'Institut Coppet (Paris) http://www.institutcoppet.org

 

 

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je n'avais jamais vraiment réfléchi à la démocratie en tant que telle, je dois dire que ce livre est d'une efficacité étonnante pour vous convaincre des méfaits de la démocratie (en tout cas représentative et nationale). Pour eux la démocratie est intrinséquement collectiviste, ils prônent la fin de la démocratie nationale pour y préfèrer des unités politiques plus petites, totalement décentralisée, libres d'être organisées comme les individus le veulent (démocratie directe, monarchie, que sais-je encore, peu importe tant qu'on embête pas les autres villes ou cantons à côté et que chaque individu puisse en partir pour faire jouer ce qu'ils appelent la concurrence de la gouvernance). Leur analyse et système me semble très aboutit et colle à mon avis le plus proche de l'ideal liberal, où l'individu est placé avant le collectif (même le collectif dit "majorité démocratique"). Il n'exclut pas du tout pour autant que ces petites unités gardent un "sens commun" pour former "une nation", pour ceux qui auraient peur de voir disparaître la France, mais alors le niveau national serait plus une union des petites unités dans un but de Défense coordonnée. Toute la gestion politique étant ramenée au niveau local.

 

Bref, c'est vraiment un livre que je conseille. Même ceux qui ne seront pas convaincu par l'abandon de la démocratie nationale telle que nous la connaissons en occident y trouveront des analyses et pistes pour réformer, améliorer, nos institutions et constitution.

 

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La démocratie doit en rester à sa plus simple expression, un moyen de sélectionner des représentants pour s'occuper des domaines régaliens (police, justice, défense), construire ensuite tout un fantasme sur le meilleur système pour régénérer et améliorer l'Homme (non genré) doit être jeté à la poubelle. 

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http://www.cracked.com/article_14990_what-monkeysphere.html

Lisez-le en entier, ça roxxe, mais en particulier :
 

A representative democracy allows a small group of people to make all of the decisions, while letting us common people feel like we're doing something by going to a polling place every couple of years and pulling a lever that, in reality, has about the same effect as the darkness knob on your toaster. We can simultaneously feel like we're in charge while being contained enough that we can't cause any real monkey mayhem once we fly into one of our screeching, arm-flapping monkey frenzies ("A woman showed her boob at the Super Bowl! We want a boob and football ban immediately!")

Conversely, some people in the distant past naively thought they could sit all of the millions of monkeys down and say, "Okay, everybody go pick the bananas, then bring them here, and we'll distribute them with a complex formula determining banana need! Now go gather bananas for the good of society!" For the monkeys it was a confused, comical, tree-humping disaster.

Later, a far more realistic man sat the monkeys down and said, "You want bananas? Each of you go get your own. I'm taking a nap." That man, of course, was German philosopher Hans Capitalism.

As long as everybody gets their own bananas and shares with the few in their Monkeysphere, the system will thrive even though nobody is even trying to make the system thrive. This is perhaps how Ayn Rand would have put it, had she not been such a hateful bitch.


Et pour info (parce que je crois que ce n'est pas explicité), le concept développé dans l'article est le nombre de Dunbar.

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La démocratie : pourquoi ça ne marche pas, de Franck Karsten 

http://www.enquete-debat.fr/archives/la-democratie-pourquoi-ca-ne-marche-pas-de-franck-karsten-institut-coppet-33375

 

Le 28 juin 2013 s’est tenu à l’institut Coppet un séminaire animé par notre auteur sur le sujet éponyme. Il faut un certain culot, de notre point de vue, pour défendre cette analyse politique. Pour un anglo-saxon, il suffit de proposer librement une analyse sur un sujet donné en l’occurrence la démocratie.

 

Pour Damien Theillier, président de l’Institut Coppet : « selon Frank Karsten et Karel Beckman c’est la démocratie elle-même qui produit le déclin de la civilisation au sens d’un affaiblissement généralisé des idées de liberté et de responsabilité ». Il lui semble que  la démocratie est ce qui produit « le maximum de servitude compatible avec l’ordre social ».

 

Il observe que la « croyance aveugle en la démocratie » est un phénomène assez récent et que les pères fondateurs, Benjamin Franklin, Thomas Jefferson et John Adams étaient, sans exception, opposés à  la démocratie. Quant à Benjamin Constant, Jean-Baptiste Say, et Frédéric Bastiat ils étaient partisans d’une république restreinte à la protection des droits individuels.

 

Thuillier observe que la « démocratie est devenue un instrument de contrôle de la sphère privée » alors qu’à « l’origine son rôle était de limiter et de contrôler l’État ».

 

L’analyse se structure ensuite en deux temps. Un premier, centré sur la démocratie, ses problèmes et ses mythes, déclinés ainsi : « chaque vote compte», « nous sommes tous des démocrates », « il n’y a pas de meilleure alternative que la démocratie », ou encore “quelle alternative à la démocratie”, “un marché de la gouvernance”, et enfin “l’avenir de la démocratie”. Ensuite, on sort l’artillerie lourde des auteurs qui  viennent en renfort parmi lesquels on ne recense que Tocqueville, Hayek, Leoni, Nozick, Simone Weil, H-H Hoppe et Frank Karsten.

 

Que retenir de tout  cela ?

 

Il y a autour de la démocratie comme un relent de totalitarisme. Francis Fukuyama indiquait dans son livre La fin de l’Histoire et le dernier homme qu’il voyait « l’universalisation de la démocratie libérale occidentale comme forme finale de gouvernement humain ». Que voilà une pensée terriblement auto centrée et bien peu prophétique.

 

Il est observé, au contraire, que « les gens ont besoin de reprendre le contrôle sur leur vie et sur les fruits de leur travail ». C’est là quelque chose de très important que la démocratie leur a enlevé, insidieusement, mais sans trop de retour. Il s’agit de « reconquérir la liberté de créer ses propres communautés locales -qu’elles soient religieuses, communistes, capitalistes ou ethniques ». Encore un peu on se croirait chez les identitaires.

 

Il est suggéré de mettre en place un « marché de la gouvernance où les gouvernements sont en concurrence et où les citoyens peuvent facilement se déplacer vers une autre zone étatique pour vivre et travailler».  Sur le papier cela existe déjà, en Europe par exemple. Dans les faits, il est clair, comme le rappelait le célèbre dissident soviétique, que « vous allez là d’où je viens ».

 

La supériorité des conglomérats privés (cartels, ententes, etc..) par rapport aux publics (URSS, USA, EUROPE DE BRUXELLES, IIIè REICH, EMPIRE ROMAIN), c’est qu’ils durent moins longtemps et causent moins de dégâts durables.

 

« Le chemin vers l’autonomie et l’auto-gouvernement continuera, mais il passera par la décentralisation et par l’organisation des personnes en plus petites unités administratives conçues par les gens eux-mêmes». Ce pourrait être cela, une alternative à la démocratie ; non pas la dictature mais la responsabilisation de chacun par l’exigence de la liberté.

 

Venons-en aux auteurs.

 

Tocqueville observait déjà chez « nos contemporains deux passions ennemies : ils sentent le besoin d’êtres conduits et l’envie de rester libre » et « ils combinent la centralisation et la souveraineté du peuple ».

 

Hayek  dénonce, quant à lui, une « démocratie de marchandage ». Il observe que « les pouvoirs illimités du gouvernement démocratique en font l’enjeu que se disputent les divers intérêts et il doit donner satisfaction à suffisamment d’entre eux pour s’assurer l’appui d’une majorité ». Et encore « dans sa forme actuelle de pouvoir sans limites la démocratie a largement perdu de sa vertu protectrice à l’encontre de l’arbitraire gouvernemental ».

 

À chacun de se délecter de ces 35 (140) pages faciles à lire mais totalement vraies et qui ouvre une réelle piste de réflexion sur un sujet de fond : notre sujétion volontaire à ce régime politique au-dessus de tout soupçon.

Article sur le livre

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La démocratie doit en rester à sa plus simple expression, un moyen de sélectionner des représentants pour s'occuper des domaines régaliens (police, justice, défense), construire ensuite tout un fantasme sur le meilleur système pour régénérer et améliorer l'Homme (non genré) doit être jeté à la poubelle.

Pas mieux. La démocratie, on n'a pas trouvé mieux pour résoudre les problèmes que la propriété privée ne peut pas résoudre (normalement, avec cette phrase, je devrais satisfaire tout le monde).
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Pas mieux. La démocratie, on n'a pas trouvé mieux pour résoudre les problèmes que la propriété privée ne peut pas résoudre (normalement, avec cette phrase, je devrais satisfaire tout le monde).

non pour ça il y a la Justice. Par ailleurs le livre est plus subtile qu'une simple condamnation de la démocratie, ce qu'il reproche c'est que plus l'unité politique est grande plus la démocratie accentue son collectivisme intrinséque et la tyrannie de la majorité, ils prônent donc d'avoir des unités politiques locales (villes, cantons) qui peuvent tout à fait être basées sur la démocratie (directe encore mieux) voir la monarchie, comme le gens veulent, tant que ces unités se forment par la volonté libre des gens qui y vivent. Mais, toujours, laisser l'individu libre d'y adhérer ou non, de se soustraire aux lois de la majorité, aujourd'hui si vous n'êtes pas d'accord avec les lois votées par la majorité vous êtes obligé comme en tyrannie de vous y soumettre, eux s'y refusent. L'individu doit pouvoir refuser par exemple une fiscalité à 50%, que l'individu peut juger spoliatrice, il peut aussi faire jouer la concurrence de la gouvernance en changeant facilement d'unité politique (passer d'une ville à une autre, difficile aujourd'hui au niveau des nations, surtout avec des langues différentes). Toute gestion politique collective doit se baser sur la participation réellement volontaire et le droit de s'y soustraire a tout moment (ce qui n'est pas le cas aujourd'hui, vous naissez français et jusqu'a votre mort vous devez vous soumettre aux décisions de la démocratie).

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Hé, dis-donc, tu crois que ce serait traduisible pour CP ?

 

Ça ressemble au type d'article que j'aime traduire (trois fois trop long et délicat à cause du ton, des néologismes...). Après une rapide recherche il ne semble pas encore exister de version française. Il n'y a pas non plus d'autre texte de cet auteur sur Contrepoints.

Donc je dirais pourquoi pas, ça se tente, mais il faut demander la permission avant, ce dont je n'ai pas du tout envie de me charger :)

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non pour ça il y a la Justice. Par ailleurs le livre est plus subtile qu'une simple condamnation de la démocratie, ce qu'il reproche c'est que plus l'unité politique est grande plus la démocratie accentue son collectivisme intrinséque et la tyrannie de la majorité, ils prônent donc d'avoir des unités politiques locales (villes, cantons) qui peuvent tout à fait être basées sur la démocratie (directe encore mieux) voir la monarchie, comme le gens veulent, tant que ces unités se forment par la volonté libre des gens qui y vivent. Mais, toujours, laisser l'individu libre d'y adhérer ou non, de se soustraire aux lois de la majorité, aujourd'hui si vous n'êtes pas d'accord avec les lois votées par la majorité vous êtes obligé comme en tyrannie de vous y soumettre, eux s'y refusent. L'individu doit pouvoir refuser par exemple une fiscalité à 50%, que l'individu peut juger spoliatrice, il peut aussi faire jouer la concurrence de la gouvernance en changeant facilement d'unité politique (passer d'une ville à une autre, difficile aujourd'hui au niveau des nations, surtout avec des langues différentes). Toute gestion politique collective doit se baser sur la participation réellement volontaire et le droit de s'y soustraire a tout moment (ce qui n'est pas le cas aujourd'hui, vous naissez français et jusqu'a votre mort vous devez vous soumettre aux décisions de la démocratie).

 

Si je comprends bien, le propos des auteurs serait de créer des mini démocraties à l'échelle locale.

Ça n'infirme donc pas la remarque de Rincevent. Au contraire même.

 

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je n'avais jamais vraiment réfléchi à la démocratie en tant que telle, je dois dire que ce livre est d'une efficacité étonnante pour vous convaincre des méfaits de la démocratie (en tout cas représentative et nationale). Pour eux la démocratie est intrinséquement collectiviste, ils prônent la fin de la démocratie nationale pour y préfèrer des unités politiques plus petites, totalement décentralisée, libres d'être organisées comme les individus le veulent (démocratie directe, monarchie, que sais-je encore, peu importe tant qu'on embête pas les autres villes ou cantons à côté et que chaque individu puisse en partir pour faire jouer ce qu'ils appelent la concurrence de la gouvernance). Leur analyse et système me semble très aboutit et colle à mon avis le plus proche de l'ideal liberal, où l'individu est placé avant le collectif (même le collectif dit "majorité démocratique"). Il n'exclut pas du tout pour autant que ces petites unités gardent un "sens commun" pour former "une nation", pour ceux qui auraient peur de voir disparaître la France, mais alors le niveau national serait plus une union des petites unités dans un but de Défense coordonnée. Toute la gestion politique étant ramenée au niveau local.

 

Bref, c'est vraiment un livre que je conseille. Même ceux qui ne seront pas convaincu par l'abandon de la démocratie nationale telle que nous la connaissons en occident y trouveront des analyses et pistes pour réformer, améliorer, nos institutions et constitution.

Si je comprends bien, cela semble être une vulgarisation des travaux de Hoppe sur la démocratie et la sécession.

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Pas mieux. La démocratie, on n'a pas trouvé mieux pour résoudre les problèmes que la propriété privée ne peut pas résoudre (normalement, avec cette phrase, je devrais satisfaire tout le monde).

Loltroll, autant dans l'hypothese d'un état non controlé, a potentiel totalitaire, ou le pouvoir est uniquement un privilege et en rien un devoir, et ou chacun cherche à en obtenir le maximum, la démocratie est peut etre le moins mauvais systeme car il permet le changement de régime sans trop de violence.

Mais dans l’hypothèse non pas d'un "pouvoir", mais d'un gouvernement, organe d'une société articulée et non pas lieu ultime de l'exercice de la force, la démocratie n'a jamais fait ses preuves, et tout permet de penser qu'elle est horriblement inadaptée, par son exaltation des bas instincts du peuple, par son auto-justification dictatoriale, par l'incitation à régler les problèmes par des moyens politiques.

Autrement dit, la démocratie n'est le moins pire des cas que quand on se place déjà dans le cauchemar de l'état moderne, je ne vois pas pourquoi il faudrait tenir ce cauchemar comme un acquis, et encore moins comme quelque'chose de positif.

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Si je comprends bien, cela semble être une vulgarisation des travaux de Hoppe sur la démocratie et la sécession.

Je n'ai pas lu Hoppe mais surement oui, 

 

le commentaire de Hoppe sur leur livre : 

"Fantastique. Excellent travail. Félicitations." Hans-Hermann Hoppe, auteur de 'Démocratie, le Dieu qui a échoué".

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Ça ressemble au type d'article que j'aime traduire (trois fois trop long et délicat à cause du ton, des néologismes...). Après une rapide recherche il ne semble pas encore exister de version française. Il n'y a pas non plus d'autre texte de cet auteur sur Contrepoints.

Donc je dirais pourquoi pas, ça se tente, mais il faut demander la permission avant, ce dont je n'ai pas du tout envie de me charger :)

Demande donc à un des contributeurs réguliers à Contrepoints de demander la permission (moi, je suis surbooké ces temps-ci, et d'autres ont sans doute l'habitude et une missive presque prête. Contacte Nick, Lex ou Largo. Ce serait dommage de s'en priver, tu es un bon traducteur.

Loltroll,

Tiens, il a compris. ;)

Autrement dit, la démocratie n'est le moins pire des cas que quand on se place déjà dans le cauchemar de l'état moderne, je ne vois pas pourquoi il faudrait tenir ce cauchemar comme un acquis, et encore moins comme quelque'chose de positif.

A mon avis, risquer de se priver de démocratie tant qu'on ne s'est pas débarrassé de l'Etat illimité, c'est tenter d'ouvrir la cage avant d'avoir buté (ou castré) le fauve. Ca me semble plus que risqué. Clairement, je n'y vois pas la priorité du moment. Ni même des prochains siècles.
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