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Mégille

Tribun de la Plèbe
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Tout ce qui a été posté par Mégille

  1. Je ne suis pas 100% d'accord avec ça. Il ne faut pas oublier que Nietzsche a eu une formation de théologie et de lettre classique, pas de philo. De ce coté là, il est très autodidacte, et donc, pas forcément très très ancré dans son temps. Typiquement, je doute qu'il ait sérieusement lu Kant, et à propos de Spinoza, il me semble bien qu'il se soit d'abord mis à se dire influencé par lui mais en en ayant lu en fait qu'un assez mauvais commentaire. En plus de ça, une partie conséquente de ses influences, surtout de la période qui précède immédiatement le Zarathoustra et lorsqu'il est pote de Ré, sont complètement oublié par la tradition des commentateurs d'Europe continentale (et pour cause, il s'agit d'une influence de l'utilitarisme et du naturalisme à l'anglo-saxonne). Donc le lecteur aguerri traditionnel passe déjà à coté de suffisamment de choses pour que ce ne soit pas la peine d'accabler le lecteur profane. Oh, et puis, il faudrait aussi, et surtout, pour bien comprendre d'où vient intellectuellement Nietzsche, se taper tout Le monde comme volonté et représentation de Schopenhauer (ça pour le coup il l'a bien lu), ce qui est chouette, mais long, et aussi, plein d'auteurs français très peu intéressant philosophiquement, comme Voltaire et Larochefoucauld (dans lesquels il s'était plongé quand il avait voulu rompre avec Wagner et le nationalisme allemand), et je ne souhaite ça à personne. Donc oui, à bien y réfléchir, je pense qu'on peut se jeter dans la Généalogie sans avoir lu trop de trucs avant. On passerait à coté de certaines choses, forcément, mais je pense que l'essentiel du propos peu être saisi. Mais le gros problème avec le Zarathoustra, même/surtout son prologue, c'est que ça on n'y comprend rien et que ça nous gonfle, soit on y comprend rien, mais qu'on se met à faire sembler de l'avoir compris, et d'avoir compris le monde entier par la même occasion, et que l'on devient particulièrement agaçant. Je ne recommande pas. Mais peut-être est-ce parce que je n'ai pas l'âme de poète.
  2. Je propose deux stratégies : 1) commencer par des oeuvres de jeunesses pour se familiariser à son caractère. Elles ont l'avantage d'être sous une forme discursive, et pas oraculaire ou messianique, et elles ne présupposent pas de l'avoir suivi sur tout le reste. Bon, par contre, les Considération intempestives/inactuelles/whatever sont chiantes, je ne recommande pas. Mais l'Origine de la tragédie, et des petites oeuvres non publiés comme Vérité et mensonge au sens extra-morale et je ne sais plus quoi sur les présocratiques peuvent mériter le détour. Mais elles ne reflètent pas encore le point de vue de maturité du bonhomme (il est prof, pas encore vagabond fauché donc, plutôt nationaliste, pote/fan de Wagner, et pas encore complètement séparé de Schopenhauer) 2) commencer par la Généalogie de la morale. C'est relativement tardif (après le Zarathoustra), mais ça a le net avantage d'être clair et argumenté, sans bullshit aux airs mystiques, et ça touche à ce qu'il y a de plus important chez lui. Pour bien le comprendre, mieux vaut le suivre dans l'ordre chronologique, mais je suis d'avis qu'on peut tout aussi bien sauter droit au but avec la généalogie pour ensuite reprendre son oeuvre du début si on veut creuser. Il me semble aussi qu'il y avait un bon mooc en français (mais je ne sais plus de quelle université) introductif sur lui. Dans tous les cas, ne pas commencer par le Zarathoustra.
  3. TIL l'Acali, une expérience sociale consistant à observer le comportement d'une dizaine d'humains, hommes et femmes, enfermés ensemble pendant une longue période, mené par un chercheur obsédé par le sexe et la violence. https://en.wikipedia.org/wiki/Acali Une vidéo un peu longue qui raconte assez précisément toute l'histoire : Conclusion : les personnages de nos films postapo ont probablement des comportements assez irréalistes.
  4. Mégille

    Actualité Covid-19

    Tendance : libéral-berskerker. Les australiens feront moins les malins quand on aura des drakkars nucléaires.
  5. Oui, j'ai bien compris que cette erreur se trouvait d'abord dans le documentaire critiqué par l'article (quoi que pas critiqué spécifiquement pour cette raison là), mais il commet la même erreur ensuite à partir des cross cultural studies. Quand tu vas chercher 80% de populations polygynes, et plus généralement, quand tu vas chercher plus d'un millier de "sociétés" différentes, c'est que tu vas faire tes stats en grande partie à partir de populations isolés. Et puis, déduire rejeter catégoriquement la polyandrie comme conséquence de la libre promiscuité sous prétexte que seule une infime minorité (environ 0.3%) des sociétés documentées sont polyandres est tout aussi ridicule. Il y a visiblement beaucoup plus de 0.3% des femmes de notre société à nous auxquelles avoir plus d'un seul partenaire plaît, et il pourrait sans doute y en avoir encore plus à quelques variations culturelles près. Mon copain trans peut témoigner. J'ai aussi cru remarquer une corrélation entre la pilosité et les dépenses en sextoys de mes copines, mais mon échantillon n'est pas encore assez large pour que je puisse prétendre à une précision de 6 sigma. Sinon, la vraie leçon à tirer de cet article, c'est que la culture patriarcale prive les hommes hétéros de sexe : à cause du stigma social et du manque d'éducation au plaisir féminin de la part des hommes, les femmes les plus hormonalement prédisposées à avoir une forte libido se détournent entièrement de la recherche de partenaires au profit de la masturbation.
  6. Mégille

    Aujourd'hui, en France

    @ttoinou, @Johnnieboy, tout compte fait, je suis d'accord avec vous.
  7. Et bien pour le coup non, vu que ce sont les couilles des chimpanzés qui sont exceptionnelles et non pas les nôtres. Si je ne savais pas sur quel planète je serais demain, effectivement, ça ne me permettrait pas de l'inférer, et on est bien sur une autre planète techno-culturelle que la plupart des peuples qui nous ont précédés. Et en l'occurrence, la comparaison ne marche pas, puisque c'est bien entre autre autour d'une interdiction de la polyandrie qu'étaient structurées les sociétés polygynes, pas seulement sur une libre promiscuité.
  8. Pareil, à une nuance près : au lieu de la neurasthénie, j'ai juste envie de lui donner un mouchoir et une claque.
  9. Mouai. Article un petit peu peccable par endroit tout de même. Pour commencer, ce passage est tout simplement erroné : Le chimpanzé commun (pan troglodites) et le chimpanzé nain, ou bonobo (pan paniscus), ont un ancêtre commun relativement récent, qu'ils ne partagent pas avec la lignée homo. Que p troglodites et p paniscus aient tous deux de grosses couilles nous permet d'affirmer que le plus récent ancêtre commun du genre pan avait sans doute de grosses couilles. Mais ça ne nous dit rien sur la taille des couilles de l'ancêtre des pans à-grosses-couilles et des homos à-petites-couilles. Cependant, que cet ancêtre soit le cousin de l'ancêtre du gorille à petites couilles, et que l'ancêtre de tout ce petit monde gorille compris soit lui-même un proche cousin de l'ancêtre de l'orang outan lui aussi a petites couilles laisse plutôt croire que c'est l'inverse qui est le plus plausible : les petites couilles seraient le caractère ancestral, et les grosses couilles des chimpanzés seraient le caractère dérivé. (et c'est d'ailleurs probablement un biais anthropocentrique qui rend difficile d'imaginer que pour un coup, ce soit l'humain qui est bien un grand singe comme les autres, et la famille d'à coté qui a un trait distinctif) Mais de toute façon on s'en fout, le sous entendu de la réflexion sur tout ça semble être qu'il y aurait une certaine téléologie derrière l'évolution, quelque chose comme un progrès naturel vers la monogamie chez les humains, mais c'est absurde. Les traces de notre histoire évolutive nous renseignent tout au plus sur le comportement de nos ancêtres, mais ne nous disent rien sur le comportement de nos futurs descendants, et ne nous prescrivent rien à nous. Elles sont susceptibles, ou non, de s'accompagner de dispositions comportementales innées encore plus ou moins vives... Mais dans le cas qui nous occupe, c'est tout autant le comportement qui détermine l'évolution (c'est parce qu'il y a d'abord plus ou moins de compétition spermatique, et donc du fait du comportement reproductif, qu'il va y avoir une pression évolutive pour avoir de plus ou moins grosses couilles). Et si les changements de comportement peuvent être dus à des mutations à l'origine de changements des dispositions innées, chez des grands primates comme nous, il serait étrange de mettre de coté les changements comportementaux dus aux changements environnementaux et culturels. Je ne sais pas ce qui a poussé les femelles des ancêtres du genre pan à la promiscuité (les différenciants donc des femelles chez les autres grands singes), mais je doute que ça puisse être un déterminisme plus fort que la découverte de la contraception et l'émancipation politique et économique. A propos de la longue excursion ethnologique. Je n'ai rien à y redire, mais encore une fois, ça ne nous concerne pas. Je n'aime pas beaucoup cette approche consistant à étudier les peuples "primitifs" comme si leurs structures sociales étaient restées fixes depuis le paléolithique, et comme si tout ce qu'on allait trouver chez eux allait être un invariant humain. Encore plus gênante est la tendance à vouloir ensuite prescrire cet invariant, puisque s'il en a besoin, c'est qu'il n'est pas forcément si naturel que ça. Je comprends bien qu'il s'agit ici d'une réfutation de ce genre d'idées apparemment présentes dans la vidéo de vox (que j'ai la flemme de regarder), mais ça n'empêche pas l'article de commettre sensiblement la même erreur un peu plus loin, quand il fait appel à l'ethnologie comparative. Si on explique au Moso du sud de la Chine que contrairement à lui, 99% des sociétés humaines ont un concept de "père", peut-être qu'il nous dira "ok, vous m'avez convaincu, je vais réformer ma culture". Mais il pourrait tout aussi légitimement répondre "et alors ? que la forme de ma société soit rare ne la rend pas moins réelle, moins légitime et moins stable". Peu importe les bédouins, les inuits et les papous, leurs sociétés n'est pas la notre, et notre environnement économique et technique rend la notre assez peu comparable aux autres. D'ailleurs, je ne connais aucune culture où l'homosexualité a le même statu que l'hétérosexualité, (à peu de choses près) comme dans la notre. Dire que ça ne fonctionne pas de cette façon chez les autres ne permet en aucun cas d'affirmer que ça ne devrait pas pouvoir être le cas chez nous, puisque de fait, ça l'est. Pour cette raison, je trouve un peu rapide le saut de la non-monogamie à la polygynie fait dans l'article. De fait, il y a chez nous des femmes qui souhaitent avoir de multiples partenaires. Peut-être moins que d'hommes, mais tout de même plus qu'on ne pourrait le croire. Je ne vois pas comment l'observation de sociétés qui interdisaient cela nous permettrait de savoir ce qui se passera si on se l'autorise. La partie la plus alarmiste de l'article portant spécifiquement sur les dangers de la société structurellement polygyne, je ne vois pas grand chose à en dire, puisque ce n'est pas utile. Ceci dit, je suis d'accord sur une chose avec l'article : la monogamie obligatoire est une forme d'égalitarisme. Mais il se trouve que je ne suis pas égalitariste. Toutefois, comme en économie, j'ai tout de même tendance à croire que cette augmentation des inégalités n'empêchera pas une réduction absolue de la misère des moins fortunés. Et comme en économie, j'ai tendance à croire que la jalousie est un très mauvais guide pour choisir notre modèle. Une dernière chose : Je veux bien croire que la vidéo présente ça de façon caricaturale, mais derrière ça, il y a un vrai apport scientifique de l'épistémologie féministe, que la simple reconnaisse de l'effet Bateman-Darwin n'interdit pas de reconnaître. On a effectivement tendance à projeter nos structures sociales non seulement sur les autres cultures, mais aussi sur les autres espèces, ce qui peut non seulement fausser notre compréhension de la nature, mais aussi engendrer des prescriptions aberrantes quand on essaie de faire jaillir des normes spécifiquement de ce que l'on a projeté nous mêmes sur la nature. C'est le cas dans notre étude des chimpanzés (bonobos compris), où un cantonnement trop strict au seul Bateman-Darwin a eu tendance à nous empêcher de prendre acte du comportement des femelles, et à nous rendre aveugles aux pressions évolutives auquel il est susceptible d'obéir.
  10. Je ne sais pas ce qu'en pense les mangeurs de viande le reste du forum, mais je trouve les fausses viandes les plus "réalistes" (typiquement beyond meat) particulièrement répugnantes. Je préfère de loin les galettes végétales qui ont leur propre goût et dont la composition n'est pas occulte.
  11. Mégille

    Tweets rigolos

    "Connais-toi toi même, mais connais aussi la vraie citation de Sunzi non-déformée, afin de savoir qui te prend visiblement pour une sorte d'ennemi à mater".
  12. Je ne me souviens absolument pas d'avoir lu ça, je crois que j'avais en fait attribué mentalement à Kripke des choses que j'ai lu chez Plantinga ! Je suis perplexe face à cette idée selon laquelle un nom commun comme "tigre" puisse être un désignateur rigide, puisqu'un nom commun désigne justement des individus différents d'un monde à l'autre, et peuvent généralement être défini par les propriétés communes à tous les individus qu'ils décrivent. (concernant les taxons, que ce soit de façon classique par une description de certaines caractéristiques phénotypiques, ou de façon phylogénétique, par la génétique et les relations de parenté). Je reste enclin à croire que 1) tous les noms communs sont des descriptions masquées, 2) les noms propres sont, derrière le verni grammatical, des noms communs comme les autres avec un "le" devant, le problème des individus contrefactuels étant suffisamment bien résolu par le simple fait que le nom n'est pas une description de toutes les propriétés mais de seulement celles qui sont essentielles pour le locuteur. Ca laisse la possibilité formelle que plusieurs individus se retrouvent également subsumés sous le même nom en cas de scénario sci-fi chelou (quoi qu'à proprement parler, le nom n'aurait alors tout simplement plus de dénotation du tout, puisque la forme "nom propre" tout comme les descriptions commençant par "le", suppose l'unicité du référent), mais il me semble que ce sont justement des cas où notre langage est mis en échec et a besoin d'être remanié si on souhaite pragmatiquement distinguer deux individus qu'il ne permettait pas de distinguer auparavant (tout comme lorsque l'on s'aperçoit qu'il faut réviser notre classification du vivant, pour séparer les girafes en plusieurs espèces, ou autre). Mais je m'aperçois que ça a quelques implications étranges. D'abord, on ne pourrait jamais vraiment parler d'individus singuliers, on ne parlerait toujours que d'idées générales, en étant au mieux suffisamment spécifique pour ne pas permettre de confusion la plupart du temps. Ce qui me va. Mais ça implique aussi qu'on ne puisse jamais affirmer l'existence d'individus, mais seulement quantifier existentiellement des prédicats, ce dont je soupçonne même Quine de ne pas très bien avoir mesuré les enjeux ontologiques. Mais ça passe aussi. Là où ça devient vraiment étrange, et ce qui pourrait me faire changer d'avis, c'est que souvent, ces descriptions masquées sont faites de relations avec d'autres individus, que ce soit pour les noms propres (le fils de... le prof de...) ou les noms communs (comme dans le cas des clades, définis par des relations de parentés). Alors, est-ce que c'est contradictoire ? Est-ce que ça implique de devoir remplacer tous les termes de ces relations par des définitions non-relationnelles (ce dont je doute de la possibilité) ? Ou bien est-ce qu'on peut, et dans ce cas, est ce qu'on doit, se contenter d'une conception du monde où chaque chose singulière n'existe que par rapport aux autres, dans une espèce d'indétermination générale ? Il y a un petit fanboy de Platon en moi qui se réjouit de cette perspective et qui veut y voir une façon d'affirmer la moindre réalité des choses sensibles par rapport aux propriétés en elles-mêmes, si ça a la moindre sens. Il y a aussi un petit idéaliste moderne en moi qui a plutôt envie de se demander si tout ce réseau de relation au sein duquel existent les individus ne trouve pas son sens que par rapport à une entité extra- (et pré-) linguistique qui serait le moi, en tant que sujet transcendantal. Mais dans l'immédiat, je vois surtout tout ça comme un tissu de problèmes. Mais reste que l'argument de Kripke par les versions contrefactuels d'Aristote ne me semble guère plus convaincant que, par exemple, la réfutation de la téléologie par des caricatures (qui ne peuvent être prise au sérieux que par ceux qui s'en moque déjà - il faut déjà ne plus être finaliste pour s'interdire de distinguer une "vraie" finalité d'une fausse). Et malheureusement, je n'ai pas ses autres arguments pour cette thèse en tête.
  13. Mégille

    Gaspard Koenig

    La droite est assez intelligente pour savoir que son électorat est assez bête pour que ce soit une assez mauvaise idée.
  14. Mégille

    Aujourd'hui, en France

    Et bien je suis bien heureux d'être dans le privé catholique, moi...
  15. J'ai vu des gauchistes se faire passer l'info de l'existence de Gave et de son soutient pour Zemmour. A leurs yeux, ça semble ressembler à une sorte de complot libéral derrière Z, ou quelque chose comme ça.
  16. Mégille

    Actualité Covid-19

    Incroyable, même quand il n'y aura plus de cas du tout, il faudra continuer de paniquer, puisque le nombre de cas aura cessé de baisser.
  17. SW se pose même les dilemmes de base du libertarianisme. "Si moi, représentant de la confédération du commerce, possède une flotte de vaisseau entièrement autour d'une planète, est-ce qu'imposer un blocus à la dite planète viole le nap ?". Alors que Dune, c'est complètement différent : c'est de la vrai sf, puisqu'il y a une justification sf du fait que ce ne soit pas de la sf.
  18. Solo est un bon candidat aussi, mais j'ai ouïe dire qu'il y avait un petit débat pour savoir s'il avait ou non violé le nap une fois dans un bar.
  19. Les mandaloriens.
  20. Sa position sur les restrictions covid compense largement ça. Il est le seul des candidats possibles à appartenir à la famille philosophique libérale, même s'il est sur une branche moins pure que la notre. A l'exception peut-être de Pécresse (qui se revendique aussi d'un certain libéralisme), mais de façon encore moins pure et moins crédible. Bon, non pas qu'il ait la moindre chance de l'emporter, hein, mais ce serait pas mal qu'il y ait au moins une voix vaguement libérale dans le lot.
  21. Au fait, à propos de GK et de son nouveau parti : on sait s'il se lance à la course aux signatures ? (et s'il a la moindre chance de les obtenir ?)
  22. Je ne sais pas si ça a été discuté quelque part, ni dans quel thread ça a sa place... Dans le doute, je pose ça ici, c'est sur netflix, donc ça compte à peu près comme une série, mais il y a un peu plus de contenu sur leur youtube. https://www.youtube.com/c/OatsStudios/videos Je ne comprends pas comment ils fonctionnent. Ils ont des concepts géniaux, visiblement (comment ?!) les moyens de les rendre réels, et ils en font des court-métrages de 20 min sans début ni fin qu'ils mettent gratuitement sur internet. Ont-ils l'intention de signer avec de gros studios ?
  23. Mégille

    Les sites de rencontre

    La dynamique n'est pas forcément la même chez les lesbiennes et chez les femmes bi, et il y a je crois environ deux fois plus de bi que d'homo chez les femmes (alors que c'est l'inverse chez les hommes). Ca joue peut-être. Je remarque surtout avec amusement que ce sont les campagnardes qui souhaitent le plus multiplier leur nombre de partenaires, alors que c'est là où ceux-ci cherchent le moins à le faire. M'enfin, c'est peu significatif (à part le fait que les habitantes de l'agglomération parisienne le veulent beaucoup moins. Comment explique-t-on ça ? Plus forte population immigrée et plus conservatrice ?) Remarquable aussi que l'envie de multiplier les partenaires soit inversement proportionnelle à l'imc chez les hommes, et y compris chez ceux en dessous de la masse "normale" (ce n'est donc pas forcément un question de beauté/de chance de succès). Comment peut-on expliquer ça ?
  24. Dont il nous fera sortir en économisant quelques pièces en privant les africains de sécurité sociale (mais tout en les contraignant à cotiser tout de même) ? Youpi. En recrutant plus de flics, et donc, en rendant la police encore moins bien formée ? En donnant encore plus de moyen légaux à la police, et donc en augmentant son arbitraire et son impunité ? La solution à l'insécurité, c'est la légitime défense (qui implique le port d'arme), la fin de la prohibition des drogues, et l'assouplissement du droit du travail. Z est contre tout ça. Je n'ai pas connaissance que Z veuille y faire quoi que ce soit. Sujet transversal à celui du libéralisme. Oui, on qu'effectivement, grâce à lui, la liberté d'expression et le poids de l'état dans l'économie et la société se sont nettement améliorés en Amérique. Bon, il a peut-être fait quelques erreurs puisque l'intellect supérieur d'un Zemmour lui fait défaut, mais au moins, grâce a ses grandes qualités morales et à son sens inné de la diplomatie, il a su apaiser la société américaine et à la fois, renforcer les liens de confiance et d'amitié entre son pays et le reste du monde. Effectivement, qui ne voudrait pas la même chose en France, mais "en mieux" ?
  25. Il y a des discours ? (en plus du slogan) Je ne les ai pas entendu/pas écouté. Qu'est-ce qu'elle a de beau à dire sur la liberté (à part qu'avec la sécurité, c'est chouette) ? Vu le rapport de force culturel actuel, et le nombre croissant d'article sur le "mouvement woke", je ne sais pas s'il faut encore s'attendre à un front contre l'ed plutôt qu'à un front contre la gauche culturelle.
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