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Tout ce qui a été posté par Domi
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C'est assez énorme quand même !
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Personnellement, quoique n'étant pas compétent je donne mon opinion en tentant de l'argumenter et en pensant que si elle est fausse de plus compétents réfuteront mon point de vue et me permettront de corriger mon erreur. Je pense que c'est préférable à un forum où on attend que le plus savant (toi en l'occurrence sur le sujet) ait parlé, sans le contredire même si on est pas convaincu.
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Je ne comprends pas trop ton objection. Le 100ème footballeur est bien mieux payé que la 100ème infirmière. Le 15000ième footballeur est bien moins payé que la 15000ième infirmière. Donc la variance est plus grande chez les footballeurs. Et ce serait probablement aussi le cas à l'intérieur du monde pro mais je pense que le raisonnement est valable si on sort du monde pro. En fait ça dépend jusqu'à quel rang tu veux calculer la variance. Et sinon oui, on a pas besoin d'un 15000ième footballeur. Le fait que le 15000ième footballeur ne soit pas rémunéré n'est pas une injustice. Le marché fait bien les choses.
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Au boulot, mes collègues sont majoritairement anti-pass, même si majoritairement vaccinés. Dans ma famille, je crains que tout le monde ne soutienne les mesures gouvernementales.
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La 15000ième infirmière de France gagne mieux sa vie que le 15000ième footballeur (qui est amateur et exerce une autre profession pour vivre). Voilà pour la plus grande variance. Pour la question de la chance, elle me semble corrélée à la variance. Comme les places de footballeur sont rares, la chance y joue un rôle plus grand. A mon avis cela vaut surtout pour l'entrée dans la profession plus que pour la hiérarchie à l'intérieur de la profession.
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L'écolosion d'EELV
Domi a répondu à un sujet de Adrian dans Politique, droit et questions de société
Bizarrement, il n'y a pas de décodeurs pour ce genre d'absurdités. -
Bah si c'est 8 millions, ça ne fait qu'un humain sur 1000, hein...
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Je crois qu'on peut citer la communauté de Madrid lors de la seconde vague et certains Etats américains (des Etats-unis) mais je ne sais plus exactement lesquels ni quelles mesures étaient en vigueur.
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Tu pourras utiliser ces données pour un autre article
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Tu trouveras des informations ici et là. Tu peux éventuellement contacter la rédaction de contrepoints pour prendre attache avec l'auteur de l'article.
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Il faudrait généraliser ce travail pour chaque pays ayant instauré le passeport sanitaire et en faire un article contrepoints. (non ce ne sera pas moi)
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C'est sûr qu'une équipe des années 50 se ferait tailler en pièces par une équipe moderne. Ce qu'il faut c'est comparer chaque joueur par rapport à son époque. De même que tu ferais pour les sprinteurs un ratio entre leurs chronos et les chronos de leur temps pour comparer leurs performances.
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Le 4-3-3 fonctionne mieux quand on est en position basse sur le terrain et que l'on veut partir en contre. comme contre l'Allemagne à l'euro
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Regarde les buts contre la Suisse, Mbappé est parfaitement capable de combiner avec Giezmann et Benzema. La question est davantage la disposition de l'équipe. En 4-3-3 comme contre la Bosnie, avec Griezmann et Mbappé sur un côté, ça ne fonctionne pas. Griezmann n'a jamais été un joueur de côté (Coman serait meilleur dans ce rôle). Il est aisé à l'équipe adverse, si elle est regroupée de mettre deux trois mecs sur Mbappé dès qu'il touche le ballon et un joueur est plus facile à isoler quand il est près de la ligne de touche. Enfin, un seul joueur dans la surface est nécessairement trop seul. Pour mettre les trois dans l'axe, tu as deux options : le 4-3-1-2 avec Griezmann derrière les deux autres. C'était la formule de l'équipe de France en 1986 et 1998 mais pas très populaire dans le football moderne en raison d'une occupation déficiente des côtés. Du coup tu peux préférer jouer en 3-4-1-2 comme contre la Finlande avec Mbappé remplaçant Martial poste pour poste.
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J'ai retrouvé (c'est dans le fil sur Macron)
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Quelqu'un a publié il y a peu sur le forum une carte avec les taux de vaccination totaux et sur les plus âgés, montrant que nous étions en retard sur la seconde catégorie. Je ne parviens pas à remettre la main dessus. Quelqu'un pourrait-il m'aider ?
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Les générations pour sortir de la pauvreté
Domi a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Actualités
Déjà si tu prends une personne à la première génération, combien tu auras de descendants 6 générations plus tard ? -
Concernant la capacité prédictive, si on demande à un médecin "quel sera mon état de santé dans cinq ans ?" il lui sera difficile de répondre. Si on précise qu'on fumera deux paquets par jour et qu'on se saoulera de vodka, il pourra préciser "mauvais" Si on demande à un économiste, " quel sera l'état de l'économie dans cinq ans ?" il lui sera difficile de répondre. Si on précise que l'on portera le salaire minimum à 120 % du salaire médian naturel et que l'on fera marcher à fond la planche à billet, il pourra répondre "mauvais"
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Le problème tel que je le comprends : On a Sciences "dures" + Sciences "molles" + jugement de valeur = recommandations La dichotomie science / solution pour savoir ce sur quoi on doit discuter revient à séparer d'un côté science dure et de l'autre les trois autres éléments regroupés sous l'ensemble "solutions" Une autre dichotomie est de regrouper les sciences dures et molles ensemble et les jugements de valeur et recommandations de l'autre. Dans le cas de la question du confinement on aurait : Science dure : les modèles épidémiologiques Science molle : les effets du confinement hors épidémie (sociaux et économiques) Jugement de valeur : par exemple conflit jusnaturalisme vs utilitarisme Recommandation : faut-il confiner ? La première dichotomie me parait contestable. Par exemple les modèles épidémiologiques n'ont pas montré qu'ils étaient beaucoup plus fiables que des sciences plus "molles". Donc de deux choses l'une, soit on admet que tout est soumis à discussion, soit on adopte la deuxième dichotomie. Mais du coup on risque de n'avoir presque plus rien à contester et de devoir abandonner toute forme de raisonnement conséquentialiste. Ensuite, si on admet que l'on puisse critiquer la partie scientifique, la question de comment le faire est importante et en pratique, il est possible que je sois plutôt d'accord avec Noob. Par exemple, lors des premières prédictions tu peux dire "OK ce sont vos prédictions mais ce sont des modèles. Etes-vous si sûrs qu'ils vous donnent une description fidèle de la réalité ?" Après de nombreux échecs dans les prédictions tu peux ajouter : "vous nous promettez encore une fois l'apocalypse mais vous vous êtes trompés à chaque fois" Ce qui serait plus ardu, ce serait d'opposer nos propres prédictions à celle des experts ou de critiquer leurs méthodes ou leurs modèles.
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Je te réponds sur la question de l'efficacité et de la crédibilité. Je ne nie pas que le risque que tu soulèves existe et qu'il importe de ne pas procéder n'importe comment. D'ailleurs sur les questions médicales (Ivermectine, efficacité et effets secondaires des vaccins), je suis d'accord avec vous deux dans la mesure où les critiques reposent trop exclusivement sur le soupçon que ça doit être truqué. Mais tu n'es pas obligé de contester bille en tête une hypothèse scientifique. Tu peux en montrer certaines limites. Plutôt que de pratiquer une opposition frontale, tu peux insister sur le fait qu'il convient de garder l'esprit ouvert. Dans d'autres cas, lorsque des prédictions semblent vraiment critiquables avec simplement du bon sens et de l'observation ne faut-il pas le souligner ? Prends le cas de la modélisation de l'épidémie. Pour chaque vague, il y a eu une exagération. On a eu droit aux 800.000 morts lors de la première vague, aux prédictions erronées sur le nombre de lits de réanimation lors de la seconde vague (je passe sur les 400 000 morts en un an de Macron), à une gentille modélisatrice qui est venue expliquer lors d'un discours de Veran, au moment de la vague du variant anglais que ce serait pire que toutes les fois précédentes. Les mêmes exagérations ont eu cours au début de la vague delta et ont grandement aidé à justifier le Pass sanitaire. Et lorsqu'on annoncera une cinquième fois la catastrophe il faudrait se priver par respect des scientifiques de souligner les déconvenues précédentes ? Par ailleurs, toi et Lex me semblez insuffisamment sensibles au risque opposé, souligné par Rincevent, d'avoir à discuter sur le terrain de l'adversaire. Lorsqu'un expert est parole d'évangile dans un domaine, il devient difficile de contester les politiques qu'il préconise à partir des constats faits dans ce domaine. Enfin, sur le long terme, transmettre de la part d'un camp politique le message que l'on ne contestera jamais les positions émises dans le champ scientifique est un encouragement pour le camp opposé à investir le champ en question. Pour conclure, la distinction que vous pratiquez ne me parait pas tenable. En gros, vous distinguez la science et les solutions. Autrement dit, vous limitez la science à la science dure et vous vous situez dans une perspective conséquentialiste. Mais on peut inclure dans la science tout ce qui permet de décrire des relations de cause à effet entre phénomènes et ce qui permet de prédire le résultat de politiques, donc y compris l'économie. Dans le cas du Giec, il faut donc admettre l'ensemble des prédictions se rapportant à chaque scenario relatif aux politiques menées. Il devient donc impossible de critiquer ces politiques sur un mode conséquentialiste mais seulement sur le plan des principes. Cela revient à énoncer "la terre peut s'effondrer pourvu que je conserve mes droits" Pour résumer, pour être cohérente, votre position devrait opposer non pas les sciences dures et les solutions mais les questions de faits qui sont du domaine de la science et les jugements de valeur sur qui tout le monde peut donner son opinion.
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Réchauffement climatique
Domi a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Ce que je voulais dire aussi, c'est que si on s'interdit ce critiquer le travail du groupe I du Giec, ça doit être la même chose sur le groupe II et III. On devrait logiquement être contraint d'accepter les politiques de lutte contre le changement climatique. -
Réchauffement climatique
Domi a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
J'ai résumé ma position ici sous la forme d'une boutade mais j'ai tenté de l'argumenter dans le fil sur l'Ivermectine (nouveau post il y a quelque minute). -
Je reviens sur votre intéressante discussion relative à la relation entre science et positionnement politique. Je ne suis pas vraiment d'accord avec la thèse défendue par Lex et Noob selon laquelle il faudrait purement et simplement reprendre comme tel les "données scientifiques" et critiquer seulement les conséquences politiques. Il reste que la question ne se pose pas de la même manière selon qu'elle se rapporte à la place des opinions dans le débat public, à l'éthique des diffuseurs d'opinion et à la formation d'une opinion personnelle. Dans le débat public, il y a une opposition entre respect du à l'expertise et démocratie. Le respect du à l'expertise repose sur le principe, au premier abord tout à fait convaincant que la compétence de l'expert est supérieure à celle de l'homme de la rue. Par conséquent, la discussion publique et le temps relatif du temps de parole doit être orienté en fonction des positions relatives des experts sur un sujet donné. Dans une optique démocratique pure en revanche, les choses ne peuvent se passer ainsi. En démocratie le débat porte le plus souvent sur de nouvelles normes (interdictions ou obligations) ou la suppression d'anciennes normes. Pour que le peuple souverain puisse trancher, il doit pouvoir être informé également par les deux "camps" opposés, indépendamment du nombre d'experts présents dans chacun d'entre eux. Il s'en suit que chaque camp doit être également libre dans son argumentation y compris en rejetant des positions scientifiques qui font l'objet d'un consensus parmi les experts. La position qui consisterait à ne représenter que la position des experts reviendrait à donner aux experts un pouvoir sur le peuple. A ce point, on peut se demander si une "expertocratie" serait préférable à une démocratie. L'avantage de l'"expertocratie" sur la démocratie serait que les experts savent mieux que le peuple. Son inconvénient est que les experts ne sont pas uniquement des experts mais qu'ils sont des hommes avec leurs intérêts et leur idéologie qu'ils pourraient être tentés de faire prévaloir sur l'intérêt du peuple. Dans le cas où une dictature non démocratique et non composé de scientifique prétendrait s'appuyer sur la légitimité scientifique pour gouverner, il faut s'attendre à ce que cette dictature préfère ses intérêts aux données de la science chaque fois que les deux seront en conflit. Mettre à la tête de cette dictature des scientifiques de formation ne changerait pas grand chose. Ils deviendraient plus des politiques que de vrais scientifiques et tenteront sûrement de contraindre la discussion scientifique en faveur de leur position de pouvoir. La prétention de rendre scientifique la politique aura conduit à politiser la science. A tous égards, le pouvoir des citoyens semble préférable. Le cas d'un débat public où l'opinion des experts est surreprésentée n'est pas totalement assimilable à une dictature des experts mais est-ce qu'elle ne nous dirige pas dans la mauvaise direction ? Est-il possible de maintenir une atmosphère de libre examen au sein des institutions scientifiques si elle est proscrite sur les mêmes sujets au sein de la société ? Connaitre l'influence décisive de la discussion scientifique ne risque-t-il pas de motiver des étudiants suffisamment doués mais politisés à intégrer un champ de recherche en fonction de l'influence qu'ils espéreront avoir ? Donc tout en ayant plus confiance a priori dans l'opinion des scientifiques que dans celles de l'homme de la rue, déséquilibrer le débat public en faveur de la science me parait dangereux. Concernant l'éthique d'un journal, je voix deux possibilités. Traiter des questions en fonction de la ligne du journal, en pensant que cela s'équilibrera au niveau du pays. La deuxième est de distinguer articles d'informations et d'opinions, les premiers rendant compte des données scientifiques, sans traiter des implications politiques, les articles d'opinion devant quant à eux traiter des questions politiques en toute liberté, y compris celle de discuter de la science. Cette distinction me paraitrait préférable à celle opposant les questions scientifiques des questions politiques. Pour ce qui est de mon opinion personnelle, j'essaie de trouver un équilibre entre compréhension des arguments et des raisonnements dans la limite de mes possibilités et reconnaissance du poids respectif des positions scientifiques dans le champ considéré.
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Réchauffement climatique
Domi a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Je crains que si nous adoptons comme principe de suivre docilement la "science" nous aurons comme seul choix de peindre des éoliennes en blanc en vert ou en bleu. -
Exact, mais pour le type de cortège que je suivais "Paris pour la liberté" c'était nettement en baisse par rapport aux précédentes manifestations.