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[Sérieux] Immigration : questions et débats libéraux


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Il faudra bien d'authentiques servants et amoureux de la liberté pour défendre leur Anarcapie au péril de leur vie.

 

Quel rapport entre le désir de défendre la liberté individuelle et le patriotisme, ce dernier refuge de la canaille ?

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Si tu le dis, c'est que c'est vrai.

 

 

T'iras dire ça aux tirailleurs sénégalais. Ou aux Canadiens de Juno.

 

Vos tirailleurs sénégalais se font retourner comme des crêpes par n'importe quel village afghan ou somalien.

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Les gars, vous avez fait près de quinze pages de topic, près de 300 posts, en 24 heures. Mince, sortez, ayez une vie, lisez des livres, je sais pas moi !

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Il faudra bien d'authentiques servants et amoureux de la liberté pour défendre leur Anarcapie au péril de leur vie.

 

Si votre Anarcapie est peuplé pour moitié de sympathisant totalitaires ou nihiliste qui en ont rien à foutre de la liberté, vous diminuez vos chances de moitié de sauvegarder votre pays de l'invasion.

 

D'ailleurs c'est par amour de la liberté que les soviétiques se sont battus contre les nazis.

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Vos tirailleurs sénégalais se font retourner comme des crêpes par n'importe quel village afghan ou somalien.

 

Sûrement des amoureux de la liberté. C'est comme ça qu'ils résistent face à l'OTAN.

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Quel rapport entre le désir de défendre la liberté individuelle et le patriotisme, ce dernier refuge de la canaille ?

 

Lorsque la patrie s'identifie avec la liberté et l'exigence de justice.

 

Votre maison familial est bombardé par un pouvoir injuste ou une armée étrangère, vous sympathisez avec votre voisin lui aussi endeuillé qui vient de voir ses terres et ses vivres requisitionnés, une trinité naturelle s'impose soudainement à vous. Vous pouvez me corriger mais je doute que la liberté puisse vivre sans souveraineté.

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Votre maison familial est bombardé par un pouvoir injuste ou une armée étrangère, vous sympathisez avec votre voisin lui aussi endeuillé qui vient de voir ses terres et ses vivres requisitionnés.

 

Quel est le rapport avec le patriotisme ou l'amour de la liberté ? Aucun.

 

La souveraineté, c'est le fait du prince. La liberté se porte très bien sans.

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D'ailleurs c'est par amour de la liberté que les soviétiques se sont battus contre les nazis.

 

 

Sûrement des amoureux de la liberté. C'est comme ça qu'ils résistent face à l'OTAN.

 

Vous ne pouvez tous les amalgamer sous une même bannière, un bon nombre se sont battus pour la liberté de ne pas être tué par une armée étrangère sur leur propre sol. C'est le premier des droits humains, celui de la résistance à l'oppression.

 

Que ces peuples, ces chefs de guerre et ces armées soient illibéraux au possible, c'est un autre débat.

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Quel est le rapport avec le patriotisme ou l'amour de la liberté ? Aucun.

 

La souveraineté, c'est le fait du prince. La liberté se porte très bien sans.

 

La Constitution des États-Unis a pourtant été bâtie sur la souveraineté du peuple.

 

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Il est question ici de substituer à la souveraineté du peuple un droit universel, inaliénable et non-opposable disponible pour toute personne humaine, mais pourquoi pas demain extraterrestre, de circuler librement autant qu'il veut sur n'importe quel territoire.

 

Les Pères fondateurs auraient sans doute apprécié.

 

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Les Pères fondateurs auraient sans doute apprécié.

 

Que dit encore le  poème de la poétesse américaine Emma Lazarus, « The New Colossus », apposé sur une plaque de bronze au pied de la statue de la Liberté :

 

Garde, Vieux Monde, tes fastes d'un autre âge, crie-t-elle

Donne-moi tes pauvres, tes exténués,

Qui en rangs pressés aspirent à vivre libres,

Le rebut de tes rivages surpeuplés,

Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête m'apporte

J'élève ma lumière et j'éclaire la porte d'or !

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Il est question ici de substituer à la souveraineté du peuple un droit universel, inaliénable et non-opposable disponible pour toute personne humaine, mais pourquoi pas demain extraterrestre, de circuler librement autant qu'il veut sur n'importe quel territoire.

 

La souveraineté du peuple n'a aucune supériorité légitime sur les droits naturels des individus. Ni sur la liberté de circulation, pas plus que sur le droit de propriété ou le droit à la sécurité.

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La Constitution des États-Unis a pourtant été bâtie sur la souveraineté du peuple.

 

 

Lors d'un coup d'État de députés qui n'avaient que pour mandat d'amender les articles de la Confédération.

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Poème étincelant de beauté qui s'adapte selon moi que très moyennement ou de manière parcellaire à l'époque actuelle.

 

Donne-moi tes pauvres, tes exténués,
Qui en rangs pressés aspirent à vivre libres,

 

 

Cela est-il toujours valable de nos jours ? Les immigrés recherchent le confort économique plutôt que la liberté. Les persécutions politiques et religieuses sont mineures dans les flux.

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Les immigrés recherchent le confort économique plutôt que la liberté.

 

Et ? En quoi serait-ce un motif suffisant pour violer leurs droits naturels ? La poursuite du bonheur est inscrite dans la déclaration d'indépendance américaine. C'est un noble projet. Qui passe par le confort économique. Les allochtones peuvent viser ce confort, mais non pas les migrants ? En vertu de quoi ?

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On peut aussi remarquer de manière tout à fait opportune que les immigrés contemporains sont si épris de liberté qu'ils s'empressent de recréer en Grande-Bretagne par exemple les cadres rigides qui les ont pourtant fait fuir de leur pays d'origine.

 

La critique est régulièrement invoqué pour les américains qui ont fui Detroit pour s'installer au Canada et qui continuent malgré tout à voter pour des politiques multiculturels et socialistes qui ont ruiné leur ville d'origine. Cette dissonance cognitive insupporte particulièrement les canadiens.

 

Un scorpion qui avait besoin de traverser une rivière, demanda à une grenouille de le mener jusqu'à l'autre rive, sur son dos.
- Il n'en est pas question, répondit la grenouille. Je te connais et je sais que si je te laisse monter sur mon dos, tu me piqueras pour me tuer.
- Mais alors, je vais mourir noyé, répondit le scorpion.
La grenouille finit par accepter, mais alors qu'ils étaient à la moitié du parcours, le scorpion la piqua, lui injectant son venin mortel.
- Mais qu'est-ce que tu as fait, malheureux, s'écria la grenouille. Maintenant, tu vas mourir, toi aussi !
- Je n'y peux rien, dit le scorpion. C'est ma nature.

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Et ? En quoi serait-ce un motif suffisant pour violer leurs droits naturels ? La poursuite du bonheur est inscrite dans la déclaration d'indépendance américaine. C'est un noble projet. Qui passe par le confort économique. Les allochtones peuvent viser ce confort, mais non pas les migrants ? En vertu de quoi ?

 

Je souhaite de tout coeur que l'avenir vous donne raison et que les tensions actuelles ne soient qu'un épiphénomène dérisoire qu'on a trop vite monté en sauce.

 

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Lorsque la patrie s'identifie avec la liberté et l'exigence de justice.

 

Votre maison familial est bombardé par un pouvoir injuste ou une armée étrangère, vous sympathisez avec votre voisin lui aussi endeuillé qui vient de voir ses terres et ses vivres requisitionnés, une trinité naturelle s'impose soudainement à vous. Vous pouvez me corriger mais je doute que la liberté puisse vivre sans souveraineté.

Une "trinité" naturelle ? Bon, quel mot voulais-tu écrire avant que ton auto-correct ne s'en mêle (les pinceaux) ?
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Cette pâle copie de triste prose freejazzienne achoppe sur la réalité : les attitudes et les croyances culturelles peuvent influencer les individus, mais elles ne les déterminent pas.

Sinon, quel rapport entre supériorité supposée d'une culture sur une autre et immigration ?

Ce qui est formidable, c'est qu'au bout du compte, le mec finit par reconnaître qu'il est un nouveau Yggles, un petit raciste qui essaye de camoufler ca sous des grandes idées politiques mais ca ne met que quelques échanges pour ressortir.

M2c : Raus

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Je souhaite de tout coeur que l'avenir vous donne raison et que les tensions actuelles ne soient qu'un épiphénomène dérisoire qu'on a trop vite monté en sauce.

 

Personne n'a dit ça non plus. Ne jamais sous-estimer le besoin qu'ont les socialistes de gauche d'avoir une clientèle, et celui des socialistes de droite d'avoir des boucs-émissaires.

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