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Ségo Un Peu Radin ?


Messages recommandés

Un bon article du Figaro sur le profil caché de Ségo (les coups bas démarrent) :

En attendant, Mme Royal avait une solution de « dépannage » grâce à l’un de ses « camarades », trésorier d’une association de type loi de 1901 : Poitou 93…

Il m’était revenu de contacter mon autre « demi-patron », le trésorier de Poitou 93, une association créée dans la petite commune de Melle, le 20 avril 1990, et présidée par Ségolène Royal. Ségoliste convaincu, ce responsable d’association était cependant suffisamment lucide pour être agacé par la manière dont on usait de lui comme d’un « intendant des volontés royales ». Aux premiers mots échangés, je m’aperçus, avec stupéfaction, qu’il ignorait tout de mon existence, tout de la situation nouvellement créée et que Ségolène ne lui avait rien dit. Je pris sur moi et, essayant de garder mon calme, je me décidai à expliquer le plus fermement que je le pouvais : « Ségolène m’a assurée que vous étiez disposé à prendre en charge la moitié de mon salaire. » Il blêmit, se leva de son bureau et se mit à arpenter la pièce contenant mal ce qui commençait de ressembler à une grosse colère. Au bout de quelques minutes, il explosa : « Elle est folle, complètement folle ! Avec ses histoires, on va tous finir en prison. »

Il faut tout lire, c'est sidérant.

Que des histoires abracadabrantesques, une Justice qui ne dit rien. Normal…

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Un bon article du Figaro sur le profil caché de Ségo (les coups bas démarrent) :

Il faut tout lire, c'est sidérant.

Que des histoires abracadabrantesques, une Justice qui ne dit rien. Normal…

Edifiant et assez typique des femmes engagées en politique (surtout le coup du Chronopost), à vrai dire. Merci de nous avoir fait découvrir cet article !

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Une candidate socialiste à la présidentielle sous le coup d'une procédure très sérieuse pour irrégularités dans les déclarations de ses employés, travail clandestin…

Les militants socialistes qui ont porté Ségolène Royal à 60% aux primaires de leur parti doivent être ravis d'apprendre cela maintenant. :icon_up:

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La mauvaise haleine d'un politicien de droite.

EXTRAITS CHOISIS PAR MALIKA RIDENTER. Publié le 03 février 2007.

"Pourquoi Sarko a-t-il si mauvaise haleine"? De mauvaises langues prétendent que son régime, à base exclusive de viande rouge hachée, de féculents et d'ail, est à l'origine de ce problème buccal qui empoisonne l'UMP. Il semble pourtant que des causes autrement plus sérieuses expliquent ce point faible, qui diminue fortement les chances de Nicolas Sarkozy d'accéder un jour à la magistrature suprême. Le docteur Alain Fection, qui fut pendant quatre ans, de 2002 à 2006, le dentiste attitré de Nicolas Sarkozy, publie le 15 février un livre-événement, provocativement intitulé "Dans la Gueule du Monstre". Cet ouvrage passionnant dépeint par le détail les multiples affections odontologiques dont souffrirait le candidat à l'élection présidentielle, tout en posant des questions insidieuses sur les qualités personnelles du favori des sondages.

"Les gencives de mon mari sont-elles infectées?". Telle est la question que pose Cécilia Sarkozy avec insistance et appréhension au docteur Fection à la suite de la première visite du futur candidat, rendue nécessaire par la perte d'un plombage posé alors que petit Nicolas était encore en culottes courtes. Nous sommes alors à quelques semaines des élections présidentielles de 2002. Ce jour-là, les nouvelles ne sont pas bonnes rue La Boétie (siège historique de l'UMP). Les couloirs bruissent déjà des rumeurs inquiétantes quant à l'état de santé de la bouche du futur ministre de l'intérieur. Les militants s'interrogent. "On risque de battre le record de Charles Pasqua" entend-on çà et là. L'ancien ministre de l'intérieur du gouvernement Balladur avait un net penchant pour les boissons fortement anisées, qui interdisait littéralement toute conversation avec ses collaborateurs pendant plusieurs heures après chaque repas.

Le docteur Fection vient en effet de diagnostiquer plusieurs problèmes, certains tout-à-fait sérieux. "Nicolas Sarkozy souffrait alors de pas moins de cinq caries non-soignées, d'un abcès en cours de formation et d'une dent creuse" nous avoue Brice Hortefeux, vieux confident du candidat à l'élection présidentielle. "Il fallait faire quelque chose" mais M. Sarkozy, vite happé par la vie politique de son pays, néglige sa santé buccale.

Christian Estrosi, lui-même affecté d'une denture le faisant régulièrement souffrir, témoigne: "Nicolas a toujours pensé qu'un passage de ses dents au Karcher de temps en temps suffirait à résoudre tous les problèmes. Je l'ai croisé une fois ou deux dans la salle d'attente du docteur Fection, lorsque Cécilia avait enfin réussi à le convaincre de suivre un traitement plus sérieux. Mais toujours son téléphone portable sonnait alors qu'il attendait et une patrouille de motards l'emmenait aussitôt accomplir je ne sais quelle mission au service de l'Etat."

Le docteur Fection se souvient: "La première fois que j'ai soigné Nicolas Sarkozy, je l'ai prévenu que seul un traitement rigoureux, discipliné et régulier, pourrait améliorer les choses. Mais, en quatre ans, je n'ai pu m'occuper sérieusement de lui que cinq fois. Je ne compte plus les rendez-vous annulés à la dernière minute. Par exemple, lors des émeutes dans les banlieues de 2005, toute la police était sur les dents et M. Sarkozy souffrait horriblement. Hé bien, il m'a appelé une demi-douzaine de fois pour prendre rendez-vous mais n'est jamais venu. J'ai appris par la suite qu'il avait peur de se prendre un cocktail molotov dans les gencives."

Alors le docteur Fection finit par prendre ombrage d'être traité avec tant de désinvolture. "Comment ne pas se poser de questions sur sa capacité à occuper l'Elysée, lui qui est incapable de s'occuper de son propre palais?" Il décide de témoigner. Lorsqu'on lui parle de secret médical, il répond qu'il s'agit de l'avenir de la France. "Pouvons-nous confier notre avenir à un édenté, un individu que plus personne n'ose approcher à moins de cinq mètres?". Telle est en effet la question centrale que pose ce livre, publié aux éditions Adam de la Brosse.

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De toute façon les hommes engagés en politique…c'est pas mieux. Différent, mais pas plus recommandable…

L'entrée des femmes en politique n'est pas du tout anodine, dans la mesure où elle a aggravé une situation déjà pas très reluisante. Nos sociétés sont devenues beaucoup plus contrôlées et réglementées, le politiquement correct massif a désherbé l'intelligence et castré l'esprit de nombre d'hommes, l'égalitarisme n'a jamais été aussi puissant, l'aspect pulsionnel et passionnel de la politique l'a emporté désormais sur la raison et l'intelligence. Un point à relever en particulier est que cette arrivée a contribué à transformer la scène politique en extension de la vie domestique - la conséquence en est la disparition de la séparation entre sphère privée et vie publique.

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L'entrée des femmes en politique n'est pas du tout anodine, dans la mesure où elle a aggravé une situation déjà pas très reluisante. Nos sociétés sont devenues beaucoup plus contrôlées et réglementées, le politiquement correct massif a désherbé l'intelligence et castré l'esprit de nombre d'hommes, l'égalitarisme n'a jamais été aussi puissant, l'aspect pulsionnel et passionnel de la politique l'a emporté désormais sur la raison et l'intelligence. Un point à relever en particulier est que cette arrivée a contribué à transformer la scène politique en extension de la vie domestique - la conséquence en est la disparition de la séparation entre sphère privée et vie publique.

Les médias n'y sont-ils pas pour beaucoup plus que l'entrée des femmes en politique?

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sur le profil caché de Ségo (les coups bas démarrent) :

Il y a également un très bon documentaire sur elle qui circule sur Daily motion, et qui montre comment elle refusait de payer ses collaboratrices et a obtenu son premier mandat de député.

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Invité jabial
Désolé, mais c'est la réalité.

Hé hé hé, je constate que le politiquement correct féministe est décidément ton talon d'Achille. Mais tu verras, tu évolueras…

:icon_up:²

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Elle est parfois une sorte de saint Sébastien criblé de flèches auquel le sens de l’honneur ordonne qu’on le délivre de ses bourreaux. Cela lui permet d’esquiver certains coups bas ou de placer ses adversaires en position de faiblesse. S’ils la critiquent, ce n’est pas parce qu’elle a tort ou parce qu’ils ont une autre vision de la société. Non, elle est, en tant que femme, en tant que mère, en tant que Ségolène, la victime d’odieuses machinations qu’on épargne à ses rivaux. Cette posture victimaire ne se traduit pas exclusivement chez elle par « des cris et des larmes ».

Et ne nous a-t-elle pas ressorti récemment sa petite tirade sur le complot machiste déchaîné contre elle ? Et les larmes de Boutin après 5 heures d'un discours infâme, parce qu'on osait lui dire qu'elle avait été "outrancière" (Vilain Jospin !) ? L'ex-araignée n'a pas toujours raison, mais là, franchement, qu'il me permette de partager son avis sur le rôle néfaste des femmes en politique.

Le pire c'est que la série de toutes ces basses hypocrisies victimaires risque d'avoir un effet autoréalisant, puisque certains, comme moi, pourtant bien disposés a priori avec le deuxième sexe, risquent de sombrer dans une certaine misogynie. A force…

Bon n'oublions que de nombreuses femmes restent, elles, dignes, et que, quand même, le grand champion de la politique compassionnelle est un certain JC, qui n'a trouvé que ce créneau pour essayer de faire que l'Histoire retienne son nom. [EDIT: réflexion faite, c'est un peu injuste avec Chirac, disons qu'il a adapté les conservateurs à un discours normalement tenu par la gauche (post-révolutionnaire). Mitterand avait bien commencé l'affaire, l'autre aura suivi.]

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Invité jabial
Non, je prends simplement au sérieux la manière dont les femmes politiques évoquent les raisons de leur engagement. Qu'elles ne s'étonnent pas après du retour de boomerang.

Tu raisonnes avec des abstractions collectiviste. Le politicien moyen était une créature puante, il est normal qu'il exploite tout ce qui est à sa disposition, d'où les larmes de crocodile de politiciennes lorsque c'est vu comme potentiellement utile.

Ca n'empêche que j'ai un peu de mal à voir la Thatcher la larme à l'oeil.

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Invité jabial
Tu remarqueras Jabial que Thatcher n'a jamais joué la carte "je suis persécutée parce que femme" ou le plus sartrien "je suis femme parce que persécutée".

Oui mais ça ça n'a rien à voir avec le fait d'être une femme. Des politiciens de tous les groupes opprimés ou supposés tels ont fait le coup. Ca tient à leur nature d'être visqueux, pas au groupe dont ils font partie par ailleurs.

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Tu raisonnes avec des abstractions collectiviste. Le politicien moyen était une créature puante, il est normal qu'il exploite tout ce qui est à sa disposition, d'où les larmes de crocodile de politiciennes lorsque c'est vu comme potentiellement utile.

Ca n'empêche que j'ai un peu de mal à voir la Thatcher la larme à l'oeil.

Une femme n'est pas un homme, tout simplement. Or quand on fait de la politique, cette différence sexuelle ne devrait pas entrer en ligne de compte, malheureusement dès qu'une femme politique ouvre la bouche c'est quasiment pour nous mettre son vagin sous le nez… avant de se plaindre d'être renvoyée à son "statut" de femme (i.e . de "minorité opprimée", alors que les femmes ne l'ont jamais été) par les affreux machos (enfin, ce qui en tient lieu). :icon_up:

D'ailleurs, as-tu souvent entendu parler de promotion canapé dont aurait bénéficié un politicien quand cette activité était exclusivement masculine ?

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Oui mais ça ça n'a rien à voir avec le fait d'être une femme. Des politiciens de tous les groupes opprimés ou supposés tels ont fait le coup. Ca tient à leur nature d'être visqueux, pas au groupe dont ils font partie par ailleurs.

Ségo est un groupe ???? :icon_up:

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Une femme n'est pas un homme, tout simplement. Or quand on fait de la politique, cette différence sexuelle ne devrait pas entrer en ligne de compte, malheureusement dès qu'une femme politique ouvre la bouche c'est quasiment pour nous mettre son vagin sous le nez… avant de se plaindre d'être renvoyée à son "statut" de femme par les affreux machos. :icon_up:

N'est-ce pas Thatcher qu'on appelle la Dame de Fer? Elle, au moins, elle en avait, des c…

D'ailleurs, as-tu souvent entendu parler de promotion canapé dont aurait bénéficié un politicien quand cette activité était exclusivement masculine ?

Peut-être est-ce plus dû à un appétit sexuel débridé chez les hommes, ainsi que l'envie d'abuser de leur situation pour l'assouvir?

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Invité jabial
Une femme n'est pas un homme, tout simplement. Or quand on fait de la politique, cette différence sexuelle ne devrait pas entrer en ligne de compte, malheureusement dès qu'une femme politique ouvre la bouche c'est quasiment pour nous mettre son vagin sous le nez…

Pas plus que, au hasard, les juifs et les arabes. Hinhinhin.

avant de se plaindre d'être renvoyée à son "statut" de femme (i.e . de "minorité opprimée", alors que les femmes ne l'ont jamais été)
Pardon mais pendant des siècles les femmes ont subi une oppression inscrite dans la loi.
D'ailleurs, as-tu souvent entendu parler de promotion canapé dont aurait bénéficié un politicien quand cette activité était exclusivement masculine ?

… oui. Mais là, on entre dans le scabreux.

Ségo est un groupe ???? :icon_up:

Les femmes sont un groupe.

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L'autre jour encore je sursautai en entendant sur France Info Nancy Pelosi proclamer que son accession à la tête du Congrès était un grand jour pour les "femmes"… avant de l'être pour les démocrates.

Et bien sûr si vous la "réduisez" à son sexe, vous êtes macho. J'aurais aimé être un démocrate américain pour lui rétorquer de mettre son sexe bien au chaud et de parler politique, simplement.

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N'est-ce pas Thatcher qu'on appelle la Dame de Fer? Elle, au moins, elle en avait, des c…

Précisément, et comme le rappelait Melo Thatcher ne nous a jamais cassé les cojones au motif qu'elle appartiendrait à une soi-disant "minorité opprimée". Elle a fait son boulot (avec des bonheurs divers, mais ce n'est pas la question), point barre.

Peut-être est-ce plus dû à un appétit sexuel débridé chez les hommes, ainsi que l'envie d'abuser de leur situation pour l'assouvir?

Ouin, je vais pleurer tiens. Que vous preniez la question dans un sens ou dans l'autre, ce problème ne se posait pas quand les politiciens étaient des mâles. Autrement dit, dans la palette des risques d'incompétence et de nullité, un nouveau a été introduit.

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