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Le prix du pain


j_b_say

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C'est donc ça réfléchir ?

/me court acheter Libé.

Je ne comprends pas ton argument.

Il te dit que la production diminue et la consommation augmente. Pour expliquer que les prix monte, c'est tout à fait valide.

Ce n'est pas parce que tu ne sembles pas en accord avec son point de vue qu'il faut balayer la conversation. Pour le coup, c'est toi qui ne donne pas d'argument.

Les pattes sont plutôt faites de chairs et d'os.

ahahahah, en effet :icon_up:

et la planche à billet, il ne faut pas l'oublier celle-là, c'est la plus sournoise.

tes chiffres m'intéressent, tu peux nous donner des URLs confirmant les subventions que tu indiques.

sinon bilboo, tu peux donner tes références ?

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Les chiffres montrent qu'il faut plus d'énergie pour produire un litre de biocarburant qu'un litre d'essence issu du pétrole.

Qu'un rendement energetique soit faible ou négatif ne veut pas- malheureusement- dire qu'une filière sera rentable ou non. Tous simplement parceque les energie n'ont pas du tout le meme prix.

Le gros de la consommation energetique qui plombe le rendement global de la filière maïs se fait a l'etape de distillation. La distillation se fait aux etats unis au charbon.

Les biocarburants aux etats unis sont une manière de transformer des ressource en charbon pas cher en carburant liquide cher. Et ce pour un prix inferieur à la liquefaction directe.

Je confirme les gain de productivité actuels des biocarburant sont tres largement superieur à ceux de l'industrie petrolier qui DECROISSENT.

sinon bilboo, tu peux donner tes références ?

Si tu veux parler des subvention agricole sur les biocarburant ça vient d'un compte rendu de la pac que je ne retrouve pas. Mais de toute maniere le gros des subvention se fait à l'etape de la vente ( exoneration partielle de TIPP), et par le taux d'incorporation obligatoire.

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Avec 1 baril de petrole du gaz naturel et du charbon un agriculteur peut produire 7 baril de petrole.

Et avec 1 baril de pétrole combien de barils de pétrole on produit ?

Sinon, c'est vrai que si les chinois se mettent à bouffer comme nous, les prix vont monter.

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Je ne comprends pas ton argument.

Il te dit que la production diminue et la consommation augmente. Pour expliquer que les prix monte, c'est tout à fait valide.

Ce n'est pas parce que tu ne sembles pas en accord avec son point de vue qu'il faut balayer la conversation. Pour le coup, c'est toi qui ne donne pas d'argument.

Oh mais ce n'est pas un argument. Je relève seulement qu'il accuse Lucilio de ne pas réfléchir quand il ne ressort de son côté que des poncifs (Les ressources diminuent car la population augmente, la poussée des villes réduit l'agriculture, etc…).

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Et avec 1 baril de pétrole combien de barils de pétrole on produit ?

Ca depend du champs. De l'ordre de 50 dans les meilleur ( moyen orient) à 3 pour les shiste d'alberta. En general l'autoconsommation liée a la production se fait plutot avec le gaz naturel recuperé in situ ( moins che plus difficile a transporter et qui de toute maniere finirait en torchère)

Oh mais ce n'est pas un argument. Je relève seulement qu'il accuse SCM de ne pas réfléchir quand il ne ressort de son côté que des poncifs (Les ressources diminuent car la population augmente, la poussée des villes réduit l'agriculture, etc…).

en quoi ce sont des poncif? quand tu construit une maison sur un champs tu reduis pas la taille du champs? quand la population augmente ca n'augmente pas la demande agricole?

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en quoi ce sont des poncif? quand tu construit une maison sur un champs tu reduis pas la taille du champs? quand la population augmente ca n'augmente pas la demande agricole?

Réduire la surface n'implique pas, telle une équation, que la production s'en retrouve réduite. Idem pour les personnes plus nombreuses.

Tu nous fais du malthusianisme. Surtout qu'on est capable de créer les surfaces (ex de l'Arabie Saoudite qui réussit même l'exploit, outre l'autosuffisance, d'exporter des produits 6 fois plus coûteux). Par ailleurs on peut vivre sans matière agricole sur le sol (Taiwan, Singapour, etc…).

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Qu'un rendement energetique soit faible ou négatif ne veut pas- malheureusement- dire qu'une filière sera rentable ou non. Tous simplement parceque les energie n'ont pas du tout le meme prix.

Je suis d accord avec vous sur cette affirmation. C'est la seule rentabilite economique qui fait l'interet d'une filliere de production de carburant.

Mais dans la mesure ou nous ne sommes pas en penuries de carburrants le fait que la plus part des filliere biocarburant soient rentable pour le producteur 'pas pour le contribuable) est du aux subventions (directe ou indirecte).

Si nous etions dans une periode de penurie de carburant il n'y aurai pas besoin d'aide pour develloper une filliere biocarburant (meme avec un rendemment energetique negatif).

Si il n'y avait aucune aide le seul biocarburant concurentiel du petrole serait l'ethanol "bresilien".

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Je suis d accord avec vous sur cette affirmation. C'est la seule rentabilite economique qui fait l'interet d'une filliere de production de carburant.

Mais dans la mesure ou nous ne sommes pas en penuries de carburrants le fait que la plus part des filliere biocarburant soient rentable pour le producteur 'pas pour le contribuable) est du aux subventions (directe ou indirecte).

Si nous etions dans une periode de penurie de carburant il n'y aurai pas besoin d'aide pour develloper une filliere biocarburant (meme avec un rendemment energetique negatif).

Si il n'y avait aucune aide le seul biocarburant concurentiel du petrole serait l'ethanol "bresilien".

Le terme de penurie n'a pas grand sens sur un marché libre. Un brent à 100 dollars montre une penurie de brent à 99 $ une penurie de brent à 98$ etc…

Les subventions sur les biocarburants sont une anticipation d'une situation ou la rentabilité est atteinte. Ce qui est le cas et le sera encore demains.

Aucune raffinerie n'a eté construite depuis 35 ans en occident et il est peu probable qu'un raffineur s'y aventure, vu les incertitude sur la production de petrole avenir. Construire une petite raffinerie n'est pas rentable face au raffinerie existante ( amorties depuis des lustres), en construire une grosse est beaucoup trop risqué.

Le parc de raffinirie americaine est utilisé à ses limites techniques et ne s'acroitra pas. La création d'une filiere ethanol aura au moins l'interet de limiter les tension sur le raffinage et les effet de rentes.

Le petrole est sur un trend de hausse de 12% par an. Meme sans subventions la filière sera rentable tot ou tard. quitte à en faire, autant s'y prendre tot. Il ne faut pas surestimer la vitesse d'adaptation des marchés: on ne construit pas une distillerie comme on produit des pepitos. Il n'y a pas d'ajustement instané possible. Attendre la rentabilité totale de la filière pour démarer la construction, c'est voir des tension massive sur l'ensemble des cout ( ingenierie, acier speciaux architecte etc).

In fine le cout pour le consommateur serait encore plus elevé.

De surcroit le recourt au biocarburant est un instrument de pression parmi d'autres sur les pays producteurs de petrole, en general dépendant du marché mondiale pour leurs ressource alimentaire.

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Il est evident que les taxes biaisent les prix d'équilibre (les exportations céréalières argentines sont taxées à hauteur de 30 % par exemple) mais qu'elles ne sont pas responsables de la hausse actuelle.

La hausse des cours des céréales permettra de compenser le risque à investir notamment en Ukraîne qui nourrissait une grande partie de l'Europe au XIXème et qui aujourd'hui est d'une productivité ridiculement basse.

Peut-être que certains verront mieux l'intérêt des OGM…

Pour vous rassurer, le prix de pain peut doubler plusieurs fois avant de retrouver les niveaux d'autrefois:

Fourastié Jean, L’évolution des prix à long terme, Paris, PUF, 1969 p.123-124

Prix réel en salaires horaires du quintal de blé en France (moyenne nationale)

1700 300

1750 190,6

1800 192,9

1850 98,1

1900 64,5

1950 27,5

1968 11

Le calcul n'a pas été fait depuis mais il suffit de diviser le prix du quintal par le salaire horaire moyen ou même le SMIC horaire et je pense que l'on a de la marge !!!

1701

300

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Le calcul n'a pas été fait depuis mais il suffit de diviser le prix du quintal par le salaire horaire moyen ou même le SMIC horaire et je pense que l'on a de la marge !!!

Une marge de quoi? de regression?

L'augmentation tendentielle du pouvoir d'une heure de salaire ouvrier c'etait pas ça le progrès?

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Attendre la rentabilité totale de la filière pour démarer la construction, c'est voir des tension massive sur l'ensemble des cout ( ingenierie, acier speciaux architecte etc).

Vous sous estimez les investisseurs et leur capacite pour croire qu il faut attendre que cela soit rentable pour investir.

In fine le cout pour le consommateur serait encore plus elevé.

Cela signifie t il que vous donnez raison a l'etat de fausser la concurence et de decider quel carburant doit etre detaxe et ou utilise?

De surcroit le recourt au biocarburant est un instrument de pression parmi d'autres sur les pays producteurs de petrole, en general dépendant du marché mondiale pour leurs ressource alimentaire.

Je ne vois pas quels effets aux vus des quantites produites les biocarburant peuvent avoir sur les pays exportateurs de petrole

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- l'augmentation de la population mondiale qui s'accroit chaque année de 70 millions d'habitants?

Sur 6 milliards d'habitants, 70 millions de + ou de -, c'est epsilon. Le marché s'adapte sans broncher.

-la reduction des surfaces agricoles sous la pression de l'urbanisme?

Si l'urbanisme a une conséquence sur les surfaces agricoles, c'est plutôt de les augmenter. La concentration dans les villes libère de la place à la campagne.

- l'explosion du cout des intrant? engrais ( dependant du gaz naturel) et pesticide ( petrochimie)?

- l'explosion du cout des combustible? ( en moyenne 300 litre de diesel par hectare et par an en europe)

Le pétrole est encore une énergie bon marché. L'impact de son augmentation est assez faible.

- la hausse de la consommation de viande dans les pays émergeant?

Phénomène qui n'est pas exogène, pris en compte par les marchés.

"nan c simple c l'eta é les con decolo"

Oui.

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Le parc de raffinirie americaine est utilisé à ses limites techniques et ne s'acroitra pas.

Autre résultat de l'interventionnisme étatique et de l'hystérie écocondriaque : la loi a interdit la création de nouvelles raffineries ("protection de l'environnement et toussa).

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le prix du petrole est encore trop faible par rapport à son prix d'equilibre. En 2006 et 2007 le monde aura produit moins de petrole qu'il n'en a consommé. les stocks de carburants sont historiquement bas et il est probable que sans biocarburant les etats unis connaitraient dès 2008 des ruptures d'approvisionnement dans les stations service.

Le cout economique serait sans commune mesure avec le cout des subventions actuelle. Est on en situation de penurie de carburant? oui clairement oui.

Je ne vois pas quels effets aux vus des quantites produites les biocarburant peuvent avoir sur les pays exportateurs de petrole

Les exportation agricoles des etats unis devraient depasser 84 milliard de dollars en 2008. faire monter les cours mondiaux agricole en cramant quelques pourcent de production n'est pas une mauvaise affaire etats unis.

Vous sous estimez les investisseurs et leur capacite pour croire qu il faut attendre que cela soit rentable pour investir.

Je ne la sous estime pas je la connais. Et je peut t'assurer qu'on ne devellope pas une filiere industrielle lourde sans garantie d'Etat sur l'approvisionnement et les debouchés. Sans garantie d'etat le projet se retrouve sans financement ou des propositions de financement à des taux prohibitif et n'a pratiquement aucune chance de voir le jour.

Cela signifie t il que vous donnez raison a l'etat de fausser la concurence et de decider quel carburant doit etre detaxe et ou utilise?

Oui, clairement totalement oui. Les petroliers n'integrant pas les externalité negative, ( pollution), ni le cout de renouvellement de leurs production dans les prix.

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Autre résultat de l'interventionnisme étatique et de l'hystérie écocondriaque : la loi a interdit la création de nouvelles raffineries ("protection de l'environnement et toussa).

Aucune loi n'interdit la construction de raffinerie. Les raffinerie pour l'essentiel ont été construite ou en construction avant 73 sur l'anticipation d'une croissance de la production exponentielle. Dont un parc existant surdimentionné pour 35 ans et des marge de raffinage traditionnellement faible.

Aujourd'hui c'est l'anticipation d'une progression faible ou nulle de la production petrolière et la volonté des pays producteurs de raffiner chez eux qui rend peu probable la construction de capacité nouvelle en occident.

Sur 6 milliards d'habitants, 70 millions de + ou de -, c'est epsilon. Le marché s'adapte sans broncher.

ajouter la population de la france tout les 11 mois ce n'est pas un epsilon.

Si l'urbanisme a une conséquence sur les surfaces agricoles, c'est plutôt de les augmenter. La concentration dans les villes libère de la place à la campagne.

Deja , il n'y a plus dans les pays de l'OCDE de concentration vers les ville mais une deconcentration des ville par etalement de l'habitat ( maison individuelle, supermarché, routes etc). La france perd plus ou moins 60 000 hectares de terre agricole par ans par conversione en zone construite.

Ensuite la desertification des campagne, que ce soit en france ou dans le tiers monde, ne s'accompagne pas d'un accroissement des terres cultivée. les paysans d'europe ou du tiers monde ne s'amusent pas à detruire des routes et des maison à coup de pic pour y remettre un champs dès qu'un habitant s'en va. Ou t'es allé chercher des idées pareilles?

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Oui, clairement totalement oui. Les petroliers n'integrant pas les externalité negative, ( pollution), ni le cout de renouvellement de leurs production dans les prix.

Lire Bastiat.

Et mourir.

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Avec 1 baril de petrole du gaz naturel et du charbon un agriculteur peut produire 7 baril de petrole.

7:1 c'est au brésil avec la canne à sucre. Le mais aux US représente une perte nette, qui n'est rentable que du fais des subventions.

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7:1 c'est au brésil avec la canne à sucre. Le mais aux US représente une perte nette, qui n'est rentable que du fais des subventions.

avec 1 tonnes de maïs tu obtiens environ 400 litre d'ethanol ce qui correspond, en contenu energetique à 280 litre d'essence.

A 95 dollars le baril le litre d'essence avoisine les 70 cent hors taxe.

Avec 1 tonnes il est theoriquement possible de produire l'equivalent 196$ d'equivalent essence.

Les cours actuels sont à 160$ la tonne de mais.

Chicago board

avec ou sans subvention la production d'ethanol maïs est deja rentable. C'est le prix du maïs qui limite la production d'ethanol, plus celui du petrole.

Encore une fois, d'un point de vue environnemental, ecologique, les biocarburant sont une absurdité. D'un point de vue economique non.

A 95$ le baril l'ethanol est (tres) rentable meme sans subvention pour tous les acteur de la filieres ( des agriculteurs aux distilleurs).

Encore une fois vous confondez rendement energetique et rentabilité. Il existe des solution bien meilleures du point de vue du rendement energetique qui ne sont pas exploitée faute de politique publique et de debouchés immédiat.

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avec 1 tonnes de maïs tu obtiens environ 400 litre d'ethanol ce qui correspond

Gratuitement?

Les cours actuels sont à 160$ la tonne de mais.

Les subventions sont refletées dans les cours.

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Gratuitement?

La distillation ne coute pratiquement rien. ( 5 a 10 cent le litre)

Les subventions sont refletées dans les cours.

Un chouillat de culture economique devrait t'aprendre que non. "Les subvention sont integrée au prix de revient" serait déjà une formulation plus juste. Il n'y a pas de lien automatique entre prix de revient et prix de vente. Le prix d'un produit est egal au cout marginal de substitution. On t'as pas appris ça a l'ecole?

Les subvention abaissent artificiellement les cours en cas de surproduction. Avec un petrole a 95$ il n'y a pas de surproduction possible sur le maïs.

Quand les cours sont faibles et la production trop importante, les subventions maintiennent la suproduction et par consequence la faiblesse des prix.

En cas de penurie, la hausse des prix agricole fait chuter la part des subvention dans les revenu d'une exploitation. subventions et prix n'ont plus rien a voir ( autant les suprimer).

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Un chouillat de culture economique devrait t'aprendre que non.

Le prix de marché est déterminé par l'offre et la demande. Un chouillat de culture économique t'apprendra que des subventions modifient l'un comme l'autre.

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Le prix de marché est déterminé par l'offre et la demande. Un chouillat de culture économique t'apprendra que des subventions modifient l'un comme l'autre.

Relis bien tu verra que je n'ais pas dit le contraire. Le subventions sont liées soit à la production soit à la surface de culture, mais en aucun cas liées aux prix. Si les subvention representaient 45$ par tonne de maïs avec des courts à 90$ la tonne au debut des années 2000, les subventions representent 45$ par tonne de maïs avec des courts à 160$. Sans subvention le prix sera toujours de 160$ la tonne puisque la demande est liée au prix du petrole.

Ce n'est pas parce que la production d'ethanol est plus rentable à tous points de vue au bresil qu'elle ne l'est pas aussi aux etats unis. Il y a par definition un effet de rente.

La filière ethanol rachetera tout le maïs qu'elle pourra jusqu'au prix egalisant éthanol et essence soit un prix 2 fois superieur aux prix des années 2000.

C'est exactement l'effet d'un prix garanti.

corn_prices_2.gif

Et sans les subventions, quel drame advient-il ?

En theorie:

Une partie des agriculteurs dont les prix de revient excedent le prix de vente sur les marchés fait faillite. La production baisse ce qui fait monter les prix jusqu'à equilibrer l'offre et la demande.

En pratique:

L'agriculture est une activité hyper capitalistique. A chiffre d'affaire egal, la mise en faillite d'exploitation agricole est plus couteuse pour une banque qu'une faillite d'une entreprise du tertiaire.

Les subventions sont en partie decorellées des niveaux de production. Ce qui facilite l'accès au crédit pour l'achat de machines en lissant le revenu.

Les prix alimentaires sont marginalement corrélés aux matieres premieres agricoles. Une baisse des prix du lait par exemple n'entraine pas ou tres peu de baisse du prix du yahourt et donc n'augmente pas le chiffre des ventes lors des suproduction ponctuelles. ( contrairement au marché textile par exemple, une division par 2 des prix pendant les solde multiplie par deux le chiffre des vente)

contrairement au industrie manufacturieres, il n'est pas possible de prévoir avec exactitude le niveau mondial de production et le niveau des prix à 2 ans donc de fonder des anticipation correcte alors qu'il faut emprunter sur 20 ans pour produire. (On peut savoir quelles voitures sortiront dans 2 ans et à quel prix.)

Il faut plusieurs années pour reconvertir une terre laissée en friche en champs exploitable, plusieurs années pour former un nouveau troupeau etc

Les prix de vente agricole ont des cycle court, les prix de revient ont des cycle d'amortissement long.

Si l'agriculture n'avait pas eut une phase longue de prix garantis, l'ajustement de production se serait fait sur des exploitations minuscules peu mecanisés etc et les prix auraient été erratique.

Jusque dans les années 70 80 les politiques agricoles ont permis une modernisation rapide de l'agriculture. Le revers d'une politique de subvention le risque une surproduction. On aurait pu abandonner les subvention agricole dans les années 80 et transformer une partie des paysans en vigiles de grande surface. Vu l'explosion de la demande et des prix actuels, on en serait aujourd'hui a transformer des vigile en paysan.

Il n'est pas sûr que de payer pour défaire puis payer pour refaire soit nécessairement beaucoup plus cher que de payer pour maintenir.

Une surproduction stystémique a l'avantage de reduire le risque d'une penurie grave ( une année de tres mauvaise recolte).

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le prix du petrole est encore trop faible par rapport à son prix d'equilibre. En 2006 et 2007 le monde aura produit moins de petrole qu'il n'en a consommé. les stocks de carburants sont historiquement bas et il est probable que sans biocarburant les etats unis connaitraient dès 2008 des ruptures d'approvisionnement dans les stations service.

Du grand, du très grand n'importenawak. Heureusement que tu précises "probable" ; cela t'évitera le ridicule-de-la-mort-qui-tue dans 12 mois.

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Jusque dans les années 70 80 les politiques agricoles ont permis une modernisation rapide de l'agriculture. Le revers d'une politique de subvention le risque une surproduction. On aurait pu abandonner les subvention agricole dans les années 80 et transformer une partie des paysans en vigiles de grande surface. Vu l'explosion de la demande et des prix actuels, on en serait aujourd'hui a transformer des vigile en paysan.

Il n'est pas sûr que de payer pour défaire puis payer pour refaire soit nécessairement beaucoup plus cher que de payer pour maintenir.

Une surproduction stystémique a l'avantage de reduire le risque d'une penurie grave ( une année de tres mauvaise recolte).

On ne peut pas raisonner en "toutes choses égales par ailleurs" dans ce cas. Un abandon des subventions agricoles en France et en Europe, aurait permis à des pays d'Afrique d'entrer sur le marché mondial, ce qui leur est impossible à l'heure actuelle du fait même des subventions…

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Aucune loi n'interdit la construction de raffinerie.

Bien sûr que si. Ainsi, en 1987, l'État de Californie et le comté de Santa Barbara ont interdit la mise en fonction de la raffinerie Gaviota qui avait été étudiée pour raffiner 100.000 barils par jour.

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Bien sûr que si. Ainsi, en 1987, l'État de Californie et le comté de Santa Barbara ont interdit la mise en fonction de la raffinerie Gaviota qui avait été étudiée pour raffiner 100.000 barils par jour.

Un état americain peut faire une loi contre un projet? " chevron sera privé de rafinerie". J'aimerais bien avoir la source de ce texte. Serait ce plutot une loi qui limite la taille des installations à 100 000 baril jours?

Es tu vraiment certain qu'un petrolier aurait construit une raffinerie en 1987 soit exactement en plein contre choc petrolier avec un baril inferieur à 15 dollars et une consommation en baisse d'un million et demi de baril jours par rapport à 77? En 77 le secteur etait déja en surcapacité.

Il existe plein de loies promulguées n'ayant aucun impact pratique. Promettre aux habitant du coins qu'il n'y aura pas de raffinerie nouvelle a coté de chez eux quand personne ne veut de toute facon en construire c'est tout benef.

Aujourd'hui vu les incertitudes du coté de l'offre aucun raffineur ne s'amusera à construire des capacité nouvelles de taille significative.

Du grand, du très grand n'importenawak. Heureusement que tu précises "probable" ; cela t'évitera le ridicule-de-la-mort-qui-tue dans 12 mois.

j'ai parlé de rupture d'aprovisionnement, pas d'un senario mad max dans les 12 mois. Une rupture d'aprovisionnement n'est pas necessairement globable. Les rupture d'aprovisionnement sont de plus en plus frequentes et touchent pour l'instant principalement les état du nord en bout de pipe ( dakota woyoming etc…)

Pour que l'ensemble des stations services soient approvisionnées il faut environ entre 185 et 190 million de baril raffinés en stock. Les stocks actuels sont aux alentours de 195 millions. Ce qui est historiquement faible meme pour la saison.( le gros de la consommation se fait au cours des mois d'été, l'automne connait une baisse traditionnelle de production du fait des report de maintenance).

La situation sans etre absolument dramatique n'est pas bonne.

PS: le grand "n'importe nawak" c'est de disserter pendant 3 page sur les cereales et ne parler que du pain, des pates et des corns flakes quand le gros des cereales est destiné a la production de viande et de produit laitiers.

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Un état americain peut faire une loi contre un projet?

En refusant d'accorder les permis de bâtir en se basant sur une législation "protectrice" de l'envirronement. Ceci dit, la prohibition concernait plutôt l'exploitation, puisque la raffinerie avait été construite.

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J'aimerais bien avoir la source de ce texte.
Mideast Crisis Puts New Spotlight On an Idle Oil Plant in California

[…]

The plant was meant to receive and separate crude oil and gas from the Santa Maria basin off Point Arguello, where three offshore pumping platforms, also mothballed, are poised to tap into the largest domestic oil field to be discovered since Prudhoe Bay in Alaska in 1969. Oil experts say the field, with more than 300 million barrels of recoverable reserves, could produce nearly 100,000 barrels a day to replace some of the lost supplies from the Middle East.

But environmental objections and local politics have combined to thwart production in a complex dispute over whether the oil should be transported to gasoline refineries by tanker ship or by pipeline. And now, in an effort to mediate the dispute and get the oil flowing, the Federal Government is stepping in.

[…]

The plant, about 30 miles northwest of Santa Barbara, was completed in late 1987 but has remained idle since then for two reasons. First, the company could not complete plans for a direct pipeline to refineries in Los Angeles. And then the California Coastal Commission rejected plans to move the oil by tankers, citing environmental concerns.

So the plant, built at a cost of $2.5 billion, stands silent.

The Gaviota plant has emerged as a symbol to the oil industry and to its environmental foes of what is wrong with the nation's energy policy. The industry contends that overbearing local requirements have thwarted domestic oil production; environmentalists maintain that more drilling only promotes further energy profligacy at the risk of fragile ecologies.

http://query.nytimes.com/gst/fullpage.html…al%20Resources)

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