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Le protectionnisme est le chaos


Serge_de_Libourne

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J'ai dit que j'avais lu de nombreux livres d'économie. Je m'intéresse depuis jeune à l'économie. Je suis né en 1960. Bien sûr je n'ai pas tout lu mais je m'informe continuellement. J'ai lu déjà quelques pages de wikibéral. Cependant dans la page que je viens de publier sur mon portail je ne cite aucun économiste. Je ne parle pas de libéralisme mais j'ai du faire n'importe quoi, j'ai mis deux liens vers l'Ifrap. :icon_up:

Je souligne seulement que si aucun économiste sérieux (néoclassique comme autrichien) n'utilise dans ses oeuvres théoriques le concept de "pouvoir d'achat", concept pourtant utilisé depuis longtemps, c'est peut-être parce que ce concept embrouille l'esprit et n'éclaire pas grand chose, non ?

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Je souligne seulement que si aucun économiste sérieux (néoclassique comme autrichien) n'utilise dans ses oeuvres théoriques le concept de "pouvoir d'achat", concept pourtant utilisé depuis longtemps, c'est peut-être parce que ce concept embrouille l'esprit et n'éclaire pas grand chose, non ?

Je pense innover là aussi. Ma définition est différente de celle de Sarkozy et tu n'as pas eu la curiosité d'aller la voir. Je définis le pouvoir d'achat en quatre portions auxquelles je donne des couleurs. J'exprime ces portions en pourcentage. Les deux premières portions concernent les dépenses qui dépendent de l'individu (conscient et inconscient) les deux autres concernent les dépenses obligatoires légales imposées par l'Etat et non par un choix démocratique (ex: auto-bilan) ou les dépenses prélevées. Je détermine cela globalement en fonction du PIB par individu. C'est peut-être discutable mais c'est facile mon but étant de m'adresser à tous. Je pense que ma définition peut permettre de contrer le discours de Sarkozy qui s'est présenté comme le Président du pouvoir d'achat et bien sûr les discours de tous les autres politiques.

Dans ma définition j'ai mis les dépenses de santé comme faisant partie du choix des individus. Je sais bien qu'aujourd'hui ces dépenses sont imposées et non pas choisie par les individus. Il s'agit là d'un problème complexe au niveau psychologique. Si j'avais fait autrement, comme je dis que je veux supprimer au maximum les dépenses obligatoires certains auraient pu dire que je souhaitais supprimer les dépenses de santé. Ce n'est bien sûr pas ce que je souhaite. Mon but est de faire avancer la compréhension donc j'écarte tout ce qui peut nuire à cette compréhension.

Je désigne par pouvoir d'achat clair une portion qui regroupe les deux pouvoirs d'achat personnel et par pouvoir d'achat sombre les deux autres. La proportion entre ces deux pouvoirs d'achat permet de déterminer le degré de dictature économique. Ce degré de dictature économique est donc un instrument de mesure. Si ma définition était utilisée par les libéraux par rapport à des exemples de revenus gagnés et non pas par rapport au PIB cela éclairerait les esprits.

Pour moi dans ma définition du pouvoir d'achat c'est pouvoir qui est important dans la définition officielle c'est achat qui est important car le pouvoir les politiques comptent le confisquer à l'individu

Officiellement le pouvoir d'achat est défini par la quantité de biens et de services que l'on peut acheter avec une unité de salaire. http://www.insee.fr/fr/methodes/default.as…hat-salaire.htm .définition que je n'ai évidemment pas reprise.

Quantité de biens, oui mais lesquels? personne ne rempli son chariot dans un hypermarché de la même manière.

Les habitudes de consommation variant au cours du temps par l'effet de la mode, des innovations, de l'envie des personnes il me semble bien difficile d'établir une augmentation ou une diminution du pouvoir d'achat. Ces choix entraînant des variations de consommation et donc des variations de prix. Si une denrée alimentaire augmente trop les consommateurs la consomment moins ou plus du tout sauf par mode. Autrement dit les fonctionnaires qui calculent les variations de pouvoir d'achat perdent leur temps et l'argent des contribuables. Les chiffres qu'ils fournissent sont très subjectifs. Je pense que nous sommes d'accord là dessus.

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Je souligne seulement que si aucun économiste sérieux (néoclassique comme autrichien) n'utilise dans ses oeuvres théoriques le concept de "pouvoir d'achat", concept pourtant utilisé depuis longtemps, c'est peut-être parce que ce concept embrouille l'esprit et n'éclaire pas grand chose, non ?

C’est seulement présent dans "Man, Economy and State" et "Human Action"…

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Quantité de biens, oui mais lesquels? personne ne rempli son chariot dans un hypermarché de la même manière.

Vous pourriez judicieusement améliorer votre raisonnement par la lecture de Frédéric Bastiat (Les harmonies économiques) et de Ludwig Von Mises, l'action humaine. Qui ont tout deux traités de sujets similaires, Bastiat pour le rapport entre l'individu et le gouvernement et Ludwig Von Mises pour son approche praxéologique de ces questions.

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C’est seulement présent dans "Man, Economy and State" et "Human Action"…

Dans le sens que Sarkozy ou que Serge de Libourne attribuent à ce mot ? Avec les bonnes couleurs ? :icon_up:

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Vous pourriez judicieusement améliorer votre raisonnement par la lecture de Frédéric Bastiat (Les harmonies économiques) et de Ludwig Von Mises, l'action humaine. Qui ont tout deux traités de sujets similaires, Bastiat pour le rapport entre l'individu et le gouvernement et Ludwig Von Mises pour son approche praxéologique de ces questions.

Merci pour les liens. Ils vont aider à mieux nous comprendre.

A partir du moment où le libéralisme n'est pas une idéologie, il part de principes. Avec ces principes nous analysons et produisons des instruments de mesure. Notre analyse et nos instruments de mesure sont forcément adaptés à nos connaissances et à nos environnements. Donc nous allons parler de Ludwig von Mises car plus contemporain il y a aussi à dire sur les écrits de l'autre auteur mais ce sera pour plus tard. Cependant nous pouvons noter qu'il est mort en 1973. Dans son environnement il n'y avait pas l'Internet tel que nous le connaissons aujourd'hui. Depuis 1973 les techniques ont évolué.

Afin de prévenir toutes ambiguïtés je précise que mes revenus libéraux sont pour l'instant exclusivement issus de la publicité sur Internet. Comme je suis pour le bonheur des hommes si j'estimais la publicité nuisible à l'homme je ferais autre chose. Cependant si la publicité présente un grand danger je ne dois pas faire la politique de l'autruche. Je dois dénoncer ce danger et montrer ce qu'il faut faire pour l'éviter.

Il me faut apprendre à utiliser la publicité comme on apprend à utiliser un vélo. Si on met les pieds sur les pédales et que l'on essaye de ne pas bouger pendant une heure il y a de grandes de chances de tomber. Pour ne pas tomber il n'y a pas d'autre solution que de pédaler ou de poser les pieds par terre. Avec le vélo le danger c'est de tomber cela ne signifie pas qu'il ne faut pas en faire. Cela signifie qu'il faut apprendre à maîtriser le risque.

Avec la publicité le grand danger c'est la manipulation. La manipulation peut se faire autrement que par la publicité. La manipulation peut fonctionner grâce à ce que j'appelle la pensée réflexe. Avec une manipulation totale l'homme ne réfléchit plus il agit de manière réflexe sous l'action de stimuli. Comme dans notre société contemporaine les sources de manipulations sont diverses, les manipulateurs utilisant la publicité, les médias, les rumeurs… sont incapables de guider les humains vers des buts précis, ils les dirigent donc vers le chaos.

Dans son chapitre 1 Ludwig von Mises semble passé très près du problème, il la peut-être même vu. S'il ne l'a pas totalement soulevé ce n'est pas parce qu'il a mal réfléchi mais parce qu'il ne vivait pas à une époque identique en tout point à celle d'aujourd'hui. Le temps qui passe permet d'améliorer nos concepts. Son chapitre 1 http://www.librairal.org/wiki/Ludwig_von_M…ne_-_chapitre_1 est intéressant car il traite de tout cela. Dans ce chapitre j'y ai relevé notamment :

"Les médecins qui, il y a cent ans, employaient pour le traitement du cancer certains procédés que nos docteurs contemporains rejettent, étaient — du point de vue de la pathologie de notre temps — mal instruits et par là inefficaces. Mais ils n'agissaient pas irrationnellement "

"Agir requiert et implique comme acquise la catégorie de causalité. Seul un homme qui voit le monde dans la perspective de la causalité est apte à agir. Dans ce sens, nous pouvons dire que la causalité est une catégorie de l'action. La catégorie moyens et fins présuppose la catégorie cause et effet."

"Dans un monde sans causalité, sans régularité de phénomènes, il n'y aurait pas de champ ouvert au raisonnement de l'homme et à l'agir humain. Un tel monde serait un chaos, et l'homme y serait impuissant à trouver repères et orientation. L'homme n'est même pas capable d'imaginer ce que serait un tel univers de désordre."

Le dernier paragraphe cité montre qu'il a vu le risque énorme pour notre société mais il ne semble pas l'avoir relié au béhaviorisme comme le montre :

"Le propos du béhaviorisme d'étudier l'agir humain de l'extérieur par les méthodes de la psychologie animale est illusoire."

Je ne suis pas certains de cette dernière affirmation car il développe sur le béhaviorisme et présente le risque. De plus dans une société libérale un tel risque n'existe pas. Dans ces conditions il est normal qu'il n'ait pas parlé des solutions pour prévenir ce risque.

Le libéralisme repose sur l'individu alors que la théorie behavioriste l'écarte http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9havior…ie_behavioriste

. Il me semble que pour Ludwig von Mises l'homme ne peut pas fonctionner de manière automatique comme l'animal or aujourd'hui grâce à Internet et les techniques qui se développe, il est possible et il sera de plus en plus possible de faire fonctionner l'homme de manière automatique. C'est à dire sans qu'il raisonne. La solution pour éviter ce problème : la consommation d'informations journalistiques, la compréhension de ce qu'est la publicité, de ses avantages pour les consommateurs et bien sûr la pensée raisonnée et non pas automatique. A l'époque de Ludwig von Mises un tel risque ne pouvait pas exister. Le journalisme était puissant, la publicité acceptée donc maîtrisée, les techniques, notamment logicielles bien moins évoluée. Aujourd'hui, pour la France que je connais, les entreprises de journalisme abandonnent leur métier pour vivre, sur Internet, de la publicité et faire du gratuit, de plus en plus de français rejettent la publicité mais y sont soumis sans en avoir conscience. Conclusion de plus en plus d'humains ont le cerveau malade et pensent de manière automatique au lieu de réfléchir, au moins pour certaines choses.

C'est surtout pour montrer ce risque que j'ai divisé le pouvoir d'achat en deux. C'est une division pédagogique. Le chiffrage de ces deux divisions est très difficile, je ne l'ignore pas mais fallait-il ne pas la montrer? Il est évident que cela joue sur le pouvoir d'achat blanc.

Si Ludwig von Mises s'est prononcé ainsi c'est pour répondre aux anti-pub. Le risque de chaos qui avait quand même était vu par Ludwig von Mises peut se concrétiser non pas parce que Ludwig von Mises n'était pas visionnaire mais en raison d'une maladie mentale qui se répand. Je ne propose pas des centres de rééducation pour faire face à cette maladie mais de lire des écrits journalistiques et d'apprendre à toujours raisonner pour ceux qui ne le savent pas ou qui ne le font pas toujours par paresse. Pour les malades prendre conscience de l'existence de cette maladie c'est déjà commencer à en guérir. Nous voyons qu'il y a là la solution à la crise du journalisme en France et pour moi cela fera une grande concurrence déloyale en moins d'où ma motivation à combattre la maladie.

Si les journalistes avaient essayé de réfléchir au lieu de réclamer des aides (1,2 milliard d'euros par an actuellement en France) notre société ne courrait pas un tel risque.

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Je rêve ou c'est du racolage pur et simple pour avoir des hits pour avoir de la pub?

Non! ce n'est pas du racolage mais en relisant ma réponse cela peut effectivement y faire penser surtout que je parle de publicité. J'essaye de lever toute ambiguïté entre nous. J'ai donc supprimé les deux liens vers mon portail en fin du précédent message.

Pour moi il est naturel de mettre des liens. C'est à mon avis ce qui fait la toile. Je mets très souvent plusieurs liens externes dans mes pages.

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Non, mais il est faux de dire qu’aucun économiste n’emploie ce terme…

Bien, soit. Toujours est-il que la dernière fois que j'ai lu quelqu'un sur un forum prétendre avoir apporté une contribution de taille à la science, c'était quelqu'un qui pensait avoir démontré que Pi était rationnel, ou quelque chose dans ce ton. Lui aussi insistait sur le fait qu'il utilisait des couleurs, supposées importantes dans sa démonstration. Je n'ai pas pu m'empêcher de faire le rapprochement.

Si Ludwig von Mises s'est prononcé ainsi c'est pour répondre aux anti-pub.

Quel génie, ce Mises, répondre à travers le temps à des gens qui n'apparaitraient que des décennies après sa mort !

Le risque de chaos qui avait quand même était vu par Ludwig von Mises peut se concrétiser non pas parce que Ludwig von Mises n'était pas visionnaire mais en raison d'une maladie mentale qui se répand. Je ne propose pas des centres de rééducation pour faire face à cette maladie mais de lire des écrits journalistiques et d'apprendre à toujours raisonner pour ceux qui ne le savent pas ou qui ne le font pas toujours par paresse. Pour les malades prendre conscience de l'existence de cette maladie c'est déjà commencer à en guérir. Nous voyons qu'il y a là la solution à la crise du journalisme en France et pour moi cela fera une grande concurrence déloyale en moins d'où ma motivation à combattre la maladie.

Allons bon, quelle maladie ?

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Il me semble que pour Ludwig von Mises l'homme ne peut pas fonctionner de manière automatique comme l'animal or aujourd'hui grâce à Internet et les techniques qui se développe, il est possible et il sera de plus en plus possible de faire fonctionner l'homme de manière automatique. C'est à dire sans qu'il raisonne. La solution pour éviter ce problème : la consommation d'informations journalistiques, la compréhension de ce qu'est la publicité, de ses avantages pour les consommateurs et bien sûr la pensée raisonnée et non pas automatique. A l'époque de Ludwig von Mises un tel risque ne pouvait pas exister. Le journalisme était puissant, la publicité acceptée donc maîtrisée, les techniques, notamment logicielles bien moins évoluée.

Ne prend pas les gens pour des cons Serge. D'un point de vue praxéologique, on ne peut pas savoir quel sera le comportement des hommes contrairement au comportement des atomes. Ca ne changera jamais ; et le biopouvoir que tu décris là ne change rien à l'affaire.

Aujourd'hui, pour la France que je connais, les entreprises de journalisme abandonnent leur métier pour vivre, sur Internet, de la publicité et faire du gratuit, de plus en plus de français rejettent la publicité mais y sont soumis sans en avoir conscience. Conclusion de plus en plus d'humains ont le cerveau malade et pensent de manière automatique au lieu de réfléchir, au moins pour certaines choses.

Tu penses sérieusement qu'en Autriche dans les années 1920 les gens réfléchissaient plus qu'aujourd'hui ? Tu crois qu'il y a moins "d'esprit critique" aujourd'hui qu'il y a un siècle - période où Mises à commencé à écrire ? Baliverne…

Et c'est quoi être soumis à la publicité ? (le freudo-marxisme de Marcuse et Reich, c'est une belle farce hein ?! on est d'accord :icon_up: )

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Quel génie, ce Mises, répondre à travers le temps à des gens qui n'apparaitraient que des décennies après sa mort !

Suite à la remarque de Nick de Cusa j'ai supprimé les liens vers mon portail mais j'ai laissé les liens qui n'allaient pas vers mon portail. Quand je mets des liens pour moi il s'agit de références. Ce n'est donc pas pour rien. J'en ai mis un vers le texte de Ludwig von Mises et dans ce texte on y trouve bien le passage :

Nous pouvons appeler le fait d'offrir une marchandise à l'achat un « stimulus ». Mais ce qui est essentiel à une telle offre et la distingue d'autres offres ne peut être décrit sans pénétrer dans la signification que les parties à l'acte attribuent à la situation.

Pour moi il s'agit bien de répondre aux anti-pubs. Il est vrai ce qui est évident pour moi peut ne pas l'être pour d'autres.

En lisant ce premier chapitre de Ludwig von Mises il m'a semblé que ma vision correspondait exactement à celle de Ludwig von Mises. Cependant je vais plus loin, pas parce que je pense être meilleur que Ludwig von Mises mais tout simplement parce que le monde dans lequel nous vivons a évolué, j'avais mis des liens vers mon site vers des pages où j'explique pourquoi l'homme contemporain est atteint d'une maladie mentale. Cependant pour comprendre ce que je dis il faut comprendre ce que Ludwig von Mises dit dans ce chapitre. C'est une base essentielle.

Si nous regardons le paragraphe suivant :

Dans un monde sans causalité, sans régularité de phénomènes, il n'y aurait pas de champ ouvert au raisonnement de l'homme et à l'agir humain. Un tel monde serait un chaos, et l'homme y serait impuissant à trouver repères et orientation. L'homme n'est même pas capable d'imaginer ce que serait un tel univers de désordre.

Pourquoi dit-il cela?

Je mets sur la piste : Pourquoi parle-t-il de stimulus et stimuli (pluriel de stimulus)? Pourquoi dans ce chapitre réfute-t-il la thèse des béhavioristes? Tout simplement parce qu'à son époque l'homme était sain d'esprit.

Pour comprendre les propos de Ludwig von Mises il faut savoir ce qu'est le béhaviorisme c'est pour cela que j'ai mis un lien vers Wikipédia. Je ne l'ai pas mis pour faire joli mais pour tous ceux qui ne savent pas ce qu'est le béhaviorisme et sont donc incapables de comprendre ce que dit Ludwig von Mises dans ce chapitre.

Maintenant imagine que le béhaviorisme puisse s'appliquer à certains hommes non seulement en raison des avancées matérielles mais aussi logicielles.

Je suis né en 1960 et Ludwig von Mises mort en 1973. J'ai lu dans ma jeunesse (à une époque où Ludwig von Mises était déjà mort) des écrits de scientifiques démontrant que les ordinateurs ne seraient jamais capables de battre aux échecs des champions du monde. Les ordinateurs n'étaient pas assez puissants. Les ordinateurs ont progressé. Ils calculent beaucoup plus vite qu'autrefois, ils ont bien plus de mémoire… Les logiciels ont progressés aussi et finalement ils sont arrivés, aux échecs, à battre les champions du monde. Le PDG de Google annonce que l'intelligence artificielle sera supérieure à l'intelligence humaine.

Les connaissances en psychologies humaines ont également progressé. Si à l'époque de Ludwig von Mises il paraissait que le béhaviorisme ne pouvait pas s'appliquer à l'homme. Aujourd'hui c'est le cas même si très peu s'en rendent compte. Cela sera de plus en plus le cas si les humains ne prenne pas conscience du problème.

A partir du moment où le cerveau de certains hommes fonctionne, au moins partiellement comme les béhavioristes le décrivent, ne suis-je pas logique en disant qu'ils sont malades. Et s'il y a trop de malades nous allons bien vers ce qu'affirme Ludwig von Mises à savoir :

Un tel monde serait un chaos, et l'homme y serait impuissant à trouver repères et orientation. L'homme n'est même pas capable d'imaginer ce que serait un tel univers de désordre."

J'y reviendrai plus tard mais la maladie est très répandue. Il est grand temps d'agir. En attendant d'aller plus loin il est souhaitable que quelques personnes comprennent ici la cause du danger dont parle Ludwig von Mises. C'est la base. Si cette base n'est pas comprise inutile d'aller plus loin dans cette réflexion. La maladie est psychique mais les symptômes peuvent être physiques. Ces symptômes physiques permettent aujourd'hui faire prendre facilement conscience de l'importance du mal, du moins à ceux qui ont encore un peu d'esprit sain.

Les pages de mon site que j'avais liés à mon message expliquent ce mal aujourd'hui. Suite à la remarque de Nick de Cusa j'ai supprimé des liens et finalement c'est une bonne chose. Je les remettrais plus loin si j'en ai l'accord et bien sûr si au moins quelques personnes comprennent ce qu'a écrit Ludwig von Mises.

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Les pages de mon site que j'avais liés à mon message expliquent ce mal aujourd'hui. Suite à la remarque de Nick de Cusa j'ai supprimé des liens et finalement c'est une bonne chose. Je les remettrais plus loin si j'en ai l'accord et bien sûr si au moins quelques personnes comprennent ce qu'a écrit Ludwig von Mises.

Pour le brave Ludwig, je pense qu'il s'en trouvera. Pour M. de Libourne, en revanche …

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Je rêve ou c'est du racolage pur et simple pour avoir des hits pour avoir de la pub?

Si je veux faire ma pub je vais chercher à être efficient. C'est à dire je vais chercher à passer mon temps dans des lieux où mes liens seront le plus vus. Entre un forum http://www.developpez.net/forums/ (dans lequel j'interviens occasionnellement) qui compte 348 743 membres et celui-ci qui n'en compte que 2 010, si je veux être efficient pour faire connaître mon portail le choix est vite fait. Il me semble que l'efficience fait partie des idées libérales. Ceux qui en doute peuvent lire par exemple :

http://www.librairal.org/wiki/Ludwig_von_M…–-_introduction

De plus même si mon but était ici de faire ma pub je ne suis pas sûr qu'il correspondrait aux idées libérales de me l'interdire si je comprends bien. (mais ce n'est pas la peine d'en discuter puisque le problème ne se pose pas et il y a bien plus important à voir – soyons efficients)

c'est l'une des tâches du gouvernement de la cité d'empêcher les hommes d'affaires efficaces de devenir riches, et de protéger les moins efficients contre la concurrence des plus efficients ; que restreindre la liberté des entrepreneurs par la contrainte gouvernementale ou par la coercition de la part d'autres pouvoirs sociaux

Par contre mettre des liens peut faire gagner du temps et nous pouvons lire dans Bastiat à http://bastiat.org/fr/producteur_consommateur.html

L'homme est ainsi fait que sa préoccupation perpétuelle est de diminuer le rapport de l'effort au résultat, de substituer l'action naturelle à sa propre action, en un mot, de faire plus avec moins. C'est l'objet constant de son habileté, de son intelligence et de son ardeur.

Ceci dit j'ai aussi vu dans Bastiat et sur la même page cité:

En ce pays-ci la science économique est si peu sue, qu'elle ne peut prononcer un mot sans faire surgir un adversaire.

Je réaffirme que mon but en venant ici : Chercher des alliés pour partir en guerre contre un système (inutile d'en débattre maintenant les choses seront bien plus claires lorsque j'aurais fait comprendre quelle maladie il faut soigner. J'en parlerai dans une réponse à Rincevent ). L'association d'individus pour réaliser des actions étant un des fondements du concept du libéralisme.

J'ai été maladroit en commençant par parler de TVA sociale. Mais vous allez le voir je vais renforcer votre argumentation pour ce que vous pensez "un cheval de bataille idéal pour libéraux" http://www.liberaux.org/index.php?showtopi…mp;#entry611671

Vous noterez au passage que je ne suis pas intervenu dans cette discussion alors que sur mon portail il y a un livre sur l'alimentation et un logiciel de diététique. Cela fait longtemps que je travaille sur le sujet. Si j'étais venu pour générer plus de pub sur mon portail c'est dans ce sujet que j'aurais du intervenir et mettre des liens.

Une fois que nous aurons fait tomber le système actuel quelles sont les idées qui devront s'imposer les miennes ou les vôtres? Allons-nous nous battre ensuite? La réponse me paraît simple. Quel est notre but : prendre le pouvoir pour contrôler les esprits ou libérer les esprits pour qu'ils décident par eux-même? Si notre but commun est le deuxième, comme je le pense, nous n'aurons pas à nous battre pour prendre le pouvoir car nous devons restituer le pouvoir aux individus.

Pour se battre il ne faut pas faire comme moi en venant ici (mais encore une fois je ne suis pas venu combattre le libéralisme ) il faut penser guerre psychologique. Il faut donc se préparer au combat.

Face à l'immense force de propagande du système, même si tous ici participent au combat, ce sera forcément David contre Goliath et là la moindre erreur psychologique peut nous faire perdre une bataille, après il sera bien plus difficile de vaincre.

Le système actuel, encore plus que celui de l'union soviétique car il est démocratique, repose sur le soutien des individus. A partir du moment où une large majorité des individus ne croira pas au système et saura qu'autre chose est possible alors le système actuel s'écroulera comme un château de carte.

Pour ce combat il va falloir des combattants très efficaces compte tenu du rapport de force qui nous est très défavorable. Nous devons donc faire de chaque individu un ami et non un ennemi. Il faudra surtout pas faire comme certains ont fait au début ici avec moi. A cause d'une incompréhension j'avais l'impression que l'on me disait un peu :

-"gros con casse-toi de là, tu n'as rien à faire ici. Tu ne partages pas nos idées"

Je ne divulgue pas un secret en disant que la très grande majorité de nos concitoyens ne partagent pas les idées libérales. Je trouve la phrase "Le vrai héros est celui qui sait faire d'un ennemi un ami." figurant dans la signature de Rincevent excellente. Pour ce combat nous avons besoin de beaucoup de héros.

J'ai pensé les couleurs des différents pouvoirs d'achat dans l'optique du combat psychologique qui nous attend. Les couleurs sont en fait en noir et blanc ce qui permet de définir deux groupes de pouvoir d'achat : le pouvoir d'achat clair (celui de l'individu) et pouvoir d'achat sombre (celui qui est volé).

Clair peut être associé à : c'est clair, clair et net…

Sombre peut être associé à : les heures sombres de l'histoire

Nous devons avec le pouvoir d'achat clair et le pouvoir d'achat sombre déterminer le taux de dictature et non pas de liberté. La liberté ne se partage pas, en principe on ne naît pas dictateur on le devient et Hitler a été élu. Pour un étatiste un taux de liberté est avantageux. Dans la guerre psychologique que nous avons à mener nous n'avons pas à lui laisser prendre cet avantage. Il faudra donc tenir bon sur le taux de dictature et dire que la liberté ne se partage pas, donc le taux de liberté ne peut pas exister.

taux de dictature s'associe à dictature donc à quelque chose de mal auquel il faut échapper

taux de liberté s'associe à liberté et liberté est perçue comme une bonne chose, donc si un système s'efforce, du moins dans les propos, de favoriser plus de liberté il sera perçu comme bon. Autrement dit si le système actuel arrive à imposer taux de liberté il sera difficile de le faire tomber.

D'une manière générale, si nous sommes d'accord pour partir au combat, tous nos actes, toutes nos propositions doivent être pensées en terme de guerre psychologique.

J'ai bien conscience que pour l'instant les explications que je donne ne sont pas encore suffisantes même si elles sont longues. De plus il est bien plus aisé de critiquer mes propos que ceux de Ludwig von Mises. Pourtant quand je divise le pouvoir d'achat individuel en pouvoir d'achat conscient et inconscient, j'entends par inconscient exactement la même chose que Ludwig von Mises. Il ne s'agit pas de l'inconscient évoqué par Freud. Ludwig von Mises explique très longuement ce qu'est la conscience et ce qui ne l'est pas.

Donc je recommande vivement la lecture et la compréhension de http://www.librairal.org/wiki/L%27Action_humaine

Il faut arriver à comprendre ce paragraphe :

Dans un monde sans causalité, sans régularité de phénomènes, il n'y aurait pas de champ ouvert au raisonnement de l'homme et à l'agir humain. Un tel monde serait un chaos, et l'homme y serait impuissant à trouver repères et orientation. L'homme n'est même pas capable d'imaginer ce que serait un tel univers de désordre.

Pour ma part ma démarche n'a pas été la même que celle de Ludwig von Mises mais si nous aboutissons exactement au mêmes conclusions en ce qui concerne le conscient et l'inconscient ce n'est vraiment pas par hasard. Le sujet est bien trop complexe.

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Ne prend pas les gens pour des cons Serge. D'un point de vue praxéologique, on ne peut pas savoir quel sera le comportement des hommes contrairement au comportement des atomes. Ca ne changera jamais ; et le biopouvoir que tu décris là ne change rien à l'affaire.

D'un point de vue praxéologique tout à fait d'accord mais le comportement dont je fais état ne fais pas partie de la praxéologie.

Par exemple la phrase suivante donne la limite de la praxéologie :

La praxéologie, comme les sciences historiques relatives à l'activité humaine, traite de l'action intentionnelle humaine.

Il y a bien dedans l'action intentionnelle humaine. C'est à dire que ce qui n'est pas intentionnel ne fait pas partie du champ de la praxéologie. Mais ATTENTION ce qui n'est pas intentionnel correspond à ce que Ludwig von Mises indique comme non intentionnel. C'est à dire que tout ce qui fait partie du champ de la praxéologie est intentionnel cela ne correspond pas du tout à la définition de Freud nous sommes d'accord là dessus.

http://www.librairal.org/wiki/Ludwig_von_M…ne_-_chapitre_1

Les mots écrits par Ludwig von Mises ont une grande importance. Une lecture en diagonale fait passer à côté du problème. Pour ma part je vais insister sur les mots qui ne me semblent pas compris mais tous les mots sont importants.

Au tout début il est possible de lire

Le comportement conscient ou intentionnel est en contraste tranché avec le comportement inconscient, c'est-à-dire les réflexes et réactions involontaires des cellules et nerfs aux stimulations.

Dans cette phrase il y a stimulations

Pourquoi cette phrase est sous ? :

1 / Action intentionnelle et réaction animale

Tout simplement parce qu'il s'agit d'une référence au comportement du chien de Pavlov http://fr.wikipedia.org/wiki/Conditionnement_classique (important de lire le lien si Pavlov, Béhaviorisme ou stimuli ne sont pas bien connus ainsi que ce qui relie ces trois mots). Par la suite on ne trouve pas trace de Pavlov dans le texte de Ludwig von Mises mais on trouve bien des références au Béhaviorisme et aux stimuli.

Plus loin on trouve :

Nous pouvons appeler le fait d'offrir une marchandise à l'achat un « stimulus ».

Il y a bien là une référence au conditionnement de l'achat par un stimulus. Pour les béhavioristes l'homme n'est pas armé pour faire face à ce conditionnement. Ludwig von Mises réfute cette argumentation :

Mais ce qui est essentiel à une telle offre et la distingue d'autres offres ne peut être décrit sans pénétrer dans la signification que les parties à l'acte attribuent à la situation. Aucun artifice dialectique ne saurait évaporer le fait que l'homme est poussé par l'intention d'atteindre certains objectifs. C'est le comportement intentionnel — c'est-à-dire l'action — qui est la matière d'étude pour notre science. Nous ne pouvons aborder notre sujet si nous négligeons la signification que l'homme agissant attache à la situation, c'est-à-dire à un état donné des affaires, et à son propre comportement à l'égard de cette situation.

Une chose est très importante là dedans c'est :

"C'est le comportement intentionnel — c'est-à-dire l'action — qui est la matière d'étude pour notre science."

Cela signifie bien que le comportement d'un être passif ne fait pas partie de la praxéologie. Un être peut avoir un comportement d'un être passif que pour un stimulus. Par exemple le chien de Pavlov va saliver quand il entend sonner une cloche ce qui est du conditionnement mais il va continuer à se déplacer normalement, à aboyer normalement…

Et que pourrait-il se passer si une grande majorité d'hommes arrêtaient d'être actifs c'est à dire arrêtaient de raisonner? Ludwig von Mises l'indique et heureusement sinon j'ai bien l'impression qu'ici il me serait impossible d'expliquer de quel mal souffre une partie de la population mondiale.

Voici ce qu'il en dit :

Dans un monde sans causalité, sans régularité de phénomènes, il n'y aurait pas de champ ouvert au raisonnement de l'homme et à l'agir humain. Un tel monde serait un chaos, et l'homme y serait impuissant à trouver repères et orientation. L'homme n'est même pas capable d'imaginer ce que serait un tel univers de désordre.

Y sommes-nous? toi tu me dis que tu ne crois pas au biopouvoir. Moi j'affirme le contraire sans pour autant aller à l'encontre de Ludwig von Mises (encore heureusement qu'il a mis ce paragraphe dans son texte et parlé de Béhaviorisme et de stimuli sinon je n'aurai probablement jamais pu faire comprendre ici de quelle maladie je parle)

Comment m'est apparue l'existence de cette maladie? D'abord parce que je m'intéresse au journalisme et j'ai défini ce qu'était et ce que n'était pas le journalisme. Ensuite parce que j'ai écrit un livre sur l'alimentation et mis en place un logiciel de diététique sur mon portail. J'ai commencé l'activité de la SARL Orvinfait pour gérer mon portail en septembre 2000. Ayant au préalable présidé bénévolement une structure locale d'une association de consommateurs j'ai rapidement mis en place des pages sur l'alimentation dans mon portail.

Crise du journalisme, recherche par beaucoup de textes de plus en plus court, plus grande facilité dans la vie quotidienne m'ont fait prendre conscience que de plus en plus d'humains perdaient le goût du raisonnement. Ils ne sont plus actifs mais passifs pour de nombreuses choses.

Lorsque l'on souhaite maîtriser son poids il est très facile de le faire pourtant beaucoup de personnes ont du mal à le faire et en éprouve un malaise. Régime après régime, le corps est souvent de plus en plus gros. Le mal progresse tellement vite qu'il est parlé d'épidémie d'obésité. Cette épidémie a un coût énorme pour les dépenses de santé.

Heureusement qu'il y a l'Etat :icon_up: Il va sauver la population. Manifestement sans l'Etat La publicité pousse à la consommation mais fallait-il la limiter ou la supprimer? Si on la limitait cela allait faire chuter les ventes des producteurs. Donc il n'en était pas question. La solution trouvée? Eh bien c'est simple avec l'objectif de limiter les dépenses de sécurité sociale on fait des dépenses supplémentaires en créant par exemple un site Internet et l'on oblige les publicitaires qui promeuvent des aliments à afficher des mentions.

Moi j'ai une autre explication. La passivité étant plus facile que l'action l'Etat trouve là un moyen de s'introduire partout. Il s'agit de rendre tout plus facile. Officiellement L'Etat est là pour aider (alors que c'est un poids) . Pour faire passer ce message et ainsi encaisser tout l'argent qui va avec l'Etat a intérêt à faciliter la passivité. Rappelons-le la passivité sort du champ de la praxéologie. Par contre elle entre parfaitement dans le champ du béhaviorisme et de la manipulation mentale. Pour que la praxéologie existe il faut que le raisonnement intervienne. Pour que le béhaviorisme existe il faut que le raisonnement n'existe pas. http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9havior…ie_behavioriste Le libéralisme repose sur l'individu. Le béhaviorisme repose sur l'effacement de l'individu.

Il est connu que pour le corps des carences provoquent des maladies (scorbut par exemple) pourquoi des carences de nourritures spirituelles ne provoqueraient-elles pas aussi des maladies psychiques?

Donc pour moi l'épidémie d'obésité n'est pas la maladie du siècle mais seulement l'un des symptômes d'une maladie psychologique qui se répand. Et toi qu'elle est ton explication à l'épidémie d'obésité? Celle de l'Etat? La mienne te convient-elle mieux? En as-tu une autre?

Afin d'éviter toute ambiguïté, je rappelle que je vis de la publicité et mon but n'est certainement pas d'agir pour la dénigrer.

Allons-nous vers l'homme végétatif décrit par Ludwig von Mises? Il indique bien qu'un tel homme ne fait pas partie de la praxéologie

La matière qu'étudie la praxéologie est l'agir humain. Elle s'occupe de l'homme dans son action, non de l'homme changé en plante et réduit à une simple existence végétative.

Voir "L'homme végétatif" à la fin du premier chapitre. Heureusement que Ludwig von Mises a écrit tout cela sinon j'aurais bien du mal à me faire comprendre ici et il n'est pas dit que j'y arrive malgré mes efforts.

ATTENTION: je n'ai pas dit que tous les obèses étaient atteint d'une maladie mentale.

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Non le PIB est le résultat de la production seulement pour évaluer la VA sur votre production totale il est inutile d'avoir la VA de tout ce qui a était produit.

Si vous produisez 3000 moissonneuse que vous en vendez 2000 il est facile de calculer la VA des 3000 produites.

Et ça c'est le rôle de la comptabilité nationale.

Nous aurons le PIB 2009 définitif en mars 2010, le temps d'affiner les calculs.

Heu…

C'est la vente des moissonneuse qui fait bondir la VA et pas leurs fabrications. Avant la vente, elles sont comptabilisés aux prix des matières premières qui ont servit à leur construction.

Pour fixer les idées, pour fabriquer une moissonneuse batteuse, il faut 1 000 euros de tôle.

En 2009, Je fabrique 1 000 moissonneuse. J'achète pour 1 M de tôle.

Je n'en vend aucune, mon CA est 0, ma contribution à la VA du pays est nulle. Par contre, ceux qui m'ont vendu la tôle enregistre un CA de 1 Millions et leur VA est comptabilisé dans le PIB.

Je vends mes moissonneuses 2 000 euros. Ma VA pour chaque moissonneuse est de 1 000 euros (prix de vente moins le prix des matières premières), ma VA totale est de 1 Millions d'euros. Le PIB de mon pays a progressé de 1 millions, plus la VA de l'acierie.

Donc pour reprendre le début du débat, c'est la bien consommation de la production qui créer la valeur ajouté. Maintenant, sans production, il n'y a pas de consommation.

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Tu éludes toujours la question principale : quelle est donc cette maladie ???

Donc pour moi l'épidémie d'obésité n'est pas la maladie du siècle mais seulement l'un des symptômes d'une maladie psychologique qui se répand. Et toi qu'elle est ton explication à l'épidémie d'obésité? Celle de l'Etat? La mienne te convient-elle mieux? En as-tu une autre?

Des calories disponibles à un prix toujours inférieur, et un tas d'ingérences de l'Etat qui poussent le secteur agro-alimentaire à produire des calories de mauvaise qualité (mais Jesrad en parle bien mieux que moi). Les causes les plus simples (et faisant appel au moins possible d'entités nouvelles) sont les meilleures.

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Tu penses sérieusement qu'en Autriche dans les années 1920 les gens réfléchissaient plus qu'aujourd'hui ? Tu crois qu'il y a moins "d'esprit critique" aujourd'hui qu'il y a un siècle - période où Mises à commencé à écrire ? Baliverne…

D'abord il faut souligner que tu te comportes comme un ancien libéral du temps de Ludwig von Mises c'est dire le retard. Heureusement que pour moi il avait fait une bonne analyse, sinon en raison des écritures de saint Ludwig von Mises je n'aurai pas pu faire appel au raisonnement. J'aurai du faire face à une idéologie. S'il y en a, ceux d'entre-vous qui essayent de diffuser la pensée libérale et se heurtent aux idéologies savent de quoi je parle.

à http://www.librairal.org/wiki/Ludwig_von_M…e_-_chapitre_37

3 / L'illusion des anciens libéraux

Un système social, si bienfaisant qu'il soit, ne peut fonctionner sans l'appui de l'opinion publique. Ils n'avaient pas prévu le succès de la propagande anticapitaliste. Après avoir réduit à néant la fable de la mission divine des rois revêtus du sacre, ils se laissèrent séduire par les doctrines non moins illusoires du pouvoir irrésistible de la raison, de l'infaillibilité de la volonté générale et de l'inspiration divine des majorités.

Ils étaient si pleinement convaincus de l'idée a priori que tous les hommes sont doués de la faculté de raisonner correctement, qu'ils interprétèrent tout de travers les signes qui présageaient mal de l'avenir.

Pour toi donc les humains ne peuvent pas être soumis à la publicité car ils sont forcément doués de raison. Or ce n'est pas du tout ce qu'écrit Ludwig von Mises. Nous venons de le voir. Ici on me brandit les écrits de Ludwig von Mises pour me dire que mon raisonnement sont sans fondement, il ne faut pas oublier que la nature humaine n'ayant pas changé Ludwig von Mises fut soumis aux même problèmes que moi. Pour lui évidemment c'était d'autres écrits qui servaient l'idéologie de l'époque.

à http://www.librairal.org/wiki/Ludwig_von_M…e_-_chapitre_38

2 / L'économie en tant que profession

Dans des affaires si vitales, s'en remettre aveuglément à des « experts », accepter passivement des mots d'ordre populaires et des idées toutes faites, sont l'équivalent d'une renonciation à l'auto-détermination et d'une reddition à la domination des autres. Dans la situation telle qu'elle est aujourd'hui, rien ne peut être plus important aux yeux des gens intelligents que l'économie. Chacun y met en jeu son propre destin et celui de ses descendants.

Juste avant cela il écrit :

Entrepreneurs et capitalistes risquent leur propre bien-être matériel lorsqu'ils sont pleinement convaincus de la bonne qualité de leurs plans. Ils ne sauraient s'aventurer à jeter dans la balance leur existence économique parce qu'un expert leur conseille de le faire. Les ignorants qui opèrent sur le marché des titres ou des marchandises en se fondant sur des "tuyaux" sont voués à perdre leur argent, quelle que soit la source d'où ils tirent leur inspiration et leurs informations « confidentielles ».

et plus loin

L'économie ne doit pas être reléguée dans les salles de classe et les bureaux de statistique, et ne doit pas non plus être laissée à des cercles ésotériques. C'est la philosophie de la vie humaine et de l'agir humain, et elle concerne tout le monde et toutes choses. Elle est la moelle de la civilisation et de l'existence humaine des individus.

Tout le monde pense à l'économie, consciemment ou non. En adhérant à un parti politique et en mettant son bulletin électoral dans l'urne, le citoyen prend implicitement position sur des théories économiques essentielles.

Donc ma théorie comme quoi des citoyens peuvent être manipulés car leur esprit sont carencés ne vient pas en contradiction avec les théories écrites par Ludwig von Mises. Si elle était contraire à ces théories en tant que libéral il serait mal fondé de me les opposer, il faut faire appel à la raison plutôt qu'aux saintes écritures.

Ceci dit examinons les conséquences de ma théorie. Reprenons l'image du vélo dont j'ai parlé plus haut. Le vélo c'est physique alors que ma théorie concerne l'intellectuel. Pour traduire de manière physique la carence du cerveau nous allons supposer que nous faisons une expérience en mettant un unijambiste sur le vélo. Que se passe-t-il lorsqu'on le lâche? Il tombe. Que doit-on en déduire? Le problème vient-il de l'homme à qui il manque une jambe? ou vient-il du vélo parce qu'il est inadapté aux êtres humains même s'ils ont deux jambes? Ceux qui répondent la deuxième possibilité ne tiennent pas compte du fait que si l'humain tombe c'est qu'il est carencé : il lui manque une jambe.

L'art de raisonner n'est pas inné cela s'apprend. De plus pour raisonner il faut des informations et savoir les rechercher. Comme nous vivons notre environnement se transforme. Comme nous sommes des individus nous pouvons avoir des choix différents. Il est donc inutile d'essayer d'apprendre des informations pour une vie car la société évoluant ces informations seraient vite dépassées. L'apprentissage doit donc donner le goût de s'informer, donner la curiosité d'esprit, montrer que la paresse intellectuelle est une faille.

L'art de raisonner devrait donc être la base de la formation des enfants.

Associer un stimulus à un produit peut-être facilement fait chez un jeune enfant qui n'a pas appris à éviter la carence. Nous avons vu que Pavlov avait manipulé un de ses chiens pour qu'il salive lorsqu'une cloche sonne. Il n'y a pas que la publicité qui permet de créer une association entre un stimulus et une réponse du type j'achète tel produit. Tant que l'esprit est carencé, selon la méthode béhavioriste, il est possible d'associer un stimulus à n'importe quelle réaction. Il est possible d'associer un stimulus à des idées politiques par exemple. Tant que l'esprit est carencé n'importe qu'elle association irraisonnée peut-être produite. Certaines associations sont appelées phobies mais le mécanisme au niveau du cerveau semble être le même que celui mis en jeu pour les manipulations. Logiquement il devrait donc y avoir tout intérêt à former le plus tôt possible les enfants à l'art de raisonner sauf si l'on veut les manipuler.

Tant qu'un être humain n'a pas appris l'art de raisonner il n'entre pas dans le champ de la praxéologie. Il ne peut donc pas avoir l'esprit libéral. Par contre il est manipulable à volonté. Alors faut-il apprendre aux enfants à raisonner très tôt où au contraire ne pas le faire pour qu'il enregistre parfaitement l'apprentissage qui lui est donné?

Tant que l'enfant n'a pas appris à raisonner il va fonctionner suivant le principe du béhaviorisme. C'est à dire qu'il est manipulable à volonté. Dans ce cas la publicité est un danger car l'esprit étant carencé il est manipulable à volonté. Si un Etat souhaite manipuler les enfants à sa guise il ne faut surtout pas lui apprendre à raisonner correctement. Cependant la méthode est très dangereuse car il n'est pas possible de contrôler toutes les associations d'idées. Il peut y avoir des phobies mais il peut aussi y avoir une peur irraisonnée des étrangers qui peut conduire à des meurtres. Les esprits étant manipulables aisément par n'importe qui et n'importe quoi nous pouvons aller vers le chaos ou imaginer les pires choses. C'est bien ce qu'écrit Ludwig von Mises :

http://www.librairal.org/wiki/Ludwig_von_M…ne_-_chapitre_1

Dans un monde sans causalité, sans régularité de phénomènes, il n'y aurait pas de champ ouvert au raisonnement de l'homme et à l'agir humain. Un tel monde serait un chaos, et l'homme y serait impuissant à trouver repères et orientation. L'homme n'est même pas capable d'imaginer ce que serait un tel univers de désordre.

Avec ce passage Ludwig von Mises répond-t-il aux béhavioristes? D'après moi oui car il parle du béhaviorisme dans son chapitre. Si l'on regarde http://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9haviorisme nous pouvons y lire le paragraphe suivant :

"Historiquement, le béhaviorisme est apparu en réaction aux approches dites mentalistes qui voyant dans « le mental la cause de toute action » défendait l'introspection en tant que méthode d'accès à la compréhension de l'esprit."

Le béhaviorisme est apparu en 1913. Il est important de savoir pourquoi. D'après ce paragraphe de Wikipedia nous voyons clairement que le béhaviorisme s'oppose au libéralisme. Il est donc normal que Ludwig von Mises y réponde.

Le béhaviorisme ne s'applique qu'à des personnes psychiquement carencées. Comme ces personnes sont manipulables il faut les protéger des manipulations non voulues. Dans le cadre d'un endoctrinement scolaire basé sur le béhaviorisme la publicité est une source de manipulations non voulues. Il faut donc l'écarter le plus possible des enfants. C'est ainsi qu'en 1936 le Front Populaire interdit la publicité à l'école. Si cela n'est pas une mesure anti-pub qu'est-ce que c'est?

Donc quand je dis que Ludwig von Mises dans son traité d'économie L'action humaine publié pour la première fois en 1949 répond aux anti-pub je pense avoir raison.

Pour réflexion j'invite à lire un document PDF fait par des membres d'ATTAC sur la publicité à l'école http://instits.org/outils/pub_ecole.pdf il y est décrit l'horreur de la publicité à l'école aux Etats-Unis ( horreur pour eux – pour rappel je vis de la pub). Elle rapporte 750 millions de dollars par an ( si on est pour ce principe c'est autant d'impôts en moins à payer donc moins d'Etat ) . Horreur suprême les Etats-Unis essayent d'imposer par le biais de l'OMC la publicité à l'école en France. ( C'est bien le libéralisme qui est rejeté )

Maintenant regardons la définition de la publicité sur Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Publicit%C3%A9 nous y trouvons

"La majorité des auteurs rapprochent ou assimilent la publicité à un phénomène de propagande propre aux sociétés contemporaines"

Bien sûr il y a un lieu vers propagande http://fr.wikipedia.org/wiki/Propagande avec encore une information sur la propagande publicitaire. Il est intéressant de lire ce qui y est dit.

A mon avis il y a beaucoup de travail pour réhabiliter la publicité et à travers elle le libéralisme.

Je n'oublie pas que je dois définir la maladie dont je parle en quelques mots pour Rincevent mais au préalable il faut bien que je prouve que cette maladie existe, que je lève toutes les ambiguïtés et que je réponde à toutes les objections.

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Mieux vaut rester immobile que de faire un petit pas en avant à court terme qui se paiera par un grand pas en arrière à long terme.

La politique du compromis allant jusqu'à la compromission, les libéraux ont déjà donné.

Que nous soutenions au coup par coup une mesure libérale, c'est une chose ; que nous nous embarquions avec des gens qui ne partagent pas les mêmes valeurs basiques en est une autre.

Je n'ai pas répondu plus tôt à cette affirmation car je n'avais pas de réponse claire à formuler. De plus nouveau venu ici je remets en cause une certaine idéologie. De là à déduire que je n'étais pas libéral était une déduction facile.

Face à cette affirmation que pouvais-je dire? Il me fallait lire les écrits de référence pour savoir en quoi ma pensée était en total désaccord avec le libéralisme. Or quand je lis l'Action humaine de Ludwig von Mises je suis en total accord avec lui.

Après réflexion je pense donc que ma notion de maladie est TRES IMPORTANTE pour le libéralisme car elle me semble un fondement qui va permettre au libéralisme de se développer.

Les carences alimentaires peuvent provoquer des maladies (scorbut, béribéri…) Pourquoi une carence psychique ne provoquerait-elle pas une maladie? A partir du moment où la carence psychique est prise en compte il devient très facile de soigner la maladie car il suffit d'apporter la nourriture intellectuelle adaptée aux malades.

Je suis face à un obstacle idéologique mais ici, bien plus qu'ailleurs, il est possible d'abattre cet obstacle idéologique car le libéralisme ce n'est pas de l'idéologie.

L'idéologie à combattre est la pensée suivante : l'humain est naturellement doué d'un sens qui lui permet de décider ce qui va ou non dans le sens de ses intérêts. Certains croient que c'est là le fondement du libéralisme. Ils se trompent.

La phrase exacte devrait être plutôt la suivante :

L'humain intellectuellement adulte est doué d'un sens qui lui permet de décider ce qui va ou non dans le sens de ses intérêts.

Bien sûr je ne donne pas forcément la meilleure définition. Une fois que cette notion de maladie sera comprise chacun pourra faire ses propositions pour bien la définir. Je ne parle pas de maladie mais il me semble clair que les handicapés mentaux ne se retrouvent pas dans cette définition. De même ne peuvent être définis ainsi tous ceux qui ne sont pas devenus intellectuellement adultes à cause de la carence dont je parle.

Quelle est cette carence et surtout suis-je le premier à la découvrir? Non si je comprends bien ceci :

http://www.librairal.org/wiki/Ludwig_von_M…ne_-_chapitre_1

Dans un monde sans causalité, sans régularité de phénomènes, il n'y aurait pas de champ ouvert au raisonnement de l'homme et à l'agir humain. Un tel monde serait un chaos, et l'homme y serait impuissant à trouver repères et orientation. L'homme n'est même pas capable d'imaginer ce que serait un tel univers de désordre.

Tant qu'un être humain n'a pas apprit l'art de raisonner il n'entre pas dans le champ de la praxéologie. Il ne peut donc pas avoir l'esprit libéral. Par contre il est manipulable à volonté.

La carence dont je parle est tout simplement l'esprit critique. Ceci est lourd de conséquences au niveau de l'enseignement dispensé en France par exemple. Cet enseignement ne consiste pas à rendre les élèves intellectuellement adulte le plus tôt possible, au contraire, il s'agit de tout faire pour qu'ils ne le deviennent pas. Ceci est évidemment une source de tensions, de stress, de violences, de pertes de temps et d'argent au sein de l'école.

Une personne intellectuellement adulte va tout faire pour être indépendante pas une personne qui demeure intellectuellement enfant. Ceci est une affirmation. Ai-je à la démontrer? Une personne intellectuellement adulte entre dans le champ de la praxéologie. Comme je suis d'accord avec Ludwig von Mises je n'ai pas à refaire sa démonstration sur l'agir humain. Par contre il a écarté de son étude les personnes qui sont intellectuellement enfants.

Comme la distinction entre intellectuellement adulte et intellectuellement enfant n'est pas faite aujourd'hui par les libéraux, ils sont incapables de se faire entendre auprès des personnes intellectuellement enfant. Les intellectuellement enfants sont aujourd'hui très majoritaires ils peuvent conduire la société vers le chaos.

Passer d'un état enfant à un état adulte est naturel chez l'homme. Tant au niveau physique que psychique. Si cette affirmation est exacte nous pouvons en déduire qu'il se produit les mêmes phénomènes au niveau physique qu'au niveau psychique. En regardant

http://www.psychonet.fr/2002/11/21/2123-le…e-communication

Nous pouvons y lire :

"Pour devenir adulte, donc autonome, il doit s'éloigner de ses parents et les remettre en cause."

Cela signifie que si nous faisons évoluer une majorité de citoyens de l'état intellectuellement enfant à l'état intellectuellement adulte c'est leur réflexion qui va remettre en cause le paternalisme.

http://www.wikiberal.org/wiki/Paternalisme

Si j'ai raison, et l'échec de la diffusion des idées libérales semblent l'indiquer, faire entendre raison à des personnes qui sont dépourvues d'esprit critique est voué par définition à l'échec. A l'inverse imposer le paternalisme à des personnes qui sont intellectuellement adultes n'est pas possible. Pour leur imposer malgré tout le paternalisme il faut essayer de les faire régresser pour qu'elles redeviennent des personnes intellectuellement enfant d'où, dans les régimes communistes, des hospitalisations dans des hôpitaux psychiatriques où des internements en centre de rééducation. Sous le régime nazi les opposants étaient aussi internés et la propagande abondante. (Je rejoins ici Hayek élève de Ludwig von Mises )

Suivant l'état intellectuel de la majorité à laquelle on s'adresse les moyens à mettre en oeuvre pour faire passer des idées sont différents :

Les personnes intellectuellement enfants peuvent raisonner par sophismes ou par pensées réflexes (sous l'action d'un stimuli donne une réponse sans raisonner). Il leur est très difficile de leur faire comprendre un raisonnement basé sur un esprit critique qu'elles n'ont pas. Par contre, comme elles sont manipulables, la propagande est tout à fait adaptée pour non seulement leur faire penser ce que les politiques souhaitent qu'ils pensent mais aussi pour les maintenir intellectuellement enfants. Autrement dit sans propagande l'opinion publique échappe aux étatistes. J'ai chiffré la propagande française, en ne comptant que la culture et les médias à plus de 15 milliards mais le coût de la propagande en France est bien plus important. Pour chiffrer le coût total de la propagande il faut compter d'autres éléments comme les aides aux entreprises.

Les personnes intellectuellement adultes ne sont pas réceptives à la propagande. Elles ne pensent pas comme veut l'Etat mais en fonction de leurs propres intérêts. Elles ne sont réceptives qu'à des idées qui peuvent passer le filtre de leur esprit critique.

A partir du moment où nous avons compris cette différence fondamentale pour répandre les idées libérales il n'y a plus qu'à commencer par le début : s'attaquer à la carence. Cela signifie qu'il faut répandre l'esprit critique. A chacun d'imaginer ce qu'il y a de mieux à faire. Actuellement sur mon portail je m'attaque à ce problème à ma manière.

Pour défendre l'avenir et le développement de mon métier il m'est indispensable de m'attaquer au fondement de la propagande. Je n'agis donc pas que pour moi. Je ne suis pas le seul bénéficiaire des revenus publicitaires sur Internet loin s'en faut. Je pense avoir montré que les personnes intellectuellement adultes n'étaient pas réceptives à la propagande or sur Wikipédia et ailleurs la publicité est assimilée à de la propagande. En répandant l'esprit critique j'ôte un argument à ceux qui interdisent ou limitent la publicité sous prétexte qu'elle peut être un outil de propagande.

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Après réflexion je pense donc que ma notion de maladie est TRES IMPORTANTE pour le libéralisme car elle me semble un fondement qui va permettre au libéralisme de se développer.

Avoir confiance en soi, c'est bien.

Ne pas dire n'importe quoi, c'est mieux.

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Je vois que ma réflexion ne passe pas ici. Mon but n'est pas de m'imposer donc je m'arrête là. J'ai bien vu les ciseaux de H16. Cela pourrait s'appeler de la censure si je n'avais pas de portail Internet pour m'exprimer.

Merci à ceux qui ont consacré un peu de leur temps pour me répondre.

Merci à ceux qui participent à librairal.org et autres sites de contenu du réseau libéral.

Je viens de lire :

http://www.catallaxia.org/wiki/Friedrich_A…la_Libert%C3%A9

que j'ai apprécié.

Je continuerai donc à lire le contenu offert et je mettrai si besoin des liens vers eux depuis mon portail.

J'ai vu que Nick de Cusa présidait l'association donc je tiens compte de son avis.

Avant de m'arrêter je réponds à :

Pour le brave Ludwig, je pense qu'il s'en trouvera. Pour M. de Libourne, en revanche …

J'ai commencé par créer mon portail en septembre 2000. Je n'ai évidemment pas attendu tout ce temps pour venir ici afin de faire venir des visiteurs vers mon portail.

J'ai participé du 3 décembre 2004 au 25 octobre 2007 à un forum sur le référencement. J'avais pour habitude (Je n'ai donc pas changé) de mettre des liens dans mes textes. Bien sûr il y avait souvent des liens vers mon portail dans mes messages. Je l'ai toujours fait pour les internautes jamais pour les moteurs de recherche. Cela ne correspondait pas à la mentalité du forum qui était de plus en plus obnubilé par le positionnement dans Google. Donc pour eux l'internaute ne comptait pas. Fin 2007 certains administrateurs m'ont censuré. Estimant que j'apportais une plus-value avec mes messages contenant des liens, n'étant pas d'accord avec cette vision qui ne pouvait que conduire Google à se renforcer, j'ai effacé tous mes messages. J'avais demandé que mon compte soit supprimé. Cela n'a pas été fait ce qui permet aujourd'hui de vérifier ce que j'ai fait :

http://forum.webrankinfo.com/search.php?au…fb84957c5fe611a

Donc les ciseaux peu m'importe.

Beaucoup se plaignent de la place de Google aujourd'hui. Certains utilisent même cette position de Google pour obtenir des subventions mais beaucoup ont contribué à cette place. Ne serait-il pas normal qu'ils payent leur manque de clairvoyance?

Pour ma part j'ai une autre vision en ce qui concerne Google. J'utilise Adsense de Google car c'est ce qui rapporte le plus mais j'essais de développer l'audience de mon portail sans qu'elle dépende de Google.

Google positionne les liens dans son moteur de recherche selon ce qui va lui rapporter le plus. Comme on n'est jamais mieux servi par soi-même c'est de plus en plus vers ses services qu'il dirige les internautes. C'est logique et normal.

J'ai bien vu qu'en ce qui concerne librairal.org vous parliez du PR. J'ignore si je serais entendu mais méfiez-vous. Il est probable que tôt ou tard Google oriente de préférence vers les livres qu'il numérise actuellement ainsi que vers son encyclopédie http://knol.google.com/k/accueil-knol-fran…3%A9die-google# et vous pourriez assister à une chute plus ou moins brutale des visiteurs en provenance de Google. Certains sont déjà passé par là (Météo, cartes, cinéma…) mais beaucoup continuent comme si de rien n'était. Il est à noter que je pourrai écrire dans l'encyclopédie de Google et mettre des liens vers mon site mais cela serait stupide de ma part. J'ignore si vous le comprendrez.

Peut-être qu'au moment ou Google vous enverra moins de visiteurs vous me remercierez d'avoir mis des liens vers librairal.org et autres sites libéraux. Bien sûr si j'existe toujours. Je n'ignore pas qu'une entreprise est fragile. A ce qui paraît même des banques importantes peuvent faire faillite. :icon_up:

A+

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Je vois que ma réflexion ne passe pas ici. Mon but n'est pas de m'imposer donc je m'arrête là. J'ai bien vu les ciseaux de H16. Cela pourrait s'appeler de la censure si je n'avais pas de portail Internet pour m'exprimer.

Ici, on ne les emploie pas dans ce contexte (seulement en cas d'injures, p.ex).

Ce que vous écrivez est abscons, confus et trop long, mais nous ne censurerons pas. Y'a pas besoin.

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