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Pensée existentielle


Barem

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Comment accepter les contraintes qui s'impose à nous ?

Je vous donne quelques exemples : les études, les transports, le travail, …

je ne comprends pas ce que tu dis.

Si tu es un libertarien normal, a savoir hyper poilu et avec des couilles enormes, les etudes sont l'anti-chambre de la reussite, les transports sont la pour te faire aimer la moto et le travail est suppose etre un delice que tu as choisi par gout vers lequel tu iras le coeur plein de joie chaque matin de ta vie et meme parfois le dimanche avec enthousiasme.

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Bien entendu, Esperluette, j'ai déjà réfléchit à ce genre de réponse relevant, sans vouloir t'offenser, d'un "prosaïsme" qui ne peut me persuader à accepter certaines contraintes.

Prenons un exemple : en terme d'étude, le fait d'y consacrer du temps relève d'une perte de temps à mon sens ; je parle ici du travail à domicile, non du travail scolaire au sein de l'établissement.

Sans doute me trouverez vous bien maladroit et peu futé, mais j'affirme tout de même ne pas avoir trouvé, encore aujourd'hui, une solution à ce problème de refus.

Il nous revient souvent à l'esprit, en des centaines de circonstances, l'idée que "l'on a vraiment mieux à faire" que ceci ou cela.

Comment parer à ces considérations négatives, voir déprimantes à force d'être de plus en plus véhémentes ?

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Il nous revient souvent à l'esprit, en des centaines de circonstances, l'idée que "l'on a vraiment mieux à faire" que ceci ou cela.

Comment parer à ces considérations négatives, voir déprimantes à force d'être de plus en plus véhémentes ?

On prends la décision soi même, plutôt que de se la faire imposer, et ensuite, comme c'est notre décision, c'est facile de s'y tenir, par égo :icon_up:

Si tu est intimement convaincu d'avoir mieux a faire, fait mieux, mais choisis… judicieusement.

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… le travail est suppose etre un delice que tu as choisi par gout vers lequel tu iras le coeur plein de joie chaque matin de ta vie et meme parfois le dimanche avec enthousiasme.

Le travail individuel me satisfait ( comprendre l'actualité, m'introduire dans l'économie, connaitre l'histoire de la philosophie, lire des romans, … ) au contraire du travail scolaire voir, dans quelques années, je suis certain d'éprouver la même sensation pour le travail salarié…

Ne voulant pas sombrer dans des pensées obscurs et abjects mêlé de métaphysique et de concept inintelligible à la sauce libertaire Debord, Vaneigem, et j'en passe, j'espère trouver des réponses constructives dans ce sujet.

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comprendre l'actualité, m'introduire dans l'économie, connaitre l'histoire de la philosophie, lire des romans

tu appelles ca du travail? j'appelle ca du loisir borderline branlette, le travail a un resultat concret chiffrable, de la valeur ajoutee.Je suis pret a parier que ton desarroi metaphysique vient du fait que tu n'obtiens pas de valeur ajoutee avec ce que tu fais de ta vie.

C'est comprehensible dans la mesure ou l'obtention de pratiquement n'importe quel diplome revient a apprendre des tours de singe qu'on jettera au rebut des son premier jour de travail, a moins que tu ne sois luthier ou electro-technicien.

Comment parer à ces considérations négatives, voir déprimantes à force d'être de plus en plus véhémentes ?

une victoire par jour.

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Alors tous les intellectuels auraient pour toute tâche de se satisfaire d'un "loisir borderline branlette" ?

En quoi cela ne serait il pas du travail ? Pour faire simple, je trouve bien plus utile de développer son esprit critique, pour éviter notamment de tomber dans certains gouffres gauchistes sordides que de me plonger nuit et jour dans des cours.

Je suis pret a parier que ton desarroi metaphysique vient du fait que tu n'obtiens pas de valeur ajoutee avec ce que tu fais de ta vie.

L'idée est intéressante.

En effet, on ne gagne pas vraiment sa croute sur les bancs de l'université, c'est certain.

C'est comprehensible dans la mesure ou l'obtention de pratiquement n'importe quel diplome revient a apprendre des tours de singe qu'on jettera au rebut des son premier jour de travail

Je te rejoins sur ce point, c'est d'ailleurs un des éléments fautes duquel j'ai beaucoup de mal à accepter certains sacrifices.

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Alors tous les intellectuels auraient pour toute tâche de se satisfaire d'un "loisir borderline branlette" ?

En quoi cela ne serait il pas du travail ?

Si tu peux transformer ta branlette en revenu décent, là, ça devient un travail.

Exemple typique : un auteur philosophique qui est connu et dont les livres se vendent et s'achètent vraiment. Pas BHL, donc.

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Alors tous les intellectuels auraient pour toute tâche de se satisfaire d'un "loisir borderline branlette" ?

En quoi cela ne serait il pas du travail ?

c'est vraiment tentant de repondre oui a la premiere phrase :icon_up:

plus serieusement, c'est la recherche d'un resultat vendable qui caracterise le travail.

Je te rejoins sur ce point, c'est d'ailleurs un des éléments fautes duquel j'ai beaucoup de mal à accepter certains sacrifices.

ca a ete mon probleme principal avec l'ecole, mais c'etait facile pour moi de dire fuck au systeme vu que je suis naturellement doué a la limite du génie. (Bognavomisme tardif non-acromegale)

Si tu dois absolument obtenir un diplome pour faire croire a un futur employeur que tu as du talent, tu vas devoir jouer le jeu.

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Si tu peux transformer ta branlette en revenu décent, là, ça devient un travail.

Certainement, mais dans le cas où l'on parle du travail dans l'activité économique.

Préalablement, lorsque je parlais de mon travail personnel, je pensais d'avantage à une activité organisée et répondant à mes propres aspirations. C'est un travail non de non !

Comment définiriez vous cette activité dans le cas contraire ? ( évitez les termes styles branlettes intellectuelles et j'en passe. )

T'as besoin d'une fille.

Depuis quand tu as changé ton pseudo Omboy ?

C'est déjà le cas.

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Depuis quand tu as changé ton pseudo Omboy ?

Depuis quelques jours/semaines, j'en avais marre de l'autre, mais j'suis toujours pas satisfait.

C'est déjà le cas.

Et c'est pas une source de motivation dans ta vie ? Sinon tu peux toujours tout plaquer pour élever des phoques au Congo.

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Alors tous les intellectuels auraient pour toute tâche de se satisfaire d'un "loisir borderline branlette" ?

En quoi cela ne serait il pas du travail ?

si deja toi ca ne te donne pas un sentiment d'accomplissement, peut-etre bien que oui, precisement, ton activite principalement intellectuelle ne satisfait pas ta personne qui a besoin d'achever des choses plus concretes.

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Comment accepter les contraintes qui s'impose à nous ?

Je vous donne quelques exemples : les études, les transports, le travail…

Ah, voilà un sujet tout indiqué pour effectuer mon retour :icon_up:

Il nous revient souvent à l'esprit, en des centaines de circonstances, l'idée que "l'on a vraiment mieux à faire" que ceci ou cela.

Comment parer à ces considérations négatives, voir déprimantes à force d'être de plus en plus véhémentes ?

Considérer que tout est intéressant. Dans n'importe quelle situation, il y a au moins un phénomène qui mérite qu'on s'y attarde pour l'étudier (formation des nuages, sociologie des groupes d'influence dans une classe, architecture du bâtiment, erreurs de logiques d'un prof… même le cours, parfois).

Toujours avoir un bouquin sur soi (protip : Dans les situations où il convient de faire semblant de suivre et de prendre des notes, un problème de maths bien fastidieux peut faire l'affaire).

Alors tous les intellectuels auraient pour toute tâche de se satisfaire d'un "loisir borderline branlette" ?

Ben oui, c'est ça qui est bon.

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Exemple typique : un auteur philosophique qui est connu et dont les livres se vendent et s'achètent vraiment. Pas BHL, donc.

Quand j'étais au lycée, un pote profitait de chaque visite à la biblio pour déplacer les bouquins de BHL du rayon philo vers le rayon fiction. :icon_up:

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Le travail individuel me satisfait ( comprendre l'actualité, m'introduire dans l'économie, connaitre l'histoire de la philosophie, lire des romans, … ) au contraire du travail scolaire voir, dans quelques années, je suis certain d'éprouver la même sensation pour le travail salarié…

Il faut être honnête : il n'y a pas beaucoup de métiers intéressants : créateur de robots, ou écrivain de science-fiction. Et il n'y a pas beaucoup d'études intéressantes au jour le jour : informatique ou cinéma.

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Comment définiriez vous cette activité dans le cas contraire ? ( évitez les termes styles branlettes intellectuelles et j'en passe. )

un hobby? mais 'travail personnel' convient en fait

Il faut être honnête : il n'y a pas beaucoup de métiers intéressants : créateur de robots, ou écrivain de science-fiction. Et il n'y a pas beaucoup d'études intéressantes au jour le jour : informatique ou cinéma.

ah moui? moi je me disais plutot que tous les metiers choisis sont interessant.

perso j'ai ete forme a faire un metier chiant a mourir (maintenance industrielle) que je ne fais pas du tout (je suis danseuse etoile dans un bateau croisiere) mais je connais des gens qui font de la maintenance industrielle par plaisir.

enfer, je connais meme un gars qui est ex-commando de reconnaissance (les mecs dans la jungle avec le cirage vert sur la figure), qui fait maintenant de la gestion de maintenance sur des machines d'imprimerie, il adore ca! la vie est bizarre…

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Raaaaaah mais tu vas nous dire ce que tu fais, crevure ?

C'est quoi ce métier où tu vois des jeunes français débarquer tous les 4 matins ?

Il bosse au syndicat d'initiative dans un bled quelconque. Tu sais, le gars qui file des prospectus sur les vieux cailloux dans la région. :icon_up:

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Le travail individuel me satisfait ( comprendre l'actualité, m'introduire dans l'économie, connaitre l'histoire de la philosophie, lire des romans, … ) au contraire du travail scolaire voir, dans quelques années, je suis certain d'éprouver la même sensation pour le travail salarié…

Ne voulant pas sombrer dans des pensées obscurs et abjects mêlé de métaphysique et de concept inintelligible à la sauce libertaire Debord, Vaneigem, et j'en passe, j'espère trouver des réponses constructives dans ce sujet.

Je suis à peu près d'accord avec Jim, ce que tu décris ressemble davantage à un loisir.

Un travail doit être productif. Si tu es capable de faire un commentaire construit sur l'actualité, sur le dernier roman que tu as lu, un résumé sur les notions d'économie que tu as comprises, un résumé sur l'histoire de la philosophie, une liste d'auteurs philosophiques incontournables et un résumé de leur pensée…c'est que tu as réellement travaillé, sinon, c'est simplement une distraction d'ordre intellectuel qui permet de fuir le vrai travail.

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Prendre des notes c'est la marque de celui qui apprends mieux de l'écrit que de l'oral.

Sa place est en bibliothèque, pas en cours !

Zut alors, moi qui fait cours depuis plus de 20 ans en ayant toujours pris beaucoup de notes au fil de mes lectures.

ah moui? moi je me disais plutot que tous les metiers choisis sont interessant.

+1 (orthographe mise à part)

Je suis à peu près d'accord avec Jim, ce que tu décris ressemble davantage à un loisir.

Un travail doit être productif. Si tu es capable de faire un commentaire construit sur l'actualité, sur le dernier roman que tu as lu, un résumé sur les notions d'économie que tu as comprises, un résumé sur l'histoire de la philosophie, une liste d'auteurs philosophiques incontournables et un résumé de leur pensée…c'est que tu as réellement travaillé, sinon, c'est simplement une distraction d'ordre intellectuel qui permet de fuir le vrai travail.

exactement.

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