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Nick de Cusa

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Est-ce qu'Entscheidung ne pourrait pas avoir comme sens "décision juridique" ? Auquel cas il ne s'agirait pas du choix d'approvisionnement, mais d'une prise de décision concernant (la légalité de ?) l'approvisionnement local en énergie. 

Qu'en est-t-il actuellement ? Le contexte me manque aussi...

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Est-ce qu'Entscheidung ne pourrait pas avoir comme sens "décision juridique" ? Auquel cas il ne s'agirait pas du choix d'approvisionnement, mais d'une prise de décision concernant (la légalité de ?) l'approvisionnement local en énergie. 

Qu'en est-t-il actuellement ? Le contexte me manque aussi...

 

J'ai un peu regardé le fonctionnement de l'approvisionnement énergétique en Allemagne et ça semble, au niveau local, être souvent du ressort des Stadtverke, ie. ateliers communaux.

L'approche de Nick semble donc être la bonne : libre choix local de l'approvisionnement en énergie.

 

Je suis passé pendant 6 mois devant une Stadwerke en me disant que ça devait juste être une réminiscence de la RDA  :facepalm: .

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Plan de recapitalisation bancaire: la France nerveuse à l’idée de se faire lâcher par l’Allemagne ?

 

Comme nous l’avons régulièrement évoqué, ceux qui pensent que la dernière étape avant une union bancaire et fiscale en Europe est une élection allemande (dont font partie un nombre surprenant d’eurosceptique britanniques) devraient se renseigner sur la situation européenne.

 

Comme nous l’avons signalé la semaine dernière, la dernière version du plan pour la résolution des crises bancaires laissent beaucoup de questions en suspens.

 

[Contexte – Cette proposition veille à établir une hiérarchie claire et standardisée des pertes en cas de faillite bancaire. C’est n’est nullement une proposition d’union bancaire complète qui impliquerait une forme de soutien combiné. En dépit du fait qu’une proposition de ce type ait déjà été envisagée dès 2010, puis ignorée l’été dernier, elle est revenue sur le devant de la scène à l'occasion la crise chypriote.]

 

Il n’est donc pas totalement surprenant, que ce Vendredi, après dix-huit heures de pourparlers, les Ministres des finances européens ne soient pas parvenus à un accord.  Les raisons de cette divisions sont elles peut être plus étonnantes. En particulier il est intéressant d’observer quels pays se sont retrouvés du même coté.

 

Nous avons souligné dans des articles précédents la position générale de chaque pays sur cette question.  Elles ne semblent pas avoir beaucoup évolué, bien que le point retenant le plus l’attention a lui changé. Précédemment, l’accent était mis sur l’ordre de préférence, c'est-à-dire quand et quelles pertes devraient encaisser les déposant durant une recapitalisation. Ce n’est pas une surprise depuis les récents événements à Chypre.

 

Un large consensus semble être en train d’émerger autour de d’une structure protégeant complètement les dépôts garantis et donnant la priorité aux dépôts non garantis détenus par les individus et les petites et moyennes entreprises. Après que cette hiérarchie ait été établie sur le principe, les négociations se sont recentrées sur le niveau de flexibilité autorisé à l’intérieur de cette structure. En particulier, la question est de savoir si le processus de recapitalisation devrait être automatique ou si une plus grande marge de manœuvre dans sa mise en œuvre devrait être laissée aux Etats.

 

Ce débat a vu l’Union européenne se séparer en deux larges groupes :

 

Un mené par la France, le Royaume Unis et les autres pays non membres de la zone euros plaident pour une plus grande flexibilité et une plus grande autonomie nationale. Cependant les motifs d’opposition sont bien différents. Le Royaume-Unis s’inquiète pour son secteur financier qui est plus important et bien plus varié que ceux des autres pays de la zone euro. La France de son côté tient à conserver la possibilité d’un renflouement bancaire ; selon elle la crainte d’une recapitalisation automatique pourrait augmenter les coûts de financement du crédit.

 

Le deuxième groupe est mené par l’Allemagne et les Pays-Bas, tous deux plaident pour une flexibilité limitée afin de permettre l’introduction d’un cadre standard dans la zone euro et également parce qu’ils craignent que les gouvernements privilégient leurs intérêts nationaux au dépend de ceux de la monnaie unique. Il y a donc un problème de confiance alors que les contribuables de ces pays pourraient avoir un jour à venir en aide aux banques européennes.

 

Si on ignore les détails techniques, la dynamique politique actuelle est fascinante. La France est actuellement du côté des pays non membres de la zone euro. Personne n’ignore que la France préfère faire les choses à 17 plutôt qu’à 27, puisque Paris est proportionnellement plus fort dans un plus petit groupe. L’Allemagne, de son côté préfère agir à 27 qu’à 17 pour la raison opposée.

 

L’idée d’une plus grande flexibilité pour les pays non membres de la zone euro selon certaines sources semblent gagner des supports alors que les négociations avancent. On peut s’attendre à ce qu’elle soit adoptée.

 

Maintenant, nous ne nous voulons pas tirer trop de conclusion sur ce qui se passé, mais premièrement, cette dynamique suggère que la France pourrait se trouver elle-même isolée à l’intérieur de la zone Euro. Deuxièmement, comme nous l’avons mentionné dans le passé, c’est peut être une autre indication de comment Paris, qui autrefois voyait en l’euro un moyen de garder l’Allemagne sous contrôle, devient nerveuse à l’idée de perdre le Royaume Unis comme contre pouvoir en Europe.

 

Comme toujours en Europe, cela vaut la peine de garder un œil sur les enjeux politiques présents en en arrière plan.

 

 

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10, je m'y suis mis il y a 5 mois

pourquoi tu m'as pas demandé combien de dan?

10ème kyu tu es déjà dans les 1000 meilleurs joyeurs français, hein. Il y en a combien avec des dan ? (sans parler des dan pros)

(sinon j'ai fait une pointe à 13 sur kgs)

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Quand l'article n'est pas dans le google doc, c'est qu'il n'y a personne dessus. Sauf s'il est déjà publié sur contrepoints, il y a eu quelques oublis ces derniers jours que j'essaierai de corriger dès que possible.

Celui que tu vises n'est pas pris, en tout cas.

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Disons "Emeric T."

Je n'ai pas eu le temps de le publier ce matin finalement, et je n'ai pas insisté parce qu'on avait déjà un nombre d'articles conséquent.

Sa préparation est bien avancée, je laisse celui qui fait la programmation de demain le reprendre.

 

Toutes mes excuses si tu avais fait ça dans l'urgence.

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Je n'ai pas eu le temps de le publier ce matin finalement, et je n'ai pas insisté parce qu'on avait déjà un nombre d'articles conséquent.

Sa préparation est bien avancée, je laisse celui qui fait la programmation de demain le reprendre.

 

Toutes mes excuses si tu avais fait ça dans l'urgence.

 

Pas de problème, je vais essayer d'en traduire d'autres à l'occasion. Je suis d'ailleurs preneur de tout feedack sur cette première traduction, je ne connais pas vraiment vos critères d'exigence.

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Il y avait quelques maladresses dans le texte, au sens de traductions un peu trop littérales. Ce qui s'explique d'ailleurs très bien, vu la rapidité avec laquelle tu as traduit le texte.

Je peux t'envoyer les quelques modifications que j'ai faite à l'occasion par mp (d'ici demain soir disons). Comme ça tu ne seras pas étonné par le texte français publié au final!

Modifié par Miss Liberty
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http://reason.com/archives/2012/09/26/denial-of-medical-choice-even-worse-than/print
La fin des libertés médicales est encore pire que ce que vous pensez.

Par A.Barton Hinkle

 

Les défenseurs du droit à l'avortement se sont indignés à la Virginia Attomey General Ken Cuccinelli que le tout puissant Conseil de la Santé ait approuvé de nouvelles réglementations médicales. Ces défenseurs craignent que les bureaucrates n'alourdissent la législation en vigueur et ne réduisent ainsi l'accès aux soins.

En vérité, les bureaucrates restreignent déjà l'accès au soins. Et ils en ont désormais l'aval judiciaire. La semaine dernière, un juge de district fédéral a rejeté la poursuite judiciaire de deux médecins qui contestaient le contrôle arbitraire et capricieux de l'Etat sur les traitements médicaux. Le juge a rétorqué que l’État était parfaitement en droit de réduire l'accès des patients aux soins.

 

Le premier médecin, Mark Baumel, pratique une méthode de dépistage du cancer du colon bien moins invasive que celle recommandée par le gouvernement. Lorsqu'il a tenté d'offrir les mêmes services en Virginie, l'Etat s'y est opposé. Il ne s'y est pas opposé pour la dangerosité de la procédure ; elle n'est pas dangereuse. L'Etat s'y est opposé parce qu'il ne voulait pas que Baumel achète le CT scanner nécessaire à la procédure. Pourquoi ? Parce qu'il y avait aux alentours d'autres centres médicaux dotés de CT scanners et les fonctionnaires ont donc jugé l'achat – accrochez-vous – non nécessaire. Une même chose est arrivée au Dr. Mark Monteferrante. Longtemps auparavant, il avait aidé les propriétaires du centre de radiologie de Virginie du Nord où il avait travaillé à acheter une deuxième machine IRM. Il lui aura fallu attendre 5 ans pour obtenir une autorisation de l’État et plus de $175,000 de frais. Par la suite, le centre de radiologie a été vendu. Monteferrante veut donc en démarrer un autre par lui-même. Mais cela nécessite d'acheter de nouveaux équipements et surtout de reproduire une longue et coûteuse procédure.

 

Tout ceci est le résultat de quelque chose appelé le processus du certificat de nécessité (CDN). Le régime du CDN de Virginie (appelé Certificat de Nécessité Publique) donne aux hauts-fonctionnaires le pouvoir de décider si, dans leur sagesse infinie, un équipement ou une machine médicale est nécessaire dans une aire donnée. L'idée sous-jacente est qu'en restreignant l'approvisionnement des services médicaux, l’État peut diminuer les montants des dépenses de santé.

C'est la théorie. En pratique – comme toujours – ça ne fonctionne pas. La Federal Trade Comission et le Département de la Justice ont récemment conclu dans un rapport sur ce problème : les régimes de CDN «  ne remplissent pas leurs objectifs de réduction des coûts de santé » et « des études empiriques ont prouvé que le programme CDN échoue à maintenir les coûts et tend même parfois à les augmenter. » Le rapport a également indiqué que les exigences du CDN peuvent être anti-compétitives. Pourquoi ? Parce que le processus donne aux fournisseurs d'équipements de santé déjà installés l'opportunité d'écarter toute compétition naissante sur le marché.

 

Cas typique : il y a 5 ans, le centre de radio-oncologie de Richmond voulait déplacer un équipement de traitement par radiations utilisé à l'hôpital St Mary vers un centre contre le cancer à Hanovre. Ce déplacement nécessitait l'approbation du CDN. L’État a répondu par la négative : le centre contre le cancer VCU de Massey proposait déjà des services de radio-oncologie à Hanovre et – dans leurs termes - « les administrateurs du VCU s'y sont opposés, car ceci pourrait détourner une partie de leur clientèle. »

 

Il y a quelques mois, Baumel et Monteferrante – à l'aide de l'Institut pour la Justice basé à Arlington – ont poursuivi en justice le système CDN de Virginie. Ils ont démontré, entre autres arguments, que ce système n'assure plus un traitement égal à tous devant la loi. Le système CDN de Virginie s'applique à certains services mais en dispense beaucoup d'autres de réglementations : médecins libéraux, services des grands brûlés, ambulances, maisons de retraite, guérisons par ultrasons, centre de soins pour toxicomanes, etc...

 

Ils ont également montré que le régime CDN interfère avec l'économie inter-États. Ce qui est le cas, à en croire la logique de l'Obamacare. Si une seule personne refusant de payer pour une assurance maladie peut affecter l'entièreté du système d'assurance maladie national, alors le refus de la Virginie d'approuver la construction d'un tout nouvel hôpital affecte le marché dans une toute autre mesure.

 

La semaine dernière, le juge Hilton a examiné l'affaire. Les restrictions économiques imposées aux acteurs du marché sont très facilement justifiables par un test dit de « base rationnelle » même lorsque ceux-ci affectent la liberté de choisir du patient. Comme l'a expliqué Hilton, la seule condition nécessaire à la validation du test est la croyance que quelque chose a besoin d'être corrigé. Si tel est le cas, il se pourrait qu'une mesure législative aille dans ce sens. « Un choix législatif n'est plus sujet de recherche de faits et de la vérité mais de croyances qui peuvent être invalidées empiriquement ». En d'autres termes, les commissions peuvent ordonner des restrictions pour la plus petite justification concevable. L’institut pour la Justice nous dit que Baumel et Monteferrante vont faire appel. S'ils ne le font pas, ou si (plus probable) les tribunaux défendent Hilton, l'affaire tombera dans les mains de l'Assemblée Générale qui décidera de l'avenir du système CDN.

 

Mener l'attaque pour l'abrogation revient donc aux militants favorables aux droits à l'avortement qui insistent quotidiennement sur le fait que les choix médicaux devraient revenir au patient et à son médecin. Ces militants pensent que de tels choix ne devraient pas être laissés à de tierces parties imposant leur vagues idées du bien commun. Ces militants ont raison. Mais en Virginie, ce que désire le patient n'est pas pertinent. Tant que le système de CDN persistera, l’État aura toujours le dernier mot.

 

 

 

 

 

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http://reason.com/archives/2012/10/03/its-easier-to-get-welfare-than-to-work/print
 

Avec le Pole emploi américain, il est plus facile d’obtenir des allocations chômage que du travail.

 

“Il n’y a pas de travail!” Voila ce que les gens m’ont dit devant un centre d’aide gouvernemental à la recherche d’emploi a New York.

Pour le vérifier, j’ai envoyé quatre enqueteurs dans le quartier. Ils ont rapidement trouvé quarante offres d’emploi. Trente quatre étaient ouvertes aux débutants. Le propriétaire d’un restaurant m’a dit qu’il embaucherait douze personne si des travailleurs venaient simplement appliquer.

Je me demandais donc ce que le gouvernement pouvait bien faire dans les locaux de ces centres d’aide à la recherche d’emploi. J’ai donc demandé à une stagiaire universitaire, Zoelle Mallenbaum, de chercher à en savoir plus. Voici ce qu’elle a découvert:

“Tout d’abord je me suis rendue au centre de Manhattan et j’ai demandé, “Puis-je avoir de l’aide pour trouver du travail?”. Ils me répondirent qu’ils ne faisaient pas ça. “Nous inscrivons les gens pour les bons alimentaires” expliquerent-ils. J’ai essayé un autre centre. Ils me conseillerent d’appliquer pour recevoir une allocation chômage.

Les centres d’aide à la recherche d’emploi aident donc les gens à recevoir des allocations. Aucun centre n’a proposé aux gens d’essayer d’appliquer pour les quarante offres d’emploi du quartier.

Ma stagiaire insista:

“J’ai expliqué que je ne voulais pas d’allocations; Je voulais un travail. On m’a alors dit de me rendre à WorkForce1 qui est un programme de la ville de NewYork. A WorkForce1, la réceptioniste m’affirma qu’elle ne pourrait pas m’aider car je n’avais pas de diplômes universitaires. Elle m’envoya vers un autre centre à Harlem. A Harlem, on m’expliqua qu’avant que je ne puisse obtenir de l’aide, je devais revenir pour une séance de formation a 8h30”.

Notre gouvernement vous aide immediatement quand il s’agit d’appliquer pour des allocations, mais vous fait passer par un labyrinthe si vous voulez réellement travailler.

“Le site internet de WorkForce1 conseille d’arriver une demi-heure en avance, c’est donc ce que j’ai fais” dit Zoelle. “Un agent de securité m’a alors dit que le batiment etait fermé. A 9h15, WorkForce1 installa trente d’entre nous dans une piece ou l’on nous expliqua que WorkForce1 orientait les candidats vers l’emploi, offrait un libre acces à une piece avec téléphone, fax et listes d’offres d’emplois et aidait les gens à appliquer pour des allocations pour chomeurs et handicapés. Les gens semblaient n’avoir pris note que de cette derniere partie de la présentation”.

“Une femme du groupe me glissa qu’elle venait à WorkForce1 car cela l’aidait à recevoir son allocation chômage”. A côté de moi, une autre personne interrogeait son voisin: “Que veux-tu faire?”  Et la personne de répondre en riant: “Je veux recevoir!” Enfin une autre personne m’avoua, “Je viens ici depuis dix sept mois; cet endroit est une perte de temps.”

“Finalement, j’ai rencontré une conseillere.” Elle m’a dit que je manquais d’expérience. Je le sais deja. J’ai demande si elle avait un poste pour lequel je pouvais etre qualifiée et elle m’arrangea un entretien avec  Pret, une chaine alimentaire qui forme ses employés. Chez Pret, j’ai appris que mon entretien n’était autre qu’un acces libre hebdomadaire offert par l’entreprise et annoncé sur leur site internet. N’importe qui pouvait entrer et appliquer. WorkForce1 n’offrait aucun avantage. Malgré mon pretendu entretien, j’ai attendu quatre vingt dix minutes avant de rencontrer un manager. Ce dernier me dit alors que WorkForce1 m’avait fait perdre mon temps, comme ils le faisaient toujours.” Et de rajouter, “Ils n’appellent jamais, ne posent jamais de questions”. Le manager me dit qu’il préferait embaucher des gens qui cherchent un emploi par eux-memes, comme par exemple ceux qui voient les annonces de Pret sur Craiglist”.

Ma stagiaire apprit beaucoup de cette experience. Voici ses conclusions:

Il est plus facile d’obtenir des allocations que de travailler.

Le gouvernement préfere m’inscrire pour obtenir des allocations plutôt que de m’aider à trouver un emploi.

Les Etats-unis ont une bureaucratie, financée par les contribuables, qui encourage les gens à devenir des assistés. Cette bureaucratie incite les gens à prendre ce qui est gratuit, pas à faire preuve d’initiative.

Il était plus facile de trouver des offres d’emploi par moi-même. Le marche privé de l’emploi fonctionne mieux que les centres d’aide gouvernementaux à la recherche d’emploi.

A present, le maire de New York Michael Bloomberg veut développer WorkForce1, prétendant que cela aide les gens à “trouver de vraies opportunités.” Je parie qu’il n’y a jamais envoyé quelqu’un pour verifier si cela était vrai.

Quand les hommes politiques découvrirent que l’assistanat créait de la dépendance et causait du tort aux pauvres, ils ont (logiquement) supposé que les services et les formations à l’emploi pouvaient aider. Les formations à l’emploi aident, quand ce sont les employeurs qui les font. Mais le gouvernement fait toujours tout moins bien.

GeorgiaWork$, un programme local du même etat, fournissait de telles mauvaises formations que seuls quatorze pourcent des personnes formées étaient engagées.

Le Comprehensive Employement Training Act (CETA) fonctionne plus comme un vendeur d’aides gouvernementales. Il organise des campagnes de recrutements pour les bons alimentaires et transporte gratuitement les gens vers les bureaux d’assistance du gouvernement.

Les Etats-unis ont désormais quarante sept programmes d’aide à l’emploi. Ils echouent. Et les hommes politiques en veulent plus. Ils en veulent toujours plus.

Il manque encore quelques accents, je finirais ca demain.

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