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Cela dit, on pourrait copier/coller la liste des signataires dans le sujet "Les ennemis du libéralisme". Mais ce serait trop facile, et on se ferait chopper par la CNIL :'(

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  • 2 weeks later...

 

Government agencies less likely than private to comply with environmental regulations, study finds

Government entities are less likely to comply with certain federal environmental regulations than are similar entities owned by private companies, according to a new study co-authored by an Indiana University researcher.

And regulatory authorities are less vigorous in enforcing the rules when they are regulating other governments, the study finds. Publicly owned facilities are less likely to face fines or other sanctions for violations than are those owned and run by private firms.

“We find pretty good evidence for power plants, hospitals and water utilities that government-owned facilities are more likely to violate standards than are their private-sector counterparts,” said David Konisky of the School of Public and Environmental Affairs at IU Bloomington, a co-author of the study. “And when they do violate, the government is less likely to come down hard on them.”

The study, "When Governments Regulate Governments," was published by the American Journal of Political Science and is available online. Konisky is an associate professor at SPEA. His co-author is Manny Teodoro, associate professor of political science at Texas A&M University.

Konisky cautioned against leaping to simplistic conclusions from the study. While some observers may suggest the findings present an argument for privatizing regulated services, he said, privatization can lead to other issues, such as a loss of accountability and over-spending for infrastructure.

Privatization “could be a solution, but it has to be put in context,” he said. “Importantly, it’s not the only solution.” Other approaches could include providing stronger incentives and assistance to help public agencies comply with regulations.

For the study, Konisky and Teodoro examined records from 2000 to 2011 for power plants and hospitals regulated under the Clean Air Act and from 2010 to 2013 for water utilities regulated under the Safe Drinking Water Act. The study included over 3,000 power plants, over 1,000 hospitals and over 4,200 water utilities -- some privately owned and others owned by public agencies.

  • For power plants and hospitals, public facilities were on average 9 percent more likely to be out of compliance with Clean Air Act regulations and 20 percent more likely to have committed high-priority violations.
  • For water utilities, public facilities had on average 14 percent more Safe Drinking Water Act health violations and were 29 percent more likely to commit monitoring violations.
  • Public power plants and hospitals that violated the Clean Air Act were 1 percent less likely than private-sector violators to receive a punitive sanction and 20 percent less likely to be fined.
  • Public water utilities that violated Safe Drinking Water Act standards were 3 percent less likely than investor-owned utilities to receive formal enforcement actions.

Konisky said the findings are significant but not surprising. Government entities have higher costs of complying with regulations because they often must go through political processes to raise the money needed to improve their facilities. And they may face pushback from customers or taxpayers who object to higher rates and have the political power to block them.

Public entities also face lower costs for violating the regulations, the authors argue. There is evidence from other studies that they are able to delay or avoid paying fines when penalties are assessed. And officials with regulatory agencies may be sympathetic to violations by public entities, because they understand the difficulty of securing resources in the public sector.

Konisky said future research on the topic could include interviews with representatives of the regulatory and regulated communities as well as studies focusing on other environmental programs, such as the length of time required to clean up public and private sites under the federal Superfund law.

“We also hope the idea of government regulating government will spark interest for research in other domains,” he said. “We’re investigating the environmental dimensions of the issue, but if other scholars want to pick up these ideas and investigate them in other spaces, that would be great.”

http://news.indiana.edu/releases/iu/2015/10/when-governments-regulate-governments.shtml

 

  • Yea 1
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C'est pas une question mais juste une question de bon sens. Faut être simplet où ne jamais avoir fait d'écologie pour pas comprendre que toutes les espèces sont interdépendantes. Donc les mecs qu'en ont rien à péter qu'une espèce disparaisse, pour une raison autres que l'évolution naturelle, sont juste inconscients. C'est dans leur intérêt de s'en préoccuper. Et ouai, votre nombril en est directement concerné les gars !

Enfin bref, sujet clos ouai ;)

Ce n'est pas vraiment une question d'espèces mais plutôt de leur fonction dans leur milieu. Si une espèce disparait car non-adapté à son nouvel environnement, il n'y aura aucun drame si une autre plus résistante vient occupé la niche écologique qui a été libérée. Expliquer qu'on dépend des autres espèces, ça ne risque pas de convaincre grand monde puisqu'on te répondra que l'humain est suffisamment malin pour inventer une alternative.

 

Exemple simple : les batraciens sont de bons indicateurs de la qualité de l'eau. Dans une zone humide, s'ils disparaissent à cause de la pollution certains insectes risquent de pulluler. Personne n'aime les invasions de moustiques. Plutôt que de préserver les grenouilles, on peut aussi investir dans des insecticides. Ce qui fera la différence (si la situation n'est pas irréversible), c'est la différence de coût entre la protection de l'environnement pour le maintien d'une espèce et l’épandage de produits insecticides.

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Ce n'est pas vraiment une question d'espèces mais plutôt de leur fonction dans leur milieu. Si une espèce disparait car non-adapté à son nouvel environnement, il n'y aura aucun drame si une autre plus résistante vient occupé la niche écologique qui a été libérée. Expliquer qu'on dépend des autres espèces, ça ne risque pas de convaincre grand monde puisqu'on te répondra que l'humain est suffisamment malin pour inventer une alternative.

 

Exemple simple : les batraciens sont de bons indicateurs de la qualité de l'eau. Dans une zone humide, s'ils disparaissent à cause de la pollution certains insectes risquent de pulluler. Personne n'aime les invasions de moustiques. Plutôt que de préserver les grenouilles, on peut aussi investir dans des insecticides. Ce qui fera la différence (si la situation n'est pas irréversible), c'est la différence de coût entre la protection de l'environnement pour le maintien d'une espèce et l’épandage de produits insecticides.

 

Oui d'accord, ca fait qu'on envisage la nature uniquement sous son aspect utile et pratique, c'est un peu dérangeant. C'est Descartes et sa maîtrise de la nature quoi. C'est étonnant dans le sens ou le libéralisme est une doctrine hautement éthique avec son approche des droits naturels, mais pour ce qui est de l'environnement, l'éthique passe à la trappe. Sauf pour ceux qui y sont attachés personnellement j'ai bien compris ;)

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C'est étonnant dans le sens ou le libéralisme est une doctrine hautement éthique avec son approche des droits naturels, mais pour ce qui est de l'environnement, l'éthique passe à la trappe. Sauf pour ceux qui y sont attachés personnellement j'ai bien compris ;)

"moi je suis plus gentil que vous d'abord"

Oui d'accord, ca fait qu'on envisage la nature uniquement sous son aspect utile et pratique, c'est un peu dérangeant.

 

 

Pourquoi ? 

Il est où le problème ?

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C'est totalement gratuit. Tu n'en sais rien, tu brodes juste un discours optimiste.

Tu définis des objets tels que "le coût de la maîtrise de ces conséquences" qui même s'ils sont peut-être calculables sont de toute façon très difficiles à calculer et très approximatifs.

Tu négliges totalement le fait que c'est un problème de "bien commun" typique où la distribution des couts et bénéfices détruit les incitations individuelles à agir et obligent les gens à mettre en place des actions collectives, avec toutes les difficultés que ça implique.

C'est normal de faire passer le bien être humain avant tout le reste. Mais un minimum d'attention et d'humilité avant de se permettre de détruire complètement des écosystèmes me semble de rigueur.

Si la destruction du "bien commun" n'a pas un impact d'une ampleur suffisante pour susciter des initiatives individuelles pour en sécuriser au moins une partie (a minima pour profiter de la rareté a venir de ce bien ayant une quelconque utilité pour une partie de l'humanité), c'est que ce "bien commun" n'était pas si intéressant.

Malgré les grandes disparitions qui ont déjà eu lieu selon beaucoup d'écolos je ne vois pas de bouleversement de la vie humaine, ni même de modification substantielle qui exigerait une quelconque action collective. De toute façon les consequences d'une telle action sont loins d'être complètement prévisibles, son coût l'est encore moins.

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"moi je suis plus gentil que vous d'abord"

 

Pourquoi ? 

Il est où le problème ?

 

 

Jean Neige il vous traite pas de con, enfin pas tous. Quand on dit que la disparition d'une espèce du fait de l'homme, c'est de la sélection naturelle ou que l'ours polaire on en a rien à foutre parce que le commun des mortes n'en voit jamais, c'est limite ;)

 

Le truc dérangeant c'est cette impression d'être totalement déconnecté de la nature et de ne rien lui devoir, de la considérer comme un bien comme un autre. Comme disait l'autre, ça manque un peu d'humilité. Chacun son point de vu.. 

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Quand on dit que la disparition d'une espèce du fait de l'homme, c'est de la sélection naturelle

 

C'est pourtant le cas. Pour être apte à survivre, un animal a intérêt d'être mignon. Ex : le panda qui ne survit que parce qu'il est assez mignon pour qu'il s'en occupe.

 

 

 

l'ours polaire on en a rien à foutre parce que le commun des mortes n'en voit jamais, c'est limite  ;)

 

Les dinosaures manquent à l'espèce humaine ?

 

 

 

Le truc dérangeant c'est cette impression d'être totalement déconnecté de la nature et de ne rien lui devoir

 

C'est quoi la nature ? C'est qui ? Pourquoi on lui devrait quelque chose ?

 

Sinon, on a effectivement des obligations qu'envers les êtres humains.

 

 

 

de la considérer comme un bien comme un autre.

 

Ton gros problème c'est de réifier la nature.

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 Faut être simplet où ne jamais avoir fait d'écologie pour pas comprendre que toutes les espèces sont interdépendantes

 

Affirmation simplette. 

 

Quel mal a fait la disparition des dinosaures aux mammifères ?

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Jean Neige il vous traite pas de con, enfin pas tous. Quand on dit que la disparition d'une espèce du fait de l'homme, c'est de la sélection naturelle ou que l'ours polaire on en a rien à foutre parce que le commun des mortes n'en voit jamais, c'est limite ;)

 

Le truc dérangeant c'est cette impression d'être totalement déconnecté de la nature et de ne rien lui devoir, de la considérer comme un bien comme un autre. Comme disait l'autre, ça manque un peu d'humilité. Chacun son point de vu.. 

 

C'est limite, vraiment? Mais qui est deconnecte de la nature? Qu'est-ce qui permet de mettre l'Homme au-dessus de la nature? Pourquoi ce que font les hommes est moins "naturel" que le terrier du lapin ou la coquille de l'escargot?

Ton cerveau et  tes mains sont autant naturels que les griffes du chat. Distinguer causes anthropologique et naturel est completement faux et artificiel. La ville est un ecosysteme naturel comme la foret.

Arretes de te croire superieur, tu n'es qu'un animal parmi d'autres.

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Pardonnez mon approche bobo gauchiste bien pensante, mais avec le RMU, ca sera le sujet où j'arriverai jamais à changer d'avis  :icon_tourne:

 

Parlez moi privatisation de la sécurité, des tribunaux, suppression du salaire minimum et du code du travail et tutti quanti ça crème, mais faut bien que ça bloque à certains endroits sinon c'est pas marrant..

 

Le mal qu'a causé la disparition des dinosaures à l'espèce humaine ? Le besoin d'inventer Jurassic Park pour combler ce manque de grosse bêbêtes pardi..

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Arretes de te croire superieur, tu n'es qu'un animal parmi d'autres.

 

Ah mais justement, ce que je reproche à certain, c'est bien de se croire supérieur et être apte à gérer la nature selon son aspect pratique. Approche peut être sotte, il n'empêche que c'est pas une impression de supériorité qui me fait dire ça au contraire. Je suis juste une victime des menaces alarmistes parmi d'autres ;)

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Jean Neige il vous traite pas de con, enfin pas tous. Quand on dit que la disparition d'une espèce du fait de l'homme, c'est de la sélection naturelle ou que l'ours polaire on en a rien à foutre parce que le commun des mortes n'en voit jamais, c'est limite ;)

Le truc dérangeant c'est cette impression d'être totalement déconnecté de la nature et de ne rien lui devoir, de la considérer comme un bien comme un autre. Comme disait l'autre, ça manque un peu d'humilité. Chacun son point de vu..

C'est limite par rapport à quoi ? Je mets l'humain avant tout et c'est pour ça que je combattrais toute idée de sauvetage des ours polaires (par exemple) si ça devait coûter des billions de dollars de développement.

Mais mettons. Faisons preuve d'une grande humilité et régressons à l'état d'animaux primitifs.

Est-ce que les autres animaux se sentent coupables du mal qu'ils font aux autres espèces ? Est-ce qu'ils reconnaissent une dette envers mère Nature ?

Non. Pourquoi ? Car leur but dans la vie, celui que leur a confié Gaïa, est se pérenniser leur espèce et d'améliorer leur bien-être.

Alors faisons honneur à Gaïa, butons tout ce qui se met en travers de notre bien-être et de la pérennité de notre espèce.

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Oui d'accord, ca fait qu'on envisage la nature uniquement sous son aspect utile et pratique, c'est un peu dérangeant. C'est Descartes et sa maîtrise de la nature quoi. C'est étonnant dans le sens ou le libéralisme est une doctrine hautement éthique avec son approche des droits naturels, mais pour ce qui est de l'environnement, l'éthique passe à la trappe. Sauf pour ceux qui y sont attachés personnellement j'ai bien compris ;)

 

En même temps, lorsque tu dis "C'est dans leur intérêt de s'en préoccuper." à propos de la Nature, tu l'abordes également sous un regard pratique pour l'humain. Mais je comprends ton raisonnement et il ne me dérange pas plus que ça. Par contre, ce qu'on fait concrètement de cette réflexion sur l'environnement est plus problématique...

 

Pardonnez mon approche bobo gauchiste bien pensante, mais avec le RMU, ca sera le sujet où j'arriverai jamais à changer d'avis  :icon_tourne:

 

Parlez moi privatisation de la sécurité, des tribunaux, suppression du salaire minimum et du code du travail et tutti quanti ça crème, mais faut bien que ça bloque à certains endroits sinon c'est pas marrant..

 

Ce n'est pas dramatique, tout le monde a ses tares ! Il faudra juste éviter de te faire nonosser. :-°

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Mais mettons. Faisons preuve d'une grande humilité et régressons à l'état d'animaux primitifs.

Est-ce que les autres animaux se sentent coupables du mal qu'ils font aux autres espèces ? Est-ce qu'ils reconnaissent une dette envers mère Nature ?

Non. Pourquoi ? Car leur but dans la vie, celui que leur a confié Gaïa, est se pérenniser leur espèce et d'améliorer leur bien-être.

Alors faisons honneur à Gaïa, butons tout ce qui se met en travers de notre bien-être et de la pérennité de notre espèce.

 

Oui enfin on peut aussi penser que puisque la conscience est le propre de l'homme, il n'ait pas à se comporter comme un animal primitif, qu'il doive s'en servir pour faire autre chose que pérenniser son espèce, qu'il s'en serve pour dépasser ces instincts primaires.

 

Enfin bref, c'est une question de sensibilité, point !

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ces libéraux pour être plus précis, il paraît même que tu l'es (même si des doutes peuvent être émis)

 

Ah nan j'ai jamais dit explicitement que je l'étais, cherche donc :D

 

Intéressé par l'approche libérale oui, sensibilité libérale dans beaucoup de sujets oui, mais des réticences aussi, et de l'ulitarisme beaucoup. Pas sûr de rentrer dans la case !

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Ouai mais déjà que vous avez du mal à admettre Koenig comme libéral, alors moi...

 

Ici, c'est un peu comme un temple bouddhiste : on cherche à travers la méditation le nirvana, l'éveil libéral ! Ouvre tes chakras et coupe toi les cheveux, compare par exemple José et Koenig : qui est le vrai libéral ?

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Oui d'accord, ca fait qu'on envisage la nature uniquement sous son aspect utile et pratique, c'est un peu dérangeant.

Sous quel aspect voudrais-tu qu'on l'envisage ?

C'est Descartes et sa maîtrise de la nature quoi.

On te lâche dans une nature non maîtrisée, avec aucun produit issu de la nature maîtrisée, et l'interdiction de maîtriser la nature, tu resterais en vie quelques heures. Quelques jours tout au plus.

 

C'est étonnant dans le sens ou le libéralisme est une doctrine hautement éthique avec son approche des droits naturels, mais pour ce qui est de l'environnement, l'éthique passe à la trappe.

À moins que tu prêtes au plantes, aux arbres, aux cailloux et aux animaux des notions d'éthique ou de droit, celles-ci ne concernent que les relations entre les êtres humains, pour qui seuls elles ont du sens. Par exemple, considérer que l'environnement végétal et animal doit à tel endroit être protégé de certaines actions humaines, c'est une question qui concerne strictement les relations entre les êtres humains, mais il n'y a pas de "droit des arbres" ou de "droit des animaux".
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Ici, c'est un peu comme un temple bouddhiste : on cherche à travers la méditation le nirvana, l'éveil libéral ! Ouvre tes chakras et coupe toi les cheveux, compare par exemple José et Koenig : qui est le vrai libéral ?

 

Drôle d'analogie puisque pour revenir au sujet de la nature, le bouddhisme peu conduire jusqu'au respect de toute forme de vie même la plus infime et la plus inutile  :icon_razz:

 

Par exemple, considérer que l'environnement végétal et animal doit à tel endroit être protégé de certaines actions humaines, c'est une question qui concerne strictement les relations entre les êtres humains, mais il n'y a pas de "droit des arbres" ou de "droit des animaux".

 

Dès lors y'a une incompatibilité avec pleins de religions rien que sur ce fondement. C'est le cas du bouddhisme comme cité précédemment mais aussi de la religion chrétienne selon laquelle Dieu nous a créé comme gérant et intendant de cette nature (d'où l'alarmisme du Pape François).. A partir du moment où n se construit une certaine spiritualité ou éthique sur le sujet de la nature, on déroge au libéralisme le plus pure quoi.

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