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Écologie, développement Duracell & topinambours


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Si c'était le cas en tout cas j'appliquerai ce raisonnement surtout à l'écologie puisque les dégâts sont souvent irréversibles.

 

Quels dégâts ?

C'est quoi un dégât écologique ? Quant un produit naturel comme le pétrole se retrouve dans la mer ?

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Le respect de la nature, la mère nature, c'est le respect vis à vis d'une mère à qui l'on doit tout : la vie, notre corps, notre nourriture, l'eau que l'on boit, les fruits que l'on mange, les animaux qui courent, les minéraux, les métaux, les richesses...tout cela appartient à la terre, à elle seule. 

Que nous demande la nature en échange de tous ces biens ? Rien, presque rien, si ce n'est prendre ce dont nous avons besoin, et pas d'avantage.

Autant dire que nous ne sommes encore que des enfants, et que les richesses de la nature nous croyons qu'elles nous appartiennent, et nous en tirons tout le profit que nous pouvons sans aucune conscience.

Je ne me sens pas fondamentalement différent, mais je vois bien, je pressens que nous avons à grandir individuellement et collectivement.

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On ne lui doit rien. La nature, c'est une lutte permanente pour la survie avec la mort à tout les coins de rue. 99% des amoureux de la nature ne tiendrait pas 3 jours dans la nature. La nature c'est quoi ? Une toute petite coupure pas grave qui s'infecte et te tue.

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On ne lui doit rien. La nature, c'est une lutte permanente pour la survie avec la mort à tout les coins de rue. 99% des amoureux de la nature ne tiendrait pas 3 jours dans la nature. La nature c'est quoi ? Une toute petite coupure pas grave qui s'infecte et te tue.

 

Tu dis vraiment n'importe quoi. 

Les remèdes sont aussi dans la nature.

Lutter pour survivre c'est la loi animale. 

Nous ne sommes pas des animaux.

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Tu dis vraiment n'importe quoi. 

Les remèdes sont aussi dans la nature.

Lutter pour survivre c'est la loi animale. 

Nous ne sommes pas des animaux.

 

Bizarrement, les moyens de crever sont beaucoup plus accessibles que ceux pour se soigner. 

 

La gentille mère nature : tiens, je te file le cancer mais t'inquiète, la chimio est aussi là quelque part, tu as 3 mois pour la trouver.

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Bizarrement, les moyens de crever sont beaucoup plus accessibles que ceux pour se soigner. 

 

La gentille mère nature : tiens, je te file le cancer mais t'inquiète, la chimio est aussi là quelque part, tu as 3 mois pour la trouver.

 

Chaque génération a son fléau.

La peste, la tuberculose, la syphilis, le SIDA, le cancer.

Ces maladies sont sans doute davantage le reflet des dérèglements humains.

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d'apres Quinn, l'etre humain sauvage passait 25% de son temps a travailler pour se nourrir (chasser etc) et le reste c'etait du temps libre ( sans internet cependant ) ; c'etait facile de sruvivre jusqu'au moment ou on tombait malade, ou si on se blessait.

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Tu dis vraiment n'importe quoi.

Les remèdes sont aussi dans la nature.

Lutter pour survivre c'est la loi animale.

Nous ne sommes pas des animaux.

C'est la nouvelle méthode des thèses bidons ça ? On invente un concept abstrait, sans existence, ni conscience propres et on lui accorde une créance illimité sur tout ce qui existe ?
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On ne lui doit rien. La nature, c'est une lutte permanente pour la survie avec la mort à tout les coins de rue. 99% des amoureux de la nature ne tiendrait pas 3 jours dans la nature. La nature c'est quoi ? Une toute petite coupure pas grave qui s'infecte et te tue.

 

Sans la photosynthèse, aucune d'entre nous ne pourrait exister. Pour autant, nous ne pratiquons pas la photosynthèse. Nous sommes totalement dépendant de ce phénomène naturel et biologique. Et d'autres phénomènes naturels, biologiques ou non. Les hommes ont acquis naturellement un statut supérieur par rapport au reste de la biosphère, et effectivement, la biosphère s'en tape de nous voir crever jusqu'au dernier d'une épidémie à la con. C'est justement pour ça que le développement humain s'est accompagné d'une maitrise toujours plus grande des phénomènes naturels, au point que j'ai argumenté avec (plutôt, contre) h16 autours de l'idée que nos sociétés industrielles tendent vers l'autotrophie. Mais de la à encourager à tout prix cette tendance, à en faire un projet d'émancipation, c'est pour beaucoup (et dont je suis), tomber dans  l'hybris.

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La nature nous a fait ravageurs, respectons la nature : soyons des ravageurs (qu'importe si ça entraîne notre propre disparition si telle est la volonté de la Nature).

Avant ça elle envoyait de temps en temps un astéroïde dans la tronche du Vivant, mais depuis qu'elle s'est mise à fumer le chichon, elle a la flemme et elle délègue. En tout cas c'est comme ça que je ressens la chose, ce qui justifie parfaitement mon mépris pour 95% des êtres humains (dont l'utilité naturelle est évidemment d'éprouver régulièrement la faculté des Hommes Authentiques à percevoir les Vrais Buts de la Nature).

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Que faites-vous mercredi ?

Il faut supprimer la commission du Développement durable

Par Samuel, vendredi 23 octobre 2015

Mercredi prochain, en pleine période budgétaire, alors que toutes les commissions parlementaires croulent sous les rapports, la commission du Développement durable examine un rapport d'information sur les oies cendrées. C'est le seul point à l'ordre du jour de la commission du mercredi, celle où les députés sont obligés de venir, sous peine de sanctions financières.

Pas besoin d'en dire plus pour mesurer la misère dans laquelle se trouve cette commission. On peut légitimement se demander à quoi elle sert. Son champ de compétences, sur le papier, n'est pas nul : environnement, transport, aménagement du territoire, maritime, équipement, même s'il lui manque quelques éléments, comme l'énergie, restée aux Affaires économiques, lors de la scission des deux commissions en 2009. En comparaison des autres, la commission du développement durable n'a que peu de textes législatifs, et ils sont souvent considérés comme techniques, et peu propices à mettre en valeur dans les médias. Les Lois ou les Finances, c'est autre chose ! Autant vous dire que c'est la moins demandée, sauf par quelques écologistes de tous bords, qui se disent qu'ils vont sauver la planète en y allant. Les ténors du Parlement n'y viennent pas, ce qui affaibli l'influence de cette commission.

Le choix de créer cette commission remonte au Grenelle de l'Environnement, en 2008, où les écologistes pensaient que l'autonomie permettrait un traitement plus "correct" de leurs sujets. L'idée était de soustraire l'environnement à l'emprise des "productivistes" de la commission des affaires économiques (vous savez, ces suppôts de l'industrie, qui ne pensent qu'à polluer pour produire plus). Force est de constater que cette stratégie est une véritable impasse. Si la commission du développement durable traite bien de la biodiversité, les principaux sujets dont dépend réellement la défense de l'environnement, l'énergie, l'urbanisme, l'industrie, sont restés aux affaires économiques où les "productivistes" ont les mains libres, les environnementalistes étant partis s'occuper des oies cendrées.

Le constat, depuis 2012, est affligeant. Le président de la commission, Jean-Paul Chanteguet, est certes sympathique, mais il a perdu tous ses combats et ne pèse politiquement rien. La loi de la transition énergétique a été pilotée de bout en bout par le président des Affaires économiques, François Brottes. L'écologiste Denis Baupin, inscrit au développement durable en début de législature, a vite compris, et siège aujourd'hui aux Affaires économiques.

L'erreur est venue de croire que l'on pouvait scinder les sujets. Or, ce n'est pas possible. Quand une matière est attribuée à une commission, elle ne la partage pas. Or, les questions essentielles pour l'environnement sont souvent bifaces : on peut y entrer par le biais productiviste ou par celui de l'environnement. Il est donc indispensable de réunifier les deux commissions, afin que les textes économiques puissent être étudiés de manière équilibrée et que les tenants des deux approches puissent débattre au sein d'une instance qui les réunit tous. C'est du débat, de la délibération que naissent les compromis, pas de la confrontation de deux structures rivales, qui passent leur temps à essayer d'empiéter sur le territoire de la voisine. A ce jeu, les environnementalistes ont jusqu'ici plus perdu que gagné, et je ne vois les choses changer dans un avenir proche.

Les sénateurs, qui ont été contraints de suivre, en créant eux aussi une commission du développement durable, ont vite compris que cela ne pouvait pas marcher. Ils ont donc décidé, lors de la dernière réforme de leur règlement, de la transformer en commission de l'aménagement du territoire, faisant du développement durable une compétence secondaire. La chose se prête mieux au Sénat, du fait de son tropisme "collectivités locales" et "territoires". La mutation n'est toutefois pas complète, car les compétences restent maigres. La vraie révolution serait de rendre aux affaires économiques quelques matières "environnement", en récupérant la compétence sur les collectivités locales. Cela n'est pas gagné, car les Lois ne vont pas lâcher le morceau aussi facilement. Pourtant, ce serait l'aboutissement logique : une grande commission du "territoire" cotoyant une autre dédiée à l'économie rassemblant ceux qui s'intéressent au sujet, quel que soit leur manière d'envisager la matière.

Tout cela montre à quel point les jeux de mécano institutionnels sont souvent de mauvaises pistes pour résoudre des problèmes. Un peu comme croire que changer de constitution résoudra tous les problèmes de la France...

http://authueil.org/?2015/10/23/2310-il-faut-supprimer-la-commission-du-developpement-durable
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En tout cas c'est comme ça que je ressens la chose, ce qui justifie parfaitement mon mépris pour 95% des êtres humains (dont l'utilité naturelle est évidemment d'éprouver régulièrement la faculté des Hommes Authentiques à percevoir les Vrais Buts de la Nature).

 

n'importe quelle espece finit par ressembler a de la vermine si tu en mets assez au meme endroit...

de toute facon c'est tres simple, ce sont les irresponsables qui polluent.Donc les etats, les producteurs encourages a l'irresponsabilite, et les vrais irresponsables.Avec les etat et leurs chronies loin en tete, bien sur.

Pour les irresponsables il y a la loi et pour les etats....il n'y a rien ils font ce qu'ils veulent.

 

Le discours sur la place de l'homme et la nature et 100% sans interet fonctionnel.

  • Yea 4
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J'adooooore le passage où ils parlent des contraintes et des surcoûts engendrés par, je cite, l'absence de maîtrise (entendre contrôle) de la consommation d'énergie.

C'est même plus un tabou. On ne se cache plus. L'énergie devra être contrôlée, c'est nécessaire pour le bon fonctionnement de l'Humanité et de la Nature.

L'écologi(sm)e a bien mérité son titre de dernier repaire des autoritaires.

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Que ce soit du troll ou un trop plein de psychotropes, il faut arrêter ça, tu te fais du mal.

Bien des humains doivent leur naissance à des psychotropes, un peu de respect. Et voilà, t'as encore fait bouder Dieu himself et dame Nature est carrément terrifiée par l'existence même de mecs comme toi capables d'attenter à sa dignité, son honneur et son image de marque. Fais vite une offrande à ton pied de beuh et prie pour que le Très Haut ne se suicide pas, parce qu'il est carrément en train de nous faire une dépression là !
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Le respect de la nature, la mère nature, c'est le respect vis à vis d'une mère à qui l'on doit tout : la vie, notre corps, notre nourriture, l'eau que l'on boit, les fruits que l'on mange, les animaux qui courent, les minéraux, les métaux, les richesses...tout cela appartient à la terre, à elle seule. 

Que nous demande la nature en échange de tous ces biens ? Rien, presque rien, si ce n'est prendre ce dont nous avons besoin, et pas d'avantage.

Autant dire que nous ne sommes encore que des enfants, et que les richesses de la nature nous croyons qu'elles nous appartiennent, et nous en tirons tout le profit que nous pouvons sans aucune conscience.

Je ne me sens pas fondamentalement différent, mais je vois bien, je pressens que nous avons à grandir individuellement et collectivement.

 

Je soupçonne la surdose homéopathique !

 

 Pardon de citer la Bible mais

 

 

 Saison 3, épisode 1

 

Depuis quand citer une série est un argument ? Vous me rappelez Snow, voila maintenant je suis nostalgique... :icon_neutral:

Plus sérieusement, Il a quoi de si bien cet épisode ? Je ne tiens pas vraiment à le regarder pour le découvrir.

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