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Donc la seule raison pour laquelle tu condamnerais pénalement un violeur castré, c'est parce que tu crains qu'il continue à violer en utilisant autre chose que son pénis ? :rolleyes:

 

Non, il est puni car il a commis une faute. Par contre, en tant que citoyen je serais plus rassuré si je sais que le système judiciaire (que je finance) ne relâche pas des criminels ou des délinquants en puissance. Un violeur est un déséquilibré qui cède à une pulsion : pas question de se contenter d'une peine de prison qui ne résous pas son problème.

 

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 Non, il est puni car il a commis une faute. Par contre, en tant que citoyen je serais plus rassuré si je sais que le système judiciaire (que je finance) ne relâche pas des criminels ou des délinquants en puissance. Un violeur est un déséquilibré qui cède à une pulsion : pas question de se contenter d'une peine de prison qui ne résous pas son problème.

 

Tu coures après une chimère, la rééducation ça ne fonctionne pas, le cerveau humain est trop complexe pour être contrôlé ou reprogrammé. La seule conséquence de tes principes sera de condamner des criminels à des peines excessivement longues, d'en condamner d'autres à des peines excessivement courte et de mettre en place une administration ayant le pouvoir de décider arbitrairement si un criminel ou un délinquant peut être libéré ou non, avec tout ce que ça implique en terme d'abus de pouvoir et et corruption.

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Moi aussi, un tatouage facial exécuté au knout c'est quand même plus artistique.

It does not seem as though a man could be this bulky without being fat. But he's not fat at all, he's wearing tight stretchy clothes -- like leather, but not quite -- that show bones and muscles, but nothing else.

He is riding the Harley so slowly that he would certainly fall over if not for the sidecar. Occasionally he gooses it forward with a flick of the fingers on his clutch hand.

Maybe one reason he looks so big -- other than the fact that he really *is* big -- is the fact that he appears totally neckless. His head starts out wide and just keeps getting wider until it merges with his shoulders. At first Hiro thinks it must be some kind of avant-garde helmet. But when the man rolls past him, this great shroud moves and flutters and Hiro sees that it is just his hair, a thick mane of black hair tossed back over his shoulders, trailing down his back almost to his waist.

As he is marveling at this, he realizes that the man has turned his head to look back at him. Or to look in his general direction, anyway. It's impossible to tell exactly what he's looking at because of his goggles, a smooth convex shell over the eyes, interrupted by a narrow horizontal slit.

He is looking at Hiro. He gives him the same fuck-you smile that he sported earlier tonight, when Hiro was standing in the entryway to The Black Sun, and he was in a public terminal somewhere.

This is the guy. Raven. This is the guy that Juanita is looking for. The guy Lagos told him not to mess with. And Hiro has seen him before, outside the entrance to The Black Sun. This is the guy who gave the Snow Crash card to Da5id.

The tattoo on his forehead consists of three words, written in block letters:

POOR IMPULSE CONTROL.

Hiro startles and actually jumps into the air as Vitaly Chernobyl and the Meltdowns launch into their opening number, "Radiation Burn." It is a tornado of mostly high-pitched noise and distortion, like being flung bodily through a wall of fishhooks.

These days, most states are franchulates or Burbclaves, much too small to have anything like a jail, or even a judicial system. So when someone does something bad, they try to find quick and dirty punishments, like flogging, confiscation of property, public humiliation, or, in the case of people who have a high potential of going on to hurt others, a warning tattoo on a prominent body part. POOR IMPULSE CONTROL. Apparently, this guy went to such a place and lost his temper real bad.

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Tu coures après une chimère, la rééducation ça ne fonctionne pas, le cerveau humain est trop complexe pour être contrôlé ou reprogrammé. La seule conséquence de tes principes sera de condamner des criminels à des peines excessivement longues, d'en condamner d'autres à des peines excessivement courte et de mettre en place une administration ayant le pouvoir de décider arbitrairement si un criminel ou un délinquant peut être libéré ou non, avec tout ce que ça implique en terme d'abus de pouvoir et et corruption.

 

Donc un criminel le reste toute sa vie ? Ou alors, c'est d'avoir fait l'expérience de la prison qui le dissuadera d'y retourner ? Autrement, belle caricature... J'imagine surtout qu'un système de gestion des criminels qui ne fonctionne pas et n'arrive pas à endiguer le problème de la récidive, ne recevra plus le soutien financier des citoyens. Je désire simplement que l'alternative choisie par ces derniers ne soient pas des abattoirs pour les criminels. Mais avec tant de pragmatisme face à la justice qui doit assurer la sécurité des individus, que proposes-tu ? :icon_wink:

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Donc un criminel le reste toute sa vie ? Ou alors, c'est d'avoir fait l'expérience de la prison qui le dissuadera d'y retourner ?

 

Le criminel se voit sanctionner à mesure du crime qu'il a commis, tu as oublié ?

 

Autrement, belle caricature... J'imagine surtout qu'un système de gestion des criminels qui ne fonctionne pas et n'arrive pas à endiguer le problème de la récidive, ne recevra plus le soutien financier des citoyens. 

 

Ah, parce que ton utopie est financée par des contributions volontaires et citoyennes en plus ? 

 

Mais avec tant de pragmatisme face à la justice qui doit assurer la sécurité des individus, que proposes-tu ? 

 

La justice ne doit pas assurer la sécurité des individus, elle doit rendre la justice, mais la sécurité est de fait favorisée par une justice qui sanctionne les criminels à la mesure de leurs crimes, la morale rejoint l'utilité.

 

  :icon_wink:

 

:icon_rolleyes:

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Tu coures après une chimère, la rééducation ça ne fonctionne pas, le cerveau humain est trop complexe pour être contrôlé ou reprogrammé. 

 

Pour le moment, mais là c'est une discussion qui a plus sa place dans le fil sur le transhumanisme.

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Neuneu2k a raison et celui qui n'est pas capable de faire du mal pour défendre les siens (la menace d'une vengeance est une défense) a échangé sa paire de couilles contre une pseudo-philosophie de looser soit-disant civilisé. De la lâcheté oui. De la lâcheté par dressage.

Je ne dis pas qu'il faudrait être au taquet à la première provocation venue.

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Je doute du libéralisme de tout ceux qui pensent que l’État à trop de pouvoir mais qu'on peut lui laisser celui de droit de vie ou de mort sur un individu.

 

 

J'ai dit.

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L'abolition de la récidive chez les meurtriers passe par la mort.

Car nul n'est obligé de respecter le droit de vivre d'une personne qui ne reconnait pas ce droit aux autres.

 

La seconde chance n'a pas de légitimité dans la mesure où il n'est laissé aucune seconde chance à la victime. 

 

Abolir la récidive, pour quoi que ce soit, passe par la mort. Même un myopathe trisomoque peut voler, même une eunuque manchot peut violer, la seule abolition totale de la récidive c'est de buter quelqu'un.

Et ta deuxième phrase est mignonnne mais sans justification.

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C'est un objectif constructiviste qui n'est apparu que longtemps après l'émergence des institutions judiciaires et qui n'a de sens que dans un système légaliste et centralisé, où le Législateur crée du droit conformément à un projet de société définit. Encore une fois c'est une externalité positive, mais ça n'est pas et ne peux pas être l'objet de la justice.

 

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L'abolition de la récidive chez les meurtriers passe par la mort.

Car nul n'est obligé de respecter le droit de vivre d'une personne qui ne reconnait pas ce droit aux autres.

La seconde chance n'a pas de légitimité dans la mesure où il n'est laissé aucune seconde chance à la victime.

On s'en fout, de la victime. et elle nous le rend bien, puisqu'elle est morte.
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En répondant ça, tu adoptes une approche constructiviste de la justice.

Tu pense plus à trasformer/éduquer le coupable, plutôt qu'a rendre la justice.

 

Tu ne répond pas à la question "est-il juste ou non d'executer le coupable" tu réponds à la question "qu'est ce que ça apporte ou pas à la société, au coupable et la victime (et ses proches) d'executer ou non le coupable".

 

On se faut autant de la victime que de l'utilité de l'execution.

Ce qui compte, c'est la justice. Est-ce juste ou non et pourquoi. C'est ça la question, et rien d'autre.

 

 

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En répondant ça, tu adoptes une approche constructiviste de la justice.

Tu pense plus à trasformer/éduquer le coupable, plutôt qu'a rendre la justice.

 

Tu ne répond pas à la question "est-il juste ou non d'executer le coupable" tu réponds à la question "qu'est ce que ça apporte ou pas à la société, au coupable et la victime (et ses proches) d'executer ou non le coupable".

 

On se faut autant de la victime que de l'utilité de l'execution.

Ce qui compte, c'est la justice. Est-ce juste ou non et pourquoi. C'est ça la question, et rien d'autre.

 

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Et répondre à la question "Est-ce juste ou non et pourquoi" ne t'inéresse pas ?

C'est trop compliqué ? Ce n'est pas intéressant ?

 

Juste par rapport à quoi ?

On a déjà apporté un élément de réponse en expliquant que le droit à la vie était absolu, non ?

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Je doute du libéralisme de tout ceux qui pensent que l’État à trop de pouvoir mais qu'on peut lui laisser celui de droit de vie ou de mort sur un individu.

 

 

J'ai dit.

 

Sans compter qu'il est infiniment plus douloureux pour n'importe quel individu de survivre sans ses libertés fondamentales des années et des années que d'abdiquer ou fuir ses responsabilités canant tout simplement.

 

Personnellement je préférerais quitter se monde plutôt que passer ma vie à l'ombre.

 

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Faudrait savoir, c'est un concours de barbarie ? On rejette la peine de mort parce que ce n'est pas assez douloureux ? 

 

Les plaignants devraient pouvoir commuer la peine à loisir.

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Une réflexion me vient : peut-être que la véritable question à aborder, avant celle de la peine de mort, est : peut-on priver quelqu'un de sa liberté ? Nous sommes sur un site aux sensibilités libérales variées, certes variées mais libérales. Il serait plus opportun, avant de penser aux peines, de réflechir à l'incarcération.

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On est d'accord, mais allez, est-ce bien nécessaire toutes ces personnes en prison ? Un voleur, que peut-il faire à part voler. Alors oui, il atteint à la propriété d'autrui, c'est une entrave à la société, c'est une agression qui se doit d'être corrigé, mais soyons raisonnables, il n'a pas commis un meurtre, il a volé la propriété de quelqu'un, cela demande réparation, voire compensation, mais est-ce qu'il est nécessaire de mettre le voleur en prison ; la prison coûte à la société.

 

Sinon, effectivement, il nous reste l'excommunication comme alternative à la prison.

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Juste par rapport à quoi ?

On a déjà apporté un élément de réponse en expliquant que le droit à la vie était absolu, non ?

 

Tout comme la propriété et la liberté, so what ? On emprisonne plus, on ne colle plus d'amende ? On ne punni plus en sommes, on ne cherche plus que la compensation et longue vie les tueurs de clochards sans famille ?

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Si tu veux mon opinion, je vais te décevoir : je préfère que le voleur rembourse ce qu'il doit. Si le voleur vole une voiture, il devra rembourser le prix de la voiture, plus frais de justice, voire compensation financière. C'est assez simple, j'estime de mon point de vue — en matière de vol, on est bien d'accord ? — qu'à partir du moment où je suis remboursé de la valeur initiale de mon bien, voire d'un supplément financier en fonction de la durée de confiscation, le voleur ne me doit rien.

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Si tu veux mon opinion, je vais te décevoir : je préfère que le voleur rembourse ce qu'il doit. Si le voleur vole une voiture, il devra rembourser le prix de la voiture, plus frais de justice, voire compensation financière. C'est assez simple, j'estime de mon point de vue — en matière de vol, on est bien d'accord ? — qu'à partir du moment où je suis remboursé de la valeur initiale de mon bien, voire d'un supplément financier en fonction de la durée de confiscation, le voleur ne me doit rien.

Le problème se pose en cas de violences physiques, aucune peine ne dédommagera quoi que ce soit, se pose alors le principe éthique de la punition, et là il y a débat.
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