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La "lutte anti-harcèlement" féministe recèle une part immergée de racisme. La plupart des filles qui se plaignent n'auront pas de problèmes à être accostées par un blanc (donc à la terrasse d'un café par ex.), mais seront très hostiles à être accostées par un nouarabe (donc dans les transports en commun ou dans la rue, car les lieux de dragues diffèrent selon les groupes sociaux qui se superposent partiellement avec les groupes ethniques). 

En gros tant qu'elles sont accostées dans un cadre endogame dans un lieu relatif à leur "privilège" pour reprendre une terminologie postféministe, ça roule, mais dès que c'est dans un cadre exogame et dans un lieu qui n'est pas relatif à leur "privilège", ça roule plus.

 

C'est un truc de race et de classe (désolé pour ces deux mots) qui se recoupent souvent en effet, les femmes qui se plaignent ne sont pas harcelé par des mecs "dominants" point de vue social, dans la rue et les transports en tout cas.

Perso je ne nie pas les problèmes de harcèlement ca me fait juste marrer que ça se fasse passer pour la pointe du progressisme alors que des "hommes blancs riches" qui se plaindrait de l'insécurité dans les transports ne seraient pas considéré comme des victimes légitimes.

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La "lutte anti-harcèlement" féministe recèle une part immergée de racisme. La plupart des filles qui se plaignent n'auront pas de problèmes à être accostées par un blanc (donc à la terrasse d'un café par ex.), mais seront très hostiles à être accostées par un nouarabe (donc dans les transports en commun ou dans la rue, car les lieux de dragues diffèrent selon les groupes sociaux qui se superposent partiellement avec les groupes ethniques). 

En gros tant qu'elles sont accostées dans un cadre endogame dans un lieu relatif à leur "privilège" pour reprendre une terminologie postféministe, ça roule, mais dès que c'est dans un cadre exogame et dans un lieu qui n'est pas relatif à leur "privilège", ça roule plus.

Bof.

 

Je pense que cela se joue surtout sur la façon de faire.

 

Tu l'abordes avec classe, cela passe que tu sois blanc ou nouarabe.

 

 

Tu l'abordes par:

"Whaouh la salope, tu suces? Eh,t u réponds pétasse" cela va pas passer même si tu es blanc en costard cravate.

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La "lutte anti-harcèlement" féministe recèle une part immergée de racisme. La plupart des filles qui se plaignent n'auront pas de problèmes à être accostées par un blanc (donc à la terrasse d'un café par ex.), mais seront très hostiles à être accostées par un nouarabe (donc dans les transports en commun ou dans la rue, car les lieux de dragues diffèrent selon les groupes sociaux qui se superposent partiellement avec les groupes ethniques). 

En gros tant qu'elles sont accostées dans un cadre endogame dans un lieu relatif à leur "privilège" pour reprendre une terminologie postféministe, ça roule, mais dès que c'est dans un cadre exogame et dans un lieu qui n'est pas relatif à leur "privilège", ça roule plus.

 

Ne confond pas drague et harcèlement.

 

Vous avez noté le nouveau délire au sujet de l'insécurité féminine dans les transports en commun? C'est marrant, parce que ça touche les femmes ce n'est plus un sujet d'extrême-droite, et personne ne parle de sentiment d'insécurité, rien sur la condition sociale des délinquants non plus...

Enlevez la partie féministe et on croirait à une campagne UMP-FN: 

 

"un panel d'usagers teste un réseau de transport afin de déterminer les zones où elles ne se sentent pas en sécurité"

 

Cf lemonde.fr en une...

 

Tramp l'avait déjà remarqué, y'a eu un reportage la dessus et quand la question de la condition sociale des délinquants était soulevée, la réalisatrice a répondu par une pirouette : "Oui mais on a vu récemment du sexisme à l'Assemblée Nationale, ça montre bien que c'est la société dans son ensemble qui a un problème"...

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Le harcèlement n'existe pas ou est très rare dans les lieux publics.

Je n'ai que rarement vu une personne réitérer, pendant plusieurs heures, les mêmes avances, malgré les réticences.

Le harcèlement est commis par une seule personne, pas par un groupe qui ne saurait être défini par ceux qui le constituent ; quand bien même X aurait subi trois cents avances, et que je suis le 301ème à la démarcher, je ne suis pas responsable de la lourdeur des 300 précédents mais uniquement de la mienne (déjà pour la raison première que je ne suis même pas sur que ces 300 avant moi existent bien vu qu'ils ne sont pas moi).*

 

Comme dit plus haut il n'y a pas de problème de harcèlement mais de sécurité globale dans certains transports en commun ; certains babtous fragiles doivent autant se sentir mal dans une rame de métro qu'une jeune femme la nuit tombée.

Et le problème des transports en commun n'est pas nouveau et visiblement on a besoin des féministes pour que ça fasse l'actualité...

 

*En fait après les crimes sans victimes on va créer les crimes sans coupables, vous allez voir on va se marrer...

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Le harcèlement n'existe pas ou est très rare dans les lieux publics.

Je n'ai que rarement vu une personne réitérer, pendant plusieurs heures, les mêmes avances, malgré les réticences.

Le harcèlement est commis par une seule personne, pas par un groupe qui ne saurait être défini par ceux qui le constituent ; quand bien même X aurait subi trois cents avances, et que je suis le 301ème à la démarcher, je ne suis pas responsable de la lourdeur des 300 précédents mais uniquement de la mienne (déjà pour la raison première que je ne suis même pas sur que ces 300 avant moi existent bien vu qu'ils ne sont pas moi).*

 

Comme dit plus haut il n'y a pas de problème de harcèlement mais de sécurité globale dans certains transports en commun ; certains babtous fragiles doivent autant se sentir mal dans une rame de métro qu'une jeune femme la nuit tombée.

Et le problème des transports en commun n'est pas nouveau et visiblement on a besoin des féministes pour que ça fasse l'actualité...

 

*En fait après les crimes sans victimes on va créer les crimes sans coupables, vous allez voir on va se marrer...

 

En effet le mot harcèlement est inapproprié mais tu as très bien compris ce que je voulais dire.

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Oui, je vois, mais je ne confonds pas : s'il y a agression verbale il y a bien un délit, dire hé salope tu baises ? à une demoiselle dans la rue est bien un délit (si ce ne l'est pas du moins devrait-ce l'être), et dans ce cas là ce n'est plus un problème genré mais bien un problème banal de criminalité, qui ne justifie pas qu'on considère que ce problème relève du féminisme ou que sais-je car la délinquance peut impacter de manière aussi grave un babtou fragile qu'une jeune femme.

 

(en fait on est d'accord je crois)

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Vous avez noté le nouveau délire au sujet de l'insécurité féminine dans les transports en commun? C'est marrant, parce que ça touche les femmes ce n'est plus un sujet d'extrême-droite, et personne ne parle de sentiment d'insécurité, rien sur la condition sociale des délinquants non plus...

Enlevez la partie féministe et on croirait à une campagne UMP-FN: 

 

"un panel d'usagers teste un réseau de transport afin de déterminer les zones où elles ne se sentent pas en sécurité"

 

Cf lemonde.fr en une...

 

J'ai oublié de dire : on voit le même phénomène concernant la "montée de l’antisémitisme"

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 Oui, complètement, du moins c'est mon expérience en face d'une hystéros le 31 décembte dernier. C'est soit ça, ou plutôt, "Non mais c'est pas le féminisme".

Et bien en fait si...

 

C'est ce que je tentais d'expliquer dans mes posts précédents mais non je ne suis pas d'accord.

Si, c'est une forme de féminisme.

Pas son ensemble.

 

La "lutte anti-harcèlement" féministe recèle une part immergée de racisme. La plupart des filles qui se plaignent n'auront pas de problèmes à être accostées par un blanc (donc à la terrasse d'un café par ex.), mais seront très hostiles à être accostées par un nouarabe (donc dans les transports en commun ou dans la rue, car les lieux de dragues diffèrent selon les groupes sociaux qui se superposent partiellement avec les groupes ethniques). 

En gros tant qu'elles sont accostées dans un cadre endogame dans un lieu relatif à leur "privilège" pour reprendre une terminologie postféministe, ça roule, mais dès que c'est dans un cadre exogame et dans un lieu qui n'est pas relatif à leur "privilège", ça roule plus.

 

Ah non, les gros lourds en boite ou aux cafés, même s'ils sont blancs, sont des gros lourds. 

S'ils sont classes et essayent gentiment, sont bien sapés etc. Le mec peut être noir ou arabe ou blanc ou asiat, ça passe moyen et surtout en fonction de l'humeur de la gonzesse.

I.e gros BS detected.

 

C'est plus une branche du féminisme.

 

Vouala :)

 

Bof.

 

Je pense que cela se joue surtout sur la façon de faire.

 

Tu l'abordes avec classe, cela passe que tu sois blanc ou nouarabe.

 

 

Tu l'abordes par:

"Whaouh la salope, tu suces? Eh,t u réponds pétasse" cela va pas passer même si tu es blanc en costard cravate.

 

Vouala aussi

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Parce qu'évidemment les nouarabes que tu trouves dans les boîtes/cafés que tu fréquentes sont les mêmes qui te draguent dans les transports en commun ? :)

 

Sauf que ce n'est pas de la drague encore une fois.

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Je crois que tu donnes à la définition de "harcèlement" fournie par ces hystériques trop de crédibilité. Pour elles, un simple sifflement ou une simple approche un tant soit peu insistante est du harcèlement. Pour moi, c'est de la drague. Maladroite. Mais de la drague.

Alors certes dans les tarnsports en commun il y a des agressions verbales mais il y a aussi beaucoup de "drague" maladroite.

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Parce qu'évidemment les nouarabes que tu trouves dans les boîtes/cafés que tu fréquentes sont les mêmes qui te draguent dans les transports en commun ? :)

Tu ne faisais pas allusion au lieu, tu faisais allusion aux origines/races.

 

 

 

La "lutte anti-harcèlement" féministe recèle une part immergée de racisme. La plupart des filles qui se plaignent n'auront pas de problèmes à être accostées par un blanc (donc à la terrasse d'un café par ex.), mais seront très hostiles à être accostées par un nouarabe (donc dans les transports en commun ou dans la rue, car les lieux de dragues diffèrent selon les groupes sociaux qui se superposent partiellement avec les groupes ethniques). 

 

 

Tu ne peux pas faire ta première affirmation et envoyer la deuxième comme si c'était un découlement normal.

Même si je vois ce que tu veux dire, ça reste relativement stupide de vouloir prouver ta première phrase en disant la deuxième. Parce qu'un blanc qui me drague dans le métro, je le trouve aussi lourd et chiant qu'un noir ou un arabe qui fait la même chose. Et c'est arrivé pas plus tard qu'hier en plus (enfin j'pense o.O).

Je veux bien admettre que t'as raison, mais donne moi un argument convaincant. Pas cette démonstration qui ne prouve rien en soi.

 

Citronne (le sophisme cétounul)

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Qui tend à draguer dans les transports en commun ? Ceux qui n'ont ni les capital économique pour fréquenter des lieux classiques, traditionnels et acceptables de drague (cafés, boîtes de nuit, restaurants, etc) ni le capital symbolique pour se faire (le videur éjecte les nouarabes à l'entrée des boîtes). Et qui n'a ni ce capital économique ni ce capital symbolique ? En moyenne, ce sont les nouarabes. 

Qui n'a pas le capital culturel nécessaire pour avoir de l'esprit, de beaux mots, ou qui n'a tout simplement pas intégré la norme de traitement galant des femmes sans trop d'insistance ? Les enfants d'immigrés qui baignent dans une culture patriarcale avec des relations H/F fondées sur la violence ou les conflictualités.

Donc en moyenne, dans les transports en commun, qui drague ? Les nouarabes. Et ils le font mal (insistants, langue parlée peu romantique). Et si un Blanc venait lui aussi à draguer dans les transports en commun - ce qui, j'en suis persuadé, est moins probable que des nouarabes -, il serait catalogué avec ses pairs, c'est-à-dire les nouarabes, et ses avances ne seraient pas acceptées (cf. le cas que tu as décrit dans ton post).

 

Maintenant raisonnement inverse : les Blancs fréquentent les cafés, boîtes, etc, endroits de sociabilisation romantique par excellence, et en plus ils le font bien. Et si par hasard il devait y avoir un nouarabe qui tenterait de draguer dans ces termes, il serait catalogué avec ses pairs, c'est-à-dire les Blancs, et ses avances pourraient être acceptées. (Du principe découle l'exception). Il serait même considéré comme un enfant d'immigré pleinement intégré, ce qui peut avoir un aspect bénéfique.

Mais vu qu'il y a moins de nouarabes dans ces endroits de sociabilisation romantique que de Blancs, alors tout concourt à ce que les nouarabes soient assimilés à la drague lourde des transports en commun.

 

Maintenant pourquoi les féministes parlent de transport en commun ? Parce que ceux qui y draguent le font mal. Mais qui sont ces individus ? Des nouarabes. Et là, au lieu de sortir le discours progressiste "il faut les éduquer..." "il faut les aider..." on parle juste d'insécurité parce qu'il y a un relent de racisme derrière donc on éjecte le couplet progressiste qui va habituellement avec.

 

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Et moi je suis pas un nouarabe(enfin je suis d'origine turc, je sais pas si ça compte) et j'ai déjà eu une fille qui m'a demandé mon numéro de téléphone dans le bus...

Trois quatre douches à la javel et ça devrait passer... (attention aux chats en revanche... :P)

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Oulah mais on sort du paradigme là. Si tu dragues une fille tu la violes, par contre si elle vient te voir elle te drague. Arrête d'être sexiste Mobius. Check un peu tes turkish privileges.

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Tout à fait.

Dans le désert ou a des convaincus ?

Sans risquer de trop me tromper je pense que l'avis général consiste à dire que tout ce qui est nécessaire aux féministes se trouve déjà dans le libéralisme.

 

Dans le désert.

Le libéralisme c'est une philosophie politique (arrêtez moi si je me trompe), alors si l'égalité en droit est effectivement nécessaire et essentielle pour le féminisme, le libéralisme s'arrête là. Idem, si on parle du racisme et je vais citer Wikibéral : "Si le racisme est assurément condamnable du point de vue de l'éthique, il ne l'est du point de vue du droit que dans la mesure où il se traduit en actes violents qui lèsent autrui dans sa personne ou dans sa propriété.". Le libéralisme n'est pas une doctrine qui vient interdire le racisme, ni le sexisme. La loi et les droits ne font pas tout...

 

Les féministes sont caricaturées et la pub au féministes extrèmes comme les FEMEN fait que peu de femmes veulent se retrouver assimiler à ces folles.

 

Le syndrome "Je ne suis pas féministe, mais..." (d'ailleurs je te conseille le reportage éponyme sur Christine Delphy).

 

La "lutte anti-harcèlement" féministe recèle une part immergée de racisme. La plupart des filles qui se plaignent n'auront pas de problèmes à être accostées par un blanc (donc à la terrasse d'un café par ex.), mais seront très hostiles à être accostées par un nouarabe (donc dans les transports en commun ou dans la rue, car les lieux de dragues diffèrent selon les groupes sociaux qui se superposent partiellement avec les groupes ethniques). 

En gros tant qu'elles sont accostées dans un cadre endogame dans un lieu relatif à leur "privilège" pour reprendre une terminologie postféministe, ça roule, mais dès que c'est dans un cadre exogame et dans un lieu qui n'est pas relatif à leur "privilège", ça roule plus.

 

Oui, il y a des préjugés racistes chez certaines femmes. Non, la lutte contre le harcèlement que subisse les femmes ne se résument pas à des poncifs racistes.

Il y a effectivement eu des problèmes avec des féministes (TM entre autres) qui accusaient certaines populations en particulier, il y a eu des groupes identitaires qui ont récupéré ce sujet pour amener de l'eau à leur moulin, etc... C'est tout l'intérêt des féministes inclusives et intersectionnelles qui évitent de tomber dans ces pièges, manque de pot, on les entend moins. Après, il suffit de lire les témoignages des femmes concernées pour constater que le harcèlement n'est pas l'exclusivité des maghrébins ou des arabes.

 

Le harcèlement n'existe pas ou est très rare dans les lieux publics.

Je n'ai que rarement vu une personne réitérer, pendant plusieurs heures, les mêmes avances, malgré les réticences.

Le harcèlement est commis par une seule personne, pas par un groupe qui ne saurait être défini par ceux qui le constituent ; quand bien même X aurait subi trois cents avances, et que je suis le 301ème à la démarcher, je ne suis pas responsable de la lourdeur des 300 précédents mais uniquement de la mienne (déjà pour la raison première que je ne suis même pas sur que ces 300 avant moi existent bien vu qu'ils ne sont pas moi).*

 

Comme dit plus haut il n'y a pas de problème de harcèlement mais de sécurité globale dans certains transports en commun ; certains babtous fragiles doivent autant se sentir mal dans une rame de métro qu'une jeune femme la nuit tombée.

Et le problème des transports en commun n'est pas nouveau et visiblement on a besoin des féministes pour que ça fasse l'actualité...

 

*En fait après les crimes sans victimes on va créer les crimes sans coupables, vous allez voir on va se marrer...

 

Le terme harcèlement permet surtout de comprendre qu'il ne s'agit pas seulement d'actes anecdotiques mais surtout bien répétés, incessants, des comportements récurrents, etc... Qu'on n'accuse pas un individu en particulier n'enlève rien à l'importance du problème. C'est exactement pareil pour le harcèlement scolaire, au travail, etc..

Et oui, les femmes sont tout particulièrement touchées par ces comportements. Juste un échantillon de témoignages : http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/04/16/harcelement-de-rue-quand-on-est-une-femme-en-france-on-est-seule_4617354_3224.html

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OK, considérons cela.

On fait quoi ?

 

Je veux dire, imaginons qu'il y a un problème, admettons-le. Il n'existe aucune solution pour pallier à ce problème qui ne soit liberticide. 

 

EDIT : tu as répondu en fait, pas vu. :)

 

Le libéralisme c'est une philosophie politique (arrêtez moi si je me trompe), alors si l'égalité en droit est effectivement nécessaire et essentielle pour le féminisme, le libéralisme s'arrête là. Idem, si on parle du racisme et je vais citer Wikibéral : "Si le racisme est assurément condamnable du point de vue de l'éthique, il ne l'est du point de vue du droit que dans la mesure où il se traduit en actes violents qui lèsent autrui dans sa personne ou dans sa propriété.". Le libéralisme n'est pas une doctrine qui vient interdire le racisme, ni le sexisme. La loi et les droits ne font pas tout...

 

On ne fait rien, sauf p-ê augmenter la sécurité dans les transports en commun (ce qui n'est pas un problème exclusivement féministe). Et là je suis pour.

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Oui, je défends un féminisme compatible avec le libéralisme (ou l'inverse, je sais plus).

 

Par contre, niveau solution : inciter les femmes à dénoncer ces actes, inciter les gens présents à réagir, inciter les entreprises de transport en commun à assurer la sécurité des usagers, inciter les forces de police à plus de professionnalisme et à entendre les plaintes des victimes, inciter la justice à condamner les coupables, etc...

S'il n'est pas question de céder aux sirènes liberticides, il ne s'agit pas non plus de rester inactif.

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Dans le désert.

Le libéralisme c'est une philosophie politique (arrêtez moi si je me trompe), alors si l'égalité en droit est effectivement nécessaire et essentielle pour le féminisme, le libéralisme s'arrête là. Idem, si on parle du racisme et je vais citer Wikibéral : "Si le racisme est assurément condamnable du point de vue de l'éthique, il ne l'est du point de vue du droit que dans la mesure où il se traduit en actes violents qui lèsent autrui dans sa personne ou dans sa propriété.". Le libéralisme n'est pas une doctrine qui vient interdire le racisme, ni le sexisme. La loi et les droits ne font pas tout...

la partie politique du féminisme est déjà comprise dans le libéralisme bien appliqué, cf Guyot.

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Bah si, un bon coup de taser dans la gueule de du goujat et bam problem solved.

Vouloir sérieusement dire qu'il n'y a pas de problème c'est absurde. Sans tomber dans le féminisme tumblr, prendre les transports en commun pour un fille c moyennement chouette.

Par contre les idioties genre intersection alité et inclusive : Bullshit

Ces féministes n'ont pas compris les lignes qui sont en train d'apparaître . Le vivre ensemble de la gauche c fini, meme JCVD ne peut faire un aussi grand écart . Une fois que tout les vieilles raclures fasciste old school seront mortes, l'extrême droite pourra faire campagne sur les droits des homos et des femmes. Je leur prédit un grand succès.

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Oui, je défends un féminisme compatible avec le libéralisme (ou l'inverse, je sais plus).

 

Par contre, niveau solution : inciter les femmes à dénoncer ces actes, inciter les gens présents à réagir, inciter les entreprises de transport en commun à assurer la sécurité des usagers, inciter les forces de police à plus de professionnalisme et à entendre les plaintes des victimes, inciter la justice à condamner les coupables, etc...

S'il n'est pas question de céder aux sirènes liberticides, il ne s'agit pas non plus de rester inactif.

 

Libérer totalement la prostitution pour décharger la frustration sexuelle de ceux qui harcèlent. Ça c'est du libéral et ça pourrait être efficace :P.

 

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Je n'ai pas dit qu'il n'y avait pas de problème mais (1) qu'il était douteux de l'appeler harcèlement (2) que je pense qu'il est lié à un certain racisme (PhiliberT m'a répondu sur ce point) (3) qu'aucune mesure liberticide ne diot être prise sur ce point.

 

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Bah si, un bon coup de taser dans la gueule de du goujat et bam problem solved.

Vouloir sérieusement dire qu'il n'y a pas de problème c'est absurde. Sans tomber dans le féminisme tumblr, prendre les transports en commun pour un fille c moyennement chouette.

Par contre les idioties genre intersection alité et inclusive : Bullshit

Ces féministes n'ont pas compris les lignes qui sont en train d'apparaître . Le vivre ensemble de la gauche c fini, meme JCVD ne peut faire un aussi grand écart . Une fois que tout les vieilles raclures fasciste old school seront mortes, l'extrême droite pourra faire campagne sur les droits des homos et des femmes. Je leur prédit un grand succès.

 

Le self-defense marche bien à ce qu'il parait. Alors que le taser c'est pas légal, non ? Ni même la bombe au poivre ou ce genre de gadget ?

 

Ouai, je me disais ça aussi à une époque, que la jeunesse viendra enterrer la connerie des vieux à l'agonie. J'étais jeune et naïf. Puis j'ai découvert les FNJ & Co...

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Le gros problèmes, c'est de vouloir racialiser les lignes sociales.

Un nouarabe en bien sapé parlant sans accent banlieusard a plus de chance de choper qu'un leucoderme en survêtement Sergio tacchini

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Le self-defense marche bien à ce qu'il parait. Alors que le taser c'est pas légal, non ? Ni même la bombe au poivre ou ce genre de gadget ?

Ah peut-être pas en France mais le juge qui condamne une femme qui se défend d'un agresseur, il va se faire un paquet d'ennemi que ce soit chez les conservateurs ou les FEMEN
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Dans le désert.

Le libéralisme c'est une philosophie politique (arrêtez moi si je me trompe), alors si l'égalité en droit est effectivement nécessaire et essentielle pour le féminisme, le libéralisme s'arrête là. Idem, si on parle du racisme et je vais citer Wikibéral : "Si le racisme est assurément condamnable du point de vue de l'éthique, il ne l'est du point de vue du droit que dans la mesure où il se traduit en actes violents qui lèsent autrui dans sa personne ou dans sa propriété.". Le libéralisme n'est pas une doctrine qui vient interdire le racisme, ni le sexisme. La loi et les droits ne font pas tout...

Ben que veulent de plus les féministes que l'égalité en droit ?

Supposons que je sois sexiste et bien éduqué (pas d'agression, mais simplement un dénigrement des capacités des femmes à raisonner à bien travailler où à être autonome), quel action pourrais-je prendre qui nécessiterait une augmentation du périmètre d'intervention de l'état, car de nos jours c'est bien de cela qu'il est question.

 

Le terme harcèlement permet surtout de comprendre qu'il ne s'agit pas seulement d'actes anecdotiques mais surtout bien répétés, incessants, des comportements récurrents, etc... Qu'on n'accuse pas un individu en particulier n'enlève rien à l'importance du problème. C'est exactement pareil pour le harcèlement scolaire, au travail, etc..

Et oui, les femmes sont tout particulièrement touchées par ces comportements. Juste un échantillon de témoignages : http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/04/16/harcelement-de-rue-quand-on-est-une-femme-en-france-on-est-seule_4617354_3224.html

Typiquement ça c'est plus une question d'éducation et de maintien de l'ordre, non ?

Pourquoi personne ne dit rien aux cochons qui mettent leurs mains là où ils ne devraient pas ? Quels risques sont pris par ceux qui entendraient faire s'excuser les malotrus ? 

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Je suis d'accord comme tout le monde pour dire que les femmes sont des êtres faibles et qu'il faut les protéger, mais le problème évoqué est sans solution, c'est le problème des inconnus qui vont utiliser leur liberté d'expression pour importuner les passants. Ah si, la solution est qu'il faut un homme ou une arme visible au bras de chaque femme partant à l'aventure dans les transports publics.

Et se faire insulter dans un lieu public ça arrive à tout le monde, ça n'est pas un problème de drague mais un problème de mauvaise éducation, et il n'a pas de solution. Quand on se fait insulter par un inconnu et qu'on est normal on passe son chemin, on ne s'embarrasse pas à porter plainte.

À vrai dire en y pensant la drague lourde c'est une sous-catégorie de la mendicité agressive. Ça doit être les mêmes qui la pratiquent d'ailleurs. Passer toute la journée à la gare, taper une clope ou un euro aux mâles, demander les numéros des femelles. Avec la loi des grands nombres, ça doit être rentable. Nan je suis con, ça doit forcément payer à un moment donné.

nouarabe

Que ce terme m'irrite.

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