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Les actionnaires


Hidalgo

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Résultat : partout, l’augmentation de la valeur ajoutée profite aux revenus du capital plutôt qu’aux revenus du travail

Bon… en plus, meme après une relecture ultra-rapide, il faut, la encore, se garder des généralisations simplistes.

Moi, par exemple, employé de BNP Paribas, mon salaire augmente chaque année ou presque, j'ai des bonus trés sympatoches, alors que les actionaires de BNP se sont fait complètement rincé sur la meme période (90 euros au plus haut, 21 au plus bas…)

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Mais qu'est ce qui vous oblige à consacrer une part trop grande de votre temps au travail?

Si ce n'est l'état en vous ponctionnant une partie des fruits de votre travail pour financer des biens et des services dont vous ne voulez pas et qui quand vous les voulez sont fournit à prix trop élevé (ce qui fait qu'au final vous n'en voulez toujours pas).

Principalement le fait que la majeur partie des gains de productivité réalisés soit consacrée à la baisse des prix et non à la réduction du temps de travail.

Donc non « le responsable » ce n’est certainement pas le niveau des impôts (ne me disiez vous pas que les américains travaillaient plus que les français ?)

Ps : Ce n’est pas « mon » temps de travail hein, moi je ne travaille pas (travailler ou fréquenter ce forum il faut choisir :icon_up:).

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Principalement le fait que la majeur partie des gains de productivité réalisés soit consacrée à la baisse des prix et non à la réduction du temps de travail.

Ô joie ! Si on continue dans cette voie tout sera gratuit à terme ! Plus besoin de travailler !

Ps : Ce n’est pas « mon » temps de travail hein, moi je ne travaille pas (travailler ou fréquenter ce forum il faut choisir :icon_up:).

Tout s'explique !

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Invité jabial
C’est intéressant ce que vous écrivez, le système qui a été mis en place progressivement (Ce « supercapitalisme » comme l’écrit Randian et qui n’a rien à voir avec le libéralisme) ne conduit-il pas précisément à la suppression de cette liberté de choix ?

La liberté ce n'est pas le pouvoir de passer à travers les murs, c'est la possibilité d'assembler ses pierres comme on veut - pour en faire un mur, une porte, un puits. Une fois qu'on a compris ça, ça ne prend plus et ces idées bolcheviques ne valent pas plus que la valeur de recyclage du papier sur lequel elles ont été écrites.

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Principalement le fait que la majeur partie des gains de productivité réalisés soit consacrée à la baisse des prix et non à la réduction du temps de travail.

Quel fatras ! Et alors c'est la faute à qui ? Pourquoi ? Comment ? Où ? Quand ? Kamoulox ?

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Ô joie ! Si on continue dans cette voie tout sera gratuit à terme ! Plus besoin de travailler !

Je ne défends pas l’idée que l’intégralité des gains de productivité devrait être consacré à la réduction du temps de travail, je défends l’idée qu’on devrait être libre d’en avoir le choix.

Tout s'explique !

Si mes revenus ne sont pas pris dans votre poche ça ne vous pose pas de problème si ?

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Principalement le fait que la majeur partie des gains de productivité réalisés soit consacrée à la baisse des prix et non à la réduction du temps de travail.

Donc vous considérez que si les gains de productivité n'allaient pas à la baisse des prix vous auriez besoin de travailler moins longtemps pour vous offrir un bien?

Il va falloir le démontrer, bon courage.

« Je vais rendre l'électricité si bon marché que seuls les riches pourront se payer le luxe d'utiliser des bougies.»

Thomas Eddison.

Donc non « le responsable » ce n’est certainement pas le niveau des impôts (ne me disiez vous pas que les américains travaillaient plus que les français ?)

C'est un peu court vu le niveau des prélèvements obligatoires aux USA pour en conclure quoi que ce soit juste sur le niveau des impôts c'est bien pour ça que je parlai aussi des services fournit par l'état en contre partie.

De plus rien ne vous permet d'affirmer que ce n'est pas par choix que les américains travaillent plus que les français puisqu'ils ne sont pas empêchés de travailler comme en France (cf 48h/sem maximum).

Je ne défends pas l’idée que l’intégralité des gains de productivité devrait être consacré à la réduction du temps de travail, je défends l’idée qu’on devrait être libre d’en avoir le choix.

Qu'est ce qui empêche un salarié de négocier une diminution de son temps de travail avec son employeur?

Beaucoup de femmes après avoir eu un enfant renégocie leur contrat pour faire moins d'heure, le temps partiel choisit ça existe.

De plus il y a même des salariés qui décident de leur plein grès de travailler à temps partiel.

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Je ne défends pas l’idée que l’intégralité des gains de productivité devrait être consacré à la réduction du temps de travail, je défends l’idée qu’on devrait être libre d’en avoir le choix.

Il vous faudrait comprendre que "baisse des prix", "gain de productivité" et "réduction du temps de travail" sont une seule et même chose :

Ainsi une baisse des prix = même quantité d'un produit pour un temps de travail moindre.

Si mes revenus ne sont pas pris dans votre poche ça ne vous pose pas de problème si ?

A moins que ce revenu soit généré par votre épargne ou par la charité, il l'est par la spoliation. Donc, oui ça me pose un problème.

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Il vous faudrait comprendre que "baisse des prix", "gain de productivité" et "réduction du temps de travail" sont une seule et même chose :

Ainsi une baisse des prix = même quantité d'un produit pour un temps de travail moindre.

Replonger vous dans vos cours d’économie, ce n’est pas aussi simple, un prix ce n’est pas uniquement le reflet d’une productivité et d'un temps de travail (ne pas confondre prix et coût). Mais ne digressons pas s’il vous plait.

A moins que ce revenu soit généré par votre épargne ou par la charité, il l'est par la spoliation. Donc, oui ça me pose un problème.

Je vous confirme donc que la nature de mes revenus n’a aucune raison de vous poser problème.

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Cette domination donne un pouvoir accru aux détenteurs du capital, et plus particulièrement aux actionnaires, qui sont aujourd’hui les véritables propriétaires des sociétés cotées en Bourse.n.

Faut arreter de :icon_up: . C'est totalement l'inverse qui s'est produit. La fragmentation du capital (fusac..) fait que les dirigeants ne sont plus les propriétaires. Ce qui leur fait prendre des risques inconsidérés en effet le capital peut se détruire mais ils s'en foutent car il sont pas proprios mais en revanche le capital humain est indestructible (même si ils font de la merde au pire ils sont virés mais ils pourrons retrouver un job). Donc les dirigeants ne supportent plus le risque.

Et puis si les actionnaires ne sont pas les proprios c'est qui?

"la complète domination des marchés financiers globalisés"

L'augmentation disproportionné du secteur financier (au détriments des autres) est la résultante d'une politique monétaire laxiste et inflationniste qui privilégie les secteurs directement en début de chaîne de la vanne de liquidité.. le secteur financier. L'inflation ne fait que modifier les prix relatifs et augmente les inégalités sectorielles au profit de ceux qui sont directement en contact avec la pompe à fric (je me répète là non?) et au détriment de ceux qui sont en fin de chaîne, c'est juste un transfert de richesse.

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J'attends toujours le début d'une démonstration confirmant que si les gains de productivité n'allaient pas à la baisse des prix, vous devriez travailler moins longtemps pour acquérir un bien.

C'est bien parce que la production agricole a augmenté que les prix ont baissé que les individus ont pu et peuvent mieux se nourrir.

Et je doute fort que si les gains de productivités s'étaient retrouvés dans les poches des agriculteurs les pauvres eut étés mieux nourris.

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Replonger vous dans vos cours d’économie, ce n’est pas aussi simple, un prix ce n’est pas uniquement le reflet d’une productivité et d'un temps de travail (ne pas confondre prix et coût). Mais ne digressons pas s’il vous plait.

Sophisme.

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Replonger vous dans vos cours d’économie, ce n’est pas aussi simple, un prix ce n’est pas uniquement le reflet d’une productivité et d'un temps de travail (ne pas confondre prix et coût). Mais ne digressons pas s’il vous plait.

Max profit -> prix=coût marginal donc baisse du prix = baisse du coût marginal. La productivité du travail n'est qu'une composante du coût variable (donc du coût marginal).

ps : je ne pouvais pas résister de faire mon keke car je suis en train de le faire en micro.

J'attends toujours le début d'une démonstration confirmant que si les gains de productivité n'allaient pas à la baisse des prix, vous devriez travailler moins longtemps pour acquérir un bien.

C'est bien parce que la production agricole a augmenté que les prix ont baissé que les individus ont pu et peuvent mieux se nourrir.

Et je doute fort que si les gains de productivités s'étaient retrouvés dans les poches des agriculteurs les pauvres eut étés mieux nourris.

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J'attends toujours le début d'une démonstration confirmant que si les gains de productivité n'allaient pas à la baisse des prix, vous devriez travailler moins longtemps pour acquérir un bien.

Si l’amélioration des gains de productivité n’allait pas à la baisse des prix elle serait consacrée à autres choses (augmentation de la rémunération des actionnaires et/ou des salariés, amélioration des conditions et/ou réduction du temps de travail).

Dans ce dernier cas vous seriez bien dans une situation ou travailler moins longtemps vous permettrait d’acquérir les mêmes biens.

Je vous ferai remarquer que c’est déjà le cas dans la réalité, les gains de productivité ne sont pas consacrés intégralement à la baisse des prix (la tendance étant néanmoins celle-ci, alors que cela ne relève pas d’un choix mais d’une contrainte).

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Si l’amélioration des gains de productivité n’allait pas à la baisse des prix elle serait consacrée à autres choses (augmentation de la rémunération des actionnaires et/ou des salariés, amélioration des conditions et/ou réduction du temps de travail).

Dans ce dernier cas vous seriez bien dans une situation ou travailler moins longtemps vous permettrait d’acquérir les mêmes biens.

Je vous ferai remarquer que c’est déjà le cas dans la réalité, les gains de productivité ne sont pas consacrés intégralement à la baisse des prix (la tendance étant néanmoins celle-ci, alors que cela ne relève pas d’un choix mais d’une contrainte).

L'augmentation des gains de productivité va à la baisse des prix, à la rémunération des actionnaires et des employés, ainsi qu'a la diminution du temps de travail.

Mais il semble que vous ne soyez pas d'accord avec sa répartition.

Donc je voudrai savoir par quel miracle les gains de productivité ne seraient pas répartis selon le meilleur intérêt de tous dans un système libéral et pourquoi il faudrait contraindre les acteurs à une autre répartition, sachant qu'une intervention de l'état sur les prix se traduit toujours par une pénurie.

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Dans ce dernier cas vous seriez bien dans une situation ou travailler moins longtemps vous permettrait d’acquérir les mêmes biens.

C'est pas le cas s'il y a baisse des prix ?

Il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

Au lieu de me dire de relire mes cours d'économie, commencez par lire les auteurs libéraux si vous voulez débattre du libéralisme et sachez que ce n'est pas parcequ'on vous a parlé uniquement de Smith et Ricardo au lycée qu'il n'en existe pas d'autres.

Voici une petite lecture qui aura le mérite de nous éviter vos inéptie pour les 20 prochaines minutes et de vous faire comprendre la relation entre baisse des prix, productivité et temps de travail :

Effort, résultat.l

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Dans ce cas soit vous ne l'avez pas compris, soit vous n'êtes pas libéral.

Celui qui n’adhère pas à toutes les idées de Bastiat n’est donc pas un vrai libéral, vous vous êtes donc auto-proclamé comme étant l’unique détenteur du VRAI et PURE libéralisme ?

ps: C’est l’heure de ma séance de sport, lâchez vous je revient dans un peu plus d’une heure.

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Allez-y démontrer que vous avez raison et répondez aux questions qu'on vous pose au lieu de fuir le débat.

Donc je voudrai savoir par quel miracle les gains de productivité ne seraient pas répartis selon le meilleur intérêt de tous dans un système libéral et pourquoi il faudrait contraindre les acteurs à une autre répartition, sachant qu'une intervention de l'état sur les prix se traduit toujours par une pénurie.

On va résumer simplement :

Pourquoi faut-il intervenir sur la répartition des gains de productivité?

Pourquoi un système libéral répartirait moins bien les gains de productivité que l'état si vous préférez?

Réglementer les prix et les salaires fonctionne-t-il?

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Celui qui n’adhère pas à toutes les idées de Bastiat n’est donc pas un vrai libéral, vous vous êtes donc auto-proclamé comme étant l’unique détenteur du VRAI et PURE libéralisme ?

ps: C’est l’heure de ma séance de sport, lâchez vous je revient dans un peu plus d’une heure.

Celui qui prône des idées marxistes n'est pas libéral.

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Voici la phrase que j'aurai voulu voir discuter:

la valeur ajoutée profite aux revenus du capital plutôt qu’aux revenus du travail

Les propriétaires étant à même de décider seul les compressions, nul doute qu'une grande partie va compresser aux dépens du travail.

Ce n'est pas une lutte des classes économiques, mais une reflexion sur les contre-pouvoirs au sein de l'entreprise . L'état n'a pas à s'en mêler. Les actionnaires méritent l'argent pour leures prises de risque mais un équilibre serait souhaitable.

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Voici la phrase que j'aurai voulu voir discuter:

Les propriétaires étant à même de décider seul les compressions, nul doute qu'une grande partie va compresser aux dépens du travail.

Ce n'est pas une lutte des classes économiques, mais une reflexion sur les contre-pouvoirs au sein de l'entreprise . L'état n'a pas à s'en mêler. Les actionnaires méritent l'argent pour leures prises de risque mais un équilibre serait souhaitable.

L'équilibre des "forces" capital/travail est effectif dans un marché libre.

Avec toutes les réglementations et la fiscalité sur le travail et les entreprises, le marché du travail s'en trouve disloqué.

Et pour certains jobs, notamment les moins qualifiés, il y a du monde à la porte qui attend, ce qui créé une déformation du rapport de force.

Mon père m'a dit qu'en 1970, il pouvait changer d'emploi en seulement quelques jours.

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Allez-y démontrer que vous avez raison et répondez aux questions qu'on vous pose au lieu de fuir le débat.

Méthode classique de la personne qui ne veut pas se fouler : renversement de la charge de la preuve accompagné d’une petite invective.

Vous avez arbitrairement conclu de mes propos que je n’était pas satisfait de la manière dont la répartition des gains de productivités s’ effectuait, alors que j’expliquai que cette répartition n’était pas "choisie" mais "subit" car soumise à diverses contraintes du marché.

Sur ce, vous m’expliquez que si nous adoptions un système économique libéral cette répartition se ferait de manière plus efficiente (« selon le meilleur intérêt de tous » pour reprendre vos propos), c’est donc bien à vous de me le démontrer et non l’inverse.

Cela devrait être pour vous particulièrement facile puisque j’en suis moi-même partiellement convaincu, le problème c’est que votre argumentation se résume à : moins d’Etat, donc moins de contraintes, alors que la première contrainte auquel doivent faire face les entrepreneurs ce n’est pas l’Etat (dont ils s’accommodent plus ou moins facilement) mais bien la prise en compte de la concurrence.

Dans la mesure ou je ne pense pas que le libéralisme à pour vocation de lutter contre la concurrence l’on est donc bien en droit de s’interroger sur la pertinence de votre raisonnement.

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Méthode classique de la personne qui ne veut pas se fouler : renversement de la charge de la preuve accompagné d’une petite invective.

Vous avez arbitrairement conclu de mes propos que je n’était pas satisfait de la manière dont la répartition des gains de productivités s’ effectuait, alors que j’expliquai que cette répartition n’était pas "choisie" mais "subit" car soumise à diverses contraintes du marché.

Sur ce, vous m’expliquez que si nous adoptions un système économique libéral cette répartition se ferait de manière plus efficience (« selon le meilleur intérêt de tous » pour reprendre vos propos), c’est donc bien à vous de me le démontrer et non l’inverse.

Cela devrait être pour vous particulièrement facile puisque j’en suis moi-même partiellement convaincu, le problème c’est que votre argumentation se résume à : moins d’Etat, donc moins de contraintes, alors que la première contrainte auquel doivent faire face les entrepreneurs ce n’est pas l’Etat (dont ils s’accommodent plus ou moins facilement) mais bien la prise en compte de la concurrence.

Dans la mesure ou je ne pense pas que le libéralisme à pour vocation de lutter contre la concurrence l’on est donc bien en droit de s’interroger sur la pertinence de votre raisonnement.

Voila la preuve manifeste que vous n'avez rien compris au libéralisme et au droit naturel.

Propriété : le droit pour chacun de disposer à sa guise de ce que son propre effort et son action ont produit, dans la limite des droits légitimes d’autrui.

En quoi le fait que des propriétaire exercent leur droit de propriété est-il une contrainte pour les autres propriétaires?

PS : Comme vous confondez liberté et capacité on en est réduit à tenter de comprendre ce que vous voulez dire et donc parfois on se trompe.

PS 2 : ici c'est un forum libéral si vous voulez défendre une mesure interventionniste c'est à vous de démontrer en quoi elle est supérieure au Laissez-faire.

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Voila la preuve manifeste que vous n'avez rien compris au libéralisme et au droit naturel.

Voici la preuve manifeste que vous n’avez rien compris à la différence qui existe entre adhésion et compréhension, on peut parfaitement être libéral et utilitariste.

PS 2 : ici c'est un forum libéral si vous voulez défendre une mesure interventionniste c'est à vous de démontrer en quoi elle est supérieure au Laissez-faire.

Précisément, ici c’est un forum libéral et pas un forum anarcho-capitaliste, réduire le libéralisme au « Laissez faire » c’est comme réduire la gastronomie au fast-food.

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Voici la preuve manifeste que vous n’avez rien compris à la différence qui existe entre adhésion et compréhension, on peut parfaitement être libéral et utilitariste.

Et?

En quoi le fait de disposer à ma guise de ce que mon propre effort et mon action ont produit, dans la limite des droits légitimes d’autrui est une contrainte pour autrui?

Ouvrir mes volets quand il fait jour est-il une contrainte que j'applique aux fabricants de chandelles?

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