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Romy

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Tout ce qui a été posté par Romy

  1. Pour se rebeller, les libéraux se barrent du pays un à un au lieu de gâcher plusieurs années de leur vie à tondre des chèvres ou à risquer d'attraper le tétanos en grattant la terre pour planter des poireaux malingres.
  2. Il faut protéger la baguette du lobby des low-carbistes
  3. Happy Endings est pas mal dans ce style, peut-être même meilleure. Je conseille toujours Coupling version UK même si ça a un peu vieilli et jusque là tout le monde a apprécié
  4. On peut le regretter mais c'est le b.a-ba de la communication, être irréprochable sur la forme pour que même les plus simplets ou les adeptes de la mauvaise foi ne puissent pas comprendre le fond du texte de travers ou le distordre. C'est d'autant plus vrai quand on a une opinion à rebrousse-poil.
  5. Le problème de la tribune est qu'elle aborde trop de sujets différents qui chacun aurait mérité un texte à lui seul: - Condamnation du pilori médiatique et des accusations/mises à mort sociales expéditives. - Défense de la liberté de créer et dissociation oeuvre/artiste. - Inquiétudes quant à un amalgame entre drague maladroite et agression. - Refus de considérer que la «domination masculine», qui serait inhérente aux hommes, serait la source de tous les maux touchant les femmes (allant du plafond de verre au viol). - Promotion de moyens de défense pour les femmes contre les micro-agressions et agressions. - Etc. Ce n'est franchement pas étonnant et hautement prévisible que Haas et consoeurs profitent de la moindre faille d'un texte un peu fourre-tout.
  6. C'est capitaliste le hamburger. http://www.newsweek.com/venezuelan-president-eats-empanada-live-tv-while-addressing-starving-nation-701050
  7. On pourra former un club même si c'est loin d'être rare Depuis, je lis des choses là-dessus et je constate que j'ai échappé de peu aux psychomotriciens qui soignent les 'troubles de la latéralité' ainsi qu'à une brillante carrière dans le tennis.
  8. J'ai commencé le tir à l'arc et c'est plus physique que je ne pensais. C'est pas mal pour la santé du ciboulot aussi puisque ça vide bien l'esprit. Je suis encore perturbée parce qu'on me fait tirer avec un arc de gaucher (œil gauche dominant) et que ce n'est pas très «naturel». Je découvre donc sur le tard ma latéralité croisée et je décide de lui mettre sur le dos toute mon incompétence en sport et ma maladresse
  9. Je parle de couverture presse 'business' à forte audience, ce qui correspond à ce que recherchent les start-up, et de laquelle j'attends un peu de nuance et d'analyse sur la viabilité d'un modèle économique. Il suffit d'annoncer une levée de fonds un peu rondelette pour que toute cette presse accourre et te serve la soupe sans jamais poser une question pertinente sur le développement de l'entreprise. D'ailleurs, la plupart des start-up ne propose pas une innovation fondamentale mais un nouveau service ou produit autour d'une innovation et c'est déjà pas mal mais ça ne va pas intéresser la presse scientifique.
  10. Le problème vient aussi de la presse entreprise/investissement/tech qui ne fait absolument pas son boulot de tri du bon grain de l'ivraie. Ils ne font que servir la soupe et ne s'intéressent qu'à ce qui est nouveau ou clinquant. Challenges sort un dossier annuel sur les start-up dans lesquelles investir et ils ont déjà sélectionné des entreprises pour lesquelles je travaillais sur la seule base de mon communiqué de presse Tout ce petit écosystème politique et médiatique vit sur sa hype sans prendre de recul, et le contribuable et le lecteur de la presse un peu attentif commencent à se sentir floués.
  11. Les effets de la couverture médiatique sont importants pour trouver de vrais investisseurs (pas la BPI) et des clients, surtout quand et si on propose quelque chose de novateur. La plupart des start-up avec un bon projet (pas la majorité) ne sont pas destinées à devenir des géants mondiaux mais des PME qui tiennent la route sur la durée. La plupart des avantages que leur proposent les pouvoirs publics n'auraient pas de raison d'être sans le matraquage qu'ils font subir aux entrepreneurs de tout poil. Personne dans ce milieu ne fait ce constat. Il y a quelque chose de profondément injuste qu'un type qui veut lancer un énième objet connecté pour retrouver ses clés soit biberonné parce que c'est «tech» alors qu'un artisan doive morfler pour lancer son entreprise.
  12. Tu le sous-entends très souvent sans jamais étayer. Pour avoir connu ville et campagne, je ne vois pas ce qu'il y a de fondamentalement différent en matière de responsabilisation de l'individu. Ou bien ça ne se résume qu'au permis de conduire
  13. La «French Tech» est un peu viciée depuis le debut puisque ce sont les métropoles qui sont labellisées (ce qui fait que n'importe quelle start-up peut se dire «French Tech»). Dès le départ le public y met son nez (prêts de locaux par les collectivités, levée de fonds auprès de la BPI). Je connais bien une belle réussite de start-up qui comme les autres a bénéficié de la manne publique mais dont je pense que le projet était assez solide pour marcher sans. C'est assez incroyable l'adoration de l'État dans le milieu des start-up mais assez logique vu qu'ils n'en voient souvent que les bons côtés (souvent pas ou peu de salariés au début pour être vraiment confrontés au code du travail). Ça change quand ils prennent leur envol mais ils se sentent souvent redevables et pensent qu'ils n'auraient jamais pu se lancer sans soutien public.
  14. Romy

    Le fil des questions alakons

    Et tu te lances dans quoi si ce n'est pas indiscret? C'est tellement coloré et foisonnant que ça me fait penser aux fonds d'écran de Windows 98
  15. Romy

    Quel avenir pour la ville ?

    Tout est tellement centralisé à Paris qu'on considère les autres grandes villes françaises comme des «petites villes» alors qu'elles sont des métropoles. A l'échelle de la France, la réflexion sur les petites villes concerne plutôt les villes de type sous-préfectures. Ce qui est paradoxal c'est qu'on tend à avoir des modes de vie potentiellement semblables à la campagne et dans les grandes villes (Internet, Amazon et le télétravail désenclavent) mais que les commerces de ces petites villes en souffrent, rendant la ville moins attirante et dynamique. C'est très dur pour ces petites villes qui ne font pas partie de l'aire d'influence des métropoles régionales ou n'ayant pas d'attrait touristique.
  16. Du fric qui reviendrait dans les poches du contribuable pour payer lui-même son mode de vie. J'ai du mal à voir ce qu'on appelle progressisme dès qu'on omet le constructivisme et la volonté/possibilité de légiférer en ce sens. Quand on s'en plaint ici ou ailleurs, j'ai l'impression qu'on parle surtout de modes de vie (bobo, hipster...) et pas vraiment de valeurs.
  17. On dirait presque que cela est réglementé
  18. @PABerryer Le cimetière Kerepesi c'est à ne pas rater. En café/pâtisserie, j'ai préféré de loin Ruzwurm près de l'Eglise Saint Mathias même si souvent bondé.
  19. Le Figaro va dans le sens du sondage qu'il a commandé... J'ose espérer que la méthodologie est douteuse parce que 8 personnes sur 10, je trouve ça énorme mais je sous-estime peut-être la prégnance de la mentalité de mouton chez mes compatriotes.
  20. http://www.lefigaro.fr/medias/2018/01/11/20004-20180111ARTFIG00302-79-des-francais-favorables-a-une-loi-sur-les-fake-news.php
  21. Formulé de cette façon, c'est plus clair. Quand je dis qu'elle n'est pas bien écrite, je parle surtout de forme et je prends en compte que les adversaires n'allaient pas les louper et profiter de la moindre ambiguïté (c'est le jeu). Dire «considéré comme un délit» au lieu de «délit» c'est prêter le flan. Je ne dis pas que c'est à raison mais Osez le Féminisme est bien mieux rompu à la communication et ça va jouer en sa faveur.
  22. Clairement d'un point de vue communication, cette tribune est mal conçue (beaucoup trop de sujets évoqués et pas assez approfondis) et mal exécutée (termes et tournures sujets à interprétation). Beaucoup d'attaques étaient prévisibles avant la parution («vieilles bourgeoises» déconnectées du réel). Je trouve qu'en France Natacha Polony est celle qui s'exprime le mieux et le plus clairement sur ces sujets, même si sur tout le reste je ne suis d'accord sur rien avec elle. Même si elle n'a pas meilleure presse auprès des médias mainstream que les signataires, j'aurais préféré que ce soit quelqu'un comme elle qui débatte face à Haas plutôt que Brigitte Lahaie...
  23. Je n'y vois pas une plainte et même si c'était previsible qu'elles ne fassent pas le poids face au rouleau compresseur du féminisme officiel, elles ont bien le droit de répondre à Haas et consoeurs. Peggy Sastre relève juste qu'on reproche plus à son opinion d'exister (traitrise à son propre à sexe) que d'être ce qu'elle est.
  24. http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/01/10/31003-20180110ARTFIG00186-peggy-sastre-le-feminisme-policier-refuse-la-contradiction.php «Je suis quand même sidérée que les mêmes qui se félicitent d'une libération de la parole nous demandent de nous taire! Elles nous disent que notre point de vue est «indécent», qu'il ne fallait pas en parler maintenant, nous accusent d'être de vielles bourges blanches. La libération de la parole est donc à sens unique [...] Ce féminisme policier fondé sur le chantage affectif et la manipulation des statistiques ne supporte même plus la contradiction. Ce mouvement est antilibéral, au sens politique du terme: il refuse le pluralisme et la coexistence de sensibilités différentes au sein du débat public, qui est, il me semble, l'un des acquis les plus précieux des sociétés occidentales. Elles sont persuadées d'avoir le vent de l'histoire dans le dos... ça me fait bien rire! » Dans le mille.
  25. Des Communistes aux Républicains, on s'en felicite. On voit qui vote. Donc jusqu'à 2200 euros par personne (soit bien au-dessus du revenu médian), on est pauvre. Si on avait encore des doutes sur à qui profite la social-démocratie...
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