Jesrad Posté 26 mars 2007 Signaler Share Posté 26 mars 2007 Un centenaire se voit accorder un prêt sur 25 ans au Royaume-Uni. C'est tout, je voulais juste partager Lien vers le commentaire
Dardanus Posté 26 mars 2007 Signaler Share Posté 26 mars 2007 Ceci dit le célèbre chef d'orchestre Pierre Montaud (le créateur du Sacre du Printemps en 1913) avait signé en 1952 à 77 ans un contrat de 25 ans pour la direction du London Symphony orchestra en disant : "un contrat de 25 ans renouvelable pour 25 ans". Il est malheureusement mort 12 ans plus tard. Lien vers le commentaire
A.B. Posté 26 mars 2007 Signaler Share Posté 26 mars 2007 Un centenaire se voit accorder un prêt sur 25 ans au Royaume-Uni.C'est tout, je voulais juste partager Je vois pas le probleme, surtout que c'est un mortgage. Lien vers le commentaire
Libérus Posté 26 mars 2007 Signaler Share Posté 26 mars 2007 Ceci dit le célèbre chef d'orchestre Pierre Montaud… Vous voulez dire Pierre Monteux ? Lien vers le commentaire
Rincevent Posté 26 mars 2007 Signaler Share Posté 26 mars 2007 Je vois pas le probleme, surtout que c'est un mortgage. Comme l'origine française de ce mot l'indique clairement. Lien vers le commentaire
Invité Arn0 Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Je vois pas le probleme, surtout que c'est un mortgage. Pourquoi tu ne dit pas "crédit hypothécaire" ? Lien vers le commentaire
Rincevent Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Pourquoi tu ne dit pas "crédit hypothécaire" ? Parce que le franglais est du dernier chic à Nouillorque. Lien vers le commentaire
A.B. Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Pourquoi tu ne dit pas "crédit hypothécaire" ? Parce que je dis et j'entends mortgage 10 fois par jour, ca fait empreinte… Lien vers le commentaire
h16 Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Parce que je dis et j'entends mortgage 10 fois par jour, ca fait empreinte… Et puis crédit hypothécaire, c'est plus long à dire. Ceci dit, si c'est un très gros crédit, on pourra tout de même dire un crédit hippopotécaire. Lien vers le commentaire
L.F. Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Et puis crédit hypothécaire, c'est plus long à dire. Ceci dit, si c'est un très gros crédit, on pourra tout de même dire un crédit hippopotécaire. Ca, ça ressemble fortement à un emprunt Pérusse… Lien vers le commentaire
Rincevent Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Et puis crédit hypothécaire, c'est plus long à dire. Ceci dit, si c'est un très gros crédit, on pourra tout de même dire un crédit hippopotécaire. Ca, ça ressemble fortement à un emprunt Pérusse… Lien vers le commentaire
Dardanus Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Vous voulez dire Pierre Monteux ? Argh ! un lapsus stéphanois (Montaud est aujurd'hui un quartier de ma ville natale et l'ancienne commune qui a vu naître Jules Massenet) Lien vers le commentaire
h16 Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Ca, ça ressemble fortement à un emprunt Pérusse… Eh oui. Le bougre est drôle. Lien vers le commentaire
Etienne Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Ca, ça ressemble fortement à un emprunt Pérusse… Du moment que l'emprunt n'est pas russe, il y a une chance pour qu'il soit remboursé. Lien vers le commentaire
A.B. Posté 27 mars 2007 Signaler Share Posté 27 mars 2007 Du moment que l'emprunt n'est pas russe, il y a une chance pour qu'il soit remboursé. Lien vers le commentaire
vincponcet Posté 29 mars 2007 Signaler Share Posté 29 mars 2007 Un centenaire se voit accorder un prêt sur 25 ans au Royaume-Uni.C'est tout, je voulais juste partager ça veux dire que la banque parie sur un marché stable, voire légèrement haussier du marché de l'immobilier, puisqu'elle considère que la valeur de marché du bien sera supérieur au capital restant dû (moins les frais) à la mort de la personne. Les banques sont bien au courant de l'inflation qu'elles génèrent. C'est encore une pyramide de risque sur de la monnaie fiat et on fera payer le prix éventuel à tous les citoyens, via une petite injection de monnaie. Lien vers le commentaire
A.B. Posté 29 mars 2007 Signaler Share Posté 29 mars 2007 ça veux dire que la banque parie sur un marché stable, voire légèrement haussier du marché de l'immobilier Pas necessairement, il faudrait voir le taux applique. puisqu'elle considère que la valeur de marché du bien sera supérieur au capital restant dû (moins les frais) à la mort de la personne. + les interets percus Les banques sont bien au courant de l'inflation qu'elles génèrent. Si l'appreciation de la maison est purement monnetaire alors la banque n'aura pas realise de profit dans l'operation. C'est encore une pyramide de risque sur de la monnaie fiat non et on fera payer le prix éventuel à tous les citoyens, via une petite injection de monnaie. pas necessairement Lien vers le commentaire
LaFéeC Posté 30 mars 2007 Signaler Share Posté 30 mars 2007 je m'en fous du moment où la banque assume toute seule ses choix. Aujourd'hui, certains organismes pretent à des gens peu fortunés pour des conneries, qui se mettent en surendettement parce qu'ils n'arrivent pas à payer et les créanciers genre cofidis arrivent, grace à l'aide de l'état (le créancier bailleur par ex. est dernier sur la liste) à récupérer leur pognon. Donc la banque prete à qui elle veut, mais après elle se démerde pour récupérer son pognon. je sais, je suis HS Lien vers le commentaire
WALDGANGER Posté 31 mars 2007 Signaler Share Posté 31 mars 2007 je m'en fous du moment où la banque assume toute seule ses choix.Aujourd'hui, certains organismes pretent à des gens peu fortunés pour des conneries, qui se mettent en surendettement parce qu'ils n'arrivent pas à payer et les créanciers genre cofidis arrivent, grace à l'aide de l'état (le créancier bailleur par ex. est dernier sur la liste) à récupérer leur pognon. Donc la banque prete à qui elle veut, mais après elle se démerde pour récupérer son pognon. je sais, je suis HS étant donné qu'ils n'ont pas le droit d'envoyer des miliciens pour récupérer l'argent il est normal que l'Etat intervienne pour permettre la récupération, non? Si ça n'était pas le cas les "peu fortunés" seraient les premières victimes, il n'y aurait plus de prêts du tout. Lien vers le commentaire
LaFéeC Posté 31 mars 2007 Signaler Share Posté 31 mars 2007 Mais justement, avant de preter tu vérifies que l'emprunteur peut rembourser. je ne loue pas des apparts à 500 € par mois à des gens qui gagnent 750 €, 1000 à la rigueur, selon le montant de leur Alloc logement. Si cofidis (au hasard ) prete à un RMIste pour acheter un salon cuir très cher, qu'il ne se plaigne pas s'il n'arrive pas à récupérer ses ronds, et non, j'estime que ce ne sont pas à mes impots d'aider Cofidis. Ce n'est pas à l'état d'intervenir mais à la justice (huissier payant, avocats payants etc). Par contre si Cofidis a prété au moment où la personne avait de quoi rembourser mais qu'elle a contracté d'autres crédits ensuite, c'est le créancier suivant qui doit attendre. Et, j'avoue, je trouve normal de ne pas beaucoup preter à des gens aux revenus modestes, disons qu'il faut, je me répète, preter selon leurs moyens (sur de plus longues périodes de remboursement par ex. avec de petites mensualités, genre micro crédit). Bref, c'est une question d'appréciation et de justesse, perso, j'irais pas m'endetter plus que de raison. Mais cela n'a rien à voir avec le fil, je suis désolée. Lien vers le commentaire
Invité jabial Posté 3 avril 2007 Signaler Share Posté 3 avril 2007 Tu ne vas quand même pas nier que les créanciers ont le droit de récupérer leurs billes? Là, ce que tu écris, c'est ton intérêt perso, pas du libéralisme. Lien vers le commentaire
A.B. Posté 3 avril 2007 Signaler Share Posté 3 avril 2007 Tu ne vas quand même pas nier que les créanciers ont le droit de récupérer leurs billes? Là, ce que tu écris, c'est ton intérêt perso, pas du libéralisme. Il est difficile de savoir si, sur un marche libre, la faillite serait - ou non - une clause contractuelle attachee aux prets. Lien vers le commentaire
LaFéeC Posté 3 avril 2007 Signaler Share Posté 3 avril 2007 Tu ne vas quand même pas nier que les créanciers ont le droit de récupérer leurs billes? Là, ce que tu écris, c'est ton intérêt perso, pas du libéralisme. Je ne nie pas aux créanciers leur droit de récupérer l'argent qu'ils pretent, je nie leur droit de le faire avec les moyens publics, comme font les grandes marques pour se proteger de la contrefaçon. Mon interet perso n'a rien à voir là dedans, je rembourse mon crédit tous les mois, mais j'ai fait en sorte de pouvoir le faire et j'ai contracté une assurance en cas de chomage. Et l'organisme a vérifié que je pourrais rembourser avant de me preter Il est difficile de savoir si, sur un marche libre, la faillite serait - ou non - une clause contractuelle attachee aux prets. Tiens, sur un marché réellement libre, ça se passerait comment ? Lien vers le commentaire
A.B. Posté 3 avril 2007 Signaler Share Posté 3 avril 2007 Tiens, sur un marché réellement libre, ça se passerait comment ? Comme tu ne veux pas risquer d'avoir a payer jusqu'a la fin de tes jours, tu prends une assurance faillite qui dit que si tu touches le fond l'assurance paye ton crediteur. Les assureurs fichent les gens avec des informations sur la qualite de leur credit pour calculer le montant des primes. Lien vers le commentaire
vincponcet Posté 3 avril 2007 Signaler Share Posté 3 avril 2007 Je ne nie pas aux créanciers leur droit de récupérer l'argent qu'ils pretent, je nie leur droit de le faire avec les moyens publics, comme font les grandes marques pour se proteger de la contrefaçon.Mon interet perso n'a rien à voir là dedans, je rembourse mon crédit tous les mois, mais j'ai fait en sorte de pouvoir le faire et j'ai contracté une assurance en cas de chomage. Et l'organisme a vérifié que je pourrais rembourser avant de me preter Tiens, sur un marché réellement libre, ça se passerait comment ? Il me semble qu'en pur libéralisme, sans clause contractuelle spécifique (le libertarian roots law codex), tu dois rembourser tout ce que tu dois. ensuite, libre au créancier de ne pas exiger tout ou partie de la peine. mais dans le cas contraire, d'une, on te prend tout ce que tu as, jusqu'aux fringues, et ensuite, le créancier peut te réduire en esclavage pour te faire bosser jusqu'à ce que tu lui rembourses tout. mais il est vrai que les frais de justice sont initialement aux frais du demandeurs, mais il peut très bien obtenir de la décision de justice que le mauvais payeur porte les frais de justice en tant que préjudice, du fait, il sera aussi réduit en esclavage pour payer ces frais de justice. du fait, ça limite aussi l'envie des gens de prendre des crédits qu'ils ne peuvent pas assumer. sinon, de manière plus crédible, je pense que les contrats porteront des clauses de faillite avec des conditions spéciales, sinon, ça limiterait trop le marché. il y aurait aussi des assurances sur le crédit, comme aujourd'hui d'ailleurs. Lien vers le commentaire
Dardanus Posté 5 avril 2007 Signaler Share Posté 5 avril 2007 Il me semble qu'en pur libéralisme, sans clause contractuelle spécifique (le libertarian roots law codex), tu dois rembourser tout ce que tu dois. et ensuite, le créancier peut te réduire en esclavage pour te faire bosser jusqu'à ce que tu lui rembourses tout. Le pur libéralisme conduit donc à l'esclavage. Lien vers le commentaire
Invité jabial Posté 7 avril 2007 Signaler Share Posté 7 avril 2007 Je ne nie pas aux créanciers leur droit de récupérer l'argent qu'ils pretent, je nie leur droit de le faire avec les moyens publics, comme font les grandes marques pour se proteger de la contrefaçon. Tu compares des choses incomparables. Les grandes marques demandent à l'Etat d'exercer la force contre des innocents, ce qui n'est jamais légitimes. Par contre, un organisme prêteur qu'on ne rembourse pas se comporte exactement comme n'importe quel individu qui est bien forcé de payer ses impôts et qui n'a pas d'alternative à la police (puisque les milices privées sont interdites). Lien vers le commentaire
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