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Bertrand Cantat va être libéré


Invité jabial

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je la trouve rasoire, très chiante, moche, a gerber quoi. Mais en revanche, a sa place, avec la même notoriété j'aurais fait pareil, avec plus de dignité probablement, mais tout de même.

La victime digne type, à mes yeux, c'est Françoise Van Holsbeek (la mère de Joe, l'ado qui s'est fait poignarder en pleinne gare centrale à 16h30 en semaine, par deux gamins qui en voulait à son lecteur mp3)

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Maintenant, je trouve extrèmement mal sain de distribuer des bons et des mauvais points aux victimes. On ne peut pas savoir comment on réagirait à leur place. Et puis chaque crime est différent.

ça me fait pensser à la concurrence des victimes :

Dans un premier temps, l'auteur résume l'histoire d'une attente de reconnaissance frustrée dans l'immédiat après-guerre : celle des survivants de la Shoah. Ceux-ci subirent en effet un processus de victimisation secondaire analogue à ceux que l'on observe auprès d'autres catégories de victimes, telles les victimes de viol. Non seulement leur expérience spécifique, en tant que Juifs, fut occultée mais ils furent en outre doublement stigmatisés pour leurs réactions face à l'entreprise criminelle des nazis : d'une part, les Juifs assassinés se seraient laissé conduire à la mort « comme des moutons à l'abattoir » ; d'autre part, les survivants auraient adopté des comportements indignes pour survivre. Alors que les déportés résistants recueillaient tous les lauriers de la gloire, les survivants juifs furent confinés dans la honte. Leurs légitimes attentes de reconnaissance restèrent ainsi longtemps insatisfaites. Ils n'eurent pas droit aux statuts honorifiques et, bien souvent, ne furent même pas mentionnés explicitement sur les monuments commémoratifs aux victimes du Troisième Reich. Il en résulta des traumatismes durables dont les conséquences se sont manifestées ultérieurement.

Pendant près de vingt ans en effet, cette situation perdura sans susciter beaucoup de protestations. Au milieu des années 1960 cependant, une réaction s'amorça et une entreprise de réhabilitation, voire de glorification, des victimes fut menée avec succès. Le stigmate fut effacé, souvent même inversé : être un survivant de la Shoah est devenu un titre prestigieux. Le moyen détourné de cette revalorisation spectaculaire a été la revendication polémique de la singularité absolue de la Shoah : son unique uniqueness.

Cette manière indirecte de mener une authentique lutte pour la reconnaissance a néanmoins engendré des effets pervers notables à de multiples points de vue. L'auteur évoque plus particulièrement celui de « la concurrence des victimes ». À partir du moment où un groupe prétend que sa victimisation est sans aucune commune mesure avec d'autres persécutions, il est prévisible que d'autres victimes du nazisme ou d'autres tragédies historiques s'insurgent et soutiennent le contraire. D'où, depuis un quart de siècle, l'émergence de débats sordides et interminables sur la comparabilité des crimes et des souffrances. Les oppositions se déplacent et les victimes luttent entre elles plutôt que de faire front commun. La réhabilitation morale des morts et des survivants se dégrade alors en une lutte pour la distinction sociale attisée par un contexte général où le statut de victime est devenu un passe-droit enviable.

En conclusion, l'auteur s'interroge précisément sur les raisons et les causes qui ont conduit à cette valorisation remarquable du statut de victime au cours des dernières décennies. Tant les victimes de faits divers que les victimes de tragédies historiques en profitent. Un changement socioculturel majeur s'est ainsi produit dont il reste à élucider la dynamique. L'émergence de la victimologie comme discipline autonome en constitue probablement une des manifestations et c'est pourquoi la question ne saurait laisser les victimologues indifférents. Jusqu'il y a peu, les héros méritaient d'être rétribués, tant matériellement que symboliquement, pour ce qu'ils avaient accompli. Il semble qu'à présent ce soient avant tout les victimes qui méritent d'être compensées pour ce qu'elles ont subi. Comment expliquer cette évolution remarquable des sensibilités collectives? La revalorisation concomitante du statut des victimes de l'Histoire et des victimes de faits divers incite à chercher des réponses qui transcendent les différences de ces catégories tellement hétérogènes. L'auteur suggère à titre hypothétique de lier la promotion du statut de victime au redéploiement de la question sociale dans les sociétés occidentales : si, comme certains l'affirment, le conflit central n'est plus celui de l'intégration mais celui de l'insertion, la posture de la victime pourrait bien représenter la posture revendicatrice privilégiée. Il resterait alors à en tracer les potentialités et les limites.

Lire l'article intégral en format PDF sur le site erudit.org

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Invité Arn0
Maintenant, je trouve extrèmement mal sain de distribuer des bons et des mauvais points aux victimes. On ne peut pas savoir comment on réagirait à leur place. Et puis chaque crime est différent.
je la trouve rasoire, très chiante, moche, a gerber quoi.
:icon_up:
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Pour moi, un meurtre, ça ne peut pas valoir seulement 4 ans de tôle. Entre ça et la peine de mort, il y a de la marge.

On va pas refaire le procès mais :

Le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l'article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement, la mort d'autrui constitue un homicide involontaire puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.

En cas de violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende

Ici, ce qui a causé la mort de Marie Trintignant, ce ne sont pas seulement les baffes de Cantat, ce sont aussi les longues heures à ne rien faire (son frère et Cantat ont attendu le petit matin pour prévenir les secours).

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Ici, ce qui a causé la mort de Marie Trintignant, ce ne sont pas seulement les baffes de Cantat, ce sont aussi les longues heures à ne rien faire.

Elle serait morte d'ennui, en quelque sorte.

Ca lui va bien.

Cantat est un chanteur engagé (contre le FN, le racisme, etc..), ce n'est pas possible qu'il ait pu faire du mal à quelqu'un.

L'oisiveté est mère de tous les vices.

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  • 1 month later...
Le fait d'être connu l'a plutôt désservi, il me semble! Et rendra sa réinsertion plus difficile.Il est logique qu'il puisse bénéficier d'une libération conditionnelle que M. Tout le Monde n'a aucune peine à obtneir.Malgré les efforts de Mme Trintignant mère ( beurk…quelle haine…elle me le rendrait presque sympathique, ce gaucho-bobo donneur de leçons) il n'a jamais été possible de recueillir le moindre témoignage visant à démontrer une tendance violente habituelle de Cantat contre ses compagnes précédentes.Le risque de récidive est quasi nul, je suppose que c'est ce qu'examinent en priorité les JAP chargés de statuer, et non pas la notoriété du condamné.On était dans le cadre d'un crime passionel: cette femme le rendait dingue. Pourquoi? Je ne vais pas dire qu'elle l'a cherché, mais enfin, le comportement de Cantat avec elle est en contradiction totale avec les témoignages des autres "ex" sur lesquelles jamais il n'aurait levé la main. IL a lourdement fauté, et payé pour çà ( 8 ans réduits à 4 ans, c'est déjà beaucoup pour un homicide involontaire et non prémédité. )Qu'il sorte. Ce n'est pas pour autant que j'achèterai ses disques!

+1 (mais moi j'achète les albums, et je l'assume completement)Dans cette affaire, c'est quand même dingue comment Bertrand Cantat est démesurément sali.<br>Bien sur que l'acte est moche, bien sur que c'est inexcusable, cependant veillons à ne pas tout confondre.

Ce n'est pas parce que 1 fois dans sa vie une personne bat a mort sa compagne, que cet homme devient comme par magie quelq'un de violent, un "monstre" ignoble, affreux, qui "battait souvent ses compagnes" (mdr!) etc… (je ne vais pas répéter tous les abus de certains) Qui peut vraimment prétendre cela? Quelqu'un sur ce forum le connait-il personnellement pour le dire? Quelqu'un etait-il à Vilnius dans l'appartement pour pouvoir affirmer que l'acte était inspiré d'une soif de violence que vous décrivez, et pour dénier toute part de responsabilité de Maire Trintignant dans la dispute à l'origine du meurtre? Ne pouvez-vous pas comprendre qu'il arrive à n'importe qui de péter un plomb (avec les conséquences non désirées que cela comporte). Dois-je supposer que je suis le seul avec Bertrand Cantat à qui il arrive de perdre les nerfs?(je n'ai tué personne je vous rassure) Et oui nous sommes humains, il ne faudrait pas l'oublier.

Ensuite pour votre information : Bertrand Cantat a versé 220 000 € à 2 des 4 fils de Marie Trintignant (les 2 autres n'ont pas voulu de cette indemnisation)(soit 440000€ au total et 150000 au producteur du film) . Je sais que ca ne leur rendra pas leur mère, mais je ne pense pas non plus que Bertrand Cantat ait pris cette décision à la légère…

En ce qui concerne la remise de peine, c'est un autre débat plus institutionnel dans lequel je ne veux pas rentrer. Cependant, si par malheur vous vous retrouvez en prison, franchement, hésiteriez vous à tenter d'en bénéficier?

Enfin, pour rassurer certains, je ne crois pas vraimment que Bertrand Cantat soit dangereux. En fait, il va avoir du mal à retrouver une copine je pense lol

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Ce n'est pas parce que 1 fois dans sa vie une personne bat a mort sa compagne, que cet homme devient comme par magie quelq'un de violent.

Sur le plan réthorique j'adôôôrrree cette phrase !

Enfin, pour rassurer certains, je ne crois pas vraimment que Bertrand Cantat soit dangereux. En fait, il va avoir du mal à retrouver une copine je pense

Hum…alors tu n'as peut être pas bien écouté la musique qu'il fait.

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+1 (mais moi j'achète les albums, et je l'assume completement)Dans cette affaire, c'est quand même dingue comment Bertrand Cantat est démesurément sali.<br>Bien sur que l'acte est moche, bien sur que c'est inexcusable, cependant veillons à ne pas tout confondre.

Ce n'est pas parce que 1 fois dans sa vie une personne bat a mort sa compagne, que cet homme devient comme par magie quelq'un de violent, un "monstre" ignoble, affreux, qui "battait souvent ses compagnes" (mdr!) etc… (je ne vais pas répéter tous les abus de certains) Qui peut vraimment prétendre cela? Quelqu'un sur ce forum le connait-il personnellement pour le dire? Quelqu'un etait-il à Vilnius dans l'appartement pour pouvoir affirmer que l'acte était inspiré d'une soif de violence que vous décrivez, et pour dénier toute part de responsabilité de Maire Trintignant dans la dispute à l'origine du meurtre? Ne pouvez-vous pas comprendre qu'il arrive à n'importe qui de péter un plomb (avec les conséquences non désirées que cela comporte). Dois-je supposer que je suis le seul avec Bertrand Cantat à qui il arrive de perdre les nerfs?(je n'ai tué personne je vous rassure) Et oui nous sommes humains, il ne faudrait pas l'oublier.

Te rends tu compte de ce que tu écris ? Hein ? Deux minutes ?

En gros, ton "argument" revient à "Cela arrive à tout le monde de péter un câble, et Cantat n'est pas si méchant, au fond".

Quand je pète un câble (ce qui m'arrive rarement mais parfois), je ne cogne sur personne et je n'ai jamais tué quiconque (ni même un animal, d'ailleurs). Que ça puisse arriver à certains, c'est une question de statistique, mais ça ne constitue en rien un argument quelconque.

Et pour l'autre branche rhétorique dont tu fais preuve, à savoir le "Et sa pouffe, elle était ptêt un peu coupab', hein", je suis désolé de te dire qu'aussi idiote et insupportable soit-elle, j'ai du mal à imaginer qu'un bon tabassage à mort soit une issue envisageable pour régler un différent de caractère.

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Encore une fois confusion générale : Je ne prétends nullement excuser Bertrand Cantat!!

Simplement, je veux simplement dire que ce drame à d'autres explications que l'hypothèse du mec diabolique et méchant :

- les circonstances : la dispute (auxquelle Marie est impliquée il me semble, je ne dis pas qu'elle a eu ce qu'elle méritait)

- le caractère impulsif de Bertrand : indéniable c'est sur, de là à dire qu'il est "violent" je ne sais pas. Le caractère violent d'une personne ne se décrit (pour moi) pas par le simple fait qu'il a battu une fois quelqu'un.

- les drogues(?) : encore une fois ca n'excuse en rien, ca explique.

Sur le plan réthorique j'adôôôrrree cette phrase !

Hum…alors tu n'as peut être pas bien écouté la musique qu'il fait.

Euh tu me connais pour dire ca?

J'ai bien écouté, après on adhère ou pas aux opinions, ça c'est une autre histoire…

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Encore une fois confusion générale : Je ne prétends nullement excuser Bertrand Cantat!!

Simplement, je veux simplement dire que ce drame à d'autres explications que l'hypothèse du mec diabolique et méchant :

- les circonstances : la dispute (auxquelle Marie est impliquée il me semble, je ne dis pas qu'elle a eu ce qu'elle méritait)

- le caractère impulsif de Bertrand : indéniable c'est sur, de là à dire qu'il est "violent" je ne sais pas. Le caractère violent d'une personne ne se décrit (pour moi) pas par le simple fait qu'il a battu une fois quelqu'un.

- les drogues(?) : encore une fois ca n'excuse en rien, ca explique.

Quelqu'un qui lorqu'il pète un cable tue quelqu'un d'autre est quelqu'un de violent, s'il tue pas exprès parce qu'il n'a pas conscience sur le moment de la puissance des coups qu'il porte c'est aussi quelqu'un de violent mais pire encore c'est un irresponsable qui ne se maitrise pas.

La vie peut ammener bon nombre de personnes à faire quelque chose comme ça, on ne sait jamais, ça explique certes, ça n'excuse pas, mais ça reste de la violence.

Le fait qu'il ait tué qu'une fois ne remet pas en cause le fait qu'il soit violent.

Euh tu me connais pour dire ca?

J'ai bien écouté, après on adhère ou pas aux opinions, ça c'est une autre histoire…

Canaillou, c'était une blague. Laquelle sous-entendait "il suffit d'écouter sa musique pour comprendre que ce garçon est dérangé". :icon_up:

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Quelqu'un qui lorqu'il pète un cable tue quelqu'un d'autre est quelqu'un de violent, s'il tue pas exprès parce qu'il n'a pas conscience sur le moment de la puissance des coups qu'il porte c'est aussi quelqu'un de violent mais pire encore c'est un irresponsable qui ne se maitrise pas.

La vie peut ammener bon nombre de personnes à faire quelque chose comme ça, on ne sait jamais, ça explique certes, ça n'excuse pas, mais ça reste de la violence.

Le fait qu'il ait tué qu'une fois ne remet pas en cause le fait qu'il soit violent.

Canaillou, c'était une blague. Laquelle sous-entendais "il suffit d'écouter sa musique pour comprendre que ce garçon est dérangé". :doigt:

Bon reprenons : L'acte est violent, on est d'accord! :icon_up:

En ce qui concerne son caractère :peut-être est-il quelqu'un de "violent", mais peut être pas! Le fait qu'il ait fait ca une fois ne veut pas dire que intrinsèquement il est violent c'est à dire qu'il a tendance à recourir à la violence systématiquement. Et ca, on ne le connait pas assez personnellement pour le dire. On ne peut pas juger une personne en ne connaissant que partiellement ses actes.

En attendant : présomption d'innocence?

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L'intérêt est qu'on arrete de l'incendier même 5 ans après.

Et pourquoi ?

Qu'il ait effectué sa peine est une chose, mais toute sa vie Bertrand Cantant sera celui qui a tué Marie Trintignant, toute sa vie, et je pense même au delà…

Si tu as à faire à un mauvais payeur, celui-ci peut bien te rembourser avec les intérêts, tu ne lui prêteras sans doute plus rien…

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C'est important pour qui, au juste ?

Oh, excuse moi, j'aurais peut etre du te consulter avant de m'exprimer.

Si tu juge mon point de vue inintéressant c'est ton problème, mais je n'ais pas à me justifier de ce pourquoi je m'exprime tout de même!

Autrement, on pourrait également demander à celui qui a lancé ce post et à tout ceux qui l'ont suivi :

"C'est important pour qui de répéter que c'est dégueulasse ce que le mec de Noir Désir a fait?"

On est sur un forum non? On est là pour s'exprimer un point c'est tout. Je n'insulte personne, je respecte les règles, je m'exprime, cela pose un problème? J'ai bien l'impression que le seul problème est que je n'ais pas le même avis que vous, ce qui tend à confirmer les doutes que j'avais déjà quant à l'appellation "libérale" de ce forum…

Et pourquoi ?

Je sais pas, peut-etre par respect :icon_up: . C'est toujours un etre humain non?

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La question de Ash n'a rien de scandaleuse, je ne vois pas pourquoi tu montes sur tes grands chevaux.

Tu pourrais simplement répondre "c'est important pour moi".

Parce qu'honnêtement, ce n'est pas "important" en soi, la vie de Cantat, il pourra en prendre plein la figure qu'il continuera à vivre de sa musique, et à baver sur Universal alors que c'est Universal qui le distribue. Je n'ai jamais aimé Cantat parce que c'est un gauchiste minable qui pue la bienpensance et n'agit pas selon les règles qu'il prône…

Je ne vois pas pourquoi il mériterait mon respect. Mais tu as tout à fait le droit, toi, de le respecter.

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Bon reprenons : L'acte est violent, on est d'accord! :icon_up:

En ce qui concerne son caractère :peut-être est-il quelqu'un de "violent", mais peut être pas! Le fait qu'il ait fait ca une fois ne veut pas dire que intrinsèquement il est violent c'est à dire qu'il a tendance à recourir à la violence systématiquement. Et ca, on ne le connait pas assez personnellement pour le dire. On ne peut pas juger une personne en ne connaissant que partiellement ses actes.

Je comprend ton mode de raisonement. En gros c'est "Cantat a fauté, il ne l'a fait qu'une fois, mais maintenant il a payé sa dette à la société (à pronnoncer avec l'accent et l'air le plus niais possible), il faut donc arrêter de dire quoique ce soit par apport à la possible violence de l'individu, il faut faire comme l'affaire n'avait pas eu lieu".

Ce mode de pensé est toutafais acceptable du moment que tu l'applique sans vouloir contraindre les autres à l'accepter. En attendant, ce que Cantat a fait, chacun d'entre nous est libre de le rapeller et surtout de tirer la conclusion que c'est un homme violent. Le fait qu'il ait tué une fois montre qu'il est intrinsèquement (je me demande bien d'ailleurs ce que le contraire voudrait dire) violent. Et je ne serais pas tranquile si une de mes proches sortait avec Cantat.

D'autre part, il est bon de noter que le raisonnement que tu tiens, même l'Etat qui pourtant en est à l'origine, ne l'applique pas. Pour être fonctionnaire, ton casier judiciaire doit être vide…

Enfin, même Diams le dit sur Cantat : "il y a comme un goût d'attentat, comme un goût de Bertrant Cantat " :doigt::warez::warez:

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