Aller au contenu

Un ex-pote de Chavez crie au coup d'état


Taranne

Messages recommandés

Otages en Colombie: le gouvernement met fin à la médiation de Chavez

Il y a 43 minutes

BOGOTA (AFP) — Le gouvernement colombien a décidé de mettre un terme à la médiation du président du Venezuela Hugo Chavez sur un échange d'otages détenus par les FARC (guérilla marxiste) contre des guérilleros prisonniers, selon un communiqué de la présidence.

"Le président de la République (Alvaro Uribe) considère comme terminée la facilitation de la sénatrice (colombienne) Piedad Cordoba et la médiation du président Hugo Chavez et les remercie pour leur aide", peut-on lire dans ce communiqué.

M. Alvaro Uribe reproche au président Chavez d'avoir contacté directement par téléphone le commandant de l'armée colombienne, le général Mario Montoya, et de lui avoir posé des questions sur les otages.

"Aujourd'hui la sénatrice Piedad Cordoba a appelé par téléphone le commandant de l'Armée, le général Mario Montoya, lui demandant un rendez-vous puis lui a passé le président Chavez qui a posé des questions sur les otages des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC)", poursuit le communiqué.

"Lors de la réunion de Santiago du Chili, selon le communiqué, le président Uribe avait indiqué au président Chavez qu'il n'était pas d'accord pour que le président de la République bolivarienne du Venezuela prenne directement contact avec le haut responsable colombien (ndlr: le général Montoya)".

Les FARC, qui comptent près de 17.000 guérilleros, demandent l'échange de 45 otages -dont la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt et trois Américains- contre la libération de 500 des leurs en prison.

Hugo Chavez, reçu mardi à Paris par Nicolas Sarkozy, avait alors reconnu ne pas disposer de "preuves de vie" des otages, qu'il s'était engagé à fournir..

M. Chavez avait assuré avant sa venue qu'il ne viendrait pas à Paris "les mains vides". Sa visite avait donc suscité de grands espoirs auprès de la famille de la Franco-colombienne Ingrid Betancourt, enlevée en 2002 et qui apparaissait pour la dernière fois sur une vidéo diffusée en août 2003.

http://afp.google.com/article/ALeqM5iJRQeV…ebEpaVh3JqTRNLw

Lien vers le commentaire

J'imagine qu'il voulait parler du serment de vassalité au roi de Suède en 1262 (ce n'était pas une invasion, mais un appel à la concurrence étrangère
:icon_up:
), et qu'il distingue les Vikings du continent de ceux de l'Islande ?

Oui, je distingue les vikings du continent de ceux d'Islande car la vie des islandais était à des années-lumières de celles des marins pillards qu'étaient les vikings. De plus, certains islandais n'était considéré comme viking que parce que leurs ancètres était scandinaves, mais eux, pouvait-on les qualifier de viking? C'est comme si on disait que les américains d'aujourd'hui sont des européens.

Sinon, tu m'apprend quelque chose, car je croyais que les événements de 1262 était une invasion. Tu parles d'un serment de vassalité, tu veus dire que
tous
les islandais ont fait ce serment? Et sinon, je n'ai absolument rien contre la concurence entre les gouvernements, mais je ne vois pas trop ce que le roi de Suède pouvait apporter de plus (dividendes sur les pillages? Liens commerciaux?…).

Lien vers le commentaire
Euh… avant les Vikings, il n'y avait personne en Islande.

Si, un tout petit peu. http://www.liberaux.org/index.php?showtopi…st&p=133539

Oui, je distingue les vikings du continent de ceux d'Islande car la vie des islandais était à des années-lumières de celles des marins pillards qu'étaient les vikings. De plus, certains islandais n'était considéré comme viking que parce que leurs ancêtres était scandinaves, mais eux, pouvait-on les qualifier de viking? C'est comme si on disait que les américains d'aujourd'hui sont des européens.

Sinon, tu m'apprend quelque chose, car je croyais que les événements de 1262 était une invasion. Tu parles d'un serment de vassalité, tu veux dire que
tous
les islandais ont fait ce serment? Et sinon, je n'ai absolument rien contre la concurrence entre les gouvernements, mais je ne vois pas trop ce que le roi de Suède pouvait apporter de plus (dividendes sur les pillages? Liens commerciaux?…).

Le viking n'est en aucune façon un pillard. C'est avant tout un commerçant, qui à l'occasion ne déteste pas se livrer à un coup de main rapide (strandhögg), lorsque la cible était richement pourvue et peu défendue. On a longtemps relayé ce cliché fondé sur la fameuse supplique des gens d'Eglise (A furore Normannorum libera nos, Domine!), ces derniers figurant parmi les cibles privilégiées des vikings, car peu voire pas défendues. L'ère viking est assez brève puisqu'elle débute avec le raid sur Lindisfarne en 793 et prend fin en 1066 à la mort de mon éponyme Haraldr Sigurdarson, roi de Norvège, à la bataille de Stamfordbridge (qui au passage a permis à Guillaume le conquérant de s'emparer de l'Angleterre sans trop de difficultés).

Sur les islandais, je vous conseille de relire certaines sagas. Loin d'être un pays coupé du monde, elle entretenait d'étroits rapports avec les pays scandinaves continentaux et il n'était pas rare que des islandais partent i vikingu avec un saekonungr continental. Par ailleurs, ils ne rechignaient pas à faire parler hache et tison lorsque les conflits juridiques s'éternisaient. Enfin, le serment de vassalité a été prononcé par l'ensemble des goðar réunis à l'Alþing, de fait on peut effectivement affirmer que l'Islande entière a fait allégeance à Haakon IV de Norvège.

Lien vers le commentaire
Sur les islandais, je vous conseille de relire certaines sagas. Loin d'être un pays coupé du monde, elle entretenait d'étroits rapports avec les pays scandinaves continentaux et il n'était pas rare que des islandais partent i vikingu avec un saekonungr continental. Par ailleurs, ils ne rechignaient pas à faire parler hache et tison lorsque les conflits juridiques s'éternisaient.

Les braves gens ! :icon_up:

Enfin, le serment de vassalité a été prononcé par l'ensemble des goðar réunis à l'Alþing, de fait on peut effectivement affirmer que l'Islande entière a fait allégeance à Haakon IV de Norvège.

Même s'ils pensaient peut-être seulement faire appel à la concurrence étrangère pour remettre de l'ordre dans le pays, et non condamner à la disparition leur modèle de société…

Lien vers le commentaire
Remarquez, si le fraônçais moyen percevait le viking comme pillard depuis la nuit des temps, alors qu'il était commerçant, ça en dit long sur son socialisme.

Les voies commerciales ouvertes pas les varègues (suédois) allaient jusqu'à Bagdad, de manière avérée et certainement plus loin occasionellement si l'on considère un bouddha en bronze découvert lors de fouilles archéologiques à Haithabu (Hedeby), Danemark.

Par ailleurs la Russie tire son nom des varègues Rhùs qui fondèrent le premier royaume russe autour des villes qu'ils bâtirent : Kiev, Novgorod, Staraïa Ladoga. Lorsqu'il se montait une expédition commerciale, les principaux "actionnaires" contractaient une manière d'association (felag), placée sous les auspices des dieux, contrat qui de par sa valeur sacrée était inviolable.

Lien vers le commentaire

Le gorille commence à menacer "les traîtres" qui voteraient contre son coup d'Etat constitutionnel entérinant les pleins pouvoirs qu'il a déjà confisqués de fait. À quand les premières purges du régime?

http://canadianpress.google.com/article/AL…Pezh9pu13usqPXQ

Hugo Chavez avertit les "traîtres" qui souhaiteraient voter contre sa réforme

24/11/2007

CARACAS - Le président vénézuélien Hugo Chavez a haussé le ton à l'approche du référendum sur sa réforme constitutionnelle le 2 décembre, avertissant ses détracteurs vendredi que quiconque votera contre sera considéré comme "traître".

Les amendements constitutionnels incluent la possibilité pour le chef de l'Etat d'effectuer un nombre illimités de mandats, qui seraient allongés de six à sept ans.

Hugo Chavez, qui ne pourrait se représenter dans cinq ans si sa réforme est rejetée, a tenté vendredi de mobiliser ses partisans pour que le "oui" l'emporte le 2 décembre, après la défection récente de plusieurs ex-alliés, comme l'ancien ministre de la Défense Raul Baduel, qui qualifie la réforme de "coup d'Etat".

"Celui qui dit qu'il soutient Chavez et qui vote 'non' est un traître, un vrai traître", a martelé le président devant les représentants de comités locaux de la mouvance chaviste. "Il est contre moi, contre la révolution et contre le peuple".

Les critiques avertissent que le président tente de s'arroger plus de pouvoir et de rester président à vie, comme son allié Fidel Castro, le leader cubain que Chavez n'hésite pas à citer en exemple. Chavez affirme de son côté qu'il restera au pouvoir aussi longtemps que les Vénézuéliens le souhaiteront.

"Si vous ne l'approuvez pas (le référendum), peut-être aurons-nous le temps de faire un saut en parachute dans cinq ans", a déclaré l'ancien para de l'armée. "Mais si vous le voulez-si vous approuvez le référendum, je resterai aussi longtemps que Dieu le veut! Jusqu'à ce que le dernier os de mon squelette se dessèche!"

Il ne fait même plus mystère de ses intentions d'être sacré tyran à vie, au cas où certains naïfs, endoctrinés ou pas, en douteraient encore.

Lien vers le commentaire
Le gorille commence à menacer "les traîtres" qui voteraient contre son coup d'Etat constitutionnel entérinant les pleins pouvoirs qu'il a déjà confisqués de fait. À quand les premières purges du régime?

Il ne fait même plus mystère de ses intentions d'être sacré tyran à vie, au cas où certains naïfs, endoctinés ou pas, en douteraient encore.

Il est fascinant de voir que ce sont exactement les mêmes qui accusent en France Sarkozy d'être un Napoléon au petit pied qui soutiennent Chavez car il est démocratiquement élu.

En tout cas, l'opposition vénézuelienne semble être d'une nullité aussi confondante que le PS français…

Lien vers le commentaire
La dissidence du général Baduel révèle les divisions sur le socialisme

LE MONDE | 19.11.07 |

Caracas, envoyée speciale

Derrière lui, un Christ et trois madones. A sa gauche, des reproductions des guerriers de Xian. Le général Raul Baduel, longtemps chaviste, un temps ministre, catholique et taoïste, reçoit en civil dans son nouveau bureau d'une tour en béton de Caracas. Il explique les raisons qui l'ont conduit à comparer le projet de réforme constitutionnelle à un "coup d'Etat" : "La mal nommée "réforme" modifie l'essence même de la Constitution et impose un nouveau projet de société. Elle prétend embarquer le pays sur la voie hasardeuse d'un socialisme du XXIe siècle que personne ne s'est chargé de définir."

A trois semaines du référendum sur la réforme, fixé au 2 décembre, le retournement du général Baduel a eu un effet retentissant. "En avril 2002, j'ai défendu la Constitution. Je continue de la défendre", justifie-t-il. Alors commandant de la 42e brigade de parachutistes, Raul Baduel avait ramené au pouvoir le président Hugo Chavez, renversé quarante-huit heures plus tôt par un coup d'Etat. Sa loyauté lui valut d'être nommé général puis de prendre la tête du ministère de la défense en 2006. Son dernier discours officiel, le 18 juin, avait été remarqué. "Pour distribuer la richesse, il faut d'abord la produire", avait notamment déclaré celui qui, déjà, semblait prendre ses distances avec la "révolution bolivarienne".

Il évoque les premières années d'amitié avec M. Chavez et la fondation, en 1982, du Mouvement bolivarien, une faction clandestine au sein de l'armée. "Nous rêvions d'un pays plus juste, celui que la Constitution de 1999, démocratique et pluraliste, permettrait de construire si elle était appliquée", explique Raul Baduel. Qu'a-t-il ressenti quand ses compagnons de route l'ont traité de "traître" et de "renégat" ? "Je ne me suis pas senti concerné. J'ai toujours été fidèle à mes amis et plus encore à mes principes", répond-il.

Qu'a-t-il ressenti quand la foule venue acclamer M. Chavez a scandé : "Trahison, Baduel au peloton d'exécution", sans que le président ne la fasse taire ? La scène se passait le 10 novembre à Caracas. "Un jugement sommaire de cette sorte est effrayant. Mais ce n'est pas moi qui importe, c'est l'avenir du pays qui est en jeu", insiste le général, qui se garde de toute attaque frontale contre M. Chavez.

"J'ai dit que le vote est l'arme démocratique des citoyens pour s'opposer à la réforme, rappelle Raul Baduel. Comment peut-on m'accuser d'avoir appelé les militaires à s'insurger ?" Interrogé sur l'existence d'un éventuel malaise au sein de l'armée, il refuse de se prononcer. "Il faut absolument éviter d'impliquer les militaires dans le débat politique. Ce n'est pas sain pour la démocratie", justifie-t-il. Mais, selon Ricardo Sucre, spécialiste des questions militaires, "Raul Baduel n'aurait pas pris le risque de parler sans l'appui d'une partie de l'institution militaire".

(…)

Les observateurs jugent, eux, que la défection du général est un vrai coup dur pour M. Chavez. "C'est la première expression publique d'un débat sur le socialisme qui divise profondément le chavisme", note Marino Alvarado, défenseur des droits de l'homme.

Marie Delcas

Lien vers le commentaire

Quelle mouche a piqué Libé? Le quotidien gaucho-boboïde bien pensant a publié une pétition rédigée par une brochette de personnalités, appelant à résister contre la dérive totalitaire du régime Chavez; et signée par un panel non moins impressionnant.

lundi 19 novembre 2007

L’opportunisme humanitaire de Chávez

Víctor Rodríguez Cedeño, ancien ambassadeur du Venezuela à l’ONU. Mario Vargas Llosa, écrivain ; Carlos Alberto Montaner, écrivain ; Diego Arria, ancien ambassadeur du Venezuela à l’ONU ; Jesús Torrealba, Radar de los Barrios (association des bidonvilles) ; Bernard-Henri Lévy, philosophe ; Pascal Bruckner, écrivain ; Alain Finkielkraut, philosophe ; André Glucksmann, philosophe ; Simón Alberto Consalvi, éditeur, écrivain, diplomate ; Pierre-André Taguieff, directeur de recherche au CNRS ; Manuel Caballero, membre de l’Académie d’histoire au Venezuela ; Mortimer Zuckerman, US News & World Report ; Asdrúbal Aguiar, ancien membre de la Cour interaméricaine des droits de l’homme ; Ilios Yannakakis, historien-politologue ; Teodoro Petkoff, directeur du journal Tal Cual ; Pierre Rigoulot, directeur de l’Institut d’histoire sociale ; Athaualpa Litchy, cinéaste ; Alberto Schlesinger Vélez, académicien et homme politique colombien ; Carlos Cruz-Diez, artiste plasticien ; Michael Prazan, écrivain, réalisateur ; Benjamín R. Scharifker, président de l’université Simón-Bolívar de Caracas ;

La France, fidèle à sa tradition du pays des droits de l’homme, a invité le président vénézuélien Hugo Chávez, dans le cadre de son intervention en faveur de la libération d’Ingrid Betancourt et des otages détenus par les Farc. Nous saluons cette initiative éminemment humanitaire. Cependant, cette action donne au président Chávez l’occasion de tenter d’améliorer son image et distraire l’attention de l’opinion publique internationale.

La visite du président Chávez à Paris intervient douze jours avant le référendum sur une nouvelle Constitution, projet de réforme rédigé sans consultation et sans respecter la procédure établie par la Constitution en vigueur. Rejeté par la majorité des Vénézuéliens, et à l’intérieur même du camp du président, ce nouveau texte constitutionnel propose la réélection indéfinie du président. Il entend supprimer tout contrôle des pouvoirs de l’État sur les actions de l’éxécutif. Il constitue une véritable entorse aux principes fondamentaux de la démocratie et de l’État de droit. La tenue d’un référendum ne garantira pas l’expression d’un suffrage impartial car, depuis des années déjà, le Conseil national électoral, instance chargée de superviser les processus électoraux au Venezuela, est placé sous la coupe du gouvernement et de ses partisans. Quant au vote électronique, instauré dans le pays depuis 2004, il se prête à toutes les manipulations.

Nous tenons à rappeler : que pendant des années, le président Chávez a ignoré le sort des Vénézuéliens otages des Farc et ne s’est nullement soucié de leur famille. Que le Président se livre à une course aux armements que rien ne justifie, mettant en péril la paix et la sécurité du pays et de la région, au lieu d’utiliser les ressources pétrolières pour un développement durable du pays et résoudre les graves problèmes économiques et sociaux du peuple vénézuélien. Que le Président a créé une milice civile armée de plusieurs centaines de milliers d’hommes, dépassant en nombre les effectifs de la Force armée nationale, dans le but de contrôler la société vénézuélienne. Que l’instauration d’un État socialiste, dans le cadre du prétendu «socialisme du XXIe siècle», prévu dans la future Constitution «réformée», ne fera qu’entériner la violation des principes fondamentaux des droits de l’homme. Nous lançons un appel au gouvernement français et à l’ensemble des démocrates en France pour qu’ils prennent conscience de la dérive antidémocratique d’un régime qui, quoi qu’il en dise, est sur la voie du totalitarisme. Un chemin emprunté pour le plus grand malheur des peuples qui y sont soumis, comme c’est le cas de Cuba aujourd’hui.

Les Vénézuéliens ont vécu en démocratie depuis 1958 et font face aujourd’hui à la disparition de l’État de droit et du respect des libertés. Nous demandons aux démocrates du monde de ne pas laisser mourir l’une des plus anciennes démocraties d’Amérique latine !

Les signataires par ordre alphabétique: http://www.libe.fr/rebonds/292184.FR.php

Voilà qui a le mérite d'être clair. Curieusement, les réactions des lecteurs sont pour le moins hostiles à cette initiative social-traitresse et odieusement droit-de-lhommiste d'un journal d'habitude si prompt à se placer dans le mauvais camp :icon_up:

Serait-ce le signe que l'imposture de Chavez, leader mondial jusque là incontesté de "l'anti-impérialisme" altercomprenant et de la voie "démocratique" vers le socialisme, commence à prendre l'eau de toute part?

À signaler aussi, ces immenses manifestations jeudi à Caracas, contre la dictature:

Marée humaine contre la réforme constitutionnelle

Les opposants à la réforme constitutionnelle soumise à référendum dimanche ont manifesté une dernière fois en masse ce jeudi dans les rues de Caracas pour réaffirmer leur refus du nouveau texte proposé par le président Hugo Chavez et occuper entièrement la plus grande avenue de la capitale. Objectifs remplis mais la victoire du «Non» ce week-end est cependant loin d’être acquise.

venezuela_432_30112007.jpg

Souhaitons que la machine répressive du régime ne se mette pas en marche brutalement contre ces mouvements démocratiques.

Lien vers le commentaire
un article montrant un point commun entre Chavez et Poutine, tous 2 ont choisi le 2 décembre…. :doigt::icon_up:

Je rappelle, à toutes fins utiles, que le 2 décembre est, historiquement, la date du sacre de Napoléon Ier et du coup d'Etat de Napoléon III…

Lien vers le commentaire
C'est le propre de tout régime totalitaire, que de chercher en permanence des ennemis extérieurs et des ennemis intérieurs. Rien de tel pour imposer la violence comme norme des rapports politiques. Rien de tel que liquider des traîtres pour fanatiser les troupes.

Il ne faut pas exagérer: Chavez n'est pas un dictateur - comme son pote Ahmadinejad- et encore moins un despote totalitaire- comme son modèle Castro.

Mais effectivement, sa tendance à voir des ennemis à abattre un peu partout n'est pas trés libérale ni démocratique.

Lien vers le commentaire

De toute facon en matiere petroliere le venezuella est plus dependants des etats-unis que l'inverse.

Aucun autre pays ne possedent de capacites de raffinage de petrole lourds pouvant se subsituter aux etats-unis.

Donc si "Chavez ne vends plus ses petroles lourds aux USA" il ne les vendra a personne.

Comme toujours le bouffon gesticule mais ne fais peur a personne si ce n'est aux opposants vivants dans son pays.

Lien vers le commentaire
Un communiste qui pleure, c'est un peu moins de malheur sur cette Terre.

Personnellement je remplace "pleure" par "crève" :icon_up:

Il ne faut pas exagérer: Chavez n'est pas un dictateur - comme son pote Ahmadinejad- et encore moins un despote totalitaire- comme son modèle Castro.

Non, tu ne nous auras pas avec du second degré.

http://libertariens.chez-alice.fr/dictateur.htm

Lien vers le commentaire
Personnellement je remplace "pleure" par "crève" :icon_up:

Non, tu ne nous auras pas avec du second degré.

http://libertariens.chez-alice.fr/dictateur.htm

Vous devriez peut être réflechir deux secondes: un dictateur nazi - comme votre lien l'indique avec finesse- laisserait-il une opposition manifester par centaines de milliers dans la rue sans incident?

Taper sur Chavez oui, mais sans reprendre ses tendances à grossir démesurément les faits.

Lien vers le commentaire
Invité jabial
Vous devriez peut être réflechir deux secondes: un dictateur nazi - comme votre lien l'indique avec finesse- laisserait-il une opposition manifester par centaines de milliers dans la rue sans incident?

Ca dépend dans quelles circonstances. S'il prépare une élection qu'il n'a pas encore les moyens de contrôler à 100%, il peut préférer laisser faire que de compromettre sa réélection. Il y a plusieurs stades dans le passage de la démocratie à la dictature.

Lien vers le commentaire
Ca dépend dans quelles circonstances. S'il prépare une élection qu'il n'a pas encore les moyens de contrôler à 100%, il peut préférer laisser faire que de compromettre sa réélection.

Peut-être. Mais cette phase de contrôle imparfait a été très rapide pour le régime Nazi : en 18 mois tout au plus, c'était bouclé.

Il y a plusieurs stades dans le passage de la démocratie à la dictature.

Et dans le sens inverse aussi.

Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...