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Strauss-Kahn a des ennuis


Coldstar

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La caste a de beaux jours devant elle, belle réaction immunitaire en tout cas, nous sommes revenus au temps de l'ORTF où l'information était unique, maintenant il faut que les chaines harmonisent le traitement de l'information, autant qu'elles fusionnent je ne vois pas l'intérêt, comme si c'était d'une importance vitale, ah oui, c'est vrai le soldat DSK du paris bobo gaucho est en danger, les autres soldats sont en ordre de bataille.

D'un autre côté, en virant ce genre d'images, cela oblige les chaînes à devoir essayer de commenter réellement et de façon pertinente les nouvelles infos,

Pourtant c'est loin d'être le cas.

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Ha mais chacun ses goûts … Le style de Zola me fait penser à un biologiste qui observe un marais où pullulent diverses insectes ou batraciens et autres larves gluantes.

C'est cela le monde des hommes pour Zola et il trouvait ça beau (de cheval).

certes, je ne suis pas hyper fan, ni du style littéraire ni de son approche, mais ce faisant je lui reconnaîs quand même un grand talent littéraire et une oeuvre qui mérite au moins que l'on s'y intéresse une fois durant sa scolarité …

après je crois que Miranda vaut BHL, ce qui permet d'attribuer le super-double-point-BHL-Miranda :icon_kotze: à la rédaction de labération !

La caste a de beaux jours devant elle, belle réaction immunitaire en tout cas, nous sommes revenus au temps de l'ORTF où l'information était unique, maintenant il faut que les chaines harmonisent le traitement de l'information, autant qu'elles fusionnent je ne vois pas l'intérêt, comme si c'était d'une importance vitale.

Staline-Idole.jpg

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http://www.atlantico.fr/decryptage/fmi-dominique-strauss-kahn-supprimer-institution-100121.html

Et si on supprimait le FMI?

Par Pascal Salin

e Fonds monétaire international a été créé en 1944 à la suite des accords de Bretton-Woods qui visaient à créer un nouvel ordre monétaire international après les troubles de la Seconde Guerre mondiale. En fait, l'objectif à terme consistait à rétablir un système d'étalon-or dans lequel les monnaies nationales bénéficient d'une garantie de convertibilité à prix fixe par rapport à l'or, ce qui implique en conséquence la fixité des taux de change entre ces monnaies nationales.L'objectif consistant à maintenir la fixité des prix des monnaies par rapport à l'or est par lui-même tout à fait souhaitable puisqu'il signifie que les autorités monétaires ne peuvent pas se lancer dans des politiques monétaires trop expansionnistes et que, contrairement à ce que l'on pense, l'expansion monétaire n'est jamais justifiée.

Les banques centrales à l'origine des crises monétaires

Le principe de fonctionnement d'un système à parité fixe est en effet simple : si un producteur de monnaie - par exemple une banque centrale - crée trop de monnaie, une partie de l'excédent se déverse sur l'extérieur, mais elle est tout d'abord échangée auprès de la banque centrale contre de l'or. Les réserves d'or de la banque centrale diminuent donc et celle-ci est obligée de freiner puis d'arrêter sa politique de création monétaire.

Malheureusement, les banques centrales publiques considèrent qu'elles peuvent annuler de manière arbitraire les engagements de convertibilité à prix fixe qu'elles avaient prétendu donner aux utilisateurs de monnaie : elles dévaluent leur monnaie - ce qui constitue tout simplement du vol - et l'Histoire montre qu'elles ne se sont pas privées de le faire (contrairement à ce qui se passait lorsque les garanties de prix fixe en or étaient données par des banquiers privés). Elles ont été ainsi à l'origine de l'inflation et des crises monétaires.

Une institution centralisatrice et irresponsable

Par ailleurs, l'instauration d'un système de fixité des monnaies par rapport à l'or n'impliquait pas une institution centrale comme le FMI, puisqu'il suffit que chaque banque centrale prenne l'engagement de convertibilité et fasse le nécessaire pour le maintenir. Autrement dit, dès le début l'existence même du FMI était contestable. Mais il est caractéristique de notre époque que l'on ait décidé de créer une structure centralisatrice au lieu de s'en remettre à la responsabilité de chacun dans un système décentralisé.

En fait, beaucoup d'autorités monétaires n'ayant pas respecté la discipline des changes fixes, elles ont enregistré des pertes de réserves de change et on a appelé cela des "problèmes de balance des paiements" (comme si une sorte de fatalité extérieure s'abattait sur elles). Il s'agissait en réalité d'une inadaptation de la politique monétaire. Mais toute institution a tendance à accroître ses pouvoirs et le FMI a vu dans ces situations des occasions inespérées d'intervenir. Il a pour cela un instrument important puisqu'il peut prêter des réserves monétaires aux Etats qui ont des "problèmes de balances des paiements" à partir des ressources apportées par les Etats-membres.

Certes, ses prêts sont conditionnels, c'est-à-dire qu'ils impliquent des changements dans les politiques économiques des pays bénéficiaires. Mais il n'en reste pas moins que le FMI détourne des ressources financières vers les pays les plus mal gérés, contrairement à ce qu'implique toute bonne gestion bancaire, à savoir orienter les ressources vers ceux qui sont le plus capables de bien les utiliser.

Lorsque les taux de change flexibles se sont généralisés à partir des années 1970, le FMI aurait dû disparaître, puisqu'il n'avait plus de raison d'être. Mais il s'est trouvé de nouvelles tâches, comme on l'a vu très récemment. Ainsi, dans la crise de la Grèce - que l'on devrait plutôt appeler une crise de l'Etat grec - il a prêté à ce pays des ressources qui sont détournées de pays mieux gérés, ce qui n'a aucune justification. Un banquier privé accroît le taux d'intérêt demandé à un débiteur douteux. Lorsque le débiteur est un État, les marchés financiers agissent donc ainsi. Mais la connivence entre gouvernements les conduit à refuser la sanction des marchés et ils utilisent leur pouvoir de contrainte pour utiliser les ressources des citoyens - éventuellement par l'intermédiaire du FMI - afin de prêter à des taux plus favorables à ceux d'entre eux qui sont de mauvais débiteurs.

Un symbole de la "mondialisation capitaliste" ?

On a par ailleurs souvent déclaré dans les jours récents que Dominique Strauss-Kahn avait heureusement accru le rôle du FMI à la suite de la crise financière, en augmentant ses moyens d'action et en pratiquant une politique d'inspiration keynésienne, c'est-à-dire une politique de relance par la demande. Or, la crise ne résultait en rien d'une insuffisance de demande, mais au contraire d'un excès de création monétaire dans le monde. Le retour à la stabilité n'implique pas des politiques laxistes, mais bien au contraire une réduction des déficits publics et des politiques monétaires plus strictes.

On peut enfin noter qu'il est étrange que le FMI - de même que la Banque mondiale - soit souvent présenté comme le symbole de la "mondialisation capitaliste", alors qu'il en est exactement le contraire, puisqu'il s'agit d'une institution publique représentant les États et qu'il est donc l'instrument d'un interventionnisme public et mondialisé regrettable. Il faut donc souhaiter la disparition du FMI.

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"Complot", "respect de la vie privée", "piège"…depuis dimanche , de tous côtés on convoque les principes des "droits de l'Homme" pour éviter de parler de ceux des femmes! Dans ce concert refoulant les avancées féministes de notre société comme la loi sur le viol ou celle de 2010 sur les violences, la palme est revenue à Jean François Kahn osant parler de " détroussage d'une domestique" pour justifier ce qui demeure, si les faits sont avérés, injustifiable. Ce déballage de faux arguments nous rappelle que malheureusement notre société française du 21è siècle n'est nullement débarrassée de ses affres machistes et que le féminisme reste d'actualité. Il faut rappeler que ce qui relève des violences faites aux femmes dans leur foyer ou tout autre lieu - le viol est un crime- ne relève pas d'une affaire privée mais d'une responsabilité de la société qui doit dire NON .Ce que nous avons obtenu par la loi, on s'aperçoit que le combat continue pour l'obtenir dans les faits.Marie-George Buffet

Députée, ancienne Ministre

PARIS (Reuters) - Marine Le Pen a accusé jeudi Nicolas Sarkozy et les dirigeants socialistes d'avoir fermé les yeux sur le comportement "quasi pathologique" de Dominique Strauss-Kahn envers les femmes par calcul politique.

La présidente du Front national a estimé sur RMC/BFM-TV que l'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) avait une réputation non pas de séducteur, comme le disent ses amis, mais de harceleur, ce qui est selon elle "un délit".

"L'ensemble de la classe politique et journalistique bruissait non pas du comportement de séducteur invétéré, mais du comportement de harceleur de Dominique Strauss-Kahn, et un certain nombre de leurs adversaires politiques savaient que ce comportement quasi-pathologique pouvait être un avantage pour eux dans une campagne présidentielle", a-t-elle dit.

Marine Le Pen a jugé "machiavélique" de la part de Nicolas Sarkozy d'avoir nommé "un homme dont on connaît la réputation à la tête du FMI pour se débarrasser d'un adversaire politique au risque de voir une affaire telle que celle-là éclater et éclabousser notre pays dans le monde entier".

Selon elle, le chef de l'Etat espère grâce l'affaire du Sofitel de New York, où Dominique Strauss-Kahn est accusé d'avoir tenté de violer une femme de chambre, "faire oublier le Fouquet's", où il avait célébré sa victoire en 2007.

Le chef de file du FN a accusé la plupart des dirigeants français de s'être ému du sort de Dominique Strauss-Kahn, incarcéré pour tentative de viol, et de sa famille, sans un mot pour sa victime présumée.

"Je n'aime pas beaucoup le système judiciaire américain, mais il y a au moins une chose où il nous donne des leçons, c'est qu'il traite de manière parfaitement égale la femme de chambre et l'immigré, et le patron du FMI", a-t-elle dit.

Selon elle, la France devrait en tirer des leçons sur la manière "dont on traite les puissants et les misérables". "Ils devraient être traités sur le même pied d'égalité, ce qui en France n'est pas le cas."

Gérard Bon, édité par Yves Clarisse

et voilà, c'est du pain bénit pour les extrêmes, dont le discours à contre-courant peut être efficace en restant dans un petit coin de l'esprit de l'électeur, le dimanche …

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De ce point de vue, le suicide a probablement commencé là. Ou alors, la seule explication alternative, c'est que DSK est un idiot, et sa fameuse équipe de communicants est une bande d'incompétents notoires.

Pour info, c'est la même équipe de champions de la com' qui avait fait la campagne de Jospin en 2002.

Ce sont d'ailleurs eux qui ont glissé les fumeux éléments de langages à son entourage, sur le mode "ça ne lui ressemble pas".

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et voilà, c'est du pain bénit pour les extrêmes, dont le discours à contre-courant peut être efficace en restant dans un petit coin de l'esprit de l'électeur, le dimanche …

Bien évidemment, mais l'UMPS s'est tiré une balle dans le pied tout seul en ne dénonçant pas DSK et ses attitudes récurrentes de pervers et en ne soutenant pas la pauvre femme de ménage, pourtant le bon sens populaire dictait d'adopter cette conduite (ou au minimum de soutenir la victime). Le Pen l'a bien vu -elle le pense peut-être sincèrement aussi- et elle saute sur l'occasion. Elle va prendre d'autres voix au passage avec ce scandale mais droite et gauche l'auront cherché cette fois-ci.

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et voilà, c'est du pain bénit pour les extrêmes, dont le discours à contre-courant peut être efficace en restant dans un petit coin de l'esprit de l'électeur, le dimanche …

Le bulletin Bande d'Enculés s'impose.

Ou Bande d'Enculeurs, peut-être plus.

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ah mais elle est poilante, cette toff ! On dirait que c'est encore un sale truc retravaillé sur photoshop, à la h16 !

Magnifique survêtement bleu, en tout cas il a l'air en pleine forme.

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Invité Arn0

La caste a de beaux jours devant elle, belle réaction immunitaire en tout cas, nous sommes revenus au temps de l'ORTF où l'information était unique, maintenant il faut que les chaines harmonisent le traitement de l'information, autant qu'elles fusionnent je ne vois pas l'intérêt, comme si c'était d'une importance vitale, ah oui, c'est vrai le soldat DSK du paris bobo gaucho est en danger, les autres soldats sont en ordre de bataille.

En l’occurrence ils risquent des sanctions du CSA ou des poursuites si ils diffusent ces images.

Et ce n'est pas la première fois qu'il y a ce genre de débat sur les pratiques américaines : je me souviens des débats sur la diffusion d’images de prisonnier pendant la guerre d'Irak, fait beaucoup plus grave puisqu'il s’agissait d'une violation de la convention de Genève, ou de celle des détenus à Guantánamo (qui eux pour le coup ne sont souvent même pas inculpé de quoi que ce soit).

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Pour info, c'est la même équipe de champions de la com' qui avait fait la campagne de Jospin en 2002.

Ouais, la com' politique pour les présidentielles se barre vraiment en c. au PS. Il serait temps qu'ils changent d'agence, parce que l'on a de plus en plus de mal à saisir le concept :

forcetrn.gif

:modo:

Modifié par jabial
modération
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Pourtant c'est loin d'être le cas.

Bien sûr, si tu veux, on peut retourner l'argument en disant que la décision dont je parle (probablement inspirée par les réflexes de classe dont parle freejazz) montrera en creux la vacuité (sic) du commentaire.

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Pour info, c'est la même équipe de champions de la com' qui avait fait la campagne de Jospin en 2002.

Ce sont d'ailleurs eux qui ont glissé les fumeux éléments de langages à son entourage, sur le mode "ça ne lui ressemble pas".

Je sais bien. L'ère des grands communicants politiques français s'est terminée à la mort de Jacques Pilhan, pas la mort physique, la mort symbolique : je parle bien entendu de son premier échec d'envergure, la dissolution de l'Assemblée Nationale en 1997, soutenue par lui-même et le sérail chiraquien.

Les communicants de DSK, eux, malgré le fait d'avoir conduit leur candidat à l'échec absolu, à la raclée mémorable (de mémoire, Royal avait fait 60% et DSK 20%, quelque chose comme ça), ont continué exactement sur la même ligne. Au lieu de conseiller à Strauss-Kahn de retourner à Sarcelles, faire de la politique de proximité, ce dernier, probablement sous les conseils des kakous de la com' dont il s'est entouré, est allé au FMI, le pire repoussoir de la gauche.

Au lieu de faire une campagne démagogique à la Chirac 1995, labourant la France, l'équipe de com' a conseillé DSK de telle façon qu'il ne soit vu que par les media, en distillant des confidences.

Bref : échec total quoi.

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En l’occurrence ils risque des sanctions du CSA ou des poursuites si ils diffusent ces images.

Et ce n'est pas la première fois qu'il y a ce genre de débat sur les pratiques américaines : je me souviens des débats sur la diffusion d’images de prisonnier pendant la guerre d'Irak, fait beaucoup plus grave puisqu'il s’agissait d'une violation de la convention de Genève, ou de celle des détenus à Guantánamo (qui eux pour le coup ne sont souvent même pas inculpé de quoi que ce soit).

Oui mais pas besoin d'harmoniser le traitement de l'information pour ça.

Et permets-moi de trouver ridicule cette interdiction de publier les photos d'un prisonnier, de toute façon avec internet maintenant c'est hautement ridicule.

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Invité Arn0

Et bien permets-moi de trouver ridicule cette interdiction de publier les photos d'un prisonnier.

L'interdiction pesant sur les médias est intenable mais en l’occurrence ce genre de photos ne devrait même pas exister. Le perp walk et le diffusion d'image prise en détention (donc nécessairement par ou avec l'accord des autorités) est contraire à la dignité humaine (concept qui passe au dessus de la tête de beaucoup membre de ce forum) sauf accord de l'intéressé.

La discrétion s'impose, de même d'ailleurs que pour les photos ou l'identité de la plaignante.

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L'interdiction pesant sur les médias est intenable mais en l’occurrence ce genre de photos ne devrait même pas exister. Le perp walk et le diffusion d'image prise en détention (donc nécessairement par ou avec l'accord des autorités) est contraire à la dignité humaine (concept qui passe au dessus de la tête de beaucoup membre de ce forum).

Heureusement, tu es là, avec ton cheval et ton grand chapôôôôôôô.

:zorro:

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Invité Arn0

Heureusement, tu es là, avec ton cheval et ton grand chapôôôôôôô.

:zorro:

Le comique troupier n'a rien trouvé de plus drôle à dire ? Tu me déçois.

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Le perp walk et le diffusion d'image prise en détention (donc nécessairement par ou avec l'accord des autorités) est contraire à la dignité humaine (concept qui passe au dessus de la tête de beaucoup membre de ce forum).

Comme d'habitude tu fais dire n'importe quoi à la dignité humaine. Le perp walk est une garantie de la procédure accusatoire, intimement liée à sa publicité, en tant qu'élément de négociation entre les avocats des parties qui permet d'exercer une pression supplémentaire sur le prévenu.

Quant aux injonctions du CSA, il s'agit bien de censure d'Etat.

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Je n'ai aucun élément, aucun fait qui me permettent d'être aussi catégorique.

Le droit de cuissage n'existe pas, et la justice est la même pour tous. Si des femmes ont cédé à des avances, ou ont été violés par un individu, il leur appartient de faire valoir leur droit, et je ne crois pas qu'un individu puisse bénéficier d'une clémence particulière de la justice en ce domaine.

Le sens de ma remarque est simple : les hommes politiques ne distinguent pas fondamentalement (dans leur nature) des autres hommes, et à ce sujet, le cas de DSK n'est pas plus représentatif du comportement de la classe politique que tout autre fait-divers qui aurait pu affecter un autre individu.

As-tu seulement lu ce fil ? Je ne parle pas de DSK mais des réactions de la classe politique par rapport à cette affaire.

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L'interdiction pesant sur les médias est intenable mais en l’occurrence ce genre de photos ne devrait même pas exister. Le perp walk et le diffusion d'image prise en détention (donc nécessairement par ou avec l'accord des autorités) est contraire à la dignité humaine (concept qui passe au dessus de la tête de beaucoup membre de ce forum) sauf accord de l'intéressé.

Comment fait-on lorsque l'on est américain pour se faire une opinion sur son propre système judiciaire? Laisser tout le monde entrer dans la salle d'audience (hors quelques cas de huis clos admis par tous j'imagine) est une bonne solution.

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Le droit de cuissage n'existe pas

Je précise que selon l'ouvrage de Jean Sévillia "Historiquement correct", le droit de cuissage n'a jamais existé. C'est un mensonge républicain, à l'instar de beaucoup d'autres, destiné à ternir l'ancien régime.

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Invité Arn0

Comme d'habitude tu fais dire n'importe quoi à la dignité humaine. Le perp walk est une garantie de la procédure accusatoire, intimement liée à sa publicité, en tant qu'élément de négociation entre les avocats des parties qui permet d'exercer une pression supplémentaire sur le prévenu.

N'importe quoi : le droit pour les nuls !

1) Le perp walk n'existe pas partout aux USA, et est totalement impossible en Angleterre. Rien à voir avec la procédure accusatoire. La constitutionnalité du perp walk est d'ailleurs discutée.

2) La procédure accusatoire anglo-saxonne repose, en principe, sur l'idée qu'il ne faut justement pas faire pression sur le prevenu. C'est justement la raison de l'insistance sur le droit à ne pas s'incriminer, plus récemment sur les droits Miranda, ou sur le fait que la torture y est interdite depuis toujours. Je renvoi à Blackstone pour qui même les conditions de détention préventive doivent être correcte (aux 18ème siècle !). En principe un accord ne doit justement pas être obtenu par des pressions. C'est la procédure inquisitoire qui considère (à l'origine) les pressions comme légitimes (d'où la torture et plus récemment la garde à vue sans avocat, et encore aujourd'hui l'usage excessif de la préventive).

3) Faire pression sur le prévenu c'est justement contraire par définition à la dignité de l'être humain !

Encore une fois tu ne sais même pas de quoi tu parles et tu dis n'importe quoi. <–<

Comment fait-on lorsque l'on est américain pour se faire une opinion sur son propre système judiciaire? Laisser tout le monde entrer dans la salle d'audience (hors quelques cas de huis clos admis par tous j'imagine) est une bonne solution.

En France et ailleurs tout le monde peut rentrer dans une salle d'audience, et je le conseille d'ailleurs c'est très intéressant. La médiatisation donne une fausse idée de la justice bien au contraire.

De plus il faut distinguer image du procès et image en détention ou entravé.

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N'importe quoi : le droit pour les nuls !

Tu devrais arrêter de t'auto-proclamer spécialiste en droit pénal, tu es aussi nul en ce domaine qu'en philosophie.

Faire pression sur la partie adverse, c'est la base même du système accusatoire, auquel tu ne sembles pas comprendre grand chose.

Franchement comparer la perp walk à la torture, ce n'est pas sérieux.

En l'occurence celle qui nous occupe est intervenue au moment où l'individu est sorti du commissariat pour se rendre à la voiture de police banalisée. Elle n'a duré qu'une poignée de secondes et encore n'a-t-on pas vu les menottes, dissimulées avec soin, conduite avec sobriété et dignité par les officiers de la brigade. Le seul élément indigne de cette procession fut la couleur de leur cravate.

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"Complot", "respect de la vie privée", "piège"…depuis dimanche , de tous côtés on convoque les principes des "droits de l'Homme" pour éviter de parler de ceux des femmes! Dans ce concert refoulant les avancées féministes de notre société comme la loi sur le viol ou celle de 2010 sur les violences, la palme est revenue à Jean François Kahn osant parler de " détroussage d'une domestique" pour justifier ce qui demeure, si les faits sont avérés, injustifiable. Ce déballage de faux arguments nous rappelle que malheureusement notre société française du 21è siècle n'est nullement débarrassée de ses affres machistes et que le féminisme reste d'actualité. Il faut rappeler que ce qui relève des violences faites aux femmes dans leur foyer ou tout autre lieu - le viol est un crime- ne relève pas d'une affaire privée mais d'une responsabilité de la société qui doit dire NON .Ce que nous avons obtenu par la loi, on s'aperçoit que le combat continue pour l'obtenir dans les faits.Marie-George Buffet

Députée, ancienne Ministre

PARIS (Reuters) - Marine Le Pen a accusé jeudi Nicolas Sarkozy et les dirigeants socialistes d'avoir fermé les yeux sur le comportement "quasi pathologique" de Dominique Strauss-Kahn envers les femmes par calcul politique.

La présidente du Front national a estimé sur RMC/BFM-TV que l'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) avait une réputation non pas de séducteur, comme le disent ses amis, mais de harceleur, ce qui est selon elle "un délit".

"L'ensemble de la classe politique et journalistique bruissait non pas du comportement de séducteur invétéré, mais du comportement de harceleur de Dominique Strauss-Kahn, et un certain nombre de leurs adversaires politiques savaient que ce comportement quasi-pathologique pouvait être un avantage pour eux dans une campagne présidentielle", a-t-elle dit.

Marine Le Pen a jugé "machiavélique" de la part de Nicolas Sarkozy d'avoir nommé "un homme dont on connaît la réputation à la tête du FMI pour se débarrasser d'un adversaire politique au risque de voir une affaire telle que celle-là éclater et éclabousser notre pays dans le monde entier".

Selon elle, le chef de l'Etat espère grâce l'affaire du Sofitel de New York, où Dominique Strauss-Kahn est accusé d'avoir tenté de violer une femme de chambre, "faire oublier le Fouquet's", où il avait célébré sa victoire en 2007.

Le chef de file du FN a accusé la plupart des dirigeants français de s'être ému du sort de Dominique Strauss-Kahn, incarcéré pour tentative de viol, et de sa famille, sans un mot pour sa victime présumée.

"Je n'aime pas beaucoup le système judiciaire américain, mais il y a au moins une chose où il nous donne des leçons, c'est qu'il traite de manière parfaitement égale la femme de chambre et l'immigré, et le patron du FMI", a-t-elle dit.

Selon elle, la France devrait en tirer des leçons sur la manière "dont on traite les puissants et les misérables". "Ils devraient être traités sur le même pied d'égalité, ce qui en France n'est pas le cas."

Gérard Bon, édité par Yves Clarisse

et voilà, c'est du pain bénit pour les extrêmes, dont le discours à contre-courant peut être efficace en restant dans un petit coin de l'esprit de l'électeur, le dimanche …

Mais c'est le discours que pourrait tenir presque toutes les femmes de France, hormis quelques socialistes , amies de DSK ou autres!!!

Notre vieux continent est à des années lumière à la traîne derrière le nouveau monde ….j'ai honte de nos sous hommes politiques…

Moi, j'aime le système juridique américain…

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Invité Arn0

Tu devrais arrêter de t'auto-proclamer spécialiste en droit pénal, tu es aussi nul en ce domaine qu'en philosophie.

Faire pression sur la partie adverse, c'est la base même du système accusatoire, auquel tu ne sembles pas comprendre grand chose.

Franchement comparer la perp walk à la torture, ce n'est pas sérieux.

Je n'ai pas comparé le perp wal à la torture, j'ai parlé de l'esprit du droit anglais, et surtout je n'ai jamais prétendu être un spécialiste en droit pénal. C'est d'ailleurs ce je voulais souligner : il n'est nul besoin d'être spécialiste en droit pénal pour savoir que le perp walk n'a rien à voir avec la procédure accusatoire puisque cela n'existe pas en droit anglais (qui ont une procédure plus accusatoire que les américains) et que ce n'est pas la pratique de toutes les polices américaines, c'est surtout courant à New-York, où c'est une pratique qui s'est systématisé avec Giuliani.

Il faut juste avoir un tout petit minimum de culture juridique, ou sinon faire une recherche de 5 sec sur google (par exemple http://en.wikipedia.org/wiki/Perp_walk). Un effort que tu es manifestement incapable de faire (ça t’empêcherait trop souvent de sortir tes bêtises d’extrême droite).

Et sinon non faire pression c'est même l'exact contraire du système accusatoire, c'est purement et simplement la corruption totale de l'esprit du droit anglais originel.

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Les éléments sur la plaignante commencent à sortir, sûrement un coup de la défense :

- elle serait non pas guinéenne, mais originaire de Casamance, de nationalité sénégalaise

- le monsieur qui s'est exprimé ses derniers jours ne serait en réalité pas son frère

- des écoutes téléphoniques montrent qu'elle aurait reçu plusieurs coups de fil la semaine dernière, en provenance du siège parisien de l'UNESCO, où Rama Yade (sénégalaise d'origine aussi) est en poste, et actuellement membre du parti de Jean-Louis Borloo, candidat le plus éclipsé par une candidature de DSK.

Comme toujours, une de ces trois informations est inventée par mes soins.

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La procédure accusatoire n'a rien d'etranger au droit français, à la grande différence près que le concept de habeas corpus marque chaque décision de l'accusation. A chaque étape du procès, la libération sous caution peut être demandé, tandis qu'en France la juge d'instruction décide en bloc de l'incarceration et va à la charge, hélas souvent accable le présumé innocent.

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Les éléments sur la plaignante commencent à sortir, sûrement un coup de la défense :

- elle serait non pas guinéenne, mais originaire de Casamance, de nationalité sénégalaise

- le monsieur qui s'est exprimé ses derniers jours ne serait en réalité pas son frère

- des écoutes téléphoniques montrent qu'elle aurait reçu plusieurs coups de fil la semaine dernière, en provenance du siège parisien de l'UNESCO, où Rama Yade (sénégalaise d'origine aussi) est en poste, et actuellement membre du parti de Jean-Louis Borloo, candidat le plus éclipsé par une candidature de DSK.

Comme toujours, une de ces trois informations est inventée par mes soins.

Obiwan kenobi

La 3 est inventé à tes soins, c'est quand tu as mis "membre du parti de Jean-Louis Borloo"…c'est qui lui?

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