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Nicolas Hulot et le jeu à somme nulle


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donc, j'ai pu voir l'allocution de Nicolas Hulot annonçant sa participation à la grande pitrerie.

il y parle assez peu d'écologie et se lance dans un long développement rempli de haine difficilement contenue sur la course effrénée au profit, la cupidité, le capitalisme sauvage, les "délires ultra-libéraux", une détestation de la concurrence -comme l'avait déjà noté Hayek chez les étatistes-, avec du vivrensemble, de la citoyenneté et autres poncifs, de la redistribution, des inégalités, des pays du Sud, pour conclure à un moment, mais je ne l'ai pas retrouvé dans le texte du discours : "oui, le monde est un jeu à somme nulle, ce que certains gagnent d'autres le perdent ailleurs". Je crois que c'est du monde dont il parle, mais il a peut-être employé le mot société.

je mets le texte du discours, mais en relisant ce dernier je me rends compte qu'il y manque des choses par rapport à ce qu'il a dit.

au fond, rien de neuf chez Hulot, je ne peux pas dire que sa candidature apporte quoi que ce soit si ce n'est une capacité à enfiler les perles les plus tristement convenues à une vitesse que les autres candidats, pourtant rompus à l'exercice, auront du mal à égaler.

et pour quelqu'un qui n'aime pas le profit, il ne crache pas sur la thune de ses sponsors privés, un peu comme Bernard Maris avec les dividendes de Charlie Hebdo.

mais je crois qu'il est sincère, il les pense vraiment, ses conneries. Sa considération sur le jeu à somme nulle il n'a pas pu l'inventer, ce genre de conception théorique est généralement absente des discours de ses nouveaux collègues. Et puis il avait quelque chose dans la voix, à la fois haineux et exalté, qui ne trompe pas. C'est juste qu'il est fractionné comme les autres psychopathes dans son genre, sa main droite ne sait pas ce que fait sa main gauche.

Nicolas Hulot : "J’ai décidé d’être candidat"

Déclaration de candidature à l’élection présidentielle : le texte de son discours prononcé le 13 avril 2011 à Sevran.

Nicolas Hulot - 13 avril 2011

Changeons de cap

Depuis 35 ans, je parcours le monde et je l’ai vu changer. J’ai exploré ses beautés, j’ai partagé ses bonheurs. En même temps, j’ai mesuré l’aggravation simultanée des inégalités et des destructions de la nature. L’humanité est devenue la proie d’une épidémie de crises qui accable le plus grand nombre. Les équilibres sociaux chancellent, ceux du climat et du vivant s’effondrent. Les hommes et les femmes de ce temps sont désemparés. Ils craignent pour leur emploi, leur sécurité, leur environnement, leur santé et l’avenir de leurs enfants. La marche triomphante du progrès prend les allures d’un immense malentendu. En France aussi les conditions de vie se dégradent. Les difficultés s’accumulent. La précarité devient un sentiment prégnant. C’est, pour beaucoup de nos compatriotes, la peur quotidienne du chômage, du déclassement, de l’exclusion, c’est l’angoisse des factures et des fins de mois difficiles, le piège de l’endettement, le stress de la compétition, le mal être récurrent, la perte des repères, la dissolution du lien collectif et des solidarités.

L’urgence et le devoir nous obligent à changer de cap.

Un autre monde est non seulement possible, il est nécessaire. La créativité humaine ne fait pas défaut. Fixons lui des priorités sans confondre progrès et performance. L’économie, la technologie, l’argent lui même, ne sont pas des fins mais des moyens. Leur donner du sens, c’est la seule expression de la modernité. La volonté, les compétences, la citoyenneté, la générosité, l’envie d’agir et le désir de changer sont partout. Je le sais, j’y puise mon énergie. Le changement est déjà en marche dans la société civile. Il faut l’encourager, le légitimer, l’accompagner par la cohérence de l’action publique en fixant ensemble de nouvelles priorités qui rompent avec le capitalisme sauvage.

Ouvrons maintenant la porte de l’avenir en engageant la transformation écologique et sociale de la société.

J’ai pour ma part franchi un cap. Jusqu’ici je crois que mon mode d’engagement a été utile. En conscience, j’estime qu’il doit passer maintenant à une autre étape. J’ai donc décidé d’être candidat à l’élection présidentielle et de mettre au service du changement le capital de confiance que j’ai pu accumuler auprès des Françaises et des Français. Dans ce moment de gravité et de complexité que traverse notre pays, je n’ai pas d’autre ambition que de contribuer à ouvrir la voie d’une société nouvelle, écologique et sociale. Je le ferai avec modestie mais détermination, sans arrogance mais avec toute ma volonté et mon énergie.

L’heure est maintenant au changement de cap pour refonder l’espoir. Changer de cap, c’est d’abord s’appuyer sur le meilleur de l’humanité : la solidarité, le partage, la justice, la démocratie, la tolérance, la modération, la sobriété, la diversité, le juste échange. Changer de cap, c’est libérer la société et les esprits des diktats d’un mode production et de consommation contaminé par l’illusion de la croissance quantitative, s’émanciper d’un monde happé par la frénésie du toujours plus et par la compétition agressive, s’affranchir du profit et du marché sans limite, réhabiliter l’esprit public.

Changer de cap, c’est engager dès maintenant une transition vers la société nouvelle, écologique et sociale, à travers un train de mesures clés et concrètes que je développerai au cours de ma campagne. Je proposerai au débat, pour que chacun s’en empare et en devienne l’acteur, une transformation progressive des activités et des comportements. Les solutions existent pour améliorer l’emploi, mieux redistribuer les richesses, installer une croissance qualitative et sélective. Des leviers existent pour engager d’autres manières de produire, de s’alimenter, de se loger, de se déplacer, pour encourager les innovations et les investissements, économiser l’énergie et les ressources naturelles, déployer la fiscalité plus équitablement et plus efficacement. Des moyens existent pour faire décroître l’empreinte écologique, protéger la santé, soustraire les biens communs à la spéculation, remettre la finance à sa place, tisser les solidarités ici et avec les pays du Sud, fortifier la démocratie.

Changer de cap, c’est enfin concourir à l’apaisement de la société en rassemblant les énergies plutôt qu’en encourageant les affrontements. Les postures de division chronique sont désormais un luxe indécent face à l’urgence et à la complexité des enjeux. La société est fatiguée des idéologies creuses. J’invite chacun à prendre sa part dans la mutation en veillant évidemment à une répartition juste et équitable des efforts. Aux peurs et aux pulsions identitaires qui désagrègent les liens du vivre ensemble, il faut opposer un projet de société constructif et partagé. Le meilleur atout pour réussir le changement, c’est la diversité.

Dans ce défi majeur, je sais que la France ne détient qu’une partie des solutions. Mais je sais aussi qu’elle a les moyens de se montrer novatrice et audacieuse, notamment dans l’espace européen qui est devenu notre biotope commun. La France et l’Europe peuvent devenir le centre d’émergence d’un nouveau modèle de développement et retrouver ainsi un éclat de référence et de fierté dans le monde.

L’élection présidentielle va mettre nos concitoyens et nos concitoyennes en situation de responsabilité. Dans un an, il s’agira de choisir : prolonger le statu quo d’un système périmé en s’entêtant dans un modèle de développement qui n’est plus la solution mais le problème ou engager la dynamique du changement vers une société nouvelle, écologique et sociale.

Soyons clairs : je le dis sans dogmatisme ni agressivité, le projet d’un nouveau modèle de développement est de mon point de vue incompatible avec les politiques que le pouvoir en place et sa majorité développent en France. Ma candidature s’inscrit dans le sens de l’intérêt général. Elle se situe donc à l’opposé des choix qui privilégient inégalités et exacerbation des peurs et qui sacrifient les priorités écologiques et sociales.

Cela ne vaut pas pour autant blanc-seing pour ceux qui, à gauche ou au centre, se proposent de diriger le pays. Dans mon esprit, il n’y aura aucun soutien automatique à qui que ce soit. L’exigence écologique et sociale ne peut plus s’accommoder de quelques corrections à la marge ou de compromis politiciens, elle suppose de la part des partenaires la prise en compte sincère des nouveaux paramètres et un niveau de réponse approprié. Seule compte à mes yeux une volonté indéfectible de partager l’immense chantier écologique et social. C’est à cette unique condition de cohérence politique que nous pourrons engager avec d’autres le contrat de la métamorphose.

Répondre aux crises et aux angoisses, c’est proposer un modèle de développement qui bâtisse l’avenir et retrouve l’espoir. Pour le porter, je sollicite le soutien de l’ensemble des écologistes et notamment de mes amis d’Europe Ecologie-Les Verts, mais aussi plus largement de toutes celles et de tous ceux qui ne se résignent pas au déclin conjoint de l’humanité et de la nature. J’en appelle à celles et ceux qui savent qu’on ne peut plus s’exonérer de toute limite, notamment des limites physiques de la planète. J’en appelle à celles et à ceux qui refusent de s’abandonner à la fuite en avant productiviste et aux délires ultra libéraux, de consentir aux inégalités et à la régression sociale, de subir un endettement massif, d’exacerber les tensions entre les peuples, les cultures et les religions.

J’en appelle aux citoyens et aux citoyennes pour qu’ils se rassemblent et se mobilisent afin de transformer une volonté individuelle en énergie collective.

Au service d’un mouvement tourné vers l’avenir, je souhaite que ma candidature devienne un levier pour agréger les énergies autour d’un nouveau modèle de développement dont les impératifs écologiques et sociaux soient le moteur. Je souhaite ainsi favoriser l’émergence d’une nouvelle majorité politique pour mettre en œuvre ce changement de cap et cette refondation de l’espoir.

Ensemble, décidons du monde que nous voulons dans les champs du possible. Ensemble, construisons l’alternative qui ne soit pas seulement une alternance de pouvoir. Ensemble, bâtissons l’avenir.

http://www.2012hulot.fr/nicolas-hulot-se-p…-de-candidature

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oui, le monde est un jeu à somme nulle,

Ah ouais quand même.

et pour quelqu'un qui n'aime pas le profit, il ne crache pas sur la thune de ses sponsors privés, un peu comme Bernard Maris avec les dividendes de Charlie Hebdo.

Pour mettre des chiffres, quelqu'un qui a enquêté sur lui a dit mercredi qu'il gagnait 33'000€/mois à TF1, à doubler si on compte ce que lui rapporte ses shampoings.

Et apparemment il serait pas très regardant au niveau des émissions de CO2 puisqu'il parait que quand il a un coup de blues il va faire du surf à l'île Rodrigue… bon je tombe dans les coups bas là :icon_up:

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Tag NSFW svp.

Pourquoi? Si tu bosses dans une grande boîte et si ton administrateur réseau voit passer une url où l'on propose "croix de St André, chaise gynécologique pour examen médical, 10 carcans de formes et d'usages divers, palan électrique de suspension, palan manuel de suspension" ou encore "banc à fessée", il peut en toucher un mot au responsable des achats et tu peux avec tes collègues espérer une réduction sur achat groupé. Sympa, non?

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Pourquoi fais-tu ainsi étalage de ta perversité ?

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A moins d'écouter ce type avec pour but d'écrire un article pour Contrepoints, il n'y a pas d'intérêt. Je précise que moi aussi j'ai mes perversités en la matière, j'écoute parfois le NPA, Zemmour, et quelques hurluberlus iconoclastes, c'est toujours drôle. :icon_up:

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A moins d'écouter ce type avec pour but d'écrire un article pour Contrepoints, il n'y a pas d'intérêt. Je précise que moi aussi j'ai mes perversités en la matière, j'écoute parfois le NPA, Zemmour, et quelques hurluberlus iconoclastes, c'est toujours drôle. :icon_up:

j'essaie de les connaître mieux, selon la maxime "connais ton ennemi". Mais plus ça va, plus je me rends compte que si j'avais les compétences en informatique, je pourrais faire un pipotron gaucho/écolo en html, tellement leurs discours c'est des empilements d'expressions toutes faites et de généralités navrantes.

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"oui, le monde est un jeu à somme nulle, ce que certains gagnent d'autres le perdent ailleurs"

Il devrait distribuer ses 33 smics pour donner l'exemple.

On me souffle qu'il est socialiste pour les autres, pas pour lui-même.

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  • 2 weeks later...

"oui, le monde est un jeu à somme nulle, ce que certains gagnent d'autres le perdent ailleurs"

La proposition est horriblement vague mais selon le jeu considéré elle peut avoir une justification. Il me semble que là où le jeu de la distribution primaire par le marché est, sous le régime de la liberté, forcément un jeu à somme positive, celui de la redistribution ou distribution secondaire par les pouvoirs publics est au contraire un jeu à somme nulle.

Le jeu de la distribution primaire au cours duquel les richesses crées sont réparties librement via le marché en salaire, intérêt, profit est en effet indiscutablement un jeu gagnant-gagnant à somme positive. D'une part car quiconque contracte imagine l'échange de promesses à son avantage sinon il ne le ferait pas, mais surtout parce que la masse de richesses créables dans ce jeu n'est pas limitée.

En revanche le jeu de la redistribution au cours duquel chacun essaie de maximiser son revenu de transfert est en effet un jeu à somme nulle étant donné, cette fois, que la somme distribuable est limitée (cette somme distribuable étant une partie de la somme prélevée).

Si la maximisation du revenu au sens large (intérêt, salaire, profit) devrait être l'activité qui accapare entièrement l'énergie de chaque individu, il se trouve des pays, au premier rang desquels la France, dans lesquels l'énergie est consacrée au moins autant à exceller dans le second jeu que dans le premier.

Il ne faut surtout pas nié qu'il y ait véritablement des cabossés de la vie comme qui dirait pour lesquels la solidarité doit jouer (la solidarité volontaire bien entendu) mais ce système qui incite les gens à déployer des trésors d'imagination pour s'inventer des cabosses imaginaires est le plus dangereux de tous, le plus source de tensions.

C'est pour ça que je vois le caractère "jeu à somme nulle" du jeu de la solidarité imposée (de la redistribution) au coeur du probème social.

En revanche je ne pense pas que Hulot faisait référence à cela. :)

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  • 5 weeks later...
A ceux qui en doutaient encore, le vélo a fait preuve de son immonde perfidie. Cet engin, promu par les écolos pour remplacer avantageusement la voiture, a profité d'un instant d'inattention de Nicolas Hulot, pour le faire chuter, mardi matin et lui casser le bras.

Pourtant le télégénique candidat à la présidentielle avait mis toutes les chances de son côté. Pensez-donc, devant se rendre on ne sait où depuis la Bretagne, au lieu de prendre tranquillement sa voiture, pardon son engin du diable qui pollue la planète que nous laisserons aux génération futures mêmes pas encore à l'état de spermatozoïde, au lieu de prendre une voiture donc, il choisit la très écolo combinaison : vélo + train.

C'est super le vélo + train. Non seulement vous perdez du temps pour aller à la gare, mais en plus vous perdez du temps pour aller d'un point à un autre via le chemin de fer, sans compter que c'est plus cher que la voiture. Mais c'est si écolo de perdre du temps et de l'argent.

Donc Monsieur Hulot, en perpétuelles vacances, enfourche le vélo, sans voir le petit sourire sardonique de la machine. Peut-être était-elle en acier recyclé d'une automobile ou fabriquée par un passionné de F1 ? Ses motivations demeurent encore obscures, mais une chose est certaine, l'attentat a parfaitement réussi. Hulot chute et se fait très mal. Il a droit à six semaines de plâtre que l'on espère être bio.

http://www.lepost.fr/article/2011/05/26/2506479_un-velo-a-casse-le-bras-de-nicolas-hulot.html

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Le vélo n'est pas bon pour le trafic de drogues non plus : http://www.europe1.fr/Faits-divers/A-velo-sur-l-A9-a-contresens-et-charge-de-drogue-559157/

Un cycliste, transportant plusieurs kilos de drogue, a été arrêté à contresens sur l'A9.

Les gendarmes du peloton autoroute de Poussan, dans l'Hérault, ont procédé à une interpellation surréaliste lundi soir, comme le rapporte le quotidien régional Midi Libre. Prévenus par des chauffeurs routiers, il ont arrêté un individu circulant à vélo à contresens sur l'autoroute A9. Mais l'affaire ne s'arrête pas là : fouillant le sac à dos de cet étrange cycliste, ils ont découvert d'importantes quantités de drogue.

Plusieurs kilos de drogue dans son sac

"L’individu, âgé de 34 ans, originaire de Lavaur (Tarn), n’était pas dans son état normal, visiblement sous l’emprise de stupéfiants. Les gendarmes ont alors fouillé son sac à dos et ont mis la main sur plusieurs kilos de drogue : trois kilos de “speed”, un mélange d’amphétamine et de cocaïne, mais aussi 500 g de cristal de MDMA, la molécule de l’ecstasy, un sachet contenant 200 pilules d’ecstasy, des dizaines de buvards de LSD ou encore des morceaux de haschich", précise Midi Libre.

Confronté à des problèmes d'argent, l'individu s'était apparemment rendu aux Pays-Bas pour acheter de la drogue et espérait la revendre dans le Tarn. Son camion étant tombé en panne, il avait donc décidé de continuer sa route à vélo.

Il ne faut jamais utiliser un vélo, jamais…

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Le vélo n'est pas bon pour le trafic de drogues non plus : http://www.europe1.fr/Faits-divers/A-velo-sur-l-A9-a-contresens-et-charge-de-drogue-559157/

Il ne faut jamais utiliser un vélo, jamais…

Exemple type de ces jeunes dreadlockés, punks à chiens et autres losers qu'on rencontre parfois dans des sittings festifs comme à Bastille par exemple. Wesh wesh.

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En parlant de Hulot, le pauvret a fait sortir son programme économique il y a quelques jours. Consternation : c'est n'importe quoi. On s'attendait (évidemment) à un truc solide, étayé, bien pensé et surtout, plein de bonnes idées.

Eh bien non. C'est 60 milliards d'emprunt par an. Pendant 10 ans. Oui, 600 miyards.

Je vous encourage à, vous aussi, casser du Hulot. Retwittez, relayez le billet suivant :)

RT :

(badurl) http://www.wikio.fr/vote?url=http://h16free.com/2011/06/02/8696-le-bib-ne-fait-pas-le-bonheur-nicolas-hulot-non-plus (badurl)

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Allez les enfants. On retwitte. C'est important, ça aide la cause et ça fait grossir votre zizi.

Question bête. Il n'y a pas un outil permettant de retweeter automatiquement les tweets de ses blogueurs préférés ? Là ça pourrait pulser :)

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RT :

Les hashtags hashseize, bah alors! Voici le RT que j'ai fait :

RT @_h16: #PIB, BIB, Nicolas #Hulot et batailles de caca par des chimpanzés neurasthéniques, c'est ici: http://wik.io/Hv1KH #ProjetPS #EELV

Les deux de la fin, #ProjetPS et #EELV, demandent une petite connaissance et une petite recherche, mais #Hulot il ne faut pas l'oublier.

Conseil : écrivez votre tweet normalement, et mettez un # devant les 2 mots clés de celui-ci (ici, #Hulot).

;)

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En parlant de Hulot, le pauvret a fait sortir son programme économique il y a quelques jours. Consternation : c'est n'importe quoi. On s'attendait (évidemment) à un truc solide, étayé, bien pensé et surtout, plein de bonnes idées.

Eh bien non. C'est 60 milliards d'emprunt par an. Pendant 10 ans. Oui, 600 miyards.

Le plus drôle dans tous ça, c'est que pour pas "dégrader les comptes publics" ils proposent de ne pas les "comptabiliser dans les calculs du déficit public".

http://lexpansion.lexpress.fr/economie/les-economistes-de-hulot-chiffrent-le-cout-de-la-transition-ecologique_256180.html

Quand même, qu'est ce qu'on se marre. De quoi augmenter le BIB peut-être.

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