Aller au contenu

Mes lectures du moment


Messages recommandés

Posté

Dernier HS, mais sous hide, parce que j'étais en train de l'écrire.

 

  Révéler le contenu masqué

 

Posté
  Le 23/10/2024 à 14:11, Mégille a dit :
  Révéler le contenu masqué
Expand  

 

  Révéler le contenu masqué

 

Posté

J'ai fini Héliopolis de Junger, c'est toujours aussi merveilleusement bien écrit, et cela fourmille toujours autant de réflexions pertinentes sur l'art, la politique la vie au sein de la cité des hommes, l'autorité, la liberté, la solitude, la perception et les rêves, son amour immodéré pour le vin etc Ce qui rend d'autant plus incompréhensible l'absence de rééditions récentes. C'est quasi certain qu'il y a un public pour ces livres, je me demande ce que font les ayant droits en France.

 

Pour la suite je pensais lire la princesse légère de Georges Mc Donald ou un autre roman d'Aurélien Bellanger.

  • Yea 2
  • 3 weeks later...
Posté
  Le 24/10/2024 à 07:35, Pelerin Dumont a dit :

J'ai fini Héliopolis de Junger, c'est toujours aussi merveilleusement bien écrit, et cela fourmille toujours autant de réflexions pertinentes sur l'art, la politique la vie au sein de la cité des hommes, l'autorité, la liberté, la solitude, la perception et les rêves, son amour immodéré pour le vin etc Ce qui rend d'autant plus incompréhensible l'absence de rééditions récentes. C'est quasi certain qu'il y a un public pour ces livres, je me demande ce que font les ayant droits en France.

Expand  

J'ai lu Abeilles de verre pendant mes vacances. Le livre est rempli de réflexions sur la technique (thème d'actualité s'il en est) qui n'ont pas pris une ride. Je conseille :) 

Posté
  Le 20/11/2024 à 09:55, Groucho Marx a dit :

Déjà que je n'avais pas une grande considération pour l'écologie politique, mais là on se trouve vraiment devant un ennemi de l'intérieur.

Expand  

Je pense que la plupart du temps le rasoir de Hanlon s'applique. Ça n'empêche pas que ça reste un ennemi - l'enfer est pavé de mauvaises intentions.

Posté
  Le 20/11/2024 à 09:55, Groucho Marx a dit :

Je viens de terminer La Grande Mystification: Écologie : une imposture qui ne dit pas son nom de Jean de Kervasdoué.

Déjà que je n'avais pas une grande considération pour l'écologie politique, mais là on se trouve vraiment devant un ennemi de l'intérieur.

Expand  

Le livre est recensé sur CP : https://www.contrepoints.org/2024/10/25/479650-limposture-ecologiste-debusquee-une-fois-de-plus

Posté
  Le 10/07/2024 à 15:12, frl a dit :

EDIT : Et Georges MacDonald évidemment, suis-je bête !!)

Expand  

J'ai lu la princesse légère, le conte est drôle et distrayant sans être renversant.

Je trouve que le revit aurait gagné à davantage jouer sur les codes et introduire plus d'ironie et de décalage comique.

 

Pour le roman d'Aurelien Bellanger, j'ai lu "Un continent de douceur" et j'ai l'impression d'avoir déjà cerné le style de l'auteur : namedropping de marques et de noms propres par de longues énumérations ; parodies de célébrités en reprenant leurs tics de langage (BHL, Sarkozy, Patrick Buisson...), plongée dans l'ambiance d'une époque par des souvenirs personnels et des descriptions prenantes et fournies, liaison et juxtaposition de 2 domaines a priori sans liens logiques, personnages masculins jeunes, ambitieux et un peu beta sur les bords sous la coupe d'un mentor omniscient et vicieux etc

Bon après son délire de narrer l'histoire européenne via le récit d'un pseudo royaume yougoslave pris dans la tourmente des guerres de Yougoslavie m'a moins convaincu (ça paraît pourtant bien avec son recit enchevêtré double entre vie d'un collegien dealant des billes et des calots et me mariage arrangé d'une banquière et d'un prince desherité, mais la partie sur BHL m'a fait lâcher l'affaire).

Son style s'use vite et s'avère très répétitif, dans les faits les premiers chapitres sont géniaux puis l'intrigue s'estompe en intensité et en intérêt, avec quelques fulgurances. Mais ça reste inconsistant, à la fin on n'a pas vraiment de réponse satisfaisante car l'auteur ne parvient pas à se défaire de ses propres préjugés et à dépasser les vues de ses personnages. On finit par remarquer ses lacunes derrière ses belles envolées lyriques sur les parkings de Cergy ou les parcours d'accrobranche des Alpes slovènes. Aurelien veut parler de maths sans visiblement avoir poussé la matière très en avant, ce qui donne lieu à un roman sur les maths mais sans vraiment de substance ou de matiere scientifique (pourquoi des roulements billes révolutionnent l'axiome du choix ou permettent de faire des "viseurs à laser spatiaux" ca n'a aucun sens, je n'en peux plus de l'entendre jacter de Gorinski et de ses roulements a billes qui permettent de faire des armes, des calculateurs, des fusées et que sais je encore. D'autant plus qu'on apprend que leur système de stockage des binaires/chiffres est basée sur des molaires de prisonniers juifs déportés par les SS durant la WW2, ça n'a aucun sens bordel, ce passage etait glauque, malaisant et inutile, depuis quand tu stockes des chiffres premiers dans des molaires ?).

Pour continuer mon rant, la geographie et l'histoire de la principauté n'a aucun sens, on se contente de name dropping sans dépasser les lieux communs. Pourquoi inventer un micro état dans la région alors qu'on a déjà le Liechtenstein, saint marin, Monaco etc ? Je comprends l'idée du meeting pot : un ancien état du saint empire, peuple d'allemands orthodoxes (?), vassaux des Habsbourg mais qui a des liens avec la Russie via les maths (?), et qui a aussi des liens avec Venise (parce que). A un moment, on se taoe un passage sur Wall street et mes banques d'affaires assez superflu et inutile (ça ne sert qu'à mettre en valeur la personnage principale et pourrait se résumer à : "on utilise des maths pour prédire des trucs" et "les US sont le futur de l'europe"  passage assez bizarre d'ailleurs car il a une vision très déterministe du truc : on fait des modèles qui tombent pile poil sur le bon cours et bim on trade, pas de modèle de Black scholes, d'intégrales d'ito, de smile de volatilité etc paie ton quant).

Je n'ai toujours pas compris sa fixation sur BHL, qui est présenté comme le dernier samouraï de l'idéal européen, le citoyen libéral parfait, et qui part faire che Guevara dans les Balkans (Pourquoi tant de pages sur lui? Pourquoi vouloir retranscrire ses discours ? Pourquoi vouloir nous parler de ses frasques erotiques ?), et qui fait un contrepoint viril au prince karsien qui s'est littéralement fait vasectomisé au début du roman (pourquoi ajouter ce détail d'ailleurs?). 

Au final, beaucoup de citations grandiloquentes sur l'Europe pour au final peu d'analyse et de réflexion, on s'arrête au stade de "l'Europe est devenue trop grande pour elle même, elle a exporte son mode de vie et ses idéaux et maintenant ça décline lol", sans réfléchir veritablement aux raisons et cause de son rayonnement et de son déclin.

  • 2 weeks later...
Posté

J'ai commencé Le Mythe de Sisyphe de Camus en espérant y piocher des pistes pour mon ami suicidaire. Déception, Camus est totalement à côté de la plaque et n'a probablement jamais été suicidaire.

Je dis ça car j'ai moi-même eu une période suicidaire il y a de ça une dizaine d'années (TOCs infernaux et permanents, les psys étaient démunis, mais heureusement j'ai fini par trouver une solution peu orthodoxe mais efficace). Au final, celui qui en parle le mieux, c'est David Foster Wallace (et lui sait de quoi il parle, puisqu'il s'est suicidé )

 

  Citation

The so-called ‘psychotically depressed’ person who tries to kill herself doesn’t do so out of quote ‘hopelessness’ or any abstract conviction that life’s assets and debits do not square. And surely not because death seems suddenly appealing. The person in whom Its invisible agony reaches a certain unendurable level will kill herself the same way a trapped person will eventually jump from the window of a burning high-rise. Make no mistake about people who leap from burning windows. Their terror of falling from a great height is still just as great as it would be for you or me standing speculatively at the same window just checking out the view; i.e. the fear of falling remains a constant. The variable here is the other terror, the fire’s flames: when the flames get close enough, falling to death becomes the slightly less terrible of two terrors. It’s not desiring the fall; it’s terror of the flames. And yet nobody down on the sidewalk, looking up and yelling ‘Don’t!’ and ‘Hang on!’, can understand the jump. Not really. You’d have to have personally been trapped and felt flames to really understand a terror way beyond falling.

Expand  

 

  • Yea 1
  • 2 weeks later...
Posté

J'ai fini Scaramouche sur les conseils d' @Alchimi, et j'ai bien entamé le Capitaine Fracasse. Il ne me restera plus que le Chevalier des Touches et j'aurais sans doute debroussailler le champ des romans de cape et d'epée. 

  • Yea 1
Posté

The Prize (prix Pulitzer 1992) est très bon sur l'histoire du pétrole depuis ses origines jusqu'à ~1991. J'ai lu la nouvelle édition où l'épilogue est mis à jour mais ça reste léger sur les 30 dernières années malheureusement.

 

Je suis très sceptique des livres du type "le facteur X explique 99% de l'histoire mondiale" (au hasard, The Mosquito était coupable de ça), mais c'est très convaincant pour le coup. Notamment les 4 chapitres sur la 2e guerre mondiale où la question des réserves en pétrole est cruciale pour beaucoup d'acteurs (Allemagne et Japon notamment). Ça remet beaucoup en contexte notamment la célèbre bataille de Stalingrad et pourquoi/comment c'était un enjeu majeur du front Est.

  • Yea 1
Posté
  Le 29/12/2024 à 04:42, Cthulhu a dit :

Ça remet beaucoup en contexte notamment la célèbre bataille de Stalingrad et pourquoi/comment c'était un enjeu majeur du front Est.

Expand  

Oui, les pétroles de Bakou étaient vus comme une ressource indispensable par les Nazis (parce que les carburants sont indispensables à une armée motorisée, mais que les ersatz, c'est quand même pénible). Comme la campagne de l'Est était en retard (grâce à Mussolini) ils n'ont pas eu le temps de prendre Moscou et Léningrad, et les Nazis préféré rediriger leurs efforts vers le Caucase qu'ils espéraient contrôler avant l'hiver. Le reste est de l'histoire connue.

 

Ceci dit, je suppose que The Prize donne une vision infiniment plus complète et nuancée que les deux lignes que je viens de gribouiller en ressuscitant mes vieux souvenirs de lectures en histoire militaire.

Posté
  Le 29/12/2024 à 13:26, Rincevent a dit :

Oui, les pétroles de Bakou étaient vus comme une ressource indispensable par les Nazis (parce que les carburants sont indispensables à une armée motorisée, mais que les ersatz, c'est quand même pénible). Comme la campagne de l'Est était en retard (grâce à Mussolini) ils n'ont pas eu le temps de prendre Moscou et Léningrad, et les Nazis préféré rediriger leurs efforts vers le Caucase qu'ils espéraient contrôler avant l'hiver. Le reste est de l'histoire connue.

 

Ceci dit, je suppose que The Prize donne une vision infiniment plus complète et nuancée que les deux lignes que je viens de gribouiller en ressuscitant mes vieux souvenirs de lectures en histoire militaire.

Expand  

Pas lu le prize, mais les personnes qui ont un peu fait d'histoire de WWII est d'accord sur le fait que le pétrole a été primordial sur les objectifs de guerre.

 

Les USA ont, entre autre, forcé le Japon à la DoW en lui coupant l'accès au pétrole diplomatiquement.

 

L'article wiki sur cette période est plutôt juste pour ce que j'en sais.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_géopolitique_du_pétrole

 

Posté
  Le 29/12/2024 à 19:54, Marlenus a dit :

Les USA ont, entre autre, forcé le Japon à la DoW en lui coupant l'accès au pétrole diplomatiquement.

Expand  

Ah c'est intéressant, je sous-estimais ce facteur.

  • 2 weeks later...
Posté

Je suis en train de lire les 10 tomes de 'l'Histoire de la Révolution Française" d'Adolphe Thiers (tome 4 pour le moment). Je suis effaré de ce qui y est décrit avec des détails, des citations, des discours, déclamations, et (à première vue) peu de parti-pris personnel de l'auteur.

Je note toutefois une certaine similitude avec la constituante de 1793 et notre AN actuelle, dans les outrances, les exès, le postures des jacobins et de la montagne par rapport avec les députés LFI.

 

Néanmoins, je me demande si ces 10 tomes sont véritablement le reflet des évènements tels qu'ils se sont déroulés ou si depuis les historiens ont amenés des éléments nouveaux pouvant mettre en doute les écrits d'A. Thiers.

Si des experts de l'histoire de cette période pouvaient m'éclairer sur mes interrogations je leur rendrais grace avec joie.

  • Yea 2
  • 4 weeks later...
Posté

Mes lectures du *mois prochain : la trad française de Eumeswil va être rééditée en février !

  • Yea 1
Posté

Ça avait un peu buzz sur Twitter, donc j'avais trouvé un pdf de Nazi Secret Warfare in Occupied Persia tombé du camion. Le style est pas mal académique, donc ce ne sera pas une recommendation plus poussée que ça de ma part.

 

Cependant, on y apprend pas mal de détails intéressants et amusants sur les service secrets allemands pendant la Seconde Guerre Mondiale et leur inefficacité (ce qui serait un fait assez établi parmi les historiens à en croire l'auteur).

 

Une des raisons principales de cette inefficacité est la compétition entre l'ancien service secret Abwher dont les Nazis se méfiaient et le service SS peu estimé par l'Abwher. Sans compter que pour les recrues du deuxième, l'adhérence aux croyances nazies était plus importante que toute vraie aptitude. Et malgré cela, leur espion principal se trouvait être un double agent soviétique :D

 

Mais même au niveaux plus importants, ça navigue à vue côté stratégie. La raffinerie d'Abadan était cruciale à la production de pétrole des Alliés (et hop, on retrouve The Prize), mais était très mal défendue par les Britanniques qui manquaient de moyens. Les Nazis, sous-estimant massivement l'URSS, pensaient leur marcher dessus, puis envahir l'Iran et prendre contrôle de la raffinerie. Bien entendu, vous savez déjà que ce ne fut pas le cas et les Nazis ne pivotèrent vers un plan de destruction / sabotage de la raffinerie qu'en 1944, mais sans jamais l'exécuter.

 

D'un côté, c'est assez rassurant de voir que l'ascension rapide au pouvoir des Nazis a causé un gros souci de compétence. D'un autre côté, ils ont réussi à conquérir les 3/4 de l'Europe malgré tout, donc est-ce vraiment rassurant ?

  • Yea 1
Posté
  Le 30/01/2025 à 17:46, Mégille a dit :

Mes lectures du *mois prochain : la trad française de Eumeswil va être rééditée en février !

Expand  

Je l'attend depuis des mois, en attendant j'ai commencé l'auberge volante et Chevaucher le Tigre

Posté
  Le 16/02/2025 à 09:07, Mégille a dit :

Eumeswil : beaucoup de mots pour dire "sigma grindset".

Expand  

Je sais que c'est un meme mais :

J'ai également commencé la lecture et je suis en désaccord, en apparence il y a des similitudes mais dans le fond c'est une perspective totalement orthogonale (réflexions sur la méta histoire et la position de l'historien face aux evenements historiques, une sorte de nihilisme inspiré de Stirner et qui confiné à l'indifférence du politique et malgré tout une volonté de dresser un portrait type de l'idéal humain via des principes positifs qui différent du sigma mindset, pour ma part le sigma se rapproche davantage de l'homme différencié d'Evola). 

Posté
  Le 16/02/2025 à 19:56, Pelerin Dumont a dit :

Je sais que c'est un meme mais :

J'ai également commencé la lecture et je suis en désaccord, en apparence il y a des similitudes mais dans le fond c'est une perspective totalement orthogonale (réflexions sur la méta histoire et la position de l'historien face aux evenements historiques, une sorte de nihilisme inspiré de Stirner et qui confiné à l'indifférence du politique et malgré tout une volonté de dresser un portrait type de l'idéal humain via des principes positifs qui différent du sigma mindset, pour ma part le sigma se rapproche davantage de l'homme différencié d'Evola). 

Expand  

 

Je corrige : c'est un allemand très allemand qui sans s'en apercevoir invente un anglais très anglais.

Son anarque, c'est un gentleman flegmatique low key hobbésien qui cultive une indifférence respectueuse vis-à-vis de l'autorité tout en obéissant aux règles scrupuleusement mais avec détachement. Junger s'émerveille de l'originalité de son personnage, sans se rendre compte qu'il y en a toute une tribu dans la réalité et qu'il leur a fait deux fois la guerre.

 

Quant à sa vision de l'histoire, elle est très mauvaise. Il en fait un travail d'interprétation, axiologiquement neutre mais tout de même essentiellement créatif et littéraire, à partir de faits déjà donnés et indiscutables. Il élimine la part de doute qui subsiste dans le boulot de l'historien actuel par le truchement de son "luminar", comme si l'incertitude n'était qu'un accident qu'il fallait laisser de coté pour avoir le portrait d'un historien pur. Mais il me semble que l'histoire, c'est justement un travail d'enquête, qui consiste essentiellement à chercher à dépoussiérer ou redécouvrir des faits afin de constamment questionner les grands récits-interprétations (qui sont écrit par des idéologues et des historiens retraités). Pire, l'histoire à laquelle s'intéresse son historien est coupée de son présent. Ce qu'il essaie d'imaginer, c'est le quotidien d'un historien dans un monde post-historique, ou plus rien d'intéressant ne se passe (peut-être parce que c'est ce que la RFA et la RDA lui semblaient être ?). Un dictateur latino a pris le pouvoir dans un pays d'Afrique du nord peuplé d'allemands : business as usual dans un futur cosmopolite, et les historiens au milieu de tout ça ne voient rien d'intéressant à en dire. Ca me semble absurde. L'histoire part toujours du présent - comment faire attention à ses biais, sinon ?- et y revient toujours. Enquêter sur le passé n'a toujours eu qu'une seule finalité : identifier les coupables du présent.

 

Ceci dit, je trouve très saine la prise de recul qu'il prône. Et je n'en suis qu'à la moitié du bouquin, on verra bien ce que réserve la suite.

  • 2 weeks later...
Posté

Récemment lu "Leon Petrazycki, Les raisons de la conduite et l'essence de la morale et du droit suivi de "Pour les droits des femmes". Traduction sympa d'un auteur vraiment méconnu en théorie du droit. Le traducteur permet une entrée en matière dans la théorie psychologique du droit de Leon Petrazycki (j'avais déjà fait un post dessus) selon laquelle le droit est un phénomène de la psyché.

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...