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Concours Du Squat D'immeuble : C'est Le Cic Qui A Gagné !


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Comme le hasard fait bien les choses, j'ai reçu ce matin une présentation PowerPoint au sujet du château de Bity. C'est un château du XVIème siècle. D'après ce document:

Le « Journal Officiel » du 24 octobre 2006 donne le détail des frais afférents au Château de Bity, suite à une demande du député PS de l’Aisne, René Dosière. Pour la surveillance : en permanence 31 gendarmes, 3 maréchaux des logis chefs, 2 adjudants et 1 lieutenant. Montant annuel de la facture en euros: 1.256.257 de soldes, 405.150 (indemnités de déplacement), 140.000 (loyer annuel de cantonnement), et 120.000 (alimentation et carburant). Soit un total annuel de 1.921.407 euros.

Il y a une autre information, plus sujette à caution: le SDF Saddam Hussein y aurait été reçu.

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Mouais… Moi ça ne me choque pas plus que ça. Il y a une différence entre squatter le studio de la petite mémère pas spécialement riche et des bureaux appartenant à une personnalité morale, qui devraient être occupés comme vous le dites… En quoi un droit au logement est scandaleux ?

Par ailleurs, avez-vous entendu parler du cautionnement d'État pour les locataires qui est prévu ?

Et de l'association "Jeudis Noirs" qui s'invitent chez les proprios dépassant les prix du marché ?

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Mouais… Moi ça ne me choque pas plus que ça. Il y a une différence entre squatter le studio de la petite mémère pas spécialement riche et des bureaux appartenant à une personnalité morale, qui devraient être occupés comme vous le dites… En quoi un droit au logement est scandaleux ?

Et en quoi un droit à la beauté, à des bras musclés et parfumés au monoï, ou un droit à l'égalité des chances sexuelles serait scandaleux ?

Par ailleurs, avez-vous entendu parler du cautionnement d'État pour les locataires qui est prévu ?

Chouette. Un cautionnement par une personne morale endettée à hauteur de 2000.000.000.000 . C'est du sôôlide, ça, môssieu.

Et de l'association "Jeudis Noirs" qui s'invitent chez les proprios dépassant les prix du marché ?

Jeudis Noirs ? Pourquoi pas aussi "Jeudis bruns", ce serait bien dans l'esprit…

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Mouais… Moi ça ne me choque pas plus que ça. Il y a une différence entre squatter le studio de la petite mémère pas spécialement riche et des bureaux appartenant à une personnalité morale, qui devraient être occupés comme vous le dites…

Personne n'est en droit de décider pour autrui, fût-ce une personne morale, de ce qui doit être fait de sa propriété. Occupé, pas occupé, qui ça regarde?

Maintenant, si une petite mémé, au lieu d'investir dans un appartement, place ses économies dans une grande société qui se fait ensuite squatter, ça change quoi? (puisque apparemment, la morale se doit d'être sélective)

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Invité jabial
Mouais… Moi ça ne me choque pas plus que ça. Il y a une différence entre squatter le studio de la petite mémère pas spécialement riche et des bureaux appartenant à une personnalité morale, qui devraient être occupés comme vous le dites… En quoi un droit au logement est scandaleux ?

Tiens, un communiste :icon_up:

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Tiens, un communiste :icon_up:

pas dit,

il me semblait que l'on devait traiter les droits des gens en fonction du fait qu'ils soient des criminels ou pas.

Or, les banques vivent du monopole de la monnaie,

la majorité de leur richesse vient du privilège étatique de création monétaire.

du fait, les banques, dans le contexte actuel, sont pour bonne part des criminels.

donc prendre les biens d'un criminel, ça revient à prendre un bien non-approprié.

ce qui n'est pas communiste, mais plutôt libéral

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pas dit,

il me semblait que l'on devait traiter les droits des gens en fonction du fait qu'ils soient des criminels ou pas.

Or, les banques vivent du monopole de la monnaie,

la majorité de leur richesse vient du privilège étatique de création monétaire.

du fait, les banques, dans le contexte actuel, sont pour bonne part des criminels.

donc prendre les biens d'un criminel, ça revient à prendre un bien non-approprié.

ce qui n'est pas communiste, mais plutôt libéral

nous sommes donc tous des criminels (fonctionnaires, étudiants, anciens étudiants…).

il y a effectivement un problème à ce qu'un logement soit inoccupé, ce problème est sans doute causé par les reglementations actuelles, il faudrait plutot voir de ce coté là.

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pas dit,

il me semblait que l'on devait traiter les droits des gens en fonction du fait qu'ils soient des criminels ou pas.

Or, les banques vivent du monopole de la monnaie,

la majorité de leur richesse vient du privilège étatique de création monétaire.

du fait, les banques, dans le contexte actuel, sont pour bonne part des criminels.

donc prendre les biens d'un criminel, ça revient à prendre un bien non-approprié.

ce qui n'est pas communiste, mais plutôt libéral

N'importe quoi. C'est totalement communiste, pas du tout libéral. Ca a même un petit parfum de jalousie.

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l'histoire d'un service public de la caution n'est qu'un leuree : les CAF le font déjà par le biais du FSL accès (fonds solidarité logement) sauf que leur garantie est tellement nulle (sur le bail initial et pas par la suite, garantie de 12 mois de loyers uniquement, dépot de garantie dans les mains de la CAF) que je les refuse désormais.

d'ailleurs j'ai le cas d'une locataire "garantie" par la CAF qui ne paye pas : j'ai tel hier à la caf qui ne sait pas, je tente de joindre le service FSL de la région qui lui ne répond pa..

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pas dit,

il me semblait que l'on devait traiter les droits des gens en fonction du fait qu'ils soient des criminels ou pas.

Or, les banques vivent du monopole de la monnaie,

la majorité de leur richesse vient du privilège étatique de création monétaire.

du fait, les banques, dans le contexte actuel, sont pour bonne part des criminels.

donc prendre les biens d'un criminel, ça revient à prendre un bien non-approprié.

ce qui n'est pas communiste, mais plutôt libéral

Je ne vois pas ce qu'il y a de libéral à décréter que quelqu'un est un criminel, et que, par conséquent, ses propriétés appartiennent au premier venu. Ca ressemble plus à une attitude elle-même crimicelle que libérale, à mon sens.

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Et en quoi un droit à la beauté, à des bras musclés et parfumés au monoï, ou un droit à l'égalité des chances sexuelles serait scandaleux ?

On ne peut pas comparer. Le droit au logement est une condition presque préalable aux autres droits et aussi, parfois, au boulot, à ce qui permet de revendiquer d'autres droits. Ça fait au passage grossir les rangs des gens hostiles à vos idées. Et puis sinon, où doit-on aller ? Vu que certains libertariens sont pour privatiser la voirie…

Chouette. Un cautionnement par une personne morale endettée à hauteur de 2000.000.000.000 . C'est du sôôlide, ça, môssieu.
T'as raison, mais dans ce cas là, un mec sans famille est mal barré, sauf à faire de la sous-location. Le cautionnement d'un organisme privé peut très bien sembler suspicieux aux yeux du bailleur particulier à ce moment là. C'est pour ça que l'avance et la garantie LocaPass ne sont pas toujours acceptées par les proprios.
Jeudis Noirs ? Pourquoi pas aussi "Jeudis bruns", ce serait bien dans l'esprit…

Non, c'est une référence au krach de 1929.

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On ne peut pas comparer.

Et pourquoi diable ? Pour vivre, j'ai absolument besoin de sentir le monoï. Sinon, je déperris. Bien avant le logement, je veux que la société me fournisse un parfum adéquat. Sinon, tu es, en t'opposant à ma bonne odeur, responsable de ma décrépitude, puis, probablement, de ma dépression et de ma mort. Là ! Tu es content ! Je vais mourir parce que tu te focalises sur Le Droit Au Logement, alors que moi, je veux un Droit A Sentir Bon Le Monoï. Ce que tu peux être égoïste, p'tainjykrwâpa !

Le droit au logement est une condition presque préalable aux autres droits et aussi, parfois, au boulot, à ce qui permet de revendiquer d'autres droits. Ça fait au passage grossir les rangs des gens hostiles à vos idées. Et puis sinon, où doit-on aller ? Vu que certains libertariens sont pour privatiser la voirie…

Hein ? Que veux-tu dire exactement ? Et puis, concrêtement, comment t'y prends-tu pour faire respecter ce nouveau "Droit A" ?

T'as raison, mais dans ce cas là, un mec sans famille est mal barré, sauf à faire de la sous-location. Le cautionnement d'un organisme privé peut très bien sembler suspicieux aux yeux du bailleur particulier à ce moment là. C'est pour ça que l'avance et la garantie LocaPass ne sont pas toujours acceptées par les proprios.

La FeeC a déjà répondu : la caution d'un organisme d'état ne vaut même pas le papier sur lequel elle est écrite. C'est vrai pour le logement, c'est vrai pour le reste. Un fournisseur de biens ou services pour une collectivité peut présenter tous les bons et papelards de l'administration avec laquelle il aura fait affaire, si elle ne veut pas payer (ou ne peut pas), il se retrouvera bien enquiquiné quand la bise sera venue…

Non, c'est une référence au krach de 1929.

Merci oui j'avais deviné. La couleur de leur philosophie se rapproche cependant à s'y méprendre plus du brun qu'autre chose.

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comme le dit h16, le logment n'est pas un droit mais un besoin, une nécessité. à force de vouloir créer des droits partout, cela en devient ridicule. On nous a pondu au droit au logmenent, complété par le droit au logement opposoble, on nous rabache aussi les oreilles avec le droit aux transport pour justifier le sévice public de la RATP et de la SNCF, on nous sort aussi de temps en temps le droit à la culture pour organiser les daubes immondes subventionnées de l'excption culturelle française. On va vers quoi maintenant? le droit à l'électricité, le droit au chauffage, le droit à la télé et au téléphone portable?

Tiens un exemple:

jeudi 4 janvier 2007, 21h02

La cantine gratuite à l'école, une initiative inédite lancée par deux maires

Par Philomène BOUILLON et Sylvie HUSSON

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DRANCY (AFP) - Deux villes de Seine-Saint-Denis ont instauré la gratuité de la cantine à l'école primaire, initiative inédite alors que de plus en plus de familles pauvres ne peuvent plus assurer les frais de restauration pour leurs enfants scolarisés.

Les maires UDF de Drancy et du Bourget (Seine-Saint-Denis) ont annoncé jeudi la gratuité de la cantine dans leurs écoles primaires à compter de lundi, jour de la rentrée des vacances de Noël, une "mesure sociale juste" selon les édiles.

"Jusqu'à présent il existait des tarifs différenciés selon le quotient familial, qui va jusqu'à la gratuité dans certains cas. Mais certaines villes sont revenues sur ce principe, préférant la notion de franc symbolique (0,15€ par repas et par enfant), mettant en avant la notion de dignité humaine", explique Christian Hébert, président de l'Association nationale des directeurs de restauration municipale (ANDRM).

Le reste "revient à la charge de la collectivité et des contribuables dans le cadre d'une justice redistributive, d'une équité sociale et d'une solidarité inter générationnelle", ajoute le président de l'ANDRM.

Cette décision "sociale juste" des deux maires a été applaudie par l'Unicef jeudi. L'organisation internationale milite depuis plusieurs années pour un accès égal des enfants à la cantine.

"Nous avons recensé que deux à trois élèves par école restent sur le carreau et ne vont pas à la cantine, cela fait beaucoup lorsque l'on sait qu'il y a 56.000 écoles en France!", souligne Laurence Hintzy, chargée des questions d'accès à la cantine à l'Unicef.

Elle rappelle qu'"un million d'enfants vivent sous le seuil de pauvreté en France".

L'Unicef plaide pour un aménagement des quotients familiaux de sorte que les familles démunies paient moins voire rien du tout pour la cantine, quitte à ce qu'elle demeure payante pour les familles ayant des revenus suffisants.

Selon Jean-Jacques Hazan, administrateur à la FCPE et à l'ANDRM, et directeur de restauration scolaire dans le 12e arrondissement de Paris, "il existe de très grandes variétés de quotients et de tarifs selon les écoles".

Ainsi, dans son arrondissement, il existe huit tranches tarifaires (de 15 centimes à 3,95 euros par repas) gérées par la caisse des écoles tandis qu'à Rennes il existe par exemple une vingtaine de tranches.

A Drancy et au Bourget les tarifs allaient jusqu'ici de 0,50 centimes à 3,22 euros à Drancy (73 % des familles payant le tarif maximum) et de 0,90 centimes à 3,80 euros au Bourget.

Ces mairies font savoir que la gratuité des cantines coûtera globalement 1,1 million d'euros aux deux villes mais elles soulignent qu'à côté de ce manque à gagner des économies seront dégagées, pour 600.000 euros. La fin des facturations et frais administratifs, par exemple, permettra à Drancy d'économiser 100.000 euros et au Bourget 30.000 euros.

"Nous créons un droit à un repas équilibré, quotidien et gratuit", a plaidé le maire du Bourget (12.000 habitants), Vincent Capo-Canellas.

Cette mesure, qui concerne quelque 3.000 enfants, est une "mesure sociale juste", a fait valoir Jean-Christophe Lagarde, député-maire de Drancy, qui juge "faussement social" le système basé sur les quotients familiaux.

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Vous allez voir qu'avec mon droit à sentir bon, je ne vais pas tomber loin.

Laisse-moi d'abord militer pour notre droit à sortir au moins une fois au bras d'une bombe incendiaire médiatisée et à la poitrine généreuse (mon coup de coeur du moment Eva GREEN :icon_up: ).

Sinon c'est édifiant l'article sur les repas des gamins. Dès qu'un politique parvient de manière onéreuse à répondre à un besoin ou pire à combler une carence qu'il a fortement contribué à développer il se proclame "créateur" de droit.

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il me semblait que l'on devait traiter les droits des gens en fonction du fait qu'ils soient des criminels ou pas.

Or, les banques vivent du monopole de la monnaie,

la majorité de leur richesse vient du privilège étatique de création monétaire.

du fait, les banques, dans le contexte actuel, sont pour bonne part des criminels.

donc prendre les biens d'un criminel, ça revient à prendre un bien non-approprié.

ce qui n'est pas communiste, mais plutôt libéral

Fantastique ! que chacun se mette à piller les biens de ceux qu'il considère comme des criminels, les têtes sur des piques ne sont plus très loin.

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Je ne vois pas ce qu'il y a de libéral à décréter que quelqu'un est un criminel, et que, par conséquent, ses propriétés appartiennent au premier venu. Ca ressemble plus à une attitude elle-même crimicelle que libérale, à mon sens.

on est dans le monopole criminel de l'Etat, donc ne t'attend pas à ce que le monopole étatique de la justice déclare que les banques sont des criminels.

Je ne dis pas que j'irais prendre les biens immobiliers de criminels, je dit que la question n'est pas si simple dans un monde semi-collectiviste comme le notre.

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Et pourquoi diable ? Pour vivre, j'ai absolument besoin de sentir le monoï. Sinon, je déperris. Bien avant le logement, je veux que la société me fournisse un parfum adéquat. Sinon, tu es, en t'opposant à ma bonne odeur, responsable de ma décrépitude, puis, probablement, de ma dépression et de ma mort. Là ! Tu es content ! Je vais mourir parce que tu te focalises sur Le Droit Au Logement, alors que moi, je veux un Droit A Sentir Bon Le Monoï. Ce que tu peux être égoïste, p'tainjykrwâpa !

Le problème c'est qu'il y a certainement moins de personnes à revendiquer ce droit là que le droit au logement. D'ailleurs, tu le présentes comme un droit strictement individuel.

Hein ? Que veux-tu dire exactement ? Et puis, concrêtement, comment t'y prends-tu pour faire respecter ce nouveau "Droit A" ?
Bonne question. Ceci dit, pour des gens toujours prompts à dénoncer la coercition étatique, visiblement quand la police vire des squatteurs, vous ne trouvez rien à redire. C'est pourtant pas une police privée.
La FeeC a déjà répondu : la caution d'un organisme d'état ne vaut même pas le papier sur lequel elle est écrite. C'est vrai pour le logement, c'est vrai pour le reste. Un fournisseur de biens ou services pour une collectivité peut présenter tous les bons et papelards de l'administration avec laquelle il aura fait affaire, si elle ne veut pas payer (ou ne peut pas), il se retrouvera bien enquiquiné quand la bise sera venue…

Que faire alors pour le type sans garanties ? Tu ne m'as pas répondu ? Tu sais qu'il existe un forum francophone pour les inpats, c'est-à-dire des expats revenant en France et ne trouvant pas à se loger, alors que certains sont devenus riches, ont des gros chiffres sur leur compte…

Merci oui j'avais deviné. La couleur de leur philosophie se rapproche cependant à s'y méprendre plus du brun qu'autre chose.

Non, puisqu'ils ne sont pas violents. Ils débarrassent même en partant du logement après de leur surboum. Généralement, le proprio est là et ils discutent.

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pas dit,

il me semblait que l'on devait traiter les droits des gens en fonction du fait qu'ils soient des criminels ou pas.

Or, les banques vivent du monopole de la monnaie,

la majorité de leur richesse vient du privilège étatique de création monétaire.

du fait, les banques, dans le contexte actuel, sont pour bonne part des criminels.

donc prendre les biens d'un criminel, ça revient à prendre un bien non-approprié.

ce qui n'est pas communiste, mais plutôt libéral

Vous déraillez, là, Vincent.Vous ne comprenez pas que pour les bolcheviks, aujourd'hui c'est une banque,demain ce sera vous ?

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on est dans le monopole criminel de l'Etat, donc ne t'attend pas à ce que le monopole étatique de la justice déclare que les banques sont des criminels.

Je ne dis pas que j'irais prendre les biens immobiliers de criminels, je dit que la question n'est pas si simple dans un monde semi-collectiviste comme le notre.

Je vous renvoie vers la réflexion précédente de wapiti. Il n'y a rien de plus simple. Si est qui criminelle toute personne que je juge criminelle selon mes propres critères, la justice n'a plus sa place.

Mais même si les banques étaient vraiment criminelles, ca ne donnerait à personne le droit de les piller.

Un voleur de voleur est un voleur.

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Par ailleurs, avez-vous entendu parler du cautionnement d'État pour les locataires qui est prévu ?

Cela veut dire que le locataire pourra envoyer c…r le propriétaire venu réclamer le loyer , en lui disant:

"De toutes façons, tu sera remboursé par l'Etat, connard".

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Que viennent faire les bolcheviks là-dedans ? Il suffit de ne pas leur laisser l'occasion de s'emparer de cette question.

Il n'y a pas besoin de leur "laisser l'occasion", ils la prennent.

Vous avez vu la affiches collées un peu partout en France par Besancenot, mettant au premier plan le logement, comme par hasard ? Elles étaient prévues de longue date, bien avant qu'apparaissent les premières tentes Quechua.

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Que faire alors pour le type sans garanties ? Tu ne m'as pas répondu ? Tu sais qu'il existe un forum francophone pour les inpats, c'est-à-dire des expats revenant en France et ne trouvant pas à se loger, alors que certains sont devenus riches, ont des gros chiffres sur leur compte…

donc ils ne doivent pas être si riches que ça.

Moi, j'ai trouvé des apparts quand j'en cherchais et pourtant, je ne suis pas un riche expatrié. Par contre, c'est clair que c'est long, que l'Etat limite considérablement l'offre et que l'on te demande des garanties pas possibles, mais bon si t'es un riche expatrié, tu dois avoir les montants nécessaires.

par contre, j'ai noté qu'il est beaucoup plus facile d'acheter que de louer.

Il faut beaucoup moins de paperasse pour un crédit que pour une location.

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Le problème c'est qu'il y a certainement moins de personnes à revendiquer ce droit là que le droit au logement. D'ailleurs, tu le présentes comme un droit strictement individuel.

Méééébienssur. Tous les "droits à" sont des droits réclamés sur la collectivité pour l'individu.

Bonne question. Ceci dit, pour des gens toujours prompts à dénoncer la coercition étatique, visiblement quand la police vire des squatteurs, vous ne trouvez rien à redire. C'est pourtant pas une police privée.

Les polices privées sont interdites en France, l'Etat ayant le monopole de la force. Pour virer des squatteurs, il faut, pour le moment, la seule police publique autorisée. C'est comme ça. Et quand des squatteurs (occupants sans droits, donc) se font virer, c'est que l'Etat applique (enfin!) les droits de propriétés. Je ne vois pas ce qu'il y aurait à redire…

Que faire alors pour le type sans garanties ? Tu ne m'as pas répondu ? Tu sais qu'il existe un forum francophone pour les inpats, c'est-à-dire des expats revenant en France et ne trouvant pas à se loger, alors que certains sont devenus riches, ont des gros chiffres sur leur compte…

a/ franchement, revenir en France, quelle erreur. :icon_up:

b/ deux possibilités : laisser les assurances privées s'organiser (probablement difficile voire impossible actuellement) et libéraliser vraiment le marché de l'immobilier en France. Dans les six mois, le problème ne se posera plus. Encore une fois, qu'existe-t-il ailleurs ? La France est à ce point unique au monde qu'on semble oublier qu'il se passe ailleurs des choses intéressantes; le Canada est intéressant à ce titre.

Non, puisqu'ils ne sont pas violents. Ils débarrassent même en partant du logement après de leur surboum. Généralement, le proprio est là et ils discutent.

Et bien sûr, le proprio peut accepter de ne pas les recevoir, et peut les virer quand il le veut ?

Ouai. Bien sûr.

Note : conformément à ce que dit votre petit avatar dans la signature, je vous rappelle que si le Spandex est un privilège, pas un droit, il en va également du logement qui est une facilité, pas un droit.

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