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Les Put€s


pankkake

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Tout le problème, me semble-t-il, est que ce n'est pas "sa" rue, puisqu'elle est publique, donc à tout le monde, i.e. à personne. Sur une rue privée, la question ne se pose pas, évidemment.

Si la rue était à tout le monde, on pourrait y faire ce qu'on veut, or ce n'est pas le cas, si elle n'était à personne, on ne pourrait y imposer aucune règle, or ce n'est pas le cas, donc j'en déduis que la rue appartient à quelqu'un, cequelqu'un, c'est l'Etat, la rue est la propriété de l'Etat qui peut donc y imposer ses règles. Dans une démocratie, c'est l'Etat et donc la majorité au pouvoir qui impose ses règles, ce qui entraine donc la répréssion des groupes qui ne sont pas représentés parmis les cercles du pouvoir: les putes racoleuses, mais aussi les clochards, les exibitionnistes, les manifestants de la tribu kä etc. tandis que ceux qui recoivent les faveurs ou l'indiférence d'hommes d'état peuvent y circuler, même s'il font chier le monde : gay pride, manif CGT, fête d'halloween etc. Le fait que la loi s'impose dans toutes les rues publiques empechent de choisir les agréments et désagréments qu'on est prets à apréhender (on ne peut choisir, par exemple, une rue ou serait autorisé le racolage et les fêtes d'halloween, mais pas les manifs de la tribu Kä et de la CGT), la rue privé règle ce problème.

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Si la rue était à tout le monde, on pourrait y faire ce qu'on veut, or ce n'est pas le cas, si elle n'était à personne, on ne pourrait y imposer aucune règle, or ce n'est pas le cas, donc j'en déduis que la rue appartient à quelqu'un, cequelqu'un, c'est l'Etat, la rue est la propriété de l'Etat

Non. Pas plus que le scooter de dédé n'est la propriété de momo. La rue est un territoire sans propriétaire occupé par la force par l'État.

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L'état ne possède par la rue, mais si elle l'occupe par la force, l'état fait comme si c'était le cas, non?

Tout à fait, et il édicte des règles comme si c'était le cas. Mais justement: ce n'est pas le cas.

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Tout à fait, et il édicte des règles comme si c'était le cas. Mais justement: ce n'est pas le cas.

Le pb, c'est que tu ne peux pas faire comme si l'Etat n'existait pas.

L'Etat agit comme un propriétaire, au nom de la démocratie. Tu peux dire que c'est mal, injuste, etc… soit, mais c'est comme ça quand même.

à partir de là, je trouve tout à fait normal d'essayer de se défendre, de protéger son entourage, etc…

Sinon, à Paris, de fait, il y a de la "tolérance" pour la prostitution de rue dans certaines rues. Idem dans bon nombre de villes de province ou d'aires d'autoroute. Donc bon, ça existe.

Autant, je suis pour tracter pour l'ouverture des maisons closes à côté des putes, autant je ne le ferais pas pour le racolage dans toutes les rues publiques.

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Le pb, c'est que tu ne peux pas faire comme si l'Etat n'existait pas.

je ne fais pas cela

L'Etat agit comme un propriétaire, au nom de la démocratie. Tu peux dire que c'est mal, injuste, etc… soit, mais c'est comme ça quand même.

Oui

à partir de là, je trouve tout à fait normal d'essayer de se défendre, de protéger son entourage, etc…

Oui

Rapport avec la prostitution ?

Autant, je suis pour tracter pour l'ouverture des maisons closes à côté des putes, autant je ne le ferais pas pour le racolage dans toutes les rues publiques.

Personne ne t'oblige à tracter.

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Bon techniquement il y a un problème, une année ça ne fait que 365jours et vu le nombre d'association, minorité etc… il faut organiser la rareté. Heureusement, l'état est là pour s'occuper de tout ça.

Allons, on peut faire des quarts de journée ! Dans une journée complète, on peut avoir :

- le quart de journée des prostituées déportées (de 0h à 6h)

- le quart de journée des boulangers sodomites (de 6h à midi)

- le quart de journée des orfèvres gays (de midi à 18h)

- et terminer en beauté par le quart de journée des maladies incurables instantanées.

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Si la rue était à tout le monde, on pourrait y faire ce qu'on veut, or ce n'est pas le cas, si elle n'était à personne, on ne pourrait y imposer aucune règle, or ce n'est pas le cas, donc j'en déduis que la rue appartient à quelqu'un, cequelqu'un, c'est l'Etat, la rue est la propriété de l'Etat qui peut donc y imposer ses règles. Dans une démocratie, c'est l'Etat et donc la majorité au pouvoir qui impose ses règles, ce qui entraine donc la répréssion des groupes qui ne sont pas représentés parmis les cercles du pouvoir: les putes racoleuses, mais aussi les clochards, les exibitionnistes, les manifestants de la tribu kä etc. tandis que ceux qui recoivent les faveurs ou l'indiférence d'hommes d'état peuvent y circuler, même s'il font chier le monde : gay pride, manif CGT, fête d'halloween etc. Le fait que la loi s'impose dans toutes les rues publiques empechent de choisir les agréments et désagréments qu'on est prets à apréhender (on ne peut choisir, par exemple, une rue ou serait autorisé le racolage et les fêtes d'halloween, mais pas les manifs de la tribu Kä et de la CGT), la rue privé règle ce problème.

La rue, elle appartient tellement à personne que s'il te prend l'envie d'y faire un trou béant sans te faire emmerder, tu peux. Il suffit pour cela de t'habiller avec les habits qui vont bien, de venir avec le matériel qui va bien (pelleteuse, excavatrice, …), de coller des plots pour dérouter la circulation et de creuser. Personne (je dis bien personne) ne viendra te demander ce que tu fais. Cette expérience a été tentée - à différentes reprises, dans différents cadres - et à chaque fois, c'est le même constat : dès lors que toi et ton équipe font 'vrai' (i.e. ressemble à n'importe quelle équipe de travaux publics légitime), personne ne t'emmerde.

Maintenant, essaye la même chose chez un particulier.

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La rue, elle appartient tellement à personne que s'il te prend l'envie d'y faire un trou béant sans te faire emmerder, tu peux. Il suffit pour cela de t'habiller avec les habits qui vont bien, de venir avec le matériel qui va bien (pelleteuse, excavatrice, …), de coller des plots pour dérouter la circulation et de creuser. Personne (je dis bien personne) ne viendra te demander ce que tu fais. Cette expérience a été tentée - à différentes reprises, dans différents cadres - et à chaque fois, c'est le même constat : dès lors que toi et ton équipe font 'vrai' (i.e. ressemble à n'importe quelle équipe de travaux publics légitime), personne ne t'emmerde.

Maintenant, essaye la même chose chez un particulier.

Ca sent le vécu !

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La rue, elle appartient tellement à personne que s'il te prend l'envie d'y faire un trou béant sans te faire emmerder, tu peux. Il suffit pour cela de t'habiller avec les habits qui vont bien, de venir avec le matériel qui va bien (pelleteuse, excavatrice, …), de coller des plots pour dérouter la circulation et de creuser. Personne (je dis bien personne) ne viendra te demander ce que tu fais. Cette expérience a été tentée - à différentes reprises, dans différents cadres - et à chaque fois, c'est le même constat : dès lors que toi et ton équipe font 'vrai' (i.e. ressemble à n'importe quelle équipe de travaux publics légitime), personne ne t'emmerde.

Maintenant, essaye la même chose chez un particulier.

Belle démonstration.

Donc quand des voleurs arrivent déguisés en déménageurs et vident des maisons, cela prouve que la propriété privée n'existe pas ?

Tu te déguises en agent de l'autorité, c'est assez logique que les gens te prennent pour tel.

Essaye de tapiner dans la rue en bas de chez toi avec tes amis trans brésiliens, je pense que les voisins ne vont pas être contents, et qu'ils vont même appeler les flics.

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Donc quand des voleurs arrivent déguisés en déménageurs et vident des maisons, cela prouve que la propriété privée n'existe pas ?

Si tu voulais comparer ceteris paribus, il aurait fallu utiliser des déménageurs dans une copropriété avec des gens qui vont et qui viennent et qui - bizarrement - ne seraient au courant de rien. Oh, ça doit bien exister. Mais, de façon symétrique à la rue parfaitement policée, c'est un cas rare, tout comme est rare le cas diamétralement opposé où la police ou les agents de voirie sont réellement au courant de ce qui se passe sur leur route.

Tu te déguises en agent de l'autorité,

Non. En ouvrier BTP. C'est complètement différent.

En outre, mon exemple va plus loin : quand tes "déménageurs" s'en vont, il y a bien un lésé et il y a fort à parier qu'il ira porter plainte. Maintenant, quand la rue est trouée et que l'équipe s'en va, que crois-tu qu'il se passe ? Rien : (après un temps très loooooong de palabres) une autre équipe, légitime celle-là, arrive et finira par reboucher le trou. Et ce sera tout. La proba qu'une plainte soit déposée est infime : les services de l'état ont alors trop peur de se retrouver à sanctionner une autre équipe qui aurait fait le trou légitimement. Tout comme les shadoks, ils ne feront rien de peur qu'en faisant quelque chose, ils empirent la situation.

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Allons, on peut faire des quarts de journée ! Dans une journée complète, on peut avoir :

- le quart de journée des prostituées déportées (de 0h à 6h)

- le quart de journée des boulangers sodomites (de 6h à midi)

- le quart de journée des orfèvres gays (de midi à 18h)

- et terminer en beauté par le quart de journée des maladies incurables instantanées.

Sans oublier la journée de ceux qui n'ont pas de journée ! Histoire de faire buguer les paranos logico-formalistes

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Si tu voulais comparer ceteris paribus, il aurait fallu utiliser des déménageurs dans une copropriété avec des gens qui vont et qui viennent et qui - bizarrement - ne seraient au courant de rien. Oh, ça doit bien exister. Mais, de façon symétrique à la rue parfaitement policée, c'est un cas rare, tout comme est rare le cas diamétralement opposé où la police ou les agents de voirie sont réellement au courant de ce qui se passe sur leur route.

Non. En ouvrier BTP. C'est complètement différent.

En outre, mon exemple va plus loin : quand tes "déménageurs" s'en vont, il y a bien un lésé et il y a fort à parier qu'il ira porter plainte. Maintenant, quand la rue est trouée et que l'équipe s'en va, que crois-tu qu'il se passe ? Rien : (après un temps très loooooong de palabres) une autre équipe, légitime celle-là, arrive et finira par reboucher le trou. Et ce sera tout. La proba qu'une plainte soit déposée est infime : les services de l'état ont alors trop peur de se retrouver à sanctionner une autre équipe qui aurait fait le trou légitimement. Tout comme les shadoks, ils ne feront rien de peur qu'en faisant quelque chose, ils empirent la situation.

Ton agent BTP est supposé mandaté par l'autorité par les gens, c'est assez compréhensible.

Car qui irait faire un trou d'ailleurs ? Ton exemple est assimilable à un acte de vandalisme. ça ne sert à rien, il n'y a pas d'usage.

Un vrai cas serait qu'un mec installe des barrières sur une route pour se la privatiser, ou bien qu'une terrasse de café se privatise le trottoir.

Et bien il y a de fortes chances que l'autorité va le virer illico.

Essaye déjà de construire dans TA propriété SANS permis de construire. L'autorité viendra faire détruire ta maison.

Dans une organisation, une grande association, une entreprise, c'est assez compéhensible que tout le monde ne sache pas ce qui se passe partout.

Dans une ville privée de 50 000 personnes, il y a des chances qu'un type doit pouvoir se déguiser en agent de BTP et creuser un trou sans qu'on l'emerde.

Alors dans un Etat de 60 000 000 de personnes…

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Essaye déjà de construire dans TA propriété SANS permis de construire. L'autorité viendra faire détruire ta maison.

Pourtant il me semble qu'un certain "Francis" vivant sur l'île de beauté a même réussit à se faire passer pour une victime après s'être fait détruire sa paillote, installée sur la plage, il est vrai de manière quelque peu iconoclaste par la puissance publique…

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La rue, elle appartient tellement à personne que s'il te prend l'envie d'y faire un trou béant sans te faire emmerder, tu peux. Il suffit pour cela de t'habiller avec les habits qui vont bien, de venir avec le matériel qui va bien (pelleteuse, excavatrice, …), de coller des plots pour dérouter la circulation et de creuser. Personne (je dis bien personne) ne viendra te demander ce que tu fais. Cette expérience a été tentée - à différentes reprises, dans différents cadres - et à chaque fois, c'est le même constat : dès lors que toi et ton équipe font 'vrai' (i.e. ressemble à n'importe quelle équipe de travaux publics légitime), personne ne t'emmerde.

Maintenant, essaye la même chose chez un particulier.

Pour ma part il me paraît évident que l'État est propriétaire (illégitime) de la rue puisqu'il en décide l'usage comme par exemple, qui a le droit d'y circuler. Il est même propriétaire (illégitime) de tous le foncier, bati ou non puisqu'il me dit comment les utiliser, ce que j'ai le droit d'y construire ou comment j'utilise le sous-sol. De surcroît il me fait payer un loyer appelé taxe foncière pour l'occasion.

Il y a d'ailleurs l'équivalent en matiére d'usage de l'espace aérien, même conclusion.

Donc vraiment je ne vois pas la moindre ambiguïté en la matière.

Il en est proprio (illégitime) de l'air et de la terre en France comme Castro est proprio (illégitime) de Cuba.

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ça me rappelle

L'agence tous risques, c'est vraiment

La dernière chance au dernier moment

Les mauvais coups, des truands

L'agence les règle au comptant

Si l'injustice, vous attend

L'agence tous risques, l'attend au tournant

Pour la victime aux abois

Tout à coups elle surgira

Dans les dangers, ces rois du sang-froid

Ces voyageurs, sans visa

Ont livré le bon combat

…des vrais libéraux, quoi !

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Car qui irait faire un trou d'ailleurs ?
Si tu ne vois pas pourquoi, c'est que tu manques (vraiment) d'imagination.
Ton exemple est assimilable à un acte de vandalisme. ça ne sert à rien, il n'y a pas d'usage.
Et donc ?
Un vrai cas serait qu'un mec installe des barrières sur une route pour se la privatiser, ou bien qu'une terrasse de café se privatise le trottoir.Et bien il y a de fortes chances que l'autorité va le virer illico.
Ca prendrait du temps.
Essaye déjà de construire dans TA propriété SANS permis de construire. L'autorité viendra faire détruire ta maison.
Tsk, mauvais exemple. Je connais au moins 3 personnes qui ont fait construire (en campagne, certes, mais tout de même) sans permis et qui sont sur place depuis 20 ans au moins.
Dans une organisation, une grande association, une entreprise, c'est assez compéhensible que tout le monde ne sache pas ce qui se passe partout.
Ca n'est pas la question.
Pour ma part il me paraît évident que l'État est propriétaire (illégitime) de la rue puisqu'il en décide l'usage comme par exemple, qui a le droit d'y circuler. Il est même propriétaire (illégitime) de tous le foncier, bati ou non puisqu'il me dit comment les utiliser, ce que j'ai le droit d'y construire ou comment j'utilise le sous-sol. De surcroît il me fait payer un loyer appelé taxe foncière pour l'occasion.Il y a d'ailleurs l'équivalent en matiére d'usage de l'espace aérien, même conclusion.Donc vraiment je ne vois pas la moindre ambiguïté en la matière.Il en est proprio (illégitime) de l'air et de la terre en France comme Castro est proprio (illégitime) de Cuba.
Si tu veux. Mais à ce compte, je peux me déclarer propriétaire (illégitime) de tes vêtements, ou, pris d'une lucidité passagère, me déclarer Maître Du Monde Mouahahaha - ahem pardon - si je n'ai aucun moyen de faire respecter ma propriété, elle vaut, passez moi l'expression, peau de zob. Il en va de même avec l'Etat.
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Allons, on peut faire des quarts de journée ! Dans une journée complète, on peut avoir :

- le quart de journée des prostituées déportées (de 0h à 6h)

- le quart de journée des boulangers sodomites (de 6h à midi)

- le quart de journée des orfèvres gays (de midi à 18h)

- et terminer en beauté par le quart de journée des maladies incurables instantanées.

:icon_up:

Je m'interrogeais sur le fondement psychanalytique de la forme de la baguette ou de la ficelle dans les boulangeries de France et de Navarre… Tu m'as ouvert les yeux.

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:icon_up:

Je m'interrogeais sur le fondement psychanalytique de la forme de la baguette ou de la ficelle dans les boulangeries de France et de Navarre… Tu m'as ouvert les yeux.

Tu fais ce que tu veux avec ton … pain :doigt:.

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La rue, elle appartient tellement à personne que s'il te prend l'envie d'y faire un trou béant sans te faire emmerder, tu peux. Il suffit pour cela de t'habiller avec les habits qui vont bien, de venir avec le matériel qui va bien (pelleteuse, excavatrice, …), de coller des plots pour dérouter la circulation et de creuser. Personne (je dis bien personne) ne viendra te demander ce que tu fais. Cette expérience a été tentée - à différentes reprises, dans différents cadres - et à chaque fois, c'est le même constat : dès lors que toi et ton équipe font 'vrai' (i.e. ressemble à n'importe quelle équipe de travaux publics légitime), personne ne t'emmerde.

Maintenant, essaye la même chose chez un particulier.

Mdr, tiens j'essaierais!
:icon_up:

C'est clair que si je veus tenter un coup pareil, personne ne va me déranger puisque la rue n'appartient à personne, tandis que si je me fais passer pour un déménageur dans une baraque privée, il va me falloir une sacré disquette pour convaincre le proprio qu'il a
vraiment
fait appel à un déménageur, alors quel les passants non-proprio de la rue ne peuvent savoir si je suis
vraiment
du BTP. En revanche, l'état considérant la rue comme sa propriété devrait se rendre compte de la supercherie, mais le temps qu'il réagisse… Alors il peut y avoir des temps de réaction plus long au sein d'une propriété privé selon sa taille (de la petite baraque à la grande ville privée) mais ce n'est effectivement pas le sujet.

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Cette expérience a été tentée - à différentes reprises, dans différents cadres - et à chaque fois, c'est le même constat : dès lors que toi et ton équipe font 'vrai' (i.e. ressemble à n'importe quelle équipe de travaux publics légitime), personne ne t'emmerde.

Cela doit dépendre des communes. A Bordeaux je te défie de tenir plus d'une heure sans te faire alpaguer: une brigade de contrôleurs circule sans cesse afin de faire payer toute occupation de la voie publique.

Mais c'est sans doute possible chez Mamère, juste à côté.

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Cela doit dépendre des communes.

Je pense aussi. Il y a des services de l'équipement plus ou moins bien gérés partout. Je pense que sur Paris, p. ex, ça doit être un sacré foutware.

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Je pense aussi. Il y a des services de l'équipement plus ou moins bien gérés partout. Je pense que sur Paris, p. ex, ça doit être un sacré foutware.

Un foutware, c'est l'inverse d'un défragmenteur ? :icon_up:

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Pour ma part il me paraît évident que l'État est propriétaire (illégitime) de la rue puisqu'il en décide l'usage comme par exemple, qui a le droit d'y circuler. Il est même propriétaire (illégitime) de tous le foncier, bati ou non puisqu'il me dit comment les utiliser, ce que j'ai le droit d'y construire ou comment j'utilise le sous-sol. De surcroît il me fait payer un loyer appelé taxe foncière pour l'occasion.

Il n'est pas propriétaire de tous le foncier, mais de la copropriété. Il est, en quelque sortes, le seigneur. Comme vous avez le droit de vendre votre part du foncier, vous en êtes aussi propriétaire, pour autant que vous vous soumettez aux conditions de la copropriété.

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