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Vers la réouverture des bordels ?


Esperluette

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A Amsterdam, j'avais cru comprendre que ce sont les flics locaux qui jouent les maques. Dans le sens où ils les connaissent, assurent la sécurité, etc.

Non, les flics assurent la sécurité de ce quartier ultra-touristique et mal fréquenté c'est tout.

Pour vous dire le fond de ma pensée, les bordels sont sans doute préférables a ce qu'on observe a Amsterdam, a savoir des vitrines, carrément.

D'ailleurs c'est pas toujours incompatible, il y a des bordels avec vitrine, j'en ai vu a Vienne.

Bref… un bordel, c'est a peu près notre bon vieux bar a putes, je crois bien que ca existe déja a Paris.

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Pourquoi, tous les maques se sont mis d'accord sur un prix fixe ?

C'est surtout complètement faux ce que Leepose raconte à ce propos.

Je sais que dans certains bordels, les Noires peuvent coûter jusqu'à deux fois moins chères que les Blanches.

Je pourrais vous raconter l'histoire qui m'a appris ça si ça vous intéresse, c'est un peu scabreux mais comme je n'y prends pas part activement, ça me dérange pas :icon_up:

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C'est surtout complètement faux ce que Leepose raconte à ce propos.

Je sais que dans certains bordels, les Noires peuvent coûter jusqu'à deux fois moins chères que les Blanches.

Je pourrais vous raconter l'histoire qui m'a appris ça si ça vous intéresse, c'est un peu scabreux mais comme je n'y prends pas part activement, ça me dérange pas :doigt:

Vas-y, ça nous intéresse tous! :icon_up:

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Pourquoi, tous les maques se sont mis d'accord sur un prix fixe ?

Ou bien c'est un prix réglementé. :icon_up:

Aucune idée.

Mais encore une fois, il n'y a pas de mac la bas. Nombres de nanas te diront "mon mac, c'est mon mec au chomage qui veut partir en vacances aux Antilles" ou alors "mon mac c'est mes deux gosses a nourrir".

Donc c'est le meme cas que n'importe quel travailleur, au fond.

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A ma connaissance les nanas sont parfaitement libres et heureusement.

Ce n'est pas le cas partout.

Mais j'ai l'impression que ce sont dans les pays ou les bordels sont interdits qu'il y a le plus d'esclaves sexuels.

A Amsterdam, j'avais cru comprendre que ce sont les flics locaux qui jouent les maques. Dans le sens où ils les connaissent, assurent la sécurité, etc.

Des maques gratuits donc, mais la consequence c'est qu'elles doivent payer des impots.

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C'est surtout complètement faux ce que Leepose raconte à ce propos.

Je sais que dans certains bordels, les Noires peuvent coûter jusqu'à deux fois moins chères que les Blanches.

Je pourrais vous raconter l'histoire qui m'a appris ça si ça vous intéresse, c'est un peu scabreux mais comme je n'y prends pas part activement, ça me dérange pas :icon_up:

Vamos !

Envoie la purée!

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Pis bon…. comme je disais, je crois bien que les bars a putes existent déja en France. Ou bien on les a fermé? En tout cas il y a des bars pas clairs a Pigalle.

Donc au fond, la question est de savoir si on veut des sortes de méga-boites de nuits avec strip-tease toute la nuit (les strip-teaseuses ne font généralement que des strip, c'est bon a savoir!) ou si on veut des bars sordides avec deux vieilles putes et un seul client, et trois gros bras pour lui expliquer que s'il ne paye pas leur verres de champ aux deux demoiselles ils se chargeront personnellement de lui casser la gueule et de lui faire les poches.

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Pis bon…. comme je disais, je crois bien que les bars a putes existent déja en France. Ou bien on les a fermé? En tout cas il y a des bars pas clairs a Pigalle.

Ca n'a rien a voir avec des bordels.

Outre le fait que les bars de pigalle sont des arnaques plus que des bars a putes, ils ne remplissent pas la fonction premiere du bordel: fournir la chambre.

Si c'est pour finir dans un parking, je ne vois pas le gain en securite.

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Ca n'a rien a voir avec des bordels.

Outre le fait que les bars de pigalle sont des arnaques plus que des bars a putes, ils ne remplissent pas la fonction premiere du bordel: fournir la chambre.

Si c'est pour finir dans un parking, je ne vois pas le gain en securite.

lol

ok j'avais pas essayé cette formule là.

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Pis bon…. comme je disais, je crois bien que les bars a putes existent déja en France. Ou bien on les a fermé? En tout cas il y a des bars pas clairs a Pigalle.

Donc au fond, la question est de savoir si on veut des sortes de méga-boites de nuits avec strip-tease toute la nuit (les strip-teaseuses ne font généralement que des strip, c'est bon a savoir!) ou si on veut des bars sordides avec deux vieilles putes et un seul client, et trois gros bras pour lui expliquer que s'il ne paye pas leur verres de champ aux deux demoiselles ils se chargeront personnellement de lui casser la gueule et de lui faire les poches.

A pigalle, ce n'est pas des bars à putes, c'est des bars à gogo…

Le business model est le suivant :

- un mec rentre - ou plutôt se fait alpaguer par des mecs à l'entrée qui font de la retape.

- les filles du bar l'allument et l'incitent à commander du champagne ;

- le mousseux arrivent, il est bu ;

- les filles partent et un monsieur costaux arrive avec l'addition ;

- Le monsieur est costaux parce que l'addition c'est d'habitude plus de 100 euros la bouteille de "champagne".

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A pigalle, ce n'est pas des bars à putes, c'est des bars à gogo…

Le business model est le suivant :

- un mec rentre - ou plutôt se fait alpaguer par des mecs à l'entrée qui font de la retape.

- les filles du bar l'allument et l'incitent à commander du champagne ;

- le mousseux arrivent, il est bu ;

- les filles partent et un monsieur costaux arrive avec l'addition ;

- Le monsieur est costaux parce que l'addition c'est d'habitude plus de 100 euros la bouteille de "champagne".

Trés bien. Je vois.

Mais ce business model est parfois un peu utilisé dans des endroits qui sont moins des boites a gogo.

Comme je disais il est tres important de prendre le temps de comprendre comment ca fonctionne avant de se lancer… meme en cas d'envie pressante.

J'ai un tas d'anecdotes aussi. Des pauvres cons de touristes allemands qui se voient demander 800 euros pour un "table dance" de 10 minutes et un peu de champagne. Moi j'ai bu une bonne bière et je me suis cassé. Sans me vanter faut etre expérimenté pour ne pas se faire avoir.

Il y a aussi plein d'endroits ou on peut profiter de "table dance" ou "private dance" pour un prix raisonnable, entre deux bons verres dégustés devant de beaux strip-tease.

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Vas-y, ça nous intéresse tous! :icon_up:

Cette histoire s'est passée lorsque je devais être en première année de droit.

La semaine de l'anniversaire des dix-huit ans d'un pote, certains de nos amis en commun s'émurent de le savoir toujours puceau, et malheureux, à son âge. Nous avions donc décidé de l'aider à passer cette étape cruciale dans la vie d'un homme, ou pour dire ça autrement, de lui payer une pute à Amsterdam.

Le week-end venu, lui excité comme une puce à l'idée d'enfin se servir de son engin, nous surtout attirés par ce que nous allions fumer et ingurgiter comme substances, nous nous sommes mis en route. A l'époque, j'habitais à Lille et de là, on peut atteindre Amsterdam en trois heures en bagnole. Une fois arrivés, nous l'avons donc accompagné dans un bordel que le grand frère d'un pote nous avait conseillé. On lui a passé le fric pour une pute et on s'est barré fumer dans un coffee. Je crois qu'on lui avait donné une heure ou deux pour faire son affaire. Au bout du temps imparti, alors qu'on était déjà bien perchés, on est parti le chercher.

Sauf que le mec qui tenait le truc nous dit dans un français très approximatif "Ah bah nan, votre ami est reparti pour un tour". Mi-étonnés, mi-amusés par la soif de stupre inextinguible de notre ami nouvellement homme parmi les hommes, nous sommes retournés fumer en l'attendant. Il nous a rejoint un peu plus tard et on lui a demandé pourquoi il s'en était payée une autre aussitôt et c'est là qu'il nous a dit qu'avec l'argent qu'on lui avait filé il pouvait avoir une seule Blanche ou deux Noires. Et qu'il était parti pour la seconde option.

Voilà tout.

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Cette histoire s'est passée lorsque je devais être en première année de droit.

La semaine de l'anniversaire des dix-huit ans d'un pote, certains de nos amis en commun s'émurent de le savoir toujours puceau, et malheureux, à son âge. Nous avions donc décidé de l'aider à passer cette étape cruciale dans la vie d'un homme, ou pour dire ça autrement, de lui payer une pute à Amsterdam.

Le week-end venu, lui excité comme une puce à l'idée d'enfin se servir de son engin, nous surtout attirés par ce que nous allions fumer et ingurgiter comme substances, nous nous sommes mis en route. A l'époque, j'habitais à Lille et de là, on peut atteindre Amsterdam en trois heures en bagnole. Une fois arrivés, nous l'avons donc accompagné dans un bordel que le grand frère d'un pote nous avait conseillé. On lui a passé le fric pour une pute et on s'est barré fumer dans un coffee. Je crois qu'on lui avait donné une heure ou deux pour faire son affaire. Au bout du temps imparti, alors qu'on était déjà bien perchés, on est parti le chercher.

Sauf que le mec qui tenait le truc nous dit dans un français très approximatif "Ah bah nan, votre ami est reparti pour un tour". Mi-étonnés, mi-amusés par la soif de stupre inextinguible de notre ami nouvellement homme parmi les hommes, nous sommes retournés fumer en l'attendant. Il nous a rejoint un peu plus tard et on lui a demandé pourquoi il s'en était payée une autre aussitôt et c'est là qu'il nous a dit qu'avec l'argent qu'on lui avait filé il pouvait avoir une seule Blanche ou deux Noires. Et qu'il était parti pour la seconde option.

Voilà tout.

Bah trés bien.

Ca n'est pas ce genre d'établissement qui a fait la réputation d'Amsterdam, comme tu le sais sans doute.

En plus, c'est con… Deux noires pour le prix d'une blanche. Ya des noires trés belles et des blanches trés laides.

Pour revenir sur les questions de prix, de ce que je connais, le prix unique sert surtout de ticket d'entrée. Libre a toi de payer plus pour rester plus longtemps par exemple. Ca joue quand meme un role assez précis si on y pense. Pour la nana comme pour le client.

Imagine le bordel ( :icon_up: ) s'il fallait taper a chaque vitrine pour demander le prix, etc.

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"avez-vous déjà eu recours aux services d'une périprostipute?" :doigt:

Moi oui, une fois. Je suis allé demander au maire de mon village s'il pouvait me pistonner pour un emploi. :icon_up:

Sinon, faudrait arrêter d'idéaliser les bordels d'antan. Les femmes qui y exerçaient n'avaient pas beaucoup de droits. Elles avaient obligation d'aller avec tous les clients qui se pointaient, y compris les plus dégueulasses.

Les avoir mises dans la rue n'a effectivement pas arrangé la situation : agressions, viols et racket sont régulièrement le quotidien de ces femmes. C'est pour cela que les macs restent souvent pas très loin des filles pour récupérer les sommes récoltées : elles deviennent des proies.

Faut savoir enfin que la prostitution sert de pompe à finance facile pour mettre en place des trafics de drogues.

Faudrait demander aux macs s'ils sont pour le retour des bordels. Ma main à couper qu'ils seraient contre : ils devraient payer une licence, des impôts, des charges, etc.

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Cette histoire s'est passée lorsque je devais être en première année de droit.

La semaine de l'anniversaire des dix-huit ans d'un pote, certains de nos amis en commun s'émurent de le savoir toujours puceau, et malheureux, à son âge. Nous avions donc décidé de l'aider à passer cette étape cruciale dans la vie d'un homme, ou pour dire ça autrement, de lui payer une pute à Amsterdam.

Le week-end venu, lui excité comme une puce à l'idée d'enfin se servir de son engin, nous surtout attirés par ce que nous allions fumer et ingurgiter comme substances, nous nous sommes mis en route. A l'époque, j'habitais à Lille et de là, on peut atteindre Amsterdam en trois heures en bagnole. Une fois arrivés, nous l'avons donc accompagné dans un bordel que le grand frère d'un pote nous avait conseillé. On lui a passé le fric pour une pute et on s'est barré fumer dans un coffee. Je crois qu'on lui avait donné une heure ou deux pour faire son affaire. Au bout du temps imparti, alors qu'on était déjà bien perchés, on est parti le chercher.

Sauf que le mec qui tenait le truc nous dit dans un français très approximatif "Ah bah nan, votre ami est reparti pour un tour". Mi-étonnés, mi-amusés par la soif de stupre inextinguible de notre ami nouvellement homme parmi les hommes, nous sommes retournés fumer en l'attendant. Il nous a rejoint un peu plus tard et on lui a demandé pourquoi il s'en était payée une autre aussitôt et c'est là qu'il nous a dit qu'avec l'argent qu'on lui avait filé il pouvait avoir une seule Blanche ou deux Noires. Et qu'il était parti pour la seconde option.

Voilà tout.

Cette histoire, assez classique, me rappelle pourquoi je suis moralement opposé a la prostitution, ce n'est pas la prostituée qui me fait le plus pitié (quand ce n'est pas une esclave bien entendu)… c'est le client.

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Voilà comment une question grave termine en brève de comptoir. Tavernier, une tournée !

bof, en fait c'est un sujet comme un autre, qui necessite de connaitre son sujet.

Pas de flics macro a Amsterdam, pas de promo sur les boudins, connaitre la difference entre un bar a putes a Pigalle et le Darling a Prague, la difference entre une prostituee d'Amsterdam ou des boulevards exterieurs de Paris, etc.

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Cette histoire, assez classique, me rappelle pourquoi je suis moralement opposé a la prostitution, ce n'est pas la prostituée qui me fait le plus pitié (quand ce n'est pas une esclave bien entendu)… c'est le client.

Comme le disait un vieux réactionnaire, il n'y a que deux conditions moralement supportables pour une femme : prostitué ou femme au foyer.

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Comme le disait un vieux réactionnaire, il n'y a que deux conditions moralement supportables pour une femme : prostituée ou femme au foyer.

Quiconque lit le roman «Madame Bovary» voit bien qu'une femme au foyer n'est pas forcément moralement irréprochable.

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Voyons voyons..

Si j'étais amateur de ce genre de choses, comme Leepose, j'irai chez Paulette.

Parce que les filles chez Paulette, elles sont bien traitées et bien payées. Et ça les clients d'un point de vu moral et d'un autre point de vu également, ils l'apprécient.. Les filles sont en forme et de bonne humeur.

Et puis il y a deux types qui assurent la sécurité de l'établissement, c'est une boite qui marche bien.

Chez SuperSexy ça a fermé. Les filles n'étaient pas bien payées et pas très bien traitées.. Elles ont trouvé du boulot ailleurs, elles sont allées postuler dans des boites qui ont une bonne réputation et certaines ont même monté leur propre boite.

Comme chez Nadine où a voulu m'emmener Leepose. Elle a monté sa boite toute seule chez elle il y a 8 ans.. "Le meilleur rapport plaisir / prix de Paris !" (dixit Leepose). Aujourd'hui elle envisage d'acheter tout le deuxième étage avec quelques copines.

Espérons qu'elle aura plus de chance que Françoise qui a mis la clef sous la porte, mais qui accueille toujours chez elle.

Fort heureusement les réglementations étatiques n'existent pas. Elle bosse l'esprit tranquille, sachant que son compagnon, armé, fait entrer les clients et se trouve au rez-de-chaussée de la petite maison en cas de soucis.

Anyway.. je croyais que sacrifier liberté pour sécurité nous faisait perdre les deux…

putain, arretez de m'ignorer ca me stress.

:icon_up:

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Je ne crois pas que j'etais hors sujet en expliquant qu'ouvrir des bordels ne consistait pas a ramasser toutes celles qui font le trottoir pour les mettre dedans. Pas plus qu'on ne regle le probleme des SDF en construisant un immeuble, pas plus qu'on ne regle le probleme des chomeurs de longue duree en creant une entreprise.

Si on voulait regler ce probleme, je ne vois qu'un traitement policier energique. C'est ce qu'on fait par exemple en Russie. Resultat : pas de SDF ni de prostituees dans la rue.

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Je ne sais pas si on en trouve partout en Espagne ou seulement en Catalogne mais il existe ces 'boîtes de nuit/maisons closes' une fois la frontière traversée.

Le père d'un ami nous avait emmené cet ami et moi dans un de ces endroits par curiosité ( nous avions bu un verre puis étions repartis ).

J'avais été surpris par le fait que toutes les filles étaient plutôt 'jolies', alors que je m'attendais un peu à voir des filles pas particulièrement attirantes, un peu fade ou abimée.

Il y en avait un certain nombre, toutes en petite tenue, certaines discutaient entre elles, pendant que les autres tentaient de 'se vendre' aux clients.

Et je confirme ce qu'a dit Johnnieboy, à savoir que les noires étaient moins chères. On m'a expliqué aussi que les blanches avaient en quelque sorte la priorité sur les noires concernant l'abord du client ( cela concernait d'autres choses également me semble-t-il mais je ne me souviens plus lesquelles ).

Et apparement chaque mois les filles devaient réaliser des examens de santé ( à la charge de l'établissement je crois ).

Après, c'est le seul endroit de la sorte dans lequel j'ai pénétré donc je ne sais pas si le fonctionnement est plus ou moins partout pareil ou non. En tout cas cela m'avait paru plutôt sain dans le sens où, et la prostituée, et le client, gagnent en confort et sécurité, en comparaison de la rue.

Du moins, à première vue.

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Faudrait demander aux macs s'ils sont pour le retour des bordels. Ma main à couper qu'ils seraient contre : ils devraient payer une licence, des impôts, des charges, etc.

Oui, enfin, les dealers actuels seraient également contre une dépénalisation de l'usage et de la vente des drogues….

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Cette histoire, assez classique, me rappelle pourquoi je suis moralement opposé a la prostitution, ce n'est pas la prostituée qui me fait le plus pitié (quand ce n'est pas une esclave bien entendu)… c'est le client.

Je n'y suis sans doute pas aussi opposé que toi, mais pour ce que j'en sais (et je m'étais un peu intéressé à la question il y a quelques années) il est clair que le problème moral est le plus souvent du côté du client.

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