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Gender studies & applications


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Civitas appartient à une mouvance bien connue* pour son honnêteté intellectuelle et son absence de volonté de faie des coups médiatiques bidons. :lol: Vraisemblablement un fake.

 

 

 

* : comme sur ce forum le mongolisme fait parfois des ravages, je suis obligé de rappeller ce que j'ai déjà écrit un million de fois par ailleurs, je n'inclus pas La Manif Pour Tous ni les chrétiens en général dans cette mouvance, je parle de la frange extrême-droitière. Je répète : je n'ai pas écrit, jamais écrit, que la MPT relevait de l'extrême-droite. Je répète : la Manif pour Tous, ce n'est pas de l'extrême-droite.

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http://www.arte.tv/guide/fr/048395-000/il-elle-hen

 

Reportage de Arte sur deux écoles maternelles de Stockholm qui pratiquent le "genre neutre" (whatever that means). C'est bien une réalité pour ces gamins-là, les "études de genre", et ce sont eux les cobayes de l'étude.

On y trouve des "éducateurs" qui obligent tout le monde à participer à toutes les activités (même s'ils n'ont pas envie) en prétendant que c'est pour qu'ils s'acceptent "comme ils sont" - alors qu'en fait on leur refuse précisément de montrer une préférence. D'autres qui utilisent les sessions "et toi, qu'est-ce que tu aimes?" pour insister lourdement aux garçons qui disent aimer les voitures "et danser avec une jupe, ça te rend heureux aussi?" Et d'autres qui demandent aux garçons de venir à l'école en robe pour les prendre en photo.

On y trouve une mère qui refuse à sa fille de porter le pantalon qu'elle choisit pourtant jour après jour parce qu'il est rose et que "les gens vont penser qu'elle est juste une fille mignonne" (ce qu'elle dit avec la fille à côté), sans se rendre à l'argument du père qui objecte timidement que sa fille a le droit d'avoir des couleurs préférées comme tout le monde, et que lui refuser cette liberté est peut-être un peu contreproductif. Tu m'étonnes que c'est contreproductif, la gamine fait une crise de pleurs parce qu'on lui refuse de porter ce qu'elle voulait. A part la frustrer, je ne vois pas l'intérêt.

On y trouve aussi une mère qui trouve ça "choquant" de trouver des maillots de bain une pièce jusqu'au épaules pour sa fille et qui dit que "cacher les seins est une peur d'adulte, je préfère qu'elle porte un slip".

 

En fait ces enfants sont victimes de maltraitance ; on leur refuse systématiquement de s'exprimer si ce qu'ils ont à dire va dans un sens un tant soit peu conventionnel, et on les force à faire un certain nombre d'activité considérées comme "correctes". Cette école est un camp de rééducation. 

 

Et n'allez pas me raconter que c'est pour que chacun s'accepte comme il est et pour tordre le cou aux stéréotypes. Le but est exactement l'inverse : créer de nouvelles normes, un homme nouveau. Ou les garçons sont sommés d'être plus féminins, et les filles plus masculines.

 

Accessoirement, les histoires de "se concentrer sur une émotion (représentée par une petite poupée) pendant un mois pour leur apprendre à les gérer", c'est hallucinant : ils ne peuvent pas les laisser découvrir tout seul comme tout le monde? C'est flippant.

 

Le Canard Enchainé a proposé une recension différente de la tienne de ce reportage. Ce journal mentionne notamment qu'une grande partie des élèves rejettent consciemment ou insconsciemment tout cela, et qu'au final cette école de hippie n'a pas d'effet réel sur ces enfants.

EDIT : j'en ai parlé ici : http://www.liberaux.org/index.php/topic/51316-le-fil-des-gender-studies-et-ses-applications/?p=1058003

 

 

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Ben justement il faut la voir, beaucoup de choses intéressantes se passent : le petit Justus se garçonnise en dépit de l'éducation qu'il a reçu, et les enseignantes se rendent compte que leur dogmatisme va trop loin et renoncent à modifier la chanson chantée à la kermesse.

 

Je l'ai trouvé vraiment très intéressant ce documentaire, et finalement pas si caricatural. Tous les instituteurs ne sont pas sur la même ligne, tous les parents non plus, ils sont de radicalité et de bêtise très variable.

C'est ce que j'ai cru comprendre moi aussi, mais je regarderai le reportage. Je ne pense pas que ce soit si pire que ça. Il ne s'agit quand même pas des expériences de Wouter Basson ou du Dr Mengele...

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* : comme sur ce forum le mongolisme fait parfois des ravages, je suis obligé de rappeller ce que j'ai déjà écrit un million de fois par ailleurs, je n'inclus pas La Manif Pour Tous ni les chrétiens en général dans cette mouvance, je parle de la frange extrême-droitière. Je répète : je n'ai pas écrit, jamais écrit, que la MPT relevait de l'extrême-droite. Je répète : la Manif pour Tous, ce n'est pas de l'extrême-droite.

 

J'ai pas bien compris, tu peux répéter stp ?

 

 

:mrgreen:

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Le Canard Enchainé a proposé une recension différente de la tienne de ce reportage. Ce journal mentionne notamment qu'une grande partie des élèves rejettent consciemment ou insconsciemment tout cela, et qu'au final cette école de hippie n'a pas d'effet réel sur ces enfants.

EDIT : j'en ai parlé ici : http://www.liberaux.org/index.php/topic/51316-le-fil-des-gender-studies-et-ses-applications/?p=1058003

Comme je l'ai déjà dit de nombreuses fois, je pense que les enfants ont une grande résilience à la connerie des éducateurs, et que l'immense majorité s' en sortira en ayant simplement un souvenir désagréable de leur école maternelle comme d'un endroit où les adultes les saoulaient à leur faire faire des trucs qui ne leur plaisaient pas. Mais le problème, c'est que les parents sont à fond dans le trip, que même à la maison ils se reprennent l'un l'autre quand l'un utilise le genre féminin pour parler de leur fille au lieu du genre neutre, et que eux aussi passent leur temps à en parler aux enfants, à expliciter, conceptualiser. Donc on peut craindre que toute l'enfance de ces pauvres gosses soit parasitée, et il y en a certainement quelques uns qui ne s'en relèveront pas. Un, deux, trois, je ne sais pas combien... mais un, c'est déjà trop.

Je précise, à toute fin utile, que je vois bien que ça n'a rien à voir avec ce qui se passe actuellement en France : je sais faire la différence entre une idéologie de tous les instants et deux heures par semaine bricolées par des novices. Mais ça me fait flipper que ce soit ça leur modèle.

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C'est ce que j'ai cru comprendre moi aussi, mais je regarderai le reportage. Je ne pense pas que ce soit si pire que ça. Il ne s'agit quand même pas des expériences de Wouter Basson ou du Dr Mengele...

 

Ce qui est affligeant c'est plutôt le discours que les profs se servent entre eux pour se galvaniser, les parents qui choisissent cette école par militantisme, et le temps perdu par les enfants à répondre à des questions à la con ; mais remarquez que c'est niveau kindergarten donc ce temps est perdu dans tous les cas pour les enseignements sérieux.

 

Mais ce que je retiens de ce documentaire c'est girls will be girls and boys will be boys... Et au moins une enseignante ne le nie pas quand une des mères s'inquiète de ce que sa fille aime le rose alors qu'ils ont tout fait pour que ce ne soit pas le cas, elle lui dit "vers 4 ans, ça arrive la plupart du temps (comprendre : les enfants s'identifie spontanément à un stéréotype), tout ce qu'on essaye de faire c'est de ne pas influencer".

 

Je ne dis pas que tout ce qu'on entend dans le documentaire est aussi raisonnable, le discours de ces profs comporte clairement des contradictions, par exemple une volonté de donner "les mêmes possibilités" qui se traduit en fait par un bon gros discours sur l'égalité "réelle" (comprendre : sans stéréotypes dans la société, les enfants ne les reproduiraient pas).

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Ce qui est flippant c'est que j'ai l'impression qu'ils ne se rendent pas compte d'un truc. C'est que paraître garçon ou fille c'est hyper important pour un môme.

 

Etre pris pour une nana alors qu'on était des petits machos c'était ze honte, il suffisait qu'un instit dise elle au lieu de lui pour que toute la classe rigole et s'en moque pendant toute la journée.

C'est juste que les mioches sont hyper attaché à ne pas être confondu.

Ben oui, faut bien comprendre que nous, les vieux, nous pouvons nous définir par rapport à des tas de trucs : nos passions, notre culture, notre boulot, nos compétences, des dizaines d'années de souvenirs, des tonnes de relations sociales complexes...

Les enfants n'ont pas tout ça et leur identité est donc plus facilement menacée (ce qui ne veut pas dire qu'elle peut disparaître, jusque que ça cause de la détresse).

 

Il ne s'agit quand même pas des expériences de Wouter Basson ou du Dr Mengele...

Et la social-démocratie n'est pas le communisme. N'empêche qu'on peut trouver des airs de famille.

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J'ai relu les Règles de la méthode sociologique, et tu as définitivement tort : Durkheim est absolument essentialiste, au point de concevoir les faits sociaux comme des phénomènes naturels qui s'imposent avec la même force aux individus que les déterminations biologiques. 

 

 

 

C'est tout à fait vrai mais ce n'est pas ça l'essentialisme pour les sciences sociales. L'essentialisme, dit de manière triviale, c'est dire, pour ce qui est du genre "les garçons sont comme ça parce que garçon", pour les musulmans "ils sont commme ça parce que musulmans", ...

Durkheim à écrit deux phrases célèbres : "étudier les faits sociaux comme des choses", et pour ce point précis "lutter contre les fausses évidences", c'est à dire, lutter contre -dans le suicide-, l'idée d'un essentialisme psychologique qui mène au pire chez les personnes à tendance suicidaire.

 

Je crois que nous avons établi que vous n'utilisiez pas la même définition du mot essentialisme.

 

 

Oui, ça me semble clair.

 

Je viens de regarder sur Wikipédia, c'est du WTF total, ça ne parle que du genre. Dans mes deux dictionnaires de sc. sociales, il n'y a pas d'entrée à "essentialisme"...

Et je n'ai pas de dico de philo (note perso : commander un dico de philo).

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Mais le problème, c'est que les parents sont à fond dans le trip, que même à la maison ils se reprennent l'un l'autre quand l'un utilise le genre féminin pour parler de leur fille au lieu du genre neutre, et que eux aussi passent leur temps à en parler aux enfants, à expliciter, conceptualiser. Donc on peut craindre que toute l'enfance de ces pauvres gosses soit parasitée, et il y en a certainement quelques uns qui ne s'en relèveront pas. Un, deux, trois, je ne sais pas combien... mais un, c'est déjà trop.

 

En même temps, ils tournaient un reportage sur le sur le sujet. Normal dès lors de parler de ça tout le temps et même de surenchérir devant la caméra pour se donner le rôle du bon élève. Ce reportage n'est peut être pas le reflet de la réalité dans le sens où ils doivent moins parler de tout ça "dans la vraie vie" (hors caméras). 

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Travesti dans une école : des parents très choqués

Il était venu «faire des tours de magie» avec les mots. Mais «a-t-il joué avec l'innocence de nos enfants?», se demandent aujourd'hui les parents. Depuis l'intervention, le 3 février, du poète David Dumortier devant une classe de CM1 de l'école Marcel-Lafitan de Versailles, l'établissement est «sens dessus dessous», confie une maman.

Au début de l'année, rapporte-t-elle, «la maîtresse nous a prévenus qu'elle ferait travailler ses élèves sur la poésie». Un intervenant a été envoyé par la Maison de la poésie, sans que son nom soit dévoilé aux parents. «Je suis auteur jeunesse depuis quinze ans, précise David Dumortier. J'interviens régulièrement dans les écoles. Mes textes ont été sélectionnés par le ministère de l'Éducation nationale depuis des années.» Ce lundi-là, le poète lit aux enfants son ouvrage Mehdi met du rouge à lèvres. «Si Mehdi met du rouge à lèvres, c'est “pour que les bises restent plus longtemps sur toi”, explique l'auteur, reprenant des passages de son livre. Est-ce du prosélytisme homosexuel? Les enfants ont adoré. Ensuite j'ai demandé aux garçons s'ils s'étaient déjà déguisés en filles. Plusieurs m'ont lancé: “C'est arrivé à mon papa aussi!”»

Sauf que le soir même, un petit garçon raconte chez lui l'histoire de Mehdi… En quelques clics, les parents découvrent la bibliographie du poète. «David Dumortier va bien au-delà du thème de l'homosexualité, commente ainsi le SNUipp, le principal syndicat d'enseignants du primaire, sur son site Internet. Il rend sensibles, avec tendresse, pudeur, justesse de ton, ces heureux moments de l'enfance où les identités sexuelles ne sont pas encore figées, où se mêlent encore masculin et féminin, où l'ambivalence est une richesse.»

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/02/12/01016-20140212ARTFIG00374-travesti-dans-une-ecole-des-parents-tres-choques.php
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En même temps, ils tournaient un reportage sur le sur le sujet. Normal dès lors de parler de ça tout le temps et même de surenchérir devant la caméra pour se donner le rôle du bon élève. Ce reportage n'est peut être pas le reflet de la réalité dans le sens où ils doivent moins parler de tout ça "dans la vraie vie" (hors caméras).

Cepafo.

Mais ces parents ont choisi spécialement cette école et ceux que l'on voit ont accepté de tourner le reportage, donc il y a de fortes présomptions qu'ils soient fiers de fonctionner ainsi et qu'ils donnent la même importante au sujet d'habitude.

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Afficher fièrement comme certains : « Touche pas à mon stéréotype ! » c'est revendiquer un droit à la bêtise, à la paresse intellectuelle et aux conceptions les plus rétrogrades et conservatrices qu'elles autorisent ! Dans la tradition intellectuelle des Lumières, les sciences humaines et sociales – et parmi elles les études sur le genre qui associent des sociologues, des politistes, des historiens, des juristes, des ethnologues… – contribuent par leurs analyses et leurs travaux à démonter les mécanismes des inégalités sociales et contribuent ainsi au progrès social.
 
Nous ne pouvons donc que condamner les invocations fallacieuses à des fins politiques rétrogrades, sexistes et racistes, de prétendues théories sociologiques qui n'ont jamais eu cours dans nos domaines scientifiques. Car, redisons-le : la théorie du genre n'existe pas.

 

Au fond c'est comme le communisme, il n'a jamais existé. 

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Et un jour on découvrit que tout ce trolling provient d'une rivalité entre Ludovine Dutheil de La Rochère, née Ludovine Mégret d'Étigny de Sérilly (de la Manif pour Tous) et Béatrice Bourges (Le Printemps Français).

Surenchère, toussa toussa.

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Ca commence à devenir positivement débile et dangereux, oui.

De la même façon que je m'élèverai contre toute tentative d'éliminer des bibliothèques les livres sur le libéralisme, sur Hayek ou la pâtisserie bretonne, je m'opposerai au retrait des ouvrages marxistes et ceux du genre, pour les mêmes raisons.

(bon, ok, des livres libéraux dans les bibliothèques, en France, lol, quoi, mais tout de même)

Ce que font ces gens est l'exact symétrie débile de ce que fait l'autre bord.

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Je précise, à toute fin utile, que je vois bien que ça n'a rien à voir avec ce qui se passe actuellement en France : je sais faire la différence entre une idéologie de tous les instants et deux heures par semaine bricolées par des novices. Mais ça me fait flipper que ce soit ça leur modèle.

 

C'est un peu ce que je voulais dire: qu'il existe ces 2 écoles "expérimentales" au nord de l’Europe ne permet pas de conclure grand chose sur l’école publique en France.

 

Et puis comme je suis exposé a ce genre d’idée depuis que je suis tout petit, je relativise les dommages que ça peut faire: a un certain age on comprend que c'est des conneries (j'ai quand même mis du temps, et ça m'a causé du tort entre temps).

Je réfute aussi l’idée que ces parents soient méchants, vicieux ou égoïstes comme ça a été dit. C'est agréable et facile de penser ça, mais c'est faux.

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Ca commence à devenir positivement débile et dangereux, oui.

De la même façon que je m'élèverai contre toute tentative d'éliminer des bibliothèques les livres sur le libéralisme, sur Hayek ou la pâtisserie bretonne, je m'opposerai au retrait des ouvrages marxistes et ceux du genre, pour les mêmes raisons.

(bon, ok, des livres libéraux dans les bibliothèques, en France, lol, quoi, mais tout de même)

Ce que font ces gens est l'exact symétrie débile de ce que fait l'autre bord.

 

Là-dessus on n'est pas d'accord, pour moi une bibliothèque publique n'a pas a héberger des livres orientés idéologiquement dans ses rayons jeunesses pour une raison simple : les petits lecteurs ne sont pas en mesure de faire le discernement, ils n'ont pas d'esprit critique, aucune contre-idée. C'est de la pur propagande. Pour les rayonnages adultes c'est différent bien sûr.

Bref, je trouve donc que cette initiative va dans le bon sens.

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Là-dessus on n'est pas d'accord, pour moi une bibliothèque publique n'a pas a exister héberger des livres orientés idéologiquement dans ses rayons jeunesses pour une raison simple : les petits lecteurs ne sont pas en mesure de faire le discernement, ils n'ont pas d'esprit critique, aucune contre-idée. C'est de la pur propagande. Pour les rayonnages adultes c'est différent bien sûr.

Bref, je trouve donc que cette initiative va dans le bon sens.

 

Corrigé.

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Là-dessus on n'est pas d'accord, pour moi une bibliothèque publique n'a pas a héberger des livres orientés idéologiquement dans ses rayons jeunesses pour une raison simple : les petits lecteurs ne sont pas en mesure de faire le discernement, ils n'ont pas d'esprit critique, aucune contre-idée. C'est de la pur propagande. Pour les rayonnages adultes c'est différent bien sûr.

Bref, je trouve donc que cette initiative va dans le bon sens.

Si tant est, bien entendu, qu'il s'agisse réellement de livres orientés idéologiquement.

 

La démonstration de Copé sur le livre "Tous à poil" n'a pas du tout été convaincante.

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Là-dessus on n'est pas d'accord, pour moi une bibliothèque publique n'a pas a héberger des livres orientés idéologiquement dans ses rayons jeunesses pour une raison simple : les petits lecteurs ne sont pas en mesure de faire le discernement, ils n'ont pas d'esprit critique, aucune contre-idée. C'est de la pur propagande. Pour les rayonnages adultes c'est différent bien sûr.

Bref, je trouve donc que cette initiative va dans le bon sens.

 

Oui, ça c'est cool tant que les livres qui sont considérés comme idéologiquement orientés sont ceux que du camps d'en face. Et puis quand la majorité ou le pouvoir passe au camps d'en face, on pleurniche et on crie à la dictature.

 

Autoriser une fois un gouvernement à le faire, c'est autoriser tous les gouvernements à le faire.

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Là-dessus on n'est pas d'accord, pour moi une bibliothèque publique n'a pas a héberger des livres orientés idéologiquement dans ses rayons jeunesses pour une raison simple : les petits lecteurs ne sont pas en mesure de faire le discernement, ils n'ont pas d'esprit critique, aucune contre-idée. C'est de la pur propagande. Pour les rayonnages adultes c'est différent bien sûr.

Bref, je trouve donc que cette initiative va dans le bon sens.

Tu dis de la merde.

Non libérale de surcroît.

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Là-dessus on n'est pas d'accord, pour moi une bibliothèque publique n'a pas a héberger des livres orientés idéologiquement dans ses rayons jeunesses pour une raison simple : les petits lecteurs ne sont pas en mesure de faire le discernement, ils n'ont pas d'esprit critique, aucune contre-idée. C'est de la pur propagande. Pour les rayonnages adultes c'est différent bien sûr.

Bref, je trouve donc que cette initiative va dans le bon sens.

 

Heu, tu oublies le rôle des parents, qui généralement sont avec leurs petits dans les bibliothèques.

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Tu dis de la merde.

Non libérale de surcroît.

Oui pardon, j'ai oublié d'en parler mais évidemment les bibliothèques publiques...

 

D'ailleurs j'avais fait le calcul, à Paris les 60 bibliotheques municipales sont largement privatisables, et ça peut faire un bon petit business sympa en plus (150 millions par an à peu près).

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